ABBÉ SHOLE ET LAMBERT REDRESSENT JEANINE MABUNDA : FELIX TSHISEKEDI EST au-dessus de la mêlée ( VIDEO )

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JOSE DE L'UDPS PARLEMENT DEBOUT ZANDO DU 22/01/2020 : FELIX TSHISEKEDI CONFIRME SON AVION A ETE ABATTU . MIKE POMPEO VIENT DEBOULONNER KABILA ( VIDEO )

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YOKA SON 🔊 DU 22/01/2020 : FELIX TSHISEKEDI DONNE 48 H A JEANINE MABUNDA DE RETIRER SES PAROLES SUR LA DOSSOLUTION DU PARLEMENT ET MET EN GARDE JOSEPH KABILA ( VIDEO )

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Kin-Kiey : "Jeanine Mabunda joue-t-elle la Nancy Pelosi ? Sortirait-elle vivante d'un duel avec un président de la République ?"

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhazDPpVORgGEkx9gNk-5geSSIFZ598M_VV7vid0xn-Ys8Bz7sQLWVtHzzULRB4Thw_DlRyv6LUTtC5IMQbBIkAPm4GL-lSvMlWe2kVlwe_OcIv0OfJ5F_XcFY4WgWqAk9dQScGtFv_Qi9J/s1600/webmulumba_tryphon_fg_web-02-592x296-1538752668.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="296" data-original-width="592" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhazDPpVORgGEkx9gNk-5geSSIFZ598M_VV7vid0xn-Ys8Bz7sQLWVtHzzULRB4Thw_DlRyv6LUTtC5IMQbBIkAPm4GL-lSvMlWe2kVlwe_OcIv0OfJ5F_XcFY4WgWqAk9dQScGtFv_Qi9J/s400/webmulumba_tryphon_fg_web-02-592x296-1538752668.jpg" width="400" /></a></div> Le professeur et acteur politique Congolais Tryphon Kin-Kiey Mulumba a réagi aux propos tenus par la présidente de l'Assemblée Nationale, Jeanine Mabunda, sur la déclaration du chef de l'État à Londres en rapport avec la dissolution de la chambre basse du Parlement.<br /> <br /> L'ancien ministre des Relations avec le Parlement et 3ème personnalité de Cap pour le Changement, (CACH), se demande si Jeanine Mabunda pourrait survivre à un duel avec un président de la République.<br /> <br /> "Jeanine Mabunda joue-t-elle la Nancy Pelosi [Présidente de la Chambre des représentants des États-Unis ndlr] ? Speaker de Chambre, sortirait-elle vivante d'un duel avec un président de la République? Pourquoi ce tintamarre à chaque prise de parole publique de Félix Tshisekedi? Qui invoque le Droit face au pouvoir immense que confère la Constitution au président?", a indiqué Tryphon Kin-Kiey Mulumba ce mercredi 22 janvier 2020 à 7SUR7.CD.<br /> <br /> Répondant à une question de la presse mardi dernier, Jeanine Mabunda a déclaré que le débat sur la dissolution de l'Assemblée Nationale est indécent et accessoire. En outre, elle a signifié qu'il ne faut pas jeter les articles de la constitution en pâture.<br /> <br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/Gm8i0T3x3ds" width="640"></iframe><br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Depuis sa sortie médiatique, la présidente de l'Assemblée Nationale fait face à une vague de critiques et d'indignation des acteurs sociopolitiques de la République Démocratique du Congo.<br /> <br /> À l'instar des députés nationaux de CACH André Mbata et Éric Ngalula Ilunga, ainsi que de certaines structures qui soutiennent les actions du chef de l'État, notamment la Nouvelle Génération Tshisekedi.<br /> <br /> Jephté Kitsita

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Le professeur et acteur politique Congolais Tryphon Kin-Kiey Mulumba a réagi aux propos tenus par la présidente de l'Assemblée Nationa...

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PASTEUR GUILY DU 22/01/2020 CLASHE SUR JEANINE MABUNDA : C 'EST KABILA QUI T'ENVOI.FELIX TSHISEKEDI FAIT TREMBLER KINGAKATI ( VIDEO )

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MOISE DE L ' UDPS : C ' EST KABILA QUI A INTIMIDE JEANINE MABUNDA DE REPONDRE A FELIX TSHISEKEDI SUR LA DISSOLUTION DU PARLEMENT ( VIDEO )

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LA REPONSE DE FELIX TSHISEKEDI A MABUNDA SUR LA DISSOLUTION DU PARLEMENT ( VIDEO )

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MIYAKE DU 22/01/2020: LA BETISE DE JEANINE MABUNDA DEVOILE LE PLAN CACHEE DE KABILA CONTRE FELIX TSHISEKEDI ( VIDEO )

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DISSOLUTION DU PARLEMENT : ABBÉ SHOLE GIFLE JEANINE MABUNDA PAR LA LECTURE DE LA CONSTITUTION BIEN MAITRISEE PAR FELIX TSHISEKEDI ( VIDEO )

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Dissolution de l’Assemblée nationale : Tshisekedi couvert par la Constitution mais bloqué par l’accord CACH-FCC

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYpt3kMZ1aEODUjKLXRjDMHHirRYvlT-njgIqo5jklIYkyvlmfUjUel5Kuw9hM75NNiQpAR3cTVV29Ahtc8Hrr3PYVcuJF3AbSCbyrAOC49njgkwL46twSpd6Hbih2R2FnL2jKOcc_FY49/s1600/tshisekedi-constitution-800x445.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="445" data-original-width="800" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYpt3kMZ1aEODUjKLXRjDMHHirRYvlT-njgIqo5jklIYkyvlmfUjUel5Kuw9hM75NNiQpAR3cTVV29Ahtc8Hrr3PYVcuJF3AbSCbyrAOC49njgkwL46twSpd6Hbih2R2FnL2jKOcc_FY49/s400/tshisekedi-constitution-800x445.jpg" width="400" /></a>Dissolution de l’Assemblée nationale : encore un sujet qui déclenche des passions et a le mérite, tout au moins, d’ouvrir un débat public sur l’avenir de la coalition CCH-FCC au pouvoir depuis janvier 2019. L’origine de ce débat est à situer dans la petite phrase récemment prononcée à Londres par le président de la République, évoquant une éventuelle dissolution de l’Assemblée nationale en cas de crise institutionnelle.<br /> <br /> Que faudrait-il, en droit congolais, entendre par ’’dissolution’’ ? Quelles sont les conditions pour le faire ? Quelle est la procédure ? Toutes ces questions, et bien d’autres encore, Le Potentiel les pose à Me Merphy Pongo, avocat et chercheur en Droit constitutionnel, afin d’éclairer la lanterne des citoyens. Et, pourquoi pas, les aider à participer au débat citoyen, sans interférences des propagandistes partisans.<br /> <br /> Le Potentiel<br /> <br /> D’entrée de jeu, l’invité du Potentiel déclare qu’en RD Congo, le droit de dissoudre l’Assemblée nationale « est reconnu au président de la République par l’article 148 de la Constitution. Et ce, contrairement en Espagne, au Royaume-Uni et en Allemagne, où le régime parlementaire confie ce pouvoir au Premier ministre ».<br /> <br /> En auscultant le régime semi-présidentiel congolais, le président de la République est « non seulement garant de la nation mais aussi du bon fonctionnement régulier des institutions » (cf. article 69). À ce titre, il lui est reconnu « le pouvoir d’interventionnisme dans le fonctionnement régulier des institutions pour rétablir l’équilibre ».<br /> <br /> Menace contre les institutions<br /> <br /> Pour l’avocat, « lorsqu’il y a une crise persistante entre le gouvernement et le parlement et que le président estime que cette crise menace le fonctionnement régulier des institutions, il peut donc dissoudre l’Assemblée nationale ».<br /> <br /> Par crise persistante, Me Merphy Pongo entend « un désaccord total entre la majorité présidentielle conduite par le président de la République et la majorité parlementaire conduite par une autre personne. Ce désaccord crée un blocage qui risque de menacer le fonctionnement régulier des institutions ». Conclusion : « en tant que garant du fonctionnement régulier des institutions, le président est obligé d’intervenir ».<br /> <br /> La crise persistante entre l’Assemblée nationale et le gouvernement est aussi palpable lorsque « l’Assemblée nationale bloque l’application de la vision politique présidentielle traduite en programme de gouvernement, ou lorsque le président constate que l’Assemblée nationale constitue un blocage dans la mise en œuvre de sa vision politique ».<br /> <br /> Étant donc responsable devant le peuple et seul comptable du bilan de son mandat de 5 ans, le président, d’après le chercheur, « est dans l’obligation de dissoudre l’Assemblée nationale dans l’espoir d’obtenir une majorité parlementaire aux futures élections, une majorité qui sera acquise à sa vision ».<br /> <br /> Dans la pratique, Me Pongo soutient que la situation de crise persistante est constatée dans des pays où il y a eu alternance politique, car souvent, le président sortant s’offre toujours une majorité parlementaire avec l’espoir de garder son influence sur la gestion du pays.<br /> <br /> Élections anticipées<br /> <br /> À titre d’exemple, il cite le Sénégal où, « dès la première alternance démocratique, le président sortant Abdou Diouf s’était organisé pour rafler une majorité parlementaire ». Abdoulaye Wade, président élu, « s’est senti menacé par la présence d’une majorité parlementaire dirigée par son prédécesseur. Il a donc décidé de dissoudre le parlement et, grâce à cette stratégie, a créé sa propre majorité parlementaire à l’issue des élections anticipées ».<br /> <br /> Autre exemple : Ukraine. « Le président récemment élu s’est vu privé de la majorité parlementaire. En réaction, pour bien mener sa vision politique, il a décidé de dissoudre le parlement ».<br /> <br /> Comme on le voit, affirme l’avocat, « la dissolution de l’Assemblée nationale permet au président élu de s’affranchir de son prédécesseur en obtenant une majorité parlementaire qui est favorable à sa vision politique traduite en programme de gouvernement par le premier ministre ». Par cet « interventionnisme, le président assure donc la régularité des institutions et préserve l’État contre un blocage institutionnel ourdi par une majorité parlementaire hostile ».<br /> <br /> La RD Congo se trouve effectivement dans la situation du Sénégal 2001 ou de l’Ukraine 2019. « Dans un climat peu confortable aussi bien pour la majorité présidentielle que pour la majorité parlementaire, un blocage institutionnel est prévisible », prédit Merphy Pongo. Une thérapeutique : « l’unique possibilité pour le président actuel de réaliser sa vision politique c’est de dissoudre l’Assemblée nationale afin de prétendre obtenir une majorité parlementaire à l’issue des élections anticipées ».<br /> <br /> Consultation préalable<br /> <br /> Comment alors procéder pour dissoudre l’Assemblée nationale ? Le chercheur martèle : « L’article 148 de la Constitution instaure un régime de consultation préalable avant toute dissolution de l’Assemblée nationale. La Constitution oblige le président à consulter le Premier ministre, le président du Sénat et le président de l’Assemblée nationale avant de prendre la décision de dissoudre l’Assemblée nationale ».<br /> <br /> Il est bon de noter, indique l’avocat Pongo, qu’en droit, la consultation n’est nullement l’autorisation que le président doit obtenir des autorités précitées. « La constitution voudrait seulement que le président puisse obtenir l’avis de chacune d’elles. Par ailleurs, cet avis émis ne le lie nullement. Il peut ne pas le prendre en considération ».<br /> <br /> D’ailleurs, l’article 22 du Règlement intérieur du Sénat reconnaît au président du Sénat le pouvoir d’émettre un avis sur la dissolution de l’Assemblée nationale sollicitée par le président de la République. Pour l’interlocuteur du Potentiel, « cet avis peut être verbal ou carrément écrit. Le président peut donc solliciter l’avis à travers un écrit ou lors d’une réunion avec ces autorités. En plus, cette décision de dissolution de l’Assemblée nationale ne peut jamais faire l’objet de discussion au Conseil des ministres. Elle n’a pas non plus besoin du contreseing du Premier ministre. On peut donc dire qu’il s’agit d’un pouvoir discrétionnaire du président de la République ».<br /> <br /> Seul devant le peuple en 2023<br /> <br /> Y a-t-il des conditions pour dissoudre l’Assemblée nationale ? À cette question, Me Pongo précise : « Il existe des conditions de forme et de fond. Sur le plan de la forme, la première condition est que la dissolution ne peut intervenir qu’une année après l’installation effective du parlement. Ce qui est le cas aujourd’hui. La deuxième condition veut que le président soit tenu de consulter au préalable le Premier ministre et les Présidents de deux chambres du parlement pour obtenir leur avis consultatif et facultatif. »<br /> <br /> Quant à la condition de fond, il suffit de constater « l’existence d’une crise persistante entre l’Assemblée nationale et le gouvernement ». Ici, le chercheur insiste sur le vocable Gouvernement. « Il est à prendre au sens large, c’est-à-dire un Exécutif composé du Président et du Premier ministre ».<br /> <br /> Dans tous les cas, sur ce dossier qui rallume les passions, il revient au président d’assumer sa responsabilité et d’intérioriser l’évidence selon laquelle malgré la coalition CACH-FCC, il sera seul en 2023 devant le peuple pour rendre compte de son bilan de cinq ans.

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Dissolution de l’Assemblée nationale : encore un sujet qui déclenche des passions et a le mérite, tout au moins, d’ouvrir un débat public su...

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Mabunda brandit la « haute trahison », Olenghankoy appelle au « devoir de réserve »

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Contrairement à l’intervention de Henri-Thomas Lokondo, un des gros bras de l’Assemblée nationale, qui était pédagogique, dissuasive et non menaçante, Jeanine Mabunda, membre du FCC-PPRD et présidente de l’Assemblée nationale, a évoqué « la ratio legis » de l’article 148 de la Constitution pour énumérer les cas précis et les conditionnalités de la dissolution de la Chambre basse du Parlement. Elle a brandi la menace de l’exposition au cas de haute trahison pour quiconque méconnaitrait la loi fondamentale. La position de Jeanine Mabunda n’est pas appréciée par le président du CNSA. Joseph Olenghankoy conçoit très mal que les acteurs institutionnels s’évertuent à porter des critiques aux propos du chef de l’Etat. Il les appelle tous au devoir de réserve.<br /> <br /> Pitshou Mulumba<br /> <br /> La présidente de l’Assemblée nationale, Jeanine Mabunda, a organisé hier mardi 21 janvier à Sultani hôtel, à Kinshasa, une cérémonie d’échange des vœux avec la presse nationale et internationale, constituée en grande partie des journalistes qui couvrent les activités de la Chambre basse du Parlement en RDC.La cérémonie a permis à la speaker de l’Assemblée nationale de réagir aux récentes déclarations du chef de l’État depuis Londres, devant la diaspora rd-congolaise, surtout celles ayant trait à la possible de dissolution du Parlement, au cas où la majorité l’empêchait d’exécuter son programme de relance socioéconomique du pays.<br /> <br /> En des termes clairs, à la menace de dissolution de l’Assemblée nationale, la présidente de cette institution, Jeanine Mabunda, a opposé au président de la République la menace de destitution dans l’éventualité de la violation intentionnelle de la Constitution. Elle a, du coup, rappelé le dernier échange qu’elle a eu en compagnie de son collègue du Sénat avec le président de la République.<br /> <br /> « Le lundi 13 janvier, nous avons eu, comme le veulent les pratiques institutionnelles en RDC, un long entretien de 2h30 avec le président de la République… Et nous avons fait un tour d’horizon complet des sujets qui sont les points d’alerte, sur les sujets qui peuvent mettre les citoyens congolais mal à l’aise, sur les sujets qui peuvent diviser ou ne peuvent pas faciliter la cohésion nationale. Aussi bien la dissolution que les sujets sur les provinces, l’évaluation de certains textes de lois que les réformes institutionnelles. Ce fut un entretien vérité… S’agissant donc de ce sujet sur la dissolution, mon collègue du Sénat et moi-même, lui avons rappelé « la ratio legis » de l’article 148 de la Constitution. Il ne faut pas jeter les articles de la Constitution en pâture en des incompréhensions ou de malentendus. L’article 148 parle bien de la dissolution de l’Assemblée nationale, mais dans les cas précis. Il y a des conditionnalités. Il faut qu’il y ait une crise persistante entre le gouvernement et la Chambre basse du Parlement, ce qui, pour l’heure, n’est pas le cas… Par ailleurs, selon les prescrits de cet article, le président de la République est invité, dans le cas de cette crise, à consulter le Premier ministre, les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Faute de quoi, on serait dans une violation des textes et la violation des textes est régie par l’article 165 de la Constitution qui dit que toute personne qui méconnait notre loi fondamentale peut être exposée au cas de haute trahison pour violation intentionnelle de la Constitution. Je ne cite que des articles, mais je ne prends pas position », a-t-elle nuancé par ailleurs.<br /> <br /> Pour elle, ce débat actuellement est « indécent ». « Ou, c’est un débat accessoire et mineur par rapport à la douleur sociale que vivent nos frères et sœurs. Nos querelles politiques internes, intestines, stériles, elles doivent s’effacer devant l’essentiel. L’essentiel pour moi, c’est que nos frères et soeurs ont mal par rapport à Beni, par rapport au danger de balkanisation du Congo, par rapport à l’incertitude, la violence, la faim, l’insécurité dans laquelle vivent non seulement les civils à Beni, mais aussi notre armée qui fait un travail extraordinaire. Et cette armée ne fait pas ce travail extraordinaire que depuis maintenant. Ça fait 18 ans que nous avons le plus gros de nos troupes installées dans le Nord du Congo, ici particulièrement à Beni… », a-t-elle indiqué.<br /> <br /> S’agissant de l’avenir de la coalition CACH-FCC, la présidente de l’Assemblée nationale s’est montrée optimiste. Elle s’est exprimée en ces termes : « Il est important de dire que tout partenariat politique est un exercice délicat et difficile. Ça peut ressembler à un mariage, et dans un mariage, il y a des hauts, il y a des bas. La coalition est régie par un accord où chacun des partenaires a un espace de mouvement, d’actions, d’interactions avec l’autre partenaire, et que cet accord sous-tend l’évolution institutionnelle que nous observons à différents degrés au sein de la République. Je peux affirmer, en ma qualité de président de l’Assemblée nationale, qu’on ne peut pas désespérer sur ce qui a déjà été fait dans le cadre de cette coalition… ».<br /> <br /> « Rien de trop dans les propos de Tshisekedi », estime Olenghankoy<br /> <br /> D’une réaction à une autre, le président du Conseil national de suivi de l’accord et du processus électoral a brisé son silence. Joseph Olenghankoy s’est adressé, hier même à l’élite politique pour que chacun cerne et mesure ce qui est essentiel pour l’intérêt du pays.<br /> <br /> Ainsi, Joseph Olenghankoy conçoit très mal les critiques portées contre les propos du chef de l’Etat, du reste, garant de l’unité nationale.<br /> <br /> « Je crois que de nous tous, il n’y a personne qui a déjà assumé les fonctions de chef de l’Etat pour corriger un chef de l’Etat en exercice, hormis l’ancien président Joseph Kabila. Et nous avons la chance d’avoir un ancien président qui est encore en vie, et qui est consulté habituellement par l’actuel président de la République », a-t-il déclaré.<br /> <br /> Qu’est-ce qui a été de trop et qui n’a jamais été entendu dans les déclarations du chef de l’Etat à Londres ? Joseph Olenghankoy qui se pose la question trouve à lui-même la réponse : « Tout le monde devient juriste pour interpréter la pensée du chef de l’Etat. Et que fera la Cour constitutionnelle ? Les gens qui sont dans les institutions ne doivent pas ignorer qu’ils sont tenus au devoir de réserve pour critiquer celui qui exerce les plus hautes fonctions de l’Etat. C’est cela aussi l’éthique. C’est inimaginable que des députés provinciaux, députés nationaux et même certains animateurs des institutions se lancent, sans réserve, dans des critiques sur l’adresse du chef de l’Etat. C’est inimaginable ! »<br /> <br /> Et de poursuivre : « Nous devons privilégier la paix dans ce pays. Si personne ne sait plus mesurer ce qu’il doit dire et savoir à qui il s’adresse, nous serons dans la jungle ! Et ce n’est pas le souhait ».<br /> <br /> Concernant l’affaire de la population Banyamulenge, Joseph Olenghankoy s’étonne que la position claire du chef de l’Etat suscite encore des malentendus. « Le chef de l’Etat a été clair en démontrant que la plus grande richesse du pays, c’est notre diversité culturelle et ethnique. De nos frontières communes avec nos voisins, nous avons les mêmes peuples de part et d’autre. Et chaque peuple a tiré son origine de quelque part. Et quand le président de la République démontre ça, où est le mal ? », s’est-il interrogé en fin d’adresse.<br /> <br />

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Elim-Coupe du monde 2022: La RDC retrouve le Madagascar en groupe J

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Félix Kabange: « les propos du Chef de l’État à Londres mettent à mal la coalition FCC-CACH »

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Dissolution de l’Assemblée nationale: Mabunda répond à Tshisekedi et n’écarte pas des « poursuites pour haute trahison »

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Politique Dissolution de l’Assemblée nationale: Mabunda répond à Tshisekedi et n’écarte pas des « poursuites pour haute trahison »

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Georges Kapiamba à Jeanine Mabunda : » l’ordonnance portant dissolution de l’AN, est un acte administratif, seul le Conseil d’État est compétent pour en contrôler sa régularité »

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Politique Georges Kapiamba à Jeanine Mabunda : » l’ordonnance portant dissolution de l’AN, est un acte administratif, seul le Conseil d’État est compétent pour en contrôler sa régularité »

Georges Kapiamba, coordonnateur de l’association congolaise d’accès à la justice (ACAJ), est revenu sur les propos du speaker de l’Assemblée...

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HISTORIEN DE L'UDPS DU 22/01/2020:FELIX TSHISEKEDI NE SERA PAS LE 24 A KINSHASA POUR LA DISSOLUTION DU PARLEMENT ( VIDEO )

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Ewanga apporte son soutien à Tshisekedi au sujet de la nationalité congolaise des banyamulenge

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Politique Ewanga apporte son soutien à Tshisekedi au sujet de la nationalité congolaise des banyamulenge

Le président national du Front citoyen pour la république (FCR), Jean-Bertrand Ewanga, partage l'avis du chef de l'Etat sur la natio...

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E. Ramazani Shadary appelle les jeunes du PPRD à la vigilance face aux menaces de démentalement des institutions

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Politique E. Ramazani Shadary appelle les jeunes du PPRD à la vigilance face aux menaces de démentalement des institutions

Emmanuel Ramazani Shadary, Secrétaire Permanent du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a appelé mardi les jeunes ...

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Attaques contre F. Tshisekedi : J.Olenghankoy appelle l’élite à suivre l’attitude de Joseph Kabila

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNjcTkE9GI7W2FI1I0fgms09HcF43RLU5LZqa2pDJXQ9FIwpca59DpkL-TJOI-g3lyeyg7R59G4hcuYXrGQxgk-GspvZKsKcC36Jo5J1xUZv76_lzwGTLasigA5rUR4ewlv8AaRzFAGXm9/s1600/D1cWKVVX0AA0uTx.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNjcTkE9GI7W2FI1I0fgms09HcF43RLU5LZqa2pDJXQ9FIwpca59DpkL-TJOI-g3lyeyg7R59G4hcuYXrGQxgk-GspvZKsKcC36Jo5J1xUZv76_lzwGTLasigA5rUR4ewlv8AaRzFAGXm9/s400/D1cWKVVX0AA0uTx.jpg" width="400" /></a></div> Joseph Olenghankoy, président du CNSA a appelé, mardi 21 janvier, l’élite congolaise à imiter l’attitude de sagesse observée par Joseph Kabila Kabange, président honoraire vis-à-vis de son successeur, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en vue de préserver les acquis de la première alternance pacifique.<br /> <br /> " Nous devons profiter de la sagesse de Joseph Kabila qui est resté silencieux depuis son départ de la tête de l’État et qui, à chaque fois qu’il souhaite communiquer à son successeur, il choisit la manière et le lieu adequat pour cela ", a-t-il martelé.<br /> <br /> Et de renchérir, " pourtant Joseph Kabila est le seul congolais qui a le droit de reprocher Félix Tshisekedi puisqu’il a déjà exercé, bien avant lui, les fonctions de chef de l’Etat dont il a d’ailleurs l’expérience", a-t-il précisé d’un ton très ferme.<br /> <br /> Exacerbé par les diverses interprétations qui ont suivi le message du chef de l’Etat adressé aux congolais vivant en Grande-Bretagne, Joseph Olenghankoy a indiqué qu’en sa qualité du premier diplomate congolais, le président de la République détient toutes les prérogatives pour s’exprimer sur l’État de la nation partout il estime nécessaire.<br /> <br /> Sur le même chapitre, l’autorité morale de Fonus a mentionné que conformément à la convention de Vienne, le chef de l’État peut s’exprimer partout devant les congolais. Et cela, d’après lui, ne devrait pas être considéré comme l’étranger.<br /> <br /> S’agissant de Banyamulenge, Joseph Olenghankoy s’est dit sidéré de constater que certaines personnes ont vilipendé Fatshi pour avoir seulement déclaré que "la diversité culturelle de notre peuple est notre plus grande richesse".<br /> <br /> A cette occasion, il a rappelé qu’il y a des mêmes tribus au Rwanda et en RDC, en Zambie et en RDC, en Angola et en RDC, au Congo-Brazzaville et en RDC, bref, les mêmes peuples se retrouvent en RDC et dans les neuf pays limitrophes.<br /> <br /> Par ailleurs, Joseph Olenghankoy a demandé aux juristes de s’abstenir du débat sur la dissolution du parlement, car, d’après sa lecture, Félix Tshisekedi n’a clairement pas exprimé son intention de dissoudre l’Assemblée nationale.<br /> <br /> " Si problème d’interprétation de la constitution il y a, seule la Cour constitutionnelle est compétente pour interpréter, que les juristes arrêtent de se faire passer pour des savants dans les médias ", a-t-il avancé.<br /> <br /> Aux Congolais ayant des responsabilités au sein des institutions, le président du CNSA leur a rappelé l’obligation de réserve à laquelle ils doivent se soumettre.<br /> <br /> Aux peuples congolais en général, le président du CNSA a demandé de s’aligner derrière les institutions de la République et à ne pas suivre la voie de pyromanes.<br /> <br /> Sachez qu’en liminaire de son adresse, Joseph Olenghankoy a tenu à rappeler le contexte difficile d’où vient la RDC, pour en suite interpeller l’élite congolaise à privilegier la paix à tout prix.<br /> <br /> <br /> Ouragan Fm

Politique Attaques contre F. Tshisekedi : J.Olenghankoy appelle l’élite à suivre l’attitude de Joseph Kabila

Joseph Olenghankoy, président du CNSA a appelé, mardi 21 janvier, l’élite congolaise à imiter l’attitude de sagesse observée par Joseph Ka...

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André Mbata à Jeanine Mabunda: "le fait de se retrouver par hasard président de l'Assemblée nationale ou du Sénat ne fait pas de quelqu'un un constitutionnalist

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Politique André Mbata à Jeanine Mabunda: "le fait de se retrouver par hasard président de l'Assemblée nationale ou du Sénat ne fait pas de quelqu'un un constitutionnalist

Après la sortie médiatique du mardi 21 janvier 2020 de la présidente de l'Assemblée nationale, Jeanine Mabunda, qui répliquait au présid...

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Dissolution de l'Assemblée nationale : "Je pense qu'il y a eu suffisamment de prudence dans la communication du chef de l'État" (Lambert Mende)

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Politique Dissolution de l'Assemblée nationale : "Je pense qu'il y a eu suffisamment de prudence dans la communication du chef de l'État" (Lambert Mende)

Dans une intervention à la radio RFI ce mercredi 22 janvier 2020, Lambert Mende a soutenu que, "devant la diaspora congolaise à Londres...

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PATIENT MWANA AKOLI DU 22/01/2020 : FELIX TSHISEKEDI JOUE SA CARTE DIPLOMATIQUE POUR COINCER KABILA ET LES RWANDAIS ( VIDEO )

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« La dissolution du parlement pour le chef de l’Etat, n’est pas à l’ordre du jour » (Présidence)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMfJIJLj95BOBsRQ3yiS5robRUsHpzSKkrSmqUWzjjGj8xGKUYxQbXczmAdqqEiS-iERXcv4SN62LZ78ZlOfAJz63DSNCdk1ms4a0dhhwyod4S5paTUwx8gBjqx56SAqwDPIP9YkLs1Jkr/s1600/tshisekedi_felix_forum_national_decentralisation_19_000_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMfJIJLj95BOBsRQ3yiS5robRUsHpzSKkrSmqUWzjjGj8xGKUYxQbXczmAdqqEiS-iERXcv4SN62LZ78ZlOfAJz63DSNCdk1ms4a0dhhwyod4S5paTUwx8gBjqx56SAqwDPIP9YkLs1Jkr/s400/tshisekedi_felix_forum_national_decentralisation_19_000_jpg_640_350_1.jpeg" width="400" /></a>Dans une note expliquant le discours du chef de l’Etat devant la communauté congolaise de la Grande-Bretagne, la présidence de la république a élucidé les différents points de l’oral de Félix Tshisekedi qui ont suscité diverses interprétations, en particulier, sur la dissolution de l’Assemblée nationale et la coalition FCC-CACH.<br /> <br /> Sur le premier point, la présidence précise que la dissolution du parlement pour le chef de l’Etat n’est pas à l’ordre du jour contrairement à ceux que pense une certaine opinion.<br /> <br /> « La dissolution du parlement pour le chef de l’Etat, n’est pas à l’ordre du jour pour son agenda car il ne souhaiterait pas en le faisant, créer une crise au pays. Toutefois, a-t-il souligné, s’il est mis dans une situation où il n’arriverait pas à satisfaire le peuple qui l’a élu, il n’y aura pas d’autre choix », précise la note de l’équipe de communication de la présidence.<br /> <br /> Pour ce qui est la coalition FCC-CACH, la présidence souligne qu’en mettant en garde certains ministres qui s’opposent à ses actions, le chef de l’Etat « a conscientisé tout le monde, que ce soit les membres du front commun pour le Congo [FCC] que ceux du cap pour le changement [CACH] de travailler pour l’intérêt supérieur de la nation et non pour les familles politiques auxquelles nous appartenons ».<br /> <br /> Le chef de l’Etat avait, pour rappel, le dimanche dernier, déclaré devant la diaspora qu'il n'écarte pas l'option de dissoudre l’Assemblée nationale en cas de crise persistante avec son gouvernement avant de révéler que certains des ministres subissent des pressions pour s'opposer à ses actions.<br /> <br /> Des propos qui ont suscité diverses réactions au sein de la classe politique congolaise selon que l’on soit de front commun pour le Congo de Joseph Kabila ou du cap pour le changement.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Djodjo Vondi<br /> MEDIA CONGO PRESS

Politique « La dissolution du parlement pour le chef de l’Etat, n’est pas à l’ordre du jour » (Présidence)

Dans une note expliquant le discours du chef de l’Etat devant la communauté congolaise de la Grande-Bretagne, la présidence de la république...

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Atou Matubuana a remis 20.000 Usd à la communauté estudiantine qui sont au total 250

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdWdolhdM3geGz9aT-Axrzor5DYnBitsWNKlmXtXLfiaAsWxTJxEprquDCQvDbWzpH3b5fMEDD0xxqWGef07MbWwqMK79D8-PQJMXim9WCHEGSswUpqKTZdqnOcTjeX-VeKQffoE__RLzQ/s1600/82750219_1852183491582689_1762409357120634880_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="719" data-original-width="960" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdWdolhdM3geGz9aT-Axrzor5DYnBitsWNKlmXtXLfiaAsWxTJxEprquDCQvDbWzpH3b5fMEDD0xxqWGef07MbWwqMK79D8-PQJMXim9WCHEGSswUpqKTZdqnOcTjeX-VeKQffoE__RLzQ/s400/82750219_1852183491582689_1762409357120634880_n.jpg" width="400" /></a></div> <br /><br />Atou Matubuana: Son côté cœur à la communauté estudiantine Ne-Kongo consolide son leadership et pouvoir au Kongo-Central, où il a remis 20.000 Usd à la communauté estudiantine qui sont au total 250-Cependant Matusila et d’autres agitateurs anti-Atou n’ont que leurs yeux pour pleurer<br /><br />Atou Matubuana reste jusqu’à preuve du contraire le Gouv’ du Kongo Central et cela malgré les agitations de Anatole Matusila et quelques agitateurs Ne-Kongo qui veulent sans motivation la tête de Matubuana à la tête de la Province du Kongo.<br />Agitateurs? Bien sûr! Il y a ceux qui veulent le départ de Matubuana à la tête le faux opposant également faux Docteur Anatole Matusila qui selon certains indiscrétions n’a jamais opéré même un chien mais se réclamant Docteur encore qu’il faut se demander sur son cursus universitaire qui pose toujours problème dans l’opinion. Nonobstant ses agitations Matubuana demeure le seul Maître de jeu dans ce sale jeu de ping-pong.<br />Comment? Sans être un génie qu’à scruter les événements Atou Matubuana garde toujours le contrôle du Kongo. Preuve: Bien que Suspendu par une mesure conservatoire du VPM de l’intérieur Gilbert Kankonde le brave Atou avait participé au deuxième forum sur la décentralisation entant que Gouverneur du Kongo-Central. Atou bénéficie toujours du soutien de Toutes les sensibilités politiques et religieuses originaires du Kongo-Central notamment l’épouse de l’ex-President Olive Lembe qui a toujours manifesté son Amour envers Matubuana ajouter à cela le chef Spirituel de l’Eglise Kimbaguiste qui a été au premier rang pour plaider la cause de Atou auprès de FATSHI, alors suspendu dans l’imaginaire affaire «Maman Mimi », affaire montée dans des officines politiques afin de liquider politiquement Atou. Malgré cela Atou a bravé la vague.<br />Atou encore Maître de jeu! Celui qui avait reçu les membres du gouvernement central également le Président de la République lors du séminaire du gouvernement qui avait vécu à Zongo durant deux jours au Kongo-Central. C’est Atou s’était même affichait en amitié avec le Président de la République, qui avait repoussé certains détracteurs de Atou, lors de son petit vacance en Moanda en famille. Que dire encore? Rien d’autres. Atou est, reste et demeure le joker de FATSHI au Kongo-Central.<br />Comme-ci cela ne suffisait pas Atou a été à nouveau sollicité par la communauté estudiantine des Étudiants originaires du Kongo-Central déguerpi à l’UNIKIN. De toutes les sensibilités politiques Ne-Kongo qui ont été saisi par la communauté estudiantine de tout bord , Atou Matubuana a été le premier à servir. C’est à se demander pourquoi? A cause de sa casquette de Premier citoyen Ne-Kongo.<br />À cet effet: Atou a offert une enveloppe de 20.000 Usd à la communauté estudiantine Ne-Kongo pour leur prise en charge qui sont au total 250 en situation macabre. Et cela en présence de certains dignitaires Ne-Kongo à savoir Maman Miezi ancien secrétaire général adjoint du PPRD, Cesar Lubamba, ancien Ministre de l’Urbanisme et Makaya-Lezi un opérateur économique très réputé à Boma. Comme pour dire: Atou ne fait qu’élargir son champ pour consolider son leadership à la tête du Kongo-Central.<br /><br />YB

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Atou Matubuana: Son côté cœur à la communauté estudiantine Ne-Kongo consolide son leadership et pouvoir au Kongo-Central, où il a remis 20...

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Malaise CACH-FCC : Kabund boycotte la cérémonie d’échange de voeux organisée par Mabunda!

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw2laMkgCxgSr6qbWS306yJL2JlNmYiqmULvP7bRWHEai2Tbfdh29UnL4otLVX5r-3ZKb8oeBU4FvxLFpWVjeVIBAlKeIuzYSTiZcOf4hyphenhyphenQg8FrGdwFS4wyUvF4w7bHWg6SiiVOdakREdz/s1600/Mabunda_Kabund_assembl%25C3%25A9_nationale_rdcongo-768x408.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="408" data-original-width="768" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw2laMkgCxgSr6qbWS306yJL2JlNmYiqmULvP7bRWHEai2Tbfdh29UnL4otLVX5r-3ZKb8oeBU4FvxLFpWVjeVIBAlKeIuzYSTiZcOf4hyphenhyphenQg8FrGdwFS4wyUvF4w7bHWg6SiiVOdakREdz/s400/Mabunda_Kabund_assembl%25C3%25A9_nationale_rdcongo-768x408.jpg" width="400" /></a></div> <br />Le premier vice-président de l’assemblée nationale Jean Marc Kabund était l’un de grands absents à la cérémonie d’échange de voeux organisée le lundi 20 janvier 2020 entre les membres du bureau et le personnel administratif de la chambre basse du Parlement.<br /><br />Selon certaines sources proches de l’hémicycle et qui ont requis l’anonymat, celui qui est également le président a.i de l’UDPS a voulu marquer sa désapprobation du fait qu’on lui aurait retirer certaines de ses attributions à l’assemblée nationale au profit du deuxième vice-président.<br /><br />Preuve pour certains analystes, qu’ il n’y a pas que dans le gouvernement que la coalition FCC-CACH montre des signes des fissures.<br /><br /><br /><br /><br />Certains collaborateurs de Jean-Marc Kabund comme la plupart des proches du président de la République, n’hésitent d’ailleurs pas à soutenir les menaces récentes de Félix Tshisekedi de dissoudre le Parlement si leurs alliés continuer de lui mettre les bâtons dans les roues.<br /><br />Pour l’instant, le bureau de l’assemblée nationale ne dit rien sur cette situation peut être considère-t-il que les absences à répétition du premier vice-président de l’assemblée nationale seraient consécutives à un agenda qui ne lui permet pas. Et de son côté, Jean-Marc Kabund réputé pourtant pour son franc parler ne s’est pas encore prononcé officiellement sur la question.<br />La prochaine session ordinaire de mars sera peut être une occasion de se rendre compte si l’harmonie règne toujours au sein du bureau de l’assemblée comme à ses débuts, c’est-à-dire une année après l’installation du premier bureau de l’assemblée nationale au lendemain de la première alternance connue à la tête de République Démocratique du Congo.

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Le premier vice-président de l’assemblée nationale Jean Marc Kabund était l’un de grands absents à la cérémonie d’échange de voeux organis...

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