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“La séquestration de Jean-Pierre Bemba par Kinshasa augmente sa popularité de 2% par heure”: Herman Cohen

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgguKAw5Rvo5rKKVyi8vMn78NW3t-28ncbTg0ftaf8QuOC-dzwOaEudlH-zqYjFHx2IqqajHixsu8bZCzBhdWw4U0oCyEVYLyr1v-0HI6f4AWL88r0xVfXDARtZ-cZxYO1wmqlRee5x1KA/s1600/Snapshot_111.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="357" data-original-width="659" height="216" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgguKAw5Rvo5rKKVyi8vMn78NW3t-28ncbTg0ftaf8QuOC-dzwOaEudlH-zqYjFHx2IqqajHixsu8bZCzBhdWw4U0oCyEVYLyr1v-0HI6f4AWL88r0xVfXDARtZ-cZxYO1wmqlRee5x1KA/s400/Snapshot_111.jpg" width="400" /></a>Dans une vidéo postée mercredi sur les réseaux sociaux, Ève Bazaiba, secrétaire général a dénoncé les conditions de séquestration dans lesquelles s’est déroulée l’arrivée du sénateur Jean-Pierre Bemba, qui a passé sa première nuit dans un complexe commercial à la place de sa résidence ou de l’hôtel proposé par le gouvernement.<br />
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our l’ancien ambassadeur et secrétaire d’État adjoint américain Herman Cohen, cette séquestration de Jean-Pierre Bemba augmente sa popularité de 2%par heure. « Excellence, président de la RDC, vos conseillers principaux sont très stupides. En empêchant Jean-Pierre Bemba d’entrer dans sa résidence personnelle, vous augmentez sa popularité de 2% pour chaque heure. Dis à Kalev Mutond et au gouverneur de Kinshasa qu’ils agissent comme des enfants » a tweeté Herman Cohen.<br />
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Le commandant de la police nationale de la ville de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo Kitenge, a indiqué avoir reçu l’ordre du général Amuri Bahigwa, commissaire général principal de la police nationale Congolaise d’empêcher l’établissement de Jean-Pierre Bemba dans la commune de la Gombe, classée zone présidentielle par les services de sécurité.<br />
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“C’est le commissaire général, qui est le chef de la police, qui m’a instruit que le sénateur Jean-Pierre Bemba ne devrait pas habiter à la résidence de Gombe, vue la proximité avec la résidence du chef de l’Etat. C’est un site présidentiel. C ‘est pour qu’il soit exempté de mesures de sécurité. Chaque fois il y a de barricades à ces endroits pour fouiller les gens qui entrent et qui sortent, ce qui n’est pas bon pour lui” a dit le général Sylvano Kasongo à la RFI.<br />
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Pour l’Association Congolaise pour l’Acces à la Justice, ACAJ, le gouvernement Congolais doit cesser avec cette restriction de la liberté de circulation de Jean-Pierre Bemba. “L’ACAJ condamne les restrictions à la liberté de circulation et résidence imposées illégalement au sénateur Jean-Pierre Bemba et sa famille depuis leur arrivée à Kinshasa. Elle demande au gouvernement de les laisser occuper leur résidence de la Gombe'” a écrit sur son compte Twitter, Georges Kapiamba, président de cette ONG de défense de droits humains.<br />
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Le mouvement pour la libération du Congo, MLC, dont Jean-Pierre Bemba est candidat à la prochaine élection présidentielle note que les troubles ayant suivi l’arrivée de Jean-Pierre Bemba en RDC vont perturber son programme. Le dépôt de sa candidature au bureau de la commission électorale nationale indépendante, initialement prévue jeudi pourrait intervenir vendredi, ont déclaré les sources du MLC à POLITICO.CD.<br />
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Fiston Mahamba

Politique “La séquestration de Jean-Pierre Bemba par Kinshasa augmente sa popularité de 2% par heure”: Herman Cohen

Dans une vidéo postée mercredi sur les réseaux sociaux, Ève Bazaiba, secrétaire général a dénoncé les conditions de séquestration dans lesqu...

RDC : Katumbi n’a formulé pas une demande d’autorisation pour que son avion atterrisse à Lubumbashi (Mende)

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7MXen-XLCOwdwv6vGauJO8AeLX31giuK0ua2t0za7x0bXZ-Gqr62wSTTTyqDy6CNsi2vT3KRmbtDlzHaPAdGlG4SUjJFfRIe0GcZT4MsYTxVsmfGI5GTndI9ABdiGuY4j0klLyHDuHr8/s1600/Snapshot_109.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="373" data-original-width="500" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7MXen-XLCOwdwv6vGauJO8AeLX31giuK0ua2t0za7x0bXZ-Gqr62wSTTTyqDy6CNsi2vT3KRmbtDlzHaPAdGlG4SUjJFfRIe0GcZT4MsYTxVsmfGI5GTndI9ABdiGuY4j0klLyHDuHr8/s400/Snapshot_109.jpg" width="400" /></a>Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a déclaré que le survol et l’atterrissage de l’avion de Moïse Katumbi ne seront pas autorisés car aucune demande n’a été effectuée.<br />
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Lambert Mende est catégorique : Moise Katumbi n’a pas saisi les autorités compétentes pour le survol et l’atterrissage de son avion. Il dénonce depuis Luanda (Angola) où il se trouve « une agitation dans le chef de Moïse Katumbi ».<br />
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« On ne peut pas délivrer une autorisation qui n’a pas été sollicitée. Il n’a écrit aucun document à l’autorité de l’aviation civile. Nous venons encore de vérifier cet après-midi à partir de Luanda où nous nous trouvons avec le vice premier ministre en charge de transport qui a contacté devant nous le directeur général de l’Autorité de l’aviation civile qui confirme n’avoir reçu aucune demande de survol ou d’atterrissage d’un aéronef devant ramener Monsieur Katumbi au pays. C’est de la pire agitation politicienne tout simplement », a dit Lambert Mende ce jeudi à ACTUALITE.CD<br />
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr">
<div dir="ltr" lang="en">
RDC: <a href="https://twitter.com/moise_katumbi?ref_src=twsrc%5Etfw">@moise_katumbi</a> " I am going to Congo for the elections, for the first peaceful transfer of power in DRC". <a href="https://t.co/nI2Z3s8awr">pic.twitter.com/nI2Z3s8awr</a></div>
— Ensemble pour le Changement (@Ensemble_MK) <a href="https://twitter.com/Ensemble_MK/status/1024599879136501760?ref_src=twsrc%5Etfw">1 août 2018</a></blockquote>
<script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script><br />
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Le ministre de la communication et des médias accuse le président d’Ensemble pour le changement de vouloir provoquer le désordre à Lubumbashi.<br />
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« Il veut provoquer le désordre à Lubumbashi, c’est clair. Mais c’est évident qu’il ne reviendra pas parce qu’aucun avion ne décollera à partir du pays où il se trouve sans avoir une autorisation de survol parce que personne n’a demandée. Il essaie simplement de perturber la vie des citoyens à Lubumbashi. Il n’a fait aucune démarche et il prétend qu’il l’a faite. Nous ne savons pas ce qu’il a en tête. Il a même oublié de respecter la procédure. Il dit avoir fait la demande alors qu’il appartient à la compagnie de la faire », ajouté Lambert Mende.<br />
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Moïse Katumbi affirme cependant avoir formulée une demande d’autorisation au directeur général de l’Autorité de l’aviation civile pour le survol et l’atterrissage de son aéronef le vendredi 3 Août à l’aéroport de Luano à Lubumbashi (Haut-Katanga).<br />
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Stanys Bujakera Tshiamala

Politique RDC : Katumbi n’a formulé pas une demande d’autorisation pour que son avion atterrisse à Lubumbashi (Mende)

Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a déclaré que le survol et l’atterrissage de l’avion de Moïse Katumbi ne seront pas autorisé...

Abus de pouvoir, actes illégaux, décisions arbitraires. Conseil d’Etat : Félix Vunduawe Te Pemako va frapper !

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8L4XSbm51_4fuQjLUrCzbl9WbQGCIlVejwB3TYrmeOLfyJ2twXzC6wd9i6pZG4o1cFt0I32SqVdje6cFom6r3MgsUAiyYyHyrTrHNQM39fWoYMkZppU2UIeiLt5vRQ8oicS6rUsH8ii0/s1600/Snapshot_108.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="402" data-original-width="789" height="203" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8L4XSbm51_4fuQjLUrCzbl9WbQGCIlVejwB3TYrmeOLfyJ2twXzC6wd9i6pZG4o1cFt0I32SqVdje6cFom6r3MgsUAiyYyHyrTrHNQM39fWoYMkZppU2UIeiLt5vRQ8oicS6rUsH8ii0/s400/Snapshot_108.jpg" width="400" /></a>*La machine est déjà en marche. Après son installation, le Conseil d’Etat va sévir. Sans ambages, Félix Vunduawe Te Pemako passera aux actes. Il promet, du reste, de restaurer  l’image de l’Etat notamment, dans le domaine des conflits administratifs l’opposant aux particuliers ou dans ceux opposant les administrations entre elles. Des mois à venir, susurre-t-il, seront déterminants.<br />
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Etat des lieux<br />
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Plus d’un mois après le parachèvement de la réforme judiciaire qui, en définitive, a  conduit à l’éclatement de la Cour Suprême de Justice en trois juridictions  distinctes, à savoir, la Cour Constitutionnelle, la Cour de Cassation et le Conseil d’Etat, où en est-on avec l’installation et la mise en œuvre de leurs compétences consignées dans les  lois  organiques  ainsi que dans  les Ordonnances Présidentielles  désignant leurs  animateurs respectifs ?<br />
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Ici, Félix Vunduawe Te Pemako qui, de prime abord, félicite le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, pour le choix porté sur sa modeste personne ainsi que pour la confiance témoignée envers lui, répond en ce qui concerne, particulièrement, le Conseil de l’Etat dont il a été désigné Premier Président, depuis le mois de  juin 2018.<br />
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Désormais, dit-il, avec l’arrivée du Conseil d’Etat dans l’arène judiciaire en RD. Congo, l’épée qu’il fallait pour la fin de l’impunité et le règne du  régime de l’arbitraire est là, pour crédibiliser l’Etat, protéger ses intérêts mais  aussi et surtout, récréer la confiance chez les concitoyens, victimes d’actes réglementaires et des décisions contraires aux   lois de la République.<br />
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En pédagogue, Félix Vunduawe, Professeur à l’Université de Kinshasa,  explique que si, constitutionnellement, les questions politiques ont été confiées à la Cour Constitutionnelle pour trancher des litiges nés du contentieux électoral au niveau des   législatives nationales ou de  la présidentielle, ou alors,  pour juger pénalement, en cas de nécessité,  le Chef de l’Etat ou le Premier Ministre, les matières judiciaires entre les privés ont été, quant à elles, renvoyées à la compétence de la Cour de Cassation.<br />
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Mais, pour ce qui est des conflits administratifs  entre l’Etat et les particuliers, ou les administrations, elles-mêmes, seul, le Conseil d’Etat est qualifié en cette matière.  Il dispose du pouvoir d’annulation d’actes réglementaires ou décisions contraires aux lois et, en même temps, de  celui de Conseil en vue de la correction.<br />
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Extension<br />
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Le Conseil d’Etat, dans son extension, pourrait s’installer partout. A Kinshasa, Vunduawe, selon le programme en cours, pourrait instituer deux Cours Administratives d’Appel. Tandis qu’en Provinces, il en instituerait une Cour administrative d’Appel à la tête de chacune, selon le nombre de 26 arrêté et matérialisé avec le démembrement.<br />
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Il dit, en plus, que le processus irait progressivement des communes aux villes, des secteurs aux chefferies. Mais, en attendant, les Cours d’Appel actuelles continueront encore pendant un temps, à suppléer à la carence.<br />
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Le but visé, dans cette démarche, est, comme il insiste, de remettre de l’ordre dans la boutique pour stopper les abus de pouvoir et revaloriser l’image de l’Etat qui, depuis des lustres, est tachetée à cause de la délinquance et de la corruption dont ceux qui détiennent les manettes du pouvoir se rendent si souvent responsables.<br />
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Donc, les particuliers,  victimes de certains actes et sanctions à caractère illégal ou inique  de la part de leurs  Ordres,  à l’instar de celui des médecins, des avocats, des pharmaciens, des infirmiers… ont, désormais, une voie de recours.<br />
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Ils peuvent saisir le Conseil d’Etat à tout moment. Car, dans son organisation, celui-ci se dotera, confie-t-il, de deux sections essentielles. La section de contentieux qui examinera les actes, au regard des lois. Puis, la section consultative pour des avis de conformité.<br />
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D’où, l’appel de Vunduawe à tous ceux qui pourraient être impliqués dans la réalisation de ce travail titanesque dont la portée est, certes, indéniable,  de prêcher par la compétence et  la moralité irréprochable.<br />
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Motivation<br />
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Il promet, pour ce faire, de veiller  à ce que la République, dans le cadre du fonctionnement dû au Conseil d’Etat, puisse lui doter de moyens adéquats aux fins de traiter avec dignité, tous les magistrats et autres auxiliaires de justice commis au Conseil d’Etat.<br />
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D’ailleurs, historiquement, dans un pays comme l’Egypte, rappelle-t-il de mémoire d’homme,  le Conseil d’Etat fut considéré naguère comme  le Conseil du Roi. Il avait pour mission de souffler à l’oreille de Sa Majesté, pour lui prévenir de toutes les infirmités ou éventuelles défaillances judiciaires des actes à prendre sur le plan de l’interprétation ou de la meilleure formulation  administrative d’actes réglementaires, en amont. Plus tard, l’histoire évoluant au gré d’innovations, c’est ce Conseil d’Etat-là qui devint le juge, à la fois, pour conseiller, émettre les avis consultatifs et, même, infliger des astreintes sous forme  des sanctions.<br />
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Aujourd’hui en RD. Congo, quelle est l’importance d’une telle juridiction ? Vunduawe soutient que beaucoup de conflits fonciers, fiscaux ou commerciaux dans lesquels les pouvoirs publics sont impliqués  au détriment des particuliers ou, inversement, des dossiers dans lesquels les particuliers ont floué l’Etat, seront passés au prisme du  Conseil d’Etat.<br />
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Il  promet, la main sur le cœur et réaffirme sa détermination à relever ce défi. Car, pour lui, la justice est rendue au nom de la Nation. Tandis que l’exécution des  décisions du Conseil d’Etat l’est au nom du Chef de l’Etat. Agir autrement, c’est serait, doublement,   trahir et déshonorer le Chef de l’Etat et saper les intérêts de la nation.  Ce qui, logiquement,  est inadmissible, conclut-il.<br />
<br />
LPM

Justice Abus de pouvoir, actes illégaux, décisions arbitraires. Conseil d’Etat : Félix Vunduawe Te Pemako va frapper !

*La machine est déjà en marche. Après son installation, le Conseil d’Etat va sévir. Sans ambages, Félix Vunduawe Te Pemako passera aux actes...

Retour de Katumbi : tirs croisés !

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhX2u1E7bVLNuPZRLeC1U2PeOGjG9VzbanjionTWOsoc3u4DZLxKdK9QdDny72FM0FdR_QjyTMYmO-mV2cFSb6AJJxjb6T8l6qvt8UVqxUEp-FoeeULd0J4m1p4hZnTwjqDrz5ue4l_TEQ/s1600/Snapshot_107.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="366" data-original-width="553" height="263" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhX2u1E7bVLNuPZRLeC1U2PeOGjG9VzbanjionTWOsoc3u4DZLxKdK9QdDny72FM0FdR_QjyTMYmO-mV2cFSb6AJJxjb6T8l6qvt8UVqxUEp-FoeeULd0J4m1p4hZnTwjqDrz5ue4l_TEQ/s400/Snapshot_107.jpg" width="400" /></a>Il revient aujourd’hui ! C’est la confirmation faite par Gabriel Kyungu Wa Kumwanza au nom <br />
d’Ensemble/Haut Katanga. Dans une correspondance, celui qui est mieux connu sous l’appellation ‘’Baba Kyungu ‘’ lance un appel à la population lushoise afin qu’elle aille accueillir à l’aéroport de la Loano le Chairman Moïse Katumbi. Pourtant, le Maire de Lubumbashi, dans une lettre laissait entendre jusqu’à tard hier qu’il ne pouvait répondre à la demande de Katumbi d’atterir ce vendredi 3 août à la Loano. Et, plus corsé encore, un mandat d’arrêt a été émis à l’encontre de Moïse Katumbi car, n’ayant pas respecté les clauses de sa sortie du pays pour des soins alors qu’il était entre les mains de la justice. Le retour de Katumbi qui doit atterrir aux environs de 9-10 heures reste donc un sujet à tirs croisés dont le fin mot ne pourra être dévoilé qu’aujourd’hui. Ci-dessous, veuillez parcourir les documents croisés en cliquant au lien. TIRS CROISES DANS LE DOSSIER KATUMBI<br />
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Politique Retour de Katumbi : tirs croisés !

Il revient aujourd’hui ! C’est la confirmation faite par Gabriel Kyungu Wa Kumwanza au nom d’Ensemble/Haut Katanga. Dans une correspondance...

RDC: la route de Kasumbalesa vers la frontière RDC/Zambie bloquée

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwdefXLiL1nqSr8pABghQ02srl2PoKPFtGfhBdW93kBVqKjwKX7OSx-q1_w8_1h8wCt5x4p6Uw56cRHXTdyJ7FoobaDCbfXsYMAMm9CF8ygIcc2cEsbfceRJkTLl7CfxF0qlsJRPs17qM/s1600/Snapshot_106.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="428" data-original-width="779" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwdefXLiL1nqSr8pABghQ02srl2PoKPFtGfhBdW93kBVqKjwKX7OSx-q1_w8_1h8wCt5x4p6Uw56cRHXTdyJ7FoobaDCbfXsYMAMm9CF8ygIcc2cEsbfceRJkTLl7CfxF0qlsJRPs17qM/s400/Snapshot_106.jpg" width="400" /></a>Des engins sont placés dès le premier péage sur la route Kasumbalesa rendant impossible le passage. “Une situation étrange”, s’étonnent les usagers de cette voie.<br />
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La délégation d’Ensemble qui devrait se rendre à la frontière entre la RDC et la Zambie en attente de la probable arrivée de Moïse Katumbi est aussi bloquée. La police et d’autres services de sécurité ont placé des barrières pour empêcher d’éventuels passages clandestins.<br />
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Après le refus d’autoriser le survol et l’atterrissage de son avion, Moïse Katumbi a décidé de regagner la RDC par la frontière entre la RDC et la Zambie à travers la localité de Kasumbalesa.<br />
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“Je viens pour la paix dans mon pays. Et si je dois rester à la frontière, j’y resterai même pendant deux ans”, a dit Moïse Katumbi à ACTUALITE.CD.<br />
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Le président de la plateforme Ensemble tient à retourner au pays pour déposer sa candidature à l’élection présidentielle prévue le 23 décembre 2018. Moïse Katumbi est cependant condamné par la justice dans une affaire privée, il fait également l’objet d’autres poursuites judiciaires.<br />
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Stanys Bujakera Tshiamala

Politique RDC: la route de Kasumbalesa vers la frontière RDC/Zambie bloquée

Des engins sont placés dès le premier péage sur la route Kasumbalesa rendant impossible le passage. “Une situation étrange”, s’étonnent les ...

J.P. BEMBA : 4 HEURES À LA CENI !

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfv_9uO_bwr5y-R8oogq_L3G6NbBb9SEkwh-jiexC0e6Q7qonToRCTWY3Vdu8Jdxto7HQ4g94YseOpg4baBGws-V1cDuD5CdUPsPF4r0B0EKSRV8pXfjG0ITnEFxZmX1TTiLNdMNQOYnE/s1600/Snapshot_105.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="441" data-original-width="593" height="296" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfv_9uO_bwr5y-R8oogq_L3G6NbBb9SEkwh-jiexC0e6Q7qonToRCTWY3Vdu8Jdxto7HQ4g94YseOpg4baBGws-V1cDuD5CdUPsPF4r0B0EKSRV8pXfjG0ITnEFxZmX1TTiLNdMNQOYnE/s400/Snapshot_105.jpg" width="400" /></a>« L’objectif maintenant, c’est d’obtenir des élections crédibles et transparentes », a déclaré, hier le leader du MLC au cours d’un long entretien avec le président de la Centrale électorale, à l’occasion du dépôt de sa candidature.<br />
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C’est désormis chose faite. Jean-Pierre Bemba est candidat à la présidentielle du 23 décembre 2018. Arrivé la veille à Kinshasa en provenance de Bruxelles, le sénateur congolais est allé personnellement déposer sa candidature hier jeudi 2 août au siège de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) en plein centre-ville.<br />
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Arrivé vers 14 heures 10‘ au siège la Ceni, sous escorte de la police nationale, en compagnie de son épouse et de quelques hauts cadres de son parti, le Mlc, Jean-Pierre Bemba n’a quitté le lieu que vers 18 heures, après un long entretien avec le président de la Centrale électorale sur le processus électoral. <br />
« J’ai eu effectivement ma carte d’électeur et j’ai déposé tous les dossiers au niveau de la Ceni. Il appartient maintenant à celle-ci de faire son travail », a-t-il lancé, d’entrée de jeu, devant la presse qui l’attendait depuis près de 5 heures. <br />
Pour le président du MLC, « l’objectif, c’est d’obtenir des élections crédibles et transparentes », voilà qui justifie le long moment passé à la Ceni. Car, fait-il savoir, il fallait d’abord inscrire tous les formulaires pour la candidature, ensuite, obtenir la carte d’électeur. <br />
« Et puis, poursuit-il, le président de la Ceni a bien voulu me recevoir. Nous avons eu un long entretien. Vous savez qu’au niveau du MLC, nous avons plusieurs questions et des inquiétudes sur le processus. C’est ce qui nous a pris un peu plus de temps. »<br />
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LE SUSPENSE LEVE<br />
Ces inquiétudes, a souligné l’ancien vice-Président congolais, c’était par rapport à un nombre important d’électeurs : les 6 millions qui n’ont pas d’empreintes digitales et deuxièmement, sur la question de la machine à voter. <br />
« Les questions ont été posées au président de la Ceni et il a compris le bien fondé de notre préoccupation. Il a promis de continuer les entretiens avec le MLC et d’autres partis politiques qui le souhaiteraient. Je crois que lors de ces entretiens futurs, nous obtiendrons des réponses positives. Mais il est resté ouvert à ces préoccupations. Je pense que, dans les prochaines rencontres, on pourrait trouver des solutions à ces problèmes, car l’objectif c’est d’obtenir des élections transparentes et que crédibles », souligne JP Bemba.<br />
Concernant le problème de sa résidence, JP Bemba laisse entendre que le problème sera réglé dans un autre milieu. « Je ne veux pas jeter de l’huile sur le feu, l’essentiel pour moi aujourd’hui, c’était d’obtenir ma carte d’électeur et déposer ma candidature. J’ai expérimenté la machine à voter. Ma préoccupation devant le président de la Ceni, c’est le temps que prend cette machine à voter. Il y aussi le problème technique sur la fiabilité de cette machine. Et le président de la Ceni nous a promis de poursuivre les discussions ».<br />
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CAP SUR LE POUVOIR<br />
Âgé de 55 ans, Jean-Pierre Bemba, ex-chef de guerre rebelle, puis vice-président de la RDC, avait quitté la République démocratique du Congo en 2007, avant de passer dix ans de détention au quartier pénitentiaire de la CPI, à la suite d’une condamnation de 18 ans de réclusion pour des crimes commis en République centrafricaine en 2002 et 2003, mais il a finalement été acquitté en appel le 8 juin dernier.<br />
Rentré au pays, le mercredi 1er juin dernier, le sénateur congolais est déterminé à succéder au président sortant Joseph Kabila, mais déjà le camp présidentiel évoque son inéligibilité à la magistrature suprême pour sa condamnation irrévocable obtenue toujours à la CPI, dans le cadre de l’affaire de subornation des témoins que la Majorité tente d’assimiler à la corruption. Par rapport à cette question, JP Bemba n’a pas voulu faire des commentaires. Pour lui, ce problème reste un débat des juristes. <br />
MOLINA

Politique J.P. BEMBA : 4 HEURES À LA CENI !

« L’objectif maintenant, c’est d’obtenir des élections crédibles et transparentes », a déclaré, hier le leader du MLC au cours d’un long ent...

RDC-retour Katumbi : Gaz lacrymogènes et quelques interpellations à Lubumbashi

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWllw-ULWKZqPu9EsDz0AoubA84mad7f7DdkBn32DF81fK_uo9TTmpHkkqKdlLZBfzmXQcwaSFqxYC9NCeITsLSmEYJ8YQBqkAZI0HGODN9rcLImZmBW2mtc_hECnoB_5BKSbnrhOdHvo/s1600/Snapshot_104.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="372" data-original-width="660" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWllw-ULWKZqPu9EsDz0AoubA84mad7f7DdkBn32DF81fK_uo9TTmpHkkqKdlLZBfzmXQcwaSFqxYC9NCeITsLSmEYJ8YQBqkAZI0HGODN9rcLImZmBW2mtc_hECnoB_5BKSbnrhOdHvo/s400/Snapshot_104.jpg" width="400" /></a>La police a utilisé des grenades lacrymogènes au niveau de place Carrefour à Lubumbashi pour disperser quelques groupes de jeunes qui se dirigeaient vers l’aéroport de Luano. Quelques jeunes ont également été interpellés.<br />
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Plusieurs jeunes se sont constitués en plusieurs groupes espérant atteindre l’aéroport de Luano où l’opposant Moïse Katumbi avait annoncé que son avion atterrirait à 9 heures (heure locale). La police s’est déployée un peu partout dans la ville mais beaucoup plus sur la route de l’aéroport. Elle a dispersé ces groupes de jeunes à coup de gaz lacrymogènes.<br />
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Les autorités de la ville ont interdit tout rassemblement en perspective du retour annoncé de Moise Katumbi. L’ancien gouverneur dit avoir demandé l’autorisation de survol et d’atterrissage pour son avion, ce que réfute le gouvernement congolais par le canal de son porte-parole Lambert Mende.  L’opposant espère retourner au pays deux ans après son exil pour déposer sa candidature à l’élection présidentielle prévue le 23 décembre 2018.<br />
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Lire aussi: RDC : Dispositif sécuritaire renforcé à Lubumbashi ce vendredi<br />
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Stanys Bujakera Tshiamala, depuis Lubumbashi

Politique Province RDC-retour Katumbi : Gaz lacrymogènes et quelques interpellations à Lubumbashi

La police a utilisé des grenades lacrymogènes au niveau de place Carrefour à Lubumbashi pour disperser quelques groupes de jeunes qui se dir...

RDC : Katumbi tente de passer par route à travers la Zambie pour atteindre Kasumbalesa

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioVEuq6LJI5Gw34mTvI3lDvvS2fOTx264Gu3NFuPVyC4lb_G8QdUsXUl8j3fts8pY4IhpEzFjLWJIhkkWc2T7R-GrMjHbLxgLJgGJq26pFZrbtll9xzcBOAn6VML6gKthhSZbVjFkquLU/s1600/Snapshot_103.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="408" data-original-width="782" height="207" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioVEuq6LJI5Gw34mTvI3lDvvS2fOTx264Gu3NFuPVyC4lb_G8QdUsXUl8j3fts8pY4IhpEzFjLWJIhkkWc2T7R-GrMjHbLxgLJgGJq26pFZrbtll9xzcBOAn6VML6gKthhSZbVjFkquLU/s400/Snapshot_103.jpg" width="400" /></a>Moise Katumbi passera par la Zambie pour atteindre par route la RDC, annonce Ensemble pour le changement. Une délégation était déjà arrivée à l’Aéroport de la Loano à Lubumbashi pour l’accueillir, mais l’avion n’a pas reçu l’autorisation de survol et d’atterrissage.<br />
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« Nous voici à l’aéroport de la Loano. Nous sommes venus accueillir Moise Katumbi comme c’était prévu. On vient d’être notifié que son avion n’a pas été autorisé d’atterrir à la Loano. Nous l’avons contacté, il est en route vers Ndola. Il ne passera pas route à partir de Kasumbalesa. La population continue à attendre. Nous espérons qu’il pourra entrer à Kasumbalesa », a dit Gabriel Kyungu dans une vidéo à partir de l’aéroport.<br />
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La délégation d’Ensemble pour le changement dit vouloir prendre également la route de Kasumbalesa partant de Lubumbashi.<br />
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Dans la ville, un dispositif sécuritaire a été déployé pour éviter tout rassemblement. Les gaz lacrymogènes ont été utilisés et quelques interpellations effectuées.<br />
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Photo Christine Tshibuyi (Lubumbashi ce matin)<br />
actualité.cd

Politique RDC : Katumbi tente de passer par route à travers la Zambie pour atteindre Kasumbalesa

Moise Katumbi passera par la Zambie pour atteindre par route la RDC, annonce Ensemble pour le changement. Une délégation était déjà arrivée ...

RDC : Dispositif sécuritaire renforcé à Lubumbashi ce vendredi

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjhb6HAEOhqKE-NPy3KKVqnmvgG0lpIP3HE5HOHiA5wK53jHEhFrTks5i8NMWQiajIDZn8R3ZNzOrDKCd3RpnzyPr-fTLDl1eU32p0mvcvhWI8bTUjoITGEq6msmmDy2VaQhDWinosDXo/s1600/Snapshot_102.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="442" data-original-width="785" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjhb6HAEOhqKE-NPy3KKVqnmvgG0lpIP3HE5HOHiA5wK53jHEhFrTks5i8NMWQiajIDZn8R3ZNzOrDKCd3RpnzyPr-fTLDl1eU32p0mvcvhWI8bTUjoITGEq6msmmDy2VaQhDWinosDXo/s400/Snapshot_102.jpg" width="400" /></a>Le dispositif sécuritaire est renforcé à Lubumbashi en marge de l’arrivée annoncée de Moise Katumbi dans la ville cuprifère. Les policiers sont particulièrement visibles le long du boulevard Lumumba.<br />
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Des éléments de la police et de l’armée lourdement armés ont rédigé des barrières sur les artères principales de la ville de Lubumbashi et procèdent à des fouilles.<br />
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La route de l’aéroport est bloquée, même situation signalée à la frontière avec la Zambie.<br />
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Sur la route Likasi en passant par l’avenue Lubumbashi, trois jeeps de la police sont postées. Le même dispositif est déployé dans le quartier Bel air, Kenya, Rwashi et à Kamalondo.  Les jeeps de la police et FARDC font la ronde sur presque toutes les artères de la ville de Lubumbashi.<br />
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Vers la poste, une dizaine de jeunes manifestent scandant le nom de Moise Katumbi.<br />
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Christine Tshibuyi, depuis Lubumbashi

Politique Province RDC : Dispositif sécuritaire renforcé à Lubumbashi ce vendredi

Le dispositif sécuritaire est renforcé à Lubumbashi en marge de l’arrivée annoncée de Moise Katumbi dans la ville cuprifère. Les policiers s...

RDC: “S’il bloque la frontière de Kasumbalesa, j’y resterai pendant même deux ans” Katumbi

August 03, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7qaCESakKfYc_7LLNyFSwg6Sp4GbCr-AECwPOtFpQRVHQYhapukdGQzSd-PYfA8zKREAEq4Ktu8uB7_V3RIuRZnrSfUu6sU7UJkTTmcea99Th8FAam4lG3_ejh1b3VSZsmx5aTAmvJdo/s1600/Snapshot_101.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="442" data-original-width="785" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7qaCESakKfYc_7LLNyFSwg6Sp4GbCr-AECwPOtFpQRVHQYhapukdGQzSd-PYfA8zKREAEq4Ktu8uB7_V3RIuRZnrSfUu6sU7UJkTTmcea99Th8FAam4lG3_ejh1b3VSZsmx5aTAmvJdo/s400/Snapshot_101.jpg" width="400" /></a>Moïse Katumbi n’a pas reçu l’autorisation de survol et d’atterrissage de son avion à l’aéroport de Luano  Lubumbashi (Haut Katanga). Dans une interview accordée à ACTUALITE.CD ce vendredi 3 Août 2018, il indique qu’il envisage de rentrer par la frontière via la frontière de Kasumbalesa en provenance de la Zambie.<br />
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“Dans 50′ je vais atterrir à Ndola (Zambie) et prendre la route Kasumbalesa en RDC. Je viens pour la paix dans mon pays et si je dois rester deux ans à la frontière, j’y resterai”, a dit Moïse à ACTUALITE.CD, Katumbi.<br />
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Le président de la plate-forme Ensemble affirme que “l’acharnement” du pouvoir contre sa personne ne peut le décourager. <br />
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“Tout le monde comprend maintenant que ce sont eux qui ont peur de ce qui je suis capable de faire pour la RDC. Ils disent que je ne pouvais pas rentrer et me  condamnent sur base des fausses accusations. Je suis en train de rentrer et je n’ai pas peur”, a-t-il insisté. <br />
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Ancien gouverneur de l’ex-province du Katanga, Moïse Katumbi a dénoncé la restriction des mouvements et quelques interpellations à Lubumbashi à l’occasion de son retour programmé pour ce vendredi.<br />
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Les autorités congolaise n’ont pas répondu à la demande de survol et atterrissage formulée par Moïse Katumbi. Kinshasa se dit non saisi.<br />
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La police nationale a érigé des barricades un peu partout dans la ville de Lubumbashi. Elle a en outre, dispersé à coup de gaz lacrymogène, des groupes des jeunes qui se dirigeaient vers l’aéroport de Luano.<br />
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Stanys Bujakera Tshiamala depuis Lubumbashi

Politique RDC: “S’il bloque la frontière de Kasumbalesa, j’y resterai pendant même deux ans” Katumbi

Moïse Katumbi n’a pas reçu l’autorisation de survol et d’atterrissage de son avion à l’aéroport de Luano Lubumbashi (Haut Katanga). Dans un...

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