BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Après la chute du M23 : Elections 2014-2016, la CENI et la Monusco en mission d’évaluation au Nord-Kivu !

November 13, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKLw_iVuraAm2F7PDplKf8XEofxYnZj17BP66zQbwSnqDFV0Z6Q1Z_ZK0B4QxPd-lZF0dLPNdwXCO0r1BiJ4KMy7tvzwvI8_Iy_aeNNDf78WjkB8Kzs15zDMFykfQi8PDPUoKhxi2gJH0/s1600/MONUSCO.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="231" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKLw_iVuraAm2F7PDplKf8XEofxYnZj17BP66zQbwSnqDFV0Z6Q1Z_ZK0B4QxPd-lZF0dLPNdwXCO0r1BiJ4KMy7tvzwvI8_Iy_aeNNDf78WjkB8Kzs15zDMFykfQi8PDPUoKhxi2gJH0/s400/MONUSCO.JPG" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">C’est une  première descente, après la chute du M23. La CENI et la Monusco ont, en effet, étaient dans le Rutshuru ainsi que dans le territoire de Nyiragongo. Motif ? Evaluer la situation et apprécier la possibilité de la reprise des activités, après tous les dégâts collatéraux enregistrés, depuis l’occupation de cette partie de la Province du Nord-Kivu par les rebelles du M23. Des dépôts vidés de leurs contenus, avec de la paperasse éparpillée, ont été visités par cette double délégation dont le constat a été, au fait, saumâtre. Lors du point de presse hebdomadaire de ce mercredi 13 novembre, la Monusco affirme avoir rendu possible la réalisation de cette mission qui s’inscrit dans la dynamique de ses efforts visant, à la fois, la pacification, la restauration de l’autorité de l’Etat et l’aide humanitaire. Le Pnud, quant à lui, est en action, dans la Province Orientale. Concrètement, ses délégués  participent  à la première table ronde entre bailleurs de fonds, opérateurs privés et publics, depuis l’avènement de Jean Bamanisa, à la tête de cette Province appelée autrefois  ‘’martyre’’. A l’Unesco, la  conférence générale de l’UNESCO qui se tient à Paris a élu,  le mardi 12 novembre 2013, Irina Bokova, pour un deuxième mandat de quatre ans comme Directrice générale de l’Organisation, par 160 voix sur 174 suffrages exprimés. Elle avait été proposée à ce poste par le Conseil exécutif de l’Organisation,  le 4 octobre. Plus loin, dans le compte rendu, ci-après,  20 experts de FAO mettent carrément  en place une stratégie viable,  pour conserver la biodiversité et la fonction de l’écosystème forestier dans le bassin du Congo.  Une vingtaine de participants constitués essentiellement des chercheurs, d’experts et consultants viennent de clôturer à Kinshasa, un atelier de 4 jours sur la « Gestion durable du secteur de la faune sauvage et de la viande de brousse en Afrique centrale ». D’autres détails sur la situation militaire dans des zones agitées    sont également livrés, dans ce même verbatim de la Monusco. </span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u><span style="color: blue;">Conférence hebdomadaire de la Monusco, à Kinshasa </span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u><span style="color: blue;">Appui au processus électoral</span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;"><strong>Dans la province du Nord-Kivu, notamment,  dans le territoire de Rutshuru, le Secrétariat Exécutif Provincial de CENI et la Section Electorale de la Monusco  ont effectué,  le mercredi 6 novembre 2013, une mission d’évaluation à l’Antenne de la CENI jadis pillée  par les rebelles du M23. </strong>L’objet de la mission était d’établir un état des lieux en vue de proposer à la hiérarchie la réouverture de l’Antenne de la CENI/Rutshuru, après la reprise de ce territoire par les FARDC. Les agents de l’Antenne CENI/Rutshuru ont fait partie de cette délégation dont le déplacement a été rendu possible par la MONUSCO. Dans le territoire de Nyirangongo, les agents de l’Antenne poursuivent la recherche des fiches d’identification des électeurs dans la paperasse éparpillée à l’entrepôt, après le pillage enregistré lors de l’occupation de ce territoire par les rebelles du M23.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u><span style="color: blue;">Activités de l’Equipe-pays</span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Développement PNUD : La Province Orientale veut reprendre sa place comme pôle de développement socio-économique de référence La Province Orientale organise sa première Table ronde entre bailleurs de fonds, opérateurs privés et publics. Avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), la collaboration de l’UNICEF et de très nombreux partenaires, le Gouvernement provincial veut transformer cette province en pôle de développement socio-économique de référence.</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Kisangani, les 13, 14 et 15 novembre 2013 : Plus de 200 participants prennent part à cette Table ronde qui constitue une innovation à l’échelon de la Province et du pays. Partenaires au développement, institutions nationales et provinciales, Société civile, secteur privé, Programme des Nations Unies pour le développement, et d’autres partenaires, discuteront ensemble des thèmes suivants : la gouvernance économique et le climat des affaires ; l’agriculture et le développement rural ; les infrastructures de transport et d’énergie ; les secteurs sociaux, éducation et santé ; les mines et le tourisme. Une attention particulière sera portée aux questions de stabilisation politico-économique, de consolidation de la paix et du Genre. A l’issue de cette Table ronde, une cartographie des interventions des bailleurs et opérateurs économiques sera établie, une feuille de route validée et un comité de suivi-évaluation installé ; ceci en conformité avec le DSCRP national (Document de Stratégie de Croissance pour la Réduction de la Pauvreté) traduit au niveau provincial an plan quinquennal de croissance et de l’emploi et en Programme d’Actions Prioritaires (PAP). Cette <strong>Table ronde de Kisangani </strong>est une <strong>innovation dans le pays</strong>. Sa réussite et les engagements concrets qui en sortiront, encourageront certainement les autres provinces à s’inspirer de cette méthode de concertation pour, à leur tour, inciter les investisseurs et opérateurs à participer au plan de réforme et de relance économique, qui aura, à terme, <strong>un impact au niveau national</strong>.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u><span style="color: blue;">UNMACC </span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;"><strong>Suite aux récents conflits armés observés entre les FARDC et le M23 dans le Nord-Kivu, entre le 25 octobre et le 6 novembre, UNMACC a conduit plusieurs évaluations sur la contamination par engins non explosés (UXO) à Tshanzu, Runyonyi, Rutshuru et Nyiragongo. Ces enquêtes ont révélé une contamination très importante par résidus explosifs de guerre et munitions abandonnées dans ces régions. Le 5 novembre, les FARDC ont annoncé avoir saisi environ 300 tonnes d’armes et de munitions dans la zone de Tshanzu qui servait de base au M23. </strong>Dans un communiqué publié le 8 novembre, OCHA s’est récemment inquiété des dangers que représente la présence massive de ces UXO et munitions abandonnées pour les populations déplacées et pour l’accès des organisations humanitaires à ces zones affectées par le conflit. UNMACC a déployé en urgence deux équipes spécialisées dans la destruction des UXO pour entreprendre des opérations de neutralisation et de nettoyage visant à prévenir les accidents dans la population civile. Avec l’aide de ses partenaires nationaux et de Radio Okapi, UNMACC a renforcé ses campagnes de sensibilisation dans le Nord-Kivu sur les dangers que représentent les résidus explosifs de guerre afin d’encourager les populations locales à adopter des comportements responsables et d’éviter les accidents.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u><span style="color: blue;">UNESCO</span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">La Conférence générale de l’UNESCO qui se tient à Paris a élu,  le mardi 12 novembre 2013, Irina Bokova, pour un deuxième mandat de quatre ans comme Directrice générale de l’Organisation, par 160 voix sur 174 suffrages exprimés. Elle avait été proposée à ce poste par le Conseil exécutif de l’Organisation le 4 octobre.</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Née le 12 juillet 1952 à Sofia (Bulgarie), Irina Bokova, première femme à occuper ce poste, a été élue pour la première fois Directrice générale de l’UNESCO le 15 novembre 2009. Son premier mandat a été marqué par une réforme majeure de l’UNESCO visant à rendre l’Organisation plus efficace et plus pertinente face aux défis qui se posent à la paix et au développement aujourd’hui, dans un monde de diversité qui est de plus en plus interdépendant. Au cours des quatre années passées, Irina Bokova a orienté les programmes de l’UNESCO en fonction de deux objectifs principaux : forger une culture de paix et promouvoir le développement durable, et de deux priorités mondiales : l’Afrique et l’égalité des genres. « Les droits de l’homme et la dignité humaine sont notre horizon pour toutes les actions de l’UNESCO et doivent rester le maître mot de la paix pérenne et du développement durable que nous nous employons à construire –plus que jamais, l’unité doit nous guider pour bâtir l’avenir que nous voulons pour tous, un avenir plus équitable, plus juste et un avenir pacifique »…tels ont été les premiers propos tenus par la Directrice Générale de l’UNESCO après sa réélection.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u><span style="color: blue;">FAO</span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;"><strong>Vingt experts mettent en place une stratégie viable pour conserver la biodiversité et la fonction de l’écosystème forestier dans le bassin du Congo Une vingtaine de participants constitués essentiellement des chercheurs, d’experts et consultants viennent de clôturer à Kinshasa, un atelier de 4 jours sur la « Gestion durable du secteur de la faune sauvage et de la viande de brousse en Afrique centrale ». </strong>Du 5 au 8 novembre 2013, ces participants venus du Gabon, du Congo, de la République Centrafricaine, de l’Italie et de la RD Congo se sont accordés avec les partenaires de cofinancement sur les méthodes et les outils à appliquer sur terrain. Cet appui des partenaires consiste à donner leur soutien au processus d’établissement des structures communautaires et des aires de chasse sous un régime de gestion communautaire, des systèmes financiers viables, et l’établissement des systèmes participatifs et scientifiques, des inventaires de base et des inventaires écologiques. Les résultats issus de cet atelier technique avec les partenaires seront utilisés dans le processus de développement de la gestion des connaissances.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u><span style="color: blue;">Situation militaire</span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">L’environnement sécuritaire dans les régions situées <strong>à l’Ouest de la République Démocratique du Congo</strong>, est demeuré stable durant la semaine écoulée, notamment <strong>à Kinshasa </strong>et dans les deux provinces <strong>du Kasaï</strong>.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;"><strong>A l’Equateur</strong>, la Brigade de l’Ouest de la Force de la MONUSCO continue de soutenir les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) engagées dans l’opération <strong>« Western Thrust » (Attaque à l’Ouest)</strong>. Des patrouilles conjointes et des missions à caractère humanitaire sont menées dans les différentes localités de cette province dans le but de dissuader les activités des groupes armés, combattre la résurgence de l’insécurité, assister et protéger les populations civiles. <strong>En Province Orientale</strong>, la poursuite des trois (03) opérations conjointes dénommées <strong>« Rudia II » (Retour II)</strong>, <strong>« Chuma Ngumi » (Poing d’acier) </strong>et <strong>« Bienvenue à la Paix »</strong>, initiées dans les districts des Haut et Bas-Uélé par la Force de la MONUSCO et les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), favorise l’instauration d’un climat sécuritaire apaisé dans cette partie du pays. En effet, l’armée congolaise et la Force onusienne ont lancé l’opération conjointe <strong>« Rudia II » (Retour II)</strong>depuis le 27 avril 2009, dans les districts des Haut et Bas-Uélé, dans le but d’assurer la protection des populations civiles contre les menaces récurrentes des éléments de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) et de neutraliser ce groupe armé. Dans les districts cités supra, notamment dans la zone de responsabilité du bataillon Marocain de la Brigade d’Ituri de la Force de la MONUSCO ; a été initiée le 5 mai 2013 l’opération <strong>« Chuma Ngumi » (Poing d’acier)</strong>, dont l’objectif principal est de traquer et neutraliser d’autres éléments de la LRA, dont les activités négatives ont été rapportées dans des régions identifiées. Dans le cadre des activités civilo-militaires et de fraternisation avec les populations locales, l’équipe médicale du bataillon Marocain de la MONUSCO a organisé à cet effet, le 7 novembre 2013, au village Linafoko, situé à 4 kilomètres au Nord de l’aéroport de Dungu, une campagne médicale spéciale au cours de laquelle plusieurs patients du village précité et des localités avoisinantes, ont reçu à titre gracieux des traitements et médicaments pour différentes pathologies. Les Forces onusienne et congolaise ont par ailleurs planifié et lancé dans les deux districts susmentionnés, l’opération conjointe dénommée <strong>« Bienvenue à la Paix »</strong>, afin de sensibiliser les éléments de la LRA encore actifs et les inciter à la reddition volontaire auprès de la Section DDRRR de la MONUSCO.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">A cet effet, des Casques bleus basés au poste opérationnel onusien de Bangadi ont escorté en toute sécurité à partir de cette localité jusqu’à Napopo, les Observateurs Militaires de la Force de la MONUSCO déployés en mission de sensibilisation des éléments résiduels de la LRA. Par ailleurs, les soldats de la paix de la Force de la MONUSCO déployés dans cette province sont également impliqués dans les opérations d’escorte ou de protection des agences humanitaires et des éléments du génie des contingents de Casques bleus déployés dans cette partie du pays.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">C’est ainsi que durant la semaine écoulée, les Casques bleus basés aux postes opérationnels de Dungu et Faradje, ont assuré la protection des éléments du génie du contingent Indonésien engagés dans la réhabilitation de l’axe routier Dungu-Ngilima, mais également du pont Moke. Le 8 novembre 2013, les populations locales de Dungu et des zones environnantes ont exprimé, au cours d’une marche pacifique organisée à Dungu-centre, leur joie et leur satisfaction suite à la victoire des FARDC sur le M23, soutenues et appuyées par la Force de la MONUSCO. <strong>En Ituri</strong>, la situation sécuritaire jugée relativement stable la semaine dernière dans les régions situées au Nord et Nord-est de ce district, reste toutefois imprévisible. Elle demeure volatile dans sa partie méridionale, notamment au Sud du territoire d’Irumu, où du 5 au 8 novembre 2013, des combats sporadiques ont été rapportés dans certaines régions entre les troupes congolaises et les miliciens du Front de Résistance Patriotique de l’Ituri (FRPI). L’armée gouvernementale a néanmoins poursuivi ses opérations de nettoyage au Sud-est d’Aveba, et conservé le contrôle des localités situées au Sud d’Irumu. A cet effet, la Force de la MONUSCO a mis tous ses postes opérationnels déployés dans ce secteur en alerte maximale, dans le but de dissuader toute exaction des miliciens du FRPI contre les populations civiles et d’assurer également leur protection. Le 1er bataillon Bangladais de la Force de la MONUSCO apporte de manière soutenue, tout le soutien nécessaire aux militaires congolais engagés dans ces opérations. Les accrochages entre les FARDC et les éléments du FRPI provoquent régulièrement le déplacement des populations dans ce territoire. La MONUSCO, par le biais du 1er bataillon du contingent Bangladais assure une surveillance étroite des conditions de vie des personnes déplacées, tout en facilitant leur accès à l’assistance humanitaire des Organisations Non Gouvernementales (ONG) basées dans cette région. La Force onusienne mène également des patrouilles intensives dans les régions à forte concentration de déplacés, afin de dissuader toute activité négative des groupes armés contre eux et d’assurer leur protection. Toutefois, depuis le 9 novembre 2013, une accalmie relative est observée dans les régions se trouvant au Sud du territoire d’Irumu, où les troupes gouvernementales ont réussi à repousser avec succès, les insurgés du FRPI au-delà des zones situées dans la partie orientale d’Aveba, notamment dans la jungle autour d’Isura et Muhani. Par ailleurs, les opérations conjointes dénommées <strong>« Iron Stone » (Pierre d’acier)</strong>, <strong>« Eagle claw » (les serres de l’aigle) </strong>et <strong>« Tiger Punch » (Coup de patte du Tigre) </strong>initiées dans ce district par les Forces onusienne et congolaise le 20 octobre 2007, le 30 avril et le 23 juillet 2013 se poursuivent normalement. Et ce, conformément aux objectifs de neutraliser les activités des miliciens du FRPI actifs dans la collectivité de Walendu Bindi, faciliter le redéploiement des troupes gouvernementales dans les régions situées au Sud du territoire d’Irumu, d’y étendre l’autorité de l’Etat, ainsi que de mettre un terme aux activités négatives des éléments armés présents dans le territoire d’Aru.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Tous les postes opérationnels des bataillons Marocain et Bangladais déployés dans cette partie du pays mènent ainsi de jour comme de nuit, des patrouilles motorisées et à pied dans leurs zones de responsabilité ; dans le but d’interdire toute activité négative contre les populations locales. D’autres patrouilles intensives sont régulièrement conduites par les Casques bleus de la MONUSCO à Bunia et dans les régions environnantes, pour dominer le terrain dans les zones susceptibles d’abriter des forces négatives. Le 10 novembre 2013, plusieurs éléments du groupe armé ‘’ALPC’’ ont été blessés au cours de l’attaque lancée contre les positions des FARDC au village Efface, situé dans la région d’Abba. Deux (02) armes AK-47, trente-huit (38) cartouches de 7.62 mm, un (01) mortier et un (01) obus de 60 mm ont également été récupérés. La situation sécuritaire <strong>au Nord-Kivu </strong>s’est sensiblement améliorée et demeure sous le contrôle des troupes onusienne et congolaise. En effet, la capitulation du M23 et l’interruption officielle de ses activités militaires, au lendemain de sa défaite à Tshanzu et Runyoni, ont marqué une victoire majeure des FARDC et permis par conséquent la restauration de l’autorité de l’état dans tout le territoire de Rutshuru. La Brigade de la Force de la MONUSCO déployée dans cette province poursuit avec détermination la conduite de l’opération unilatérale dénommée <strong>« Blue Eagle » (Aigle bleu) </strong>; dans le but de dominer le terrain et de dissuader toute activité des groupes armés encore actifs. Des patrouilles aériennes ont été menées dans le cadre de cette opération au-dessus des régions adjacentes à la ville de Goma; dans le but de dissuader toute menace des groupes armés contre cette agglomération. La Force onusienne a mené à cet effet plusieurs patrouilles aériennes, dans le but d’évaluer la situation sécuritaire au-dessus des axes Goma-Rwindi-Kirumba-Kamandi Jite-Ndwali-Tchanika-Kamandi Lake-Talihasud-Kanzanza-Luniyasenge-Bainze-Bwatsinghe-Vitimba-Bukumerwa-Bingi-Mohanga-Buniyatenge-Kirumba-Loufu-Miriki-Kimaka-Kateko-Buleosa-Kilambo-Kawa-Kisone-Busakala-Lusamambo-Loufu-Rwindi-Goma, et Goma-Kibati-Kibumba-Volcan Mikeno-Kabare-Karisimbi-Bikenge-Tshanzu-Goma. Par ailleurs, la Force de la MONUSCO a initié à partir du 7 novembre 2013, des patrouilles motorisées robustes dans les régions périphériques de la ville de Goma, au village Karete (9 kilomètres d’Otobora), à Bunagana (26 kilomètres au Sud-est de Kiwanja), Nyaruhange (13 kilomètres au Nord de Nyamilima), Meghobwe (6 kilomètres au Nord-ouest de Kirumba), Lusoa (17 kilomètres au Sud-ouest de Kanyabayonga), Boikene (9 kilomètres au Sud de Mavivi) et Mulo (5 kilomètres au Nord de Lubero), dans le but d’évaluer la situation sécuritaire, de dominer le terrain par une démonstration de force, d’interdire toute exaction de tous les groupes armés actifs contre les populations civiles et d’assurer leur protection.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Dans la même période, les troupes motorisées déployées aux postes opérationnels de la Force de la MONUSCO, notamment ceux de l’Usine de thé (Goma), Otobora, Kiwanja, Nyabiondo, Kirumba, Kanyabayonga, Mavivi, Lubero, Manguredjipa, Pinga et Kitchanga, ont initié la conduite sur les axes</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">principaux situés dans les zones de leur responsabilité, des opérations spéciales unilatérales de démonstration de force dénommées <strong>« Goma Usalama » (La paix à Goma)</strong>, <strong>« Rutshuru Amani » (La paix à Rutshuru)</strong>, <strong>« Lushali »</strong>, <strong>« Blue gaze » (Regard bleu)</strong>, <strong>« Amani Mbau » (La paix à Mbau) </strong>et <strong>« Usalama Pinga » (La paix à Pinga) </strong>; dans le but de dominer le terrain, consolider les acquis de la débâcle du M23, interdire les activités des groupes armés, rassurer et protéger les populations civiles. Le 8 novembre 2013, des briefings exhaustifs sur la situation sécuritaire à Pinga et les régions environnantes ont été livrés au Représentant Spécial du Secrétaire Général et Chef de la MONUSCO, Monsieur Martin Kobler, ainsi qu’au Commandant de la Force de la MONUSCO, le Lieutenant-Général Carlos Alberto Dos Santos Cruz, au cours de leur visite de travail dans la localité précitée et au village Nkasa. Les 8 et 9 novembre 2013, les unités de réaction rapide de la Force de la MONUSCO déployées au poste opérationnel de Nyabiondo, ont assuré la sécurité de six cents (600) individus, ayant pris part au marché hebdomadaire de la localité précitée. Du 5 novembre 2013 à ce jour, au total cinquante et un (51) éléments en provenance de différents groupes armés, se sont rendus aux troupes onusiennes, congolaises et aux différents bureaux de la Section DDRRR déployés dans la province, notamment à Katale, Mpati, Walikale, Kanyabayonga, Mwalika, Kirumba, Loufu, Kiwanja, Nyanzale, Kalembe et Sake. Il s’agit de <strong>huit (08) des Forces Démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR) </strong>[avec six (06) armes de type ‘’AK’’ et des munitions], <strong>quatre (04) du M23 </strong>[avec une (01) arme AK-56, une (01) arme AK-47 et une importante quantité de munitions], <strong>un (01) du Front de Défense des Droits Humains (FDDH) </strong>[avec une (01) arme AK-47], <strong>un (01) du groupe Mayi-Mayi Simba</strong>[avec une (01) arme AK-56, deux (02) grenades et des munitions], <strong>huit (08) du groupe Mayi-Mayi ‘’PRM’’ </strong>[avec quatre (04) armes AK-47 et des munitions], <strong>quatorze (14) du groupe Mayi-Mayi Mandufe </strong>[avec deux (02) armes AK-47], <strong>neuf (09) de l’Union des Patriotes Congolais pour la Paix (UPCP) </strong>[avec huit (08) armes AK-47], <strong>cinq (05) de l’Alliance des Patriotes pour un Congo Libre et Souverain (APCLS) </strong>[avec trois (03) armes AK-47], et <strong>un (01) du groupe Mayi-Mayi Kifuafua </strong>[avec une (01) grenade]. <strong>Au Sud-Kivu</strong>, la situation sécuritaire est demeurée sous le contrôle des Forces onusienne et congolaise. Les Casques bleus ont poursuivi dans cette province leurs huit (08) opérations unilatérales pour renforcer la protection des populations civiles. Il s’agit des opérations: <strong>« Kimbilio Salama III » (Safe refuge III</strong>, <strong>Refuge sûr III)</strong>, <strong>« Safeguard III » (Protection III)</strong>, <strong>« Mkesha II »</strong>, <strong>« Outreach » (Longue portée)</strong>, <strong>« Amani ya kudumu II » (La paix durable II)</strong>, <strong>« Safe water III » (Eaux sûres III)</strong>, <strong>« Safari majini » (Navigation sûre)</strong>, et <strong>« South sailboard » (Navigation vers le Sud) </strong>; menées dans le but de combler le vide sécuritaire créé par le redéploiement des unités FARDC au Nord-Kivu, mais également protéger les populations civiles. Par ailleurs, depuis le 18 août 2013, l’opération conjointe dénommée <strong>« Kamilisha Usalama » (Renforcer la paix) </strong>a été initiée par la Force onusienne et l’armée congolaise dans le territoire d’Uvira, dans le but de neutraliser les groupes armés et protéger les populations civiles.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Le 10 novembre 2013, les 1er, 2ème, 3ème et 4ème bataillons Pakistanais de la Force de la MONUSCO agissant dans le cadre des opérations <strong>« Kamilisha Usalama » (Renforcer la paix)</strong>, <strong>« Safeguard III » (Protection III)</strong>, <strong>« Mkesha II » </strong>et <strong>« Amani ya kudumu II » (La paix durable II)</strong>, ont déployé des postes opérationnels à Luvungi (16 kilomètres au Sud de Kamanyola), Fumia (10 kilomètres au Sud-est de Bunyakiri), Bulera (10 kilomètres au Nord-ouest de Kalehe), Kawazi (12 kilomètres au Nord d’Uvira), Kabeba (12 kilomètres à l’Ouest de Mwenga) et Nyalumbwe (12 kilomètres au Nord-est de Shabunda), dans le but de combler le vide sécuritaire créé par le redéploiement des troupes des FARDC au Nord-Kivu, évaluer la situation sécuritaire, interdire les activités des groupes armés, rassurer et protéger les populations civiles. Le même jour, les militaires onusiens de la compagnie Uruguayenne de Patrouille Navale (URPAC) ont mené, conformément aux objectifs de l’opération conjointe <strong>« Safari majini » (Navigation sûre)</strong>, des patrouilles de longue portée sur le lac Tanganyika, entre Kavimvira et le port de Kalundu, dans le but d’évaluer la situation sécuritaire, dissuader les activités négatives des groupes armés et rassurer les populations riveraines. Au chapitre des redditions dans cette province, les 7, 9 et 10 novembre 2013, trois (03) éléments du groupe Mayi-Mayi Sisawa, quatre (04) autres combattants Mayi-Mayi Rahiya Mutomboki de la faction ‘’John Mosumbu’’ et un (01) rebelle des FDLR, ont volontairement fait défection avec une (01) arme AK-47 pour se rendre aux troupes du 1010ème régiment des FARDC déployées à Shabunda-centre et au poste opérationnel de la Force de la MONUSCO de Bukavu. <strong>Au Katanga</strong>, la situation sécuritaire demeure toujours volatile et imprévisible dans les régions situées au Nord de la province à cause des activités des différents groupes Mayi-Mayi. Dans les régions situées au Centre, elle demeure incertaine compte tenu de l’augmentation des activités des Mayi-Mayi Gédéon et Bakata-Katanga, particulièrement dans les localités de Pweto, Manono, et Mitwaba. Le 5 novembre 2013, Ngoyi Lemwele, Commandant en second du groupe armé du chef rebelle Totché, s’est rendu sans arme à Manono, au comité de sécurité de cette localité. La situation sécuritaire <strong>dans le Secteur 2 </strong>est demeurée stable et sous contrôle. Enfin, la Force de la MONUSCO a mené <strong>1344 </strong>patrouilles armées, dont <strong>622 </strong>nocturnes, et fourni <strong>38 </strong>escortes, pendant que <strong>298 </strong>autres patrouilles ont été réalisées par les Observateurs Militaires.</span></div>

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Après la chute du M23 : Elections 2014-2016, la CENI et la Monusco en mission d’évaluation au Nord-Kivu !

C’est une première descente, après la chute du M23. La CENI et la Monusco ont, en effet, étaient dans le Rutshuru ainsi que dans le terr...

jED : Nord-Kivu, Un journaliste contraint de se refugier à Kinshasa à la suite des graves menaces de mort

November 13, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxn6M3hkTuxUzuEK55DadSvckPmBmYQ1VcWdvZumy7fSk6DQZ88ISbnl_uQYTQ-D4IpH2icZFmf0W6BY48RLS1GlIt3wOXVLZlFFoRw9v_m_uad5aNO-sIjs88h99OPP7Ah5mJ0USY_aI/s1600/eva.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxn6M3hkTuxUzuEK55DadSvckPmBmYQ1VcWdvZumy7fSk6DQZ88ISbnl_uQYTQ-D4IpH2icZFmf0W6BY48RLS1GlIt3wOXVLZlFFoRw9v_m_uad5aNO-sIjs88h99OPP7Ah5mJ0USY_aI/s400/eva.jpg" width="323" /></a></div>
<strong>Evariste Mahamba</strong>, journaliste à la <strong><em>Radio Communautaire Ushirika (RACOU)</em></strong>, émettant à Rutshuru, territoire jadis sous contrôle des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23), situé à 75 kms de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu (Est de la RDC), et correspondant de la Radio Okapi à Rutshuru, a été contraint de quitter Rutshuru pour Kinshasa, capitale de la RDC, suite aux menaces des rebelles du M23. Mahamba avait été longuement interpelé, lundi 11 mars 2013, par le service des renseignements du M23 qui l’accusait de collaborer avec d’autres mouvements armés opérant à l’Est de la RDC.<br />
Le journaliste avait été pris dans sa rédaction et conduit par deux éléments du service des renseignements du M23 à leur bureau où il était gardé pendant près de deux heures. Mahamba avait été soumis à un interrogatoire serré autour de ses relations avec les responsables des milices Maï Maï et de l’autre branche du M23 dirigée par M. Jean-Marie Runiga. Après cette audition, Mahamba avait été, par la suite, conduit à la résidence de l’administrateur du territoire qui lui avait intimé l’ordre de ne pas diffuser les nouvelles d’autres mouvements armés sans lui en faire part. Craignant pour sa vie, le journaliste avait quitté le territoire de Rutshuru pour s’installer momentanément à Kinshasa où il a passé près de sept mois avant de s’installer à Goma. <br />
JED avait condamné le contrôle de l’information par les responsables du mouvement rebelle M23 qui multipliaient sans cesse les méthodes pour imposer une censure contre les journalistes et les médias.<br />
JED, consciente de l’ampleur des violences commises à l’encontre des civils, s’était montrée inquiète pour la sécurité physique des professionnels des médias exerçant dans les territoires sous occupation.<br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />

Au tour de Kinshasa Justice la Nation jED : Nord-Kivu, Un journaliste contraint de se refugier à Kinshasa à la suite des graves menaces de mort

Evariste Mahamba , journaliste à la Radio Communautaire Ushirika (RACOU) , émettant à Rutshuru, territoire jadis sous contrôle des rebell...

CENI : prochain rendez-vous avec la CENI fixé au 9 décembre 2013

November 13, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3565uv0BO1N241vSHU_r_G8XMscRrl6HRtMigxjML4fdcNjQ12lXvGPR3fjcpbk67CCFwmklCQ_qxFIBzRi7d-GyHZbFEkyLdk8tTpicu0MbWr3zH8LcBdH-xBvCkaJ2a87rzVZHpcbc/s1600/malu.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3565uv0BO1N241vSHU_r_G8XMscRrl6HRtMigxjML4fdcNjQ12lXvGPR3fjcpbk67CCFwmklCQ_qxFIBzRi7d-GyHZbFEkyLdk8tTpicu0MbWr3zH8LcBdH-xBvCkaJ2a87rzVZHpcbc/s400/malu.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Forum des Partis politiques</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), M. l’Abbé Apollinaire Malumalu, accompagné des membres du bureau de la CENI, a présidé, le 8 novembre 2013, dans la salle des Spectacles du Palais du Peuple à Kinshasa, le cadre des concertations des Partis politiques. Selon les estimations, plus de deux cent cinquante partis politiques, sur les 449 reconnus légalement en République Démocratique du Congo (RDC), ont pris une part active aux échanges qui ont porté essentiellement sur la feuille de route du processus électoral 2013-2016. Ce forum intervient après celui tenu le 09 octobre 2013. Le prochain rendez-vous avec les Partis politiques a été fixé au 09 décembre 2013. Il portera sur l’examen du projet de protocole de mise en place du Comité de liaison entre la CENI et les Partis politiques, l’examen du code de bonne conduite et la communication de la liste des Partis politiques légalement reconnus en RDC.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Formations</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Du 5 au 8 novembre 2013, s’est tenue une formation organisée et animée par des experts de l’Union européenne pour la Société Civile, dont le thème était l’observation Électorale Citoyenne. Pendant quatre jours, les participants ont été formés sur les différentes techniques de l’observation électorale, sur le monitoring des médias, sur la conception d’une déclaration préliminaire et sa communication.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Activités du terrain</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Dans la province du le Bas Congo, la Section Electorale (SE) à travers son point focal Genre a assisté à un atelier de renforcement des capacités organisé par la coordination provinciale de CASPOF (Projet de renforcement des Capacités des Structures d’Encadrement et de Promotion du Secteur Privé et des Réseaux des Organisations Féminines de la Société Civile) en partenariat avec le Ministère provincial en charge du Genre, de la Famille et Enfant. Cette formation intitulée « la Gestion Axée sur le Résultat (GAR) » avait pour objectif de permettre aux participants de disposer de nouveaux outils pratiques pour mieux gérer les projets mais aussi d’acquérir les connaissances utiles sur l’approche « GAR » actuellement en vogue dans le monde du développement.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Dans la province du Kasaï Oriental, la SE a participé aux préparatifs de la mise en œuvre du projet de vulgarisation sur le Genre et le Développement financé par la SADC et organisé par l'UCOFEM. Cette activité de vulgarisation concerne trois (03) localités que sont  Mwene-Ditu (130km de Mbuji-Mayi), de Tshilenge (30km de Mbuji-Mayi) et Miabi (30km de Mbuji-Mayi). En collaboration avec le SEP/CENI, la SE mettra à profit ces rencontres pour échanger avec les participants sur l’état de lieux du processus électoral, ses enjeux et ses perspectives ainsi que le rôle que les femmes doivent jouer afin d’être plus représentées au sein des institutions issues des prochaines élections.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Dans la province du Maniema, la SE a apporté un appui logistique pour faciliter le déplacement des délégués du SEP-CENI/Maniema vers les territoires de Kailo et Pangi (Kalima) afin de sensibiliser les autorités politico-administratives, les partis politiques, les associations membres de la société civile, les associations féminines, les étudiants ainsi que les confessions religieuses sur la loi organique de la CENI et les prochaines échéances électorales.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Dans la province du Nord-Kivu, notamment dans le territoire de Rutshuru, le mercredi 06 novembre 2013, le SEP/CENI et la SE ont effectué une mission d’évaluation à l’Antenne de la CENI pillé par les rebelles du M23. L’objet de la mission était d’établir un état des lieux en vue de proposer à la hiérarchie la réouverture de l’Antenne de la CENI/Rutshuru après la reprise de ce territoire par les FARDC.  Les agents de l’Antenne CENI/Rutshuru ont fait partie de cette délégation dont le déplacement a été rendu possible par la MONUSCO.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Dans le territoire de Nyirangongo, les agents de l’Antenne poursuivent la recherche des fiches d’identification des électeurs (F01) dans la paperasse éparpillée à l’entrepôt après le pillage enregistré lors de l’occupation de ce territoire par les rebelles du M23.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Information générales</span></strong></div>
<ol style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong><span style="color: blue;">Quel est le rôle de la Cour constitutionnelle ?</span></strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">La Cour constitutionnelle est chargée du contrôle de la constitutionnalité des lois et des actes ayant force de loi, avant leur promulgation. A ce titre, les lois organiques et les Règlements intérieurs des Chambres parlementaires et du Congrès, de la Commission électorale nationale indépendante ainsi que du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, doivent être soumis à la Cour constitutionnelle qui se prononce sur leur conformité à la Constitution, avant leur mise en application. Aux mêmes fins d’examen de la constitutionnalité, les lois peuvent être déférées à la Cour constitutionnelle, avant leur promulgation.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">La Cour constitutionnelle juge de la régularité du processus des élections présidentielles et législatives nationales.</span></div>
<ol style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li value="2"><strong><span style="color: blue;">En matière électorale, quels sont les recours qui peuvent être portés devant la Cour constitutionnelle ?</span></strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">La Cour constitutionnelle juge du contentieux des élections présidentielle et législatives ainsi que du référendum. A ce titre, la Cour constitutionnelle connaît des recours en contestation de la régularité des candidatures, des résultats des élections présidentielles, législatives nationales ainsi que du référendum. Elle proclame les résultats définitifs de ces consultations</span></div>

Au tour de Kinshasa la Nation Politique CENI : prochain rendez-vous avec la CENI fixé au 9 décembre 2013

Forum des Partis politiques Le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), M. l’Abbé Apollinaire Malumalu, acc...

Abas le jeu de vocabulaire : M23, Serge Kambasu débloque Kampala !

November 13, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvP00ApH7hVi1jokGSZIWizgUsgSLDKTGAwxBJsMjZe_ejm_N3XSosgIq08mF1O0F4SXMCBXkjzbZasK4_9V1m3Cu_-9YBf0gj5Vitryq8KkIOZLTuvM-K6qsTQEpgZY4FTkEjoQQprAo/s1600/serge.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="285" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvP00ApH7hVi1jokGSZIWizgUsgSLDKTGAwxBJsMjZe_ejm_N3XSosgIq08mF1O0F4SXMCBXkjzbZasK4_9V1m3Cu_-9YBf0gj5Vitryq8KkIOZLTuvM-K6qsTQEpgZY4FTkEjoQQprAo/s400/serge.JPG" width="400" /></a></div>
<strong><span style="color: blue;">Décidément, le M23  est un bateau qui prend de l’eau dans tous les sens. Alors qu’on en était déjà à l’étape de la signature, bien que ratée, d’une déclaration ou, même, d’un ‘’accord’’ de Kampala, voici que Sultani Makenga  tenterait, contre vents et marées, de se refaire la santé, depuis le territoire ougandais, pour un nouvel assaut contre la RDC. Pendant ce temps, Serge Kambasu Ngeve, lui, fort de ses fonctions de Secrétaire Permanent du M23, ne veut nullement se prêter au jeu de vocabulaire, quant à la forme du texte à signer avec Kinshasa, devant Yoweri Museveni et les Envoyés Spéciaux de l’Onu, des USA, de l’UE et de l’UA, sans oublier du Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies. Depuis hier, à Kampala, Serge Kambasu et une cohorte de cadres du M23, se disant réalistes et majoritaires, acceptent, enfin, la proposition gouvernementale, pour décrisper la situation et donner ainsi la chance à la paix.</span></strong><br />
<strong><u><span style="color: blue;">Derniers  faits</span></u></strong><br />
<span style="color: blue;">‘’En notre qualité de Secrétaire Permanent du Bureau Politique  du  M23, Gestionnaire au quotidien des activités politiques du Mouvement et Négociateur principal du M23 aux pourparlers de Kampala,  appuyé par des hauts cadres du Mouvement et  d’autres négociateurs ici présents dont le Chef de Département des Affaires Politiques, <strong>nous avons pris une décision historique, en vue de décrisper cette crise qui a trop duré et  donner une chance à la paix dans notre pays</strong>. (…) vous conviendrez avec nous que le seul point  de divergence ayant conduit au blocage reste le titre à attribuer au document sanctionnant la fin des pourparlers  de Kampala. La délégation de notre Gouvernement, au vu de l’évolution opérée sur le plan militaire et d’autres considérations sociopolitiques du moment, propose le terme <strong>Conclusions des pourparlers de Kampala entre le Gouvernement de la RDC et le Mouvement du 23 mars [M23]</strong> tandis qu’ une minorité dans notre organisation tient mordicus au terme <strong>Accord de paix entre le Gouvernement de la RDC et le M23</strong>, mettant ainsi en péril la vie de toute une organisation et de toute une Nation’’, déclare  Serge Kambasu Ngeve,  dans un communiqué signé,  hier, à   Kampala.</span><br />
<strong><span style="color: blue;">Abas le jeu de vocabulaire !</span></strong><br />
<span style="color: blue;">Pour lui, en effet, ‘’ce jeu de vocabulaire, certes,  avec des implications politiques, ne peut en aucun cas, à notre humble avis, conduire à un suicide collectif pour notre organisation et des milliers des membres qui la composent. Ce jeu de vocabulaire, certes avec des implications politiques, ne peut en aucun cas, à notre humble avis, conduire à un suicide collectif pour notre organisation et des milliers des membres qui la composent.</span><br />
<strong><span style="color: blue;">Adhésion à l’évidence</span></strong><br />
<span style="color: blue;">« Réalistes, <strong>nous avons  ainsi décidé, devant l’histoire et devant notre propre conscience, de soutenir résolument la position émise par le Gouvernement de la RDC</strong> qui, de toute évidence, maitrise tous les paramètres sociopolitiques du moment », a-t-il annoncé.</span><br />
<strong><span style="color: blue;">Chance à la paix</span></strong><br />
<span style="color: blue;">Ceci donnerait, à son avis, « une chance à la paix et de permettre à la Communauté Internationale qui appuie ce  Processus de s’atteler sur d’autres questions importantes telles  que la traque de toutes  les forces négatives étrangères et nationales, en appui à notre Gouvernement, en vue de sécuriser définitivement l’Est de la RDC , d’aider à la mise en place des structures et des mécanismes convenus lors des  pourparlers de Kampala et dans l’Accord cadre d’Addis-Abeba et ainsi permettre le retour dans la dignité de nos compatriotes réfugiés et déplacés internes,  gage important pour la reconstruction de notre pays et la paix dans la Région des Grands Lacs ». </span><br />
<strong><span style="color: blue;">Lisez, plutôt, cette déclaration de Serge Kambasu Ngeve, Secrétaire Permanent du M23.  Elle place certainement  les envoyés spéciaux et l’ensemble de la communauté internationale dans l’embarras. Faudra-t-il suivre Makenga, dans sa fatuité ? Faudra-t-il suivre Bertrand Bisimwa, dans ses dernières postures fragiles ? Faudra-t-il suivre   Serge Kambasu Ngeve sur la voie escarpée du réalisme ? Telles sont les questions. </span></strong><br />
<br />
<strong><u><span style="color: blue;">Communiqué</span></u></strong><br />
<strong><span style="color: blue;">Mesdames et Messieurs de la presse,</span></strong><br />
<strong><span style="color: blue;">Bonjour !</span></strong><br />
<span style="color: blue;">Nous avons tenu à vous inviter ce jour pour partager avec vous  un sujet brûlant d’actualité qui cadre avec le blocage du Processus de paix initié à partir du 24 novembre 2012 suite à  la Déclaration des Chefs d’Etat de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs recommandant une approche politique à la crise  à l’Est de la RDC qui oppose le Gouvernement de la RDC au Mouvement du 23  mars [M23 ].</span><br />
<span style="color: blue;">Cette recommandation salutaire a conduit aux pourparlers  de Kampala qui tiennent en suspens jusqu’à ce jour la vie de toute une Nation,  tout un peuple.</span><br />
<span style="color: blue;">En notre qualité de Secrétaire Permanent du Bureau Politique  du  M23, Gestionnaire au quotidien des activités politiques du Mouvement et Négociateur principal du M23 aux pourparlers de Kampala,  appuyé par des hauts cadres du Mouvement et  d’autres négociateurs ici présents dont le Chef de Département des Affaires Politiques, <strong>nous avons pris une décision historique, en vue de décrisper cette crise qui a trop duré et  donner une chance à la paix dans notre pays</strong>.</span><br />
<span style="color: blue;">Mesdames et Messieurs de la presse, vous conviendrez avec nous que le seul point  de divergence ayant conduit au blocage reste le titre à attribuer au document sanctionnant la fin des pourparlers  de Kampala.</span><br />
<span style="color: blue;">La délégation de notre Gouvernement, au vu de l’évolution opérée sur le plan militaire et d’autres considérations sociopolitiques du moment, propose le terme <strong>Conclusions des pourparlers de Kampala entre le Gouvernement de la RDC et le Mouvement du 23 mars [M23]</strong> tandis qu’ une minorité dans notre organisation tient mordicus au terme <strong>Accord de paix entre le Gouvernement de la RDC et le M23</strong>, mettant ainsi en péril la vie de toute une organisation et de toute une Nation.</span><br />
<span style="color: blue;">Ce jeu de vocabulaire, certes avec des implications politiques, ne peut en aucun cas, à notre humble avis, conduire à un suicide collectif pour notre organisation et des milliers des membres qui la composent.</span><br />
<span style="color: blue;">Réalistes, <strong>nous avons  ainsi décidé, devant l’histoire et devant notre propre conscience, de soutenir résolument la position émise par le Gouvernement de la RDC</strong> qui, de toute évidence, maitrise tous les paramètres sociopolitiques du moment afin de donner une chance à la paix et de permettre à la Communauté Internationale qui appuie ce  Processus de s’atteler sur d’autres questions importantes telles  que la traque de toutes  les forces négatives étrangères et nationales, en appui à notre Gouvernement, en vue de sécuriser définitivement l’Est de la RDC , d’aider à la mise en place des structures et des mécanismes convenus lors des  pourparlers de Kampala et dans l’Accord cadre d’Addis-Abeba et ainsi permettre le retour dans la dignité de nos compatriotes réfugiés et déplacés internes,  gage important pour la reconstruction de notre pays et la paix dans la Région des Grands Lacs.</span><br />
<span style="color: blue;">Nous remercions sincèrement le Président de la République sœur de l’Ouganda, son Excellence YOWERI KAGUTA MUSEVENI, Médiateur dans les pourparlers de Kampala, pour ses efforts inlassables et son hospitalité pendant toute la durée des négociations. Sa grandeur d’âme aura été d’une grande importance pour un aboutissement heureux de ce processus, nonobstant  nos imperfections et, ou, nos insuffisances. Nous lui demandons pardon.</span><br />
<span style="color: blue;">Nous prions la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs, la SADC, bref  toute la Communauté Internationale qui a dépêché des Envoyés Spéciaux dans cette Région, que nous remercions  pour leur détermination, leur accompagnement et leurs conseils pour la paix dans la Région des Grands Lacs, de soutenir ce sursaut patriotique pour un atterrissage en douceur des pourparlers de Kampala afin que vivent à jamais la PAIX, la JUSTICE et le TRAVAIL dans notre pays.</span><br />
<span style="color: blue;">Que vive la Région des Grands Lacs,</span><br />
<span style="color: blue;">Que vive la RDC,</span><br />
<span style="color: blue;">Que vivent la paix et la cohésion nationale,</span><br />
<span style="color: blue;">Que vive le Mouvement du 23 mars,</span><br />
<span style="color: blue;">Je vous remercie.</span><br />
<span style="color: blue;">Fait à Kampala, le 13 Novembre 2013</span><br />
<strong><span style="color: blue;">Serge KAMBASU NGEVE,</span></strong><br />
<span style="color: blue;">Secrétaire Permanent</span><br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Abas le jeu de vocabulaire : M23, Serge Kambasu débloque Kampala !

Décidément, le M23 est un bateau qui prend de l’eau dans tous les sens. Alors qu’on en était déjà à l’étape de la signature, bien que rat...

GRANDS LACS : KIGALI ET KAMPALA RALLUMENT LE FEU

November 13, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRcsFdVe7oUoac1FfEKqXowR5ey_biZvohbaao1FZAmCXsYpWVYgr2e-bbWGjYiCtNXEjZnPe-We2yqaYZiQ-hcK-e43XkMKJ02dtwbXY7QBN4fpLJqRKGyMyy9KM8b4BIqZPTL2CaKgI/s1600/CARR+5979a.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="290" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRcsFdVe7oUoac1FfEKqXowR5ey_biZvohbaao1FZAmCXsYpWVYgr2e-bbWGjYiCtNXEjZnPe-We2yqaYZiQ-hcK-e43XkMKJ02dtwbXY7QBN4fpLJqRKGyMyy9KM8b4BIqZPTL2CaKgI/s400/CARR+5979a.jpg" width="400" /></a></div>
L’impossible atterrissage des pourparlers de Kampala entre la RDC et le M23 jette le doute sur l’ensemble du processus de paix engagé dans la région des Grands Lacs. Une fois de plus la main invisible de Kigali et Kampala plane sur ce énième raté, avec une redistribution des rôles bien rodée. D’un côté, Kigali repositionne ses troupes à la frontière avec la RDC, pendant que Kampala oppose une fin de non recevoir à l’extradition des fugitifs M23 se trouvant sur son sol. Du coup, les deux capitales ne font plus de mystère sur leur intention de rallumer  le feu dans la région.<br /><br />L’attitude va-t-en guerre de Kigali et Kampala n’échappe pas à l’attention des observateurs de l’évolution de la situation sécuritaire de la sous-région des Grands Lacs. Les deux voisins de la RDC ne veulent pas s’avouer vaincus. Bien au contraire. Toutes les opportunités leur sont bonnes pourvu que les activités de prédation des ressources naturelles de la RDC se poursuivent, en plus du projet d’annexion d’une partie du territoire congolais.<br /><br />La nouvelle donne dictée par l’échec des pourparlers de Kampala porte la marque des capitales précitées. Défait, en quelle qualité le M23 va-t-il signer un accord avec un gouvernement légitime ? Tenus en laisse par Russell Feingold, l’Envoyé spécial d’Obama, Kagame et Museveni  sont en quête d’un sauf-conduit pour une sortie honorable des renégats du M23, leur création.<br /><br />Pour y arriver, le duo de la mort compte sur la signature d’un texte d’accord qui renfermerait des dispositions qui exemptent leurs protégés de poursuites judiciaires. Ce qui passerait pour une amnistie générale de tous ces criminels dont la réputation des crimes commis sur le sol congolais a fait le tour du monde.<br /><br />Mal leur en a pris. Car, ils n’avaient pas compté avec la perspicacité de la partie congolaise soutenue par une opinion publique alerte et à l’avant-plan dans l’anticipation des stratégies adverses. Le refus de la délégation congolaise d’offrir au M23 une prime à la rébellion est dictée par la nécessité de mettre un terme aux velléités de certaines personnes et autres réseaux à faire carrière dans des rébellions qui poussent comme des champignons et écument l’Est de la RDC. <br /><br />PRETS A REPRENDRE DU SERVICE<br /><br />Pris à leur propre jeu, Kigali et Kampala se comportent en fauves blessés et prêts à reprendre du service en RDC pour rééditer leurs exploits macabres. Le schéma demeure le même : réactiver le M23 quitte à en créer un autre, sur fond de mêmes mobiles, notamment la gouvernance, le retour des réfugiés congolais et l’autonomie de quelques territoires de l’Est.  <br /><br />Grâce aux rapports fouillés et documentés des experts onusiens, la communauté internationale a finalement saisi la portée de ces accusations régulièrement portées par la RDC contre ses deux voisins.  Suffisamment édifiée, l’administration Obama a compris que ses partenaires dans la sous-région, à savoir Kigali et Kampala, étaient sérieusement impliqués dans la déstabilisation de la RDC. Preuves à la clé, les USA ont instruit Kagame et Museveni de cesser leur soutien au M23 dans son entreprise destructrice dans l’Est de la RDC.<br /><br />C’est ainsi que sans fioriture, l’Envoyé d’Obama, le sous-secrétaire d’Etat John Kerry et le ministre des Affaires étrangères britannique ont rappelé à Kagame l’obligation de se tenir à l’écart lors de l’offensive menée par les FARDC contre leur filleul. Le résultat est là : le M23 est défait. Curieusement, la médiation ougandaise refuse de transposer à la table des pourparlers l’évolution sur le terrain militaire.<br /><br />Sa partialité étant établie, la médiation ougandaise agite l’épouvantail de la présence des 1.700 éléments du M23 sur son territoire pour influer sur la position de Kinshasa. Kampala et Kigali menacent de reverser ces mercenaires sur le territoire congolais en vue d’une nouvelle rébellion. Ce modus operandi n’est pas inconnu des Congolais, encore moins de la communauté internationale, laquelle ne devrait pas se laisser distraire.<br /><br />Selon qu’il s’agisse d’un accord ou d’une déclaration, les agresseurs de la RDC comptent en user au gré de leurs intérêts et des attitudes de la communauté internationale. Pour ce faire, ils tentent de rallumer le feu afin d’aboutir à un retournement de la situation.<br /><br />Déclaration commune des envoyés spéciaux et représentants spéciaux dans la région des grands lacs<br /><br />Nous, les Envoyés spéciaux et Représentants spéciaux des Nations Unies, de l’Union africaine, de l’Union européenne et des Etats Unis d’Amérique avons visité ensemble la République Démocratique du Congo, le Rwanda et l’Ouganda du 3 au 7 septembre 2013. En raison des nouveaux combats entre le groupe rebelle du M23 et l’armée nationale congolaise, nous avions pris la décision d’avancer les dates de notre visite en vue de contribuer à une réduction des tensions à l’Est de la RDC et dans la région. Nous avons aussi continué à insister et à encourager la mise en œuvre de l’Accord-cadre de Coopération pour la Paix et la Sécurité pour la RDC et la région, qui représente le meilleur espoir pour résoudre les causes profondes de ce conflit, afin de parvenir à une paix durable et au développement de la région.<br /><br />Le 5 septembre, nous avons participé au 7e Sommet extraordinaire de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL). Nous voulons saluer le président Yoweri Museveni, président en exercice de la CIRGL, pour l’initiative de cette rencontre de haut niveau, pour se pencher sur les récents combats à l’Est de la RDC. Nous saluons les décisions des chefs d’Etat de la CIRGL qui ont insufflé une nouvelle dynamique aux pourparlers de Kampala et en même temps fixé une date limite pour sa conclusion rapide. Nous apportons tout notre soutien à l’appel des chefs d’Etat, aux parties en conflits, afin qu’elles fassent preuve d’un maximum de retenue et demandons à tous les groupes armés illégaux de déposer leurs armes et de donner la priorité à une solution politique.<br /><br />Nous encourageons les parties au Dialogue de Kampala pour qu’elles adoptent une approche de principe face à la question de l’amnistie et de réintégration.<br /><br />Nous saluons la décision des Etats membres de la CIRGL de donner un statut permanent à la MONUSCO au sein du Mécanisme élargi de vérification en vue de lui permettre d’être plus effective dans l’exécution de son mandat. Nous condamnons énergiquement les tirs indiscriminés sur la population civile de Goma ainsi que les attaques dirigées contre les Casques bleus de l’ONU. Nous condamnons aussi avec force les tirs qui sont tombés au Rwanda. Nous encourageons les parties dans la région à travailler ensemble et avec la MONUSCO pour enquêter sur l’origine de ces tirs.<br /><br />Nous encourageons les signataires de l’Accord-cadre de faire avancer ce processus à travers une coopération régionale soutenue. A cet égard, nous fondons beaucoup d’espoir dans la prochaine réunion du Mécanisme Régional de Suivi qui doit se réunir le 23 septembre à New York, et la prochaine réunion conjointe de la CIRGL et la Communauté de développement de l’Afrique de l’Est.<br /><br />Mme Mary Robinson, Envoyée spéciale du Secrétaire-général des Nations Unies pour la Région des Grands Lacs<br />M. Martin Kobler, Représentant spécial du Secrétaire-général des Nations Unies en République Démocratique du Congo et chef de la MONUSCO<br />M. Russ Feingold, Envoyé spécial des Etats Unies d’Amériques pour la Région des Grands Lacs et la RDC<br />M. Boubacar Diarra, Représentant spécial de l’Union Africaine pour la Région des Grands Lacs<br />M. Koen Vervaeke, Coordinateur Principal de l’Union Européenne pour la Région des Grands Lacs.

la Nation Politique GRANDS LACS : KIGALI ET KAMPALA RALLUMENT LE FEU

L’impossible atterrissage des pourparlers de Kampala entre la RDC et le M23 jette le doute sur l’ensemble du processus de paix engagé dans...

LA RDC ET LE M23 EN « JOURNÉE FINALE » LUNDI À KAMPALA

November 13, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifg73alIcfYVTqUj9WENrV1892k77NS0Le89lNOGMh3dgA-Ol84IpbNMvL0rG-FX3FbYsLfC84xp3X3dAeCHDv0kvsAnDsyfCw2lo8wsJ5Fik4omW-3I2PI4AjOLgGSpMBB6pWuAgNLIc/s1600/Entebbe+(1).png" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifg73alIcfYVTqUj9WENrV1892k77NS0Le89lNOGMh3dgA-Ol84IpbNMvL0rG-FX3FbYsLfC84xp3X3dAeCHDv0kvsAnDsyfCw2lo8wsJ5Fik4omW-3I2PI4AjOLgGSpMBB6pWuAgNLIc/s400/Entebbe+(1).png" width="400" /></a></div>
Le programme des pourparlers entre la RD Congo et le M23 à Kampala (Ouganda) prévoyait pour lundi 11 novembre 2013 la signature soit d’un accord soit d’une déclaration.<br /><br /><br />« Le rendez-vous est fixé à 18 heures au palais présidentiel de +State House+ à Entebbe où le président ougandais Yoweri Museveni doit accueillir toutes les délégations. Les accréditations des journalistes et convives se déroulent à Impérial Hotel d'Entebbe à 50 Kms de Kampala », rapporte l’envoyé spécial de Radio Kivu 1 dans la capitale ougandaise.<br /><br />Il signalait à 17h13' « un « risque d’un refus », indiquant que, selon certaines indiscrétions, la délégation du Gouvernement congolais qui s'est réunie tient sur sa position : « Pas de signature d'un quelconque accord de paix avec le M23 ».<br /><br />A l’en croire, le gouvernement ougandais aurait préparé un texte qui mentionne le concept « accord » alors que « la délégation refuse et exige que ce texte soit changé ».<br /><br />« En effet, Kinshasa ne reconnaît pas un M23 parti politique qui n'a pas un acte d’agrément au pays. Ça sent du muscle à 17h17'. Les membres de la délégation sont assis dans le hall de Sheraton hôtel sans se presser d'aller à la rencontre du président Museveni à Entebbe au cas où le facilitateur ne change pas son accord en déclaration », a noté Magloire Paluku.<br /><br />« Pas convaincu par les justificatifs d'un accord de paix »<br /><br />Selon l’envoyé spécial de Radio Kivu1 à Kampala, « le ministre Raymond Tshibanda, qui s'est retiré avec le facilitateur Chrispus Kiyonga et l'AG de l'ANR, l'ambassadeur Okoto et l'abbé Malumalu ne veut pas se sentir vaincu par les justificatifs d'un accord de paix entre le gouvernement et le M23 ».<br /><br />Lors de son séjour le week-end dernier à Paris (France), le chef de la diplomatie congolaise a déclaré qu’« il était entendu, un jour après la déclaration du M23 renonçant formellement à la rébellion, que le gouvernement leur donnerait cinq jours et que, cinq jours après cette déclaration, aurait lieu la signature ».<br /><br />« M. Makenga (chef militaire du M23) doit répondre des crimes qu'il a commis. Dans les discussions de Kampala, il a été établi d'une manière claire et nette qu'il n'y aurait pas d'amnistie pour les crimes de guerre », a affirmé Raymond Tshibanda.<br /><br />« Le sort des autres rebelles est déjà scellé. Il leur a été demandé de déposer les armes et de se rendre et ceux qui ne le feraient pas seraient dans le viseur des forces armées de la RDC et de la brigade d'intervention (de l'Onu). Et c'est ce qui va se passer », a-t-il indiqué à la presse

la Nation Politique LA RDC ET LE M23 EN « JOURNÉE FINALE » LUNDI À KAMPALA

Le programme des pourparlers entre la RD Congo et le M23 à Kampala (Ouganda) prévoyait pour lundi 11 novembre 2013 la signature soit d’un ...

Même sans M23, les mines congolaises de l'Est contrôlées par les groupes armés

November 12, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjB_UgKxE8FQuOB5ekQIlv82Iy0w5T8VBzOLXP7RzDsbfW4d8LeOWN_aj9Mgc13IBxpdvDA6wT6-OMaCgkKvqxy0jNDbK3j36b2fq8tl0bpJgi4b0sNffqOym-iO0UhAtbJnCMRSMUmohI/s1600/instantan%C3%A9_028.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjB_UgKxE8FQuOB5ekQIlv82Iy0w5T8VBzOLXP7RzDsbfW4d8LeOWN_aj9Mgc13IBxpdvDA6wT6-OMaCgkKvqxy0jNDbK3j36b2fq8tl0bpJgi4b0sNffqOym-iO0UhAtbJnCMRSMUmohI/s400/instantan%C3%A9_028.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<em><strong>Curieusement, le document produit par les Belges sera présenté au Rwanda qui n'a rien à avoir les minerais de la RD Congo</strong></em></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<span style="font-size: small; line-height: normal; text-align: start;">Etude réalisée par une structure de recherche belge</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<span style="font-size: small; line-height: normal; text-align: start;"><br /></span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Le groupe de recherche indépendant belge "International Peace Information Service" (IPIS) a rendu public, le 09 novembre dernier, une cartographie effectuée sur quelques 800 mines dans l'Est de la RD Congo. La carte d'IPIS donne pour chaque mine sa position géographique, mais également son type, c.à.d.  or, coltan, wolframite (tungstène), cassitérite (étain) ou diamant, et autres.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Même sans M23, les mines congolaises de l'Est du pays sont contrôlées par les groupes armés, a relevé cette étude. La carte fournit  ainsi des informations quant au nombre de travailleurs et à l'éventuelle militarisation du site.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Selon encore l'étude, il ressort que plus de la moitié des sites miniers visités dans l'est de la RD Congo sont contrôlés par un groupe armé ou par l'armée congolaise, et parfois de manière illégale.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Les données montrent, en outre, une importante exportation non enregistrée d'or, a expliqué Filip Reyniers, directeur de l'organisation IPIS.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<a href="http://latempete.cd/images/stories/m233.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="183" src="http://latempete.cd/images/stories/m233.jpg" style="border: 1px solid rgb(216, 216, 216); margin-top: 3px; padding: 5px;" width="181" /></a>"La carte web est révolutionnaire car jamais une étude systématique de cette envergure n'avait été entreprise dans ces endroits difficiles d'accès de l'est du Congo", a souligné le directeur d'IPIS.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
D'autres précisions, les données ont été recueillies en 2013 par neuf équipes régionales au Nord-Kivu, au Sud-Kivu, au Maniema, en Province Orientale et au Nord Katanga. Curieusement, le document (étude) produit par ces Belges sera présenté au Rwanda alors que ce pays n'est nullement concerné officiellement par les minerais congolais.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
On peut ainsi comprendre pourquoi la RD Congo a toujours été l'objet des convoitises de certains de ses voisins. Pour Rappel, l'Ouganda et le Rwanda, selon plusieurs rapports, ont toujours les rebellions en RD Congo pour alors profiter des minerais congolais transportés dans ces pays afin d'être exportés. Ce qui justifie qu'un pays comme le Rwanda, qui ne dispose d'un gisement important d'or par exemple, a été parmi les grands producteurs de ce minerai.</div>

la Nation Même sans M23, les mines congolaises de l'Est contrôlées par les groupes armés

Curieusement, le document produit par les Belges sera présenté au Rwanda qui n'a rien à avoir les minerais de la RD Congo Etude réa...

Accord ou déclaration de paix ? : Kinshasa-M23, ça coince à Kampala !

November 12, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWUT-Te26kivr_w13cDLiJshrx8antsk5lZgVN0CSvsB9jHPrS-CuDgYiG8baKcNwX4gL3azqFRMoiHqhR3_snKAk-S2BE4PhBpS9TUPUfFaJj-JVovD1FPEQIQwHEdpZVEco_3hpxlOc/s1600/Carc+026.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWUT-Te26kivr_w13cDLiJshrx8antsk5lZgVN0CSvsB9jHPrS-CuDgYiG8baKcNwX4gL3azqFRMoiHqhR3_snKAk-S2BE4PhBpS9TUPUfFaJj-JVovD1FPEQIQwHEdpZVEco_3hpxlOc/s400/Carc+026.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="background-color: white;">La cérémonie était voulue grandiose. Le Président ougandais, Yoweri Kaguta Museveni, s’était préparé à la présider personnellement, ce lundi 11 novembre 2013, en  sa résidence  d’Entebbe, une localité proche de Kampala, à 18 heures TU. Témoins de l’événement, les observateurs de l’UE, des USA, de l’Onu, de l’UA. Le texte était fin prêt, avec la mention Accord de paix,  à son entête. Les délégations aussi. Mais, en dernière minute, un grain de sable s’est faufilé dans l’engrenage. Finalement, la signature  de cet  accord devant sanctionner la fin des pourparlers entamés depuis décembre 2012,  dans la Capitale ougandaise,  entre Kinshasa et le M23,  a avorté. Elle a été reportée sine die. Deux positions diamétralement opposées seraient à la base de l’échec. Pour la délégation de Kinshasa conduite par Raymond Tshibanda N’tungamulongo, ci-devant Ministre RD-Congolais des Affaires Etrangères, il n’est nullement question d’un accord, mais d’une simple déclaration de reddition de la rébellion. De l’autre côté, c’est-à-dire,  de la rébellion, avec manifestement la partialité de la médiation, on s’en tient à la mention Accord de paix. Et,  pourtant, sur le fond, tout le monde est quasi unanime concernant tous les points.   </strong></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Aucune nouvelle date n’a été avancée quant au prochain round de cette cérémonie de signature de la déclaration ou de l’accord, c’est selon.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Curieusement, cependant, le porte-parole du Gouvernement ougandais, M. Ofwono Opondo accuse, lui, Kinshasa d’avoir refusé de signer un accord avec le M23.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">La réplique de son homologue congolais n’a pas tardé. Pour Lambert Mende qui dit n’être pas étonné par cette annonce faite à Kampala, ‘‘nous, nous voulons signer une déclaration, mais le facilitateur s’entête pour une raison que nous ne connassons pas et veut nous imposer un accord. Il devient un problème, au lieu d’être une solution. S’il changeait d’avis, même cette nuit, nous pourrions signer’’.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Pour maints observateurs, ce scenario  était prévisible. Dans la mesure où le M23 avait été mis en déroute depuis la semaine dernière par les Fardc qui ont récupéré tous les territoires jadis occupés par ce mouvement insurrectionnel.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Et, devant l’avancée irrésistible de l’armée loyaliste, appuyée par la brigade d’intervention de la Monusco, le M23 avait annoncé, dans une déclaration signée par son président, Bertrand Bisimwa, la fin de la rébellion, mettant ainsi fin à plus de 18 mois de commission des crimes dans l’Est de la RDC.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Et,  comme on sait, le principe est vieux comme le monde, les négociations dans une situation de conflit armé sont fonctions de rapport de forces sur le théâtre des opérations. Le M23 ayant été totalement neutralisé militairement et politiquement, il ne pouvait pas espérer mieux que la signature d’une déclaration de reddition, comme exigé par Kinshasa qui est en position de force, grâce aux hauts faits d’arme des Fardc.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Le M23, à ce stade, ne miserait  que sur la partialité du médiateur ougandais qui joue, comme l’ont  dit certains  Députés et personnalités politiques de la Majorité présidentielle,  au qui perd, gagne.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Déjà, à  la veille de cette  cérémonie avortée,   Bertrand Bisimwa avait clairement  exprimé  ses inquiétudes quant au sort de ce qui reste des troupes défénestrées du M23.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;">Raison pour laquelle, il demandait, dans une déclaration datée du 7 novembre dernier,  à la médiation ougandaise  de garantir le bon déroulement du processus DDR.</span></div>
<div style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="background-color: white;">           </strong></div>

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Accord ou déclaration de paix ? : Kinshasa-M23, ça coince à Kampala !

La cérémonie était voulue grandiose. Le Président ougandais, Yoweri Kaguta Museveni, s’était préparé à la présider personnellement, ce lu...

PROCESSUS ELECTORAL 2013-2016 : Malumalu présente la feuille de route des élections aux partis politiques

November 12, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkY87dl2QMl6KnQBSXcRz8J5vL5fdvMmSssrvayvhGuQNMhpMloUuo3H4VzzgDqJtKEfPNqcFBdbr913UxH9J43-yFSPWsHt89pcA3mfXwvHBEF7oCkUgA9FqJlH6Ag90nBuy9cFDbcdA/s1600/instantan%C3%A9_005.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkY87dl2QMl6KnQBSXcRz8J5vL5fdvMmSssrvayvhGuQNMhpMloUuo3H4VzzgDqJtKEfPNqcFBdbr913UxH9J43-yFSPWsHt89pcA3mfXwvHBEF7oCkUgA9FqJlH6Ag90nBuy9cFDbcdA/s400/instantan%C3%A9_005.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">La CENI fignole progressivement sa mouture de la feuille de route du processus électoral 2013-2016. Cette version avancée qui déroule qualitativement l’échéancier des grands événements électoraux de notre pays, a été présentée le vendredi 08 octobre 2013 aux 449 partis politiques régulièrement enregistrés en République Démocratique du Congo, dans la salle de spectacle du Palais du peuple. En présence des députés, sénateurs, ministres honoraires, chefs des partis et des regroupements politiques, la présentation de l’Abbé Apollinaire Malumalu, président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a tout d’abord justifié les quatre premiers mois de gestion de l’actuelle équipe de la CENI avant d’étaler les défis qui s’imposent au processus électoral congolais.</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Pour Malumalu, les élections sont possibles. A tout moment. Pourvu que des moyens y afférents soient mobilisés dans les délais requis par les parties prenantes au processus électoral. S’agissant des moyens justement, le président de la CENI cite d’abord les textes légaux qui manquent a l’environnement électoral congolais : loi portant répartition des sièges pour les élections urbaines, municipales et locales ; loi sur la répartition des sièges pour les élections législatives nationales ; liste officielle des villes, groupements et communes etc. Autres moyens qui font défaut à la CENI, ce sont les juridictions compétentes pour la gestion des contentieux électoraux. Il s’agit principalement des cours administratives (à créer) pour résorber les crises postélectorales liées aux élections urbaines, municipales et locales. De l’augmentation du nombre des cours d’appels sollicitées en cas d’absence des cours administratives. D’autres moyens sont strictement d’ordre humain et financier. D’énormes budgets à mobiliser et un lourd personnel à recruter, former et payer.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Le forum des partis politique animé vendredi dernier par l’Abbé Apollinaire Malumalu a eu le mérite d’avoir mobilisé tous les partis politiques reconnus du pays. En raison de deux mandataires par parti ou regroupement politique. D’après la CENI, ce cadre d’échange sera formalisé et tiendra sa réunion une fois par mois.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Malumalu tiendra sa promesse : Election présidentielle en 2016</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Le huis-clos réservé par la CENI à la présentation de la feuille de route des élections nationales n’a pas laissé d’espace à d’importantes indiscrétions. Seuls quelques acteurs politiques de l’opposition ont fait savoir que « <em>la feuille de route de Malumalu respecte les délais constitutionnels</em> ». Ce qui signifie qu’elle aligne les élections présidentielles prochaines, effectivement en 2016. Effectivement en septembre. Cette information, si elle est rendue officielle par la CENI, conférera au processus électoral toutes ses chances de stabilité et de crédibilité. L’autre fuite enregistrée est liée aux élections urbaines, municipales et locales projetées pour 2014. Des sources des partis politiques réunis au forum de la CENI signalent que dans ses explications, le président de la nouvelle CENI a clairement démontré la grande différence à établir entre l’ancienne administration électorale et celle que dirige l’Abbé Malumalu. Non seulement qu’il a mentionné la priorité de former le personnel CENI a tous les niveaux, mais aussi, procéder a une profonde restructuration de ses services. En professionnel des élections, Malumalu a convaincu les différents participants au forum des partis politiques qu’il sera procédé à l’ouverture de 26 secrétariats exécutifs provinciaux de la CENI dans le pays en conformité avec le découpage constitutionnel des nouvelles provinces. Dans sa déclaration a la presse, l’Abbé président de la CENI a annoncée la publication des calendriers électoraux en janvier de chaque année avec un plan de décaissement des dépenses y afférentes, les exigences et les responsabilités. « <em>Que le gouvernement prenne ses responsabilités pour procéder au recensement administratif de la population qui devra être universel c'est-à-dire, elle devra concerner toute congolaise, tout congolais à doter de leurs cartes d’identité, sans exception d’âge, y compris les compatriotes de la diaspora</em> », a indiqué le président de la CENI.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Un kit électoral pour chaque mandataire de parti politique</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">A l’école des élections, les partis politiques de la RD Congo devront désormais apprendre à apprendre sur le processus électoral. Un arsenal des documents essentiels a été distribué aux délégués des partis politiques. Textes relatifs a l’environnement électoral, c’est– a - dire, la constitution, la loi sur les partis politiques, loi sur le financement des partis politiques, le code de bonne conduite des partis politiques, la charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, la loi sur la CENI etc. Textes complémentaires sur le genre et les élections adoptés aussi par l’ONU, Union Africaine et ratifiés par la RDC. Enfin, des textes relatifs à l’organisation des scrutins référendaires et des élections. Dans cette optique, la CENI entend négocier une participation accrue des partis politiques en amont comme en aval du processus électoral. Cette approche innovante tient à une appropriation prochaine des élections par les partis politiques, a souligné l’Abbé Malumalu.  « <em>Des supports variés et riches seront mis a la disposition des partis politiques et des autres parties prenantes afin de leur permettre de suivre pas a pas le déroulement normal du processus et d’y contribuer, chacun en fonction de sa position sociale et de ses moyens</em> », indiqué le président de la CENI. « <em>A cette étape, nous avons voulu d’abord consulter les partis politiques sur la feuille de route que va bientôt adopter l’Assemblée plénière de la Commission Electorale Nationale Indépendante. Dans cette campagne de consultation, d’autres parties prenantes sont également contactés et mises a contribution afin de donner leur appréciation sur la proposition que nous avons voulu soumettre a leur disposition</em> », a-t-il mentionné.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Lisanga Bonganga tente un coup sans succès…</span></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Présent à la réunion du forum des partis politiques, le tonitruant Lisanga Bonganga, modérateur de la plate-forme de l’opposition politique dénommée Forces Acquises au Changement (FAC en sigle), a loupé son dernier coup contre le processus électoral en République Démocratique du Congo. Non seulement par ce qu’il a tenté, sans succès, d’influencer un groupe d’opposants en voulant les entrainer de fait dans une action de désobéissance, mais surtout, par ce qu’il a honteusement claqué la porte du forum, tout seul. Aussi, par ce qu’en réponse, l’Abbé Malumalu l’a copieusement ramassé devant témoins sur un ton remarquablement mur : « <em>Honorable Lisanga, je tiens à vous répondre avant que vous ne puissiez quitter la salle pour dire que les propos que vous tenez sur les Concertations nationales n’engagent que vous-mêmes. Dans aucun document, aucun rapport (thématique ou général), il n’est fait mention d’une quelconque restructuration de la CENI</em> », fin de citation.</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Délion KIMBULUNGU L. L. </span></strong></div>

PROCESSUS ELECTORAL 2013-2016 : Malumalu présente la feuille de route des élections aux partis politiques

Au tour de Kinshasa la Nation Politique PROCESSUS ELECTORAL 2013-2016 : Malumalu présente la feuille de route des élections aux partis politiques

La CENI fignole progressivement sa mouture de la feuille de route du processus électoral 2013-2016. Cette version avancée qui déroule qua...

Confusion au quartier Bon Marché : les barrières d’un immeuble menacé d’écroulement enlevées, puis rétablies…de force !

November 11, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiY2vT-PPvM57ni0FLEPBCvnzp_zETn_jWQ9pT9AFr_68EbNtyh-VbPHHe5Vi1vhuHikeyHEsKgvFcggcOjfh48lAaQMarrAwQc8HDr4aU_6sUcwxsJF8rFUceuUBMfkArhcfrXM3SpgEc/s1600/image_file_2149-300x240.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiY2vT-PPvM57ni0FLEPBCvnzp_zETn_jWQ9pT9AFr_68EbNtyh-VbPHHe5Vi1vhuHikeyHEsKgvFcggcOjfh48lAaQMarrAwQc8HDr4aU_6sUcwxsJF8rFUceuUBMfkArhcfrXM3SpgEc/s400/image_file_2149-300x240.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b style="background-color: white;"><span style="color: blue;">Les habitants du quartier Bon Marché, dans la commune de Barumbu, particulièrement les voisins de l’immeuble à trois étages menacé d’écroulement au croisement des avenues Flambeau et Progrès, ne savent plus à quel saint se vouer, trois semaines après l’alerte donnée sur le danger qui guette le coin. Bâtiment réellement exposé à un chamboulement imminent, car marqué par de grandes fissures, les autorités nationales et provinciales avaient décidé la fermeture de ce chantier. Afin de prévenir d’éventuels dégâts humains, les voisins immédiats dudit édifice, particulièrement les magasins, les exploitants des pharmacies, les bars, night-club et nganda, un cybercafé, voire une école primaire, ont été tous priés de fermer boutique. Pour couronner le tout, c’est la route du Flambeau, dans son tronçon situé entre les avenues Titres Fonciers et Progrès, qui a été carrément barricadée, obligeant ainsi les automobilistes, motocyclistes et autres piétons à contourner l’immeuble de la « mort ».</span></b></div>
<div style="font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;"><span style="color: blue;">Cependant, dans la matinée du samedi 9 novembre 2013, les usagers de la route ont eu la surprise de constater la levée des barrières installées dans ces lieux et l’absence des policiers chargés de veiller à l’application stricte de cette décision des autorités.</span></span></div>
<div style="font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;"><span style="color: blue;">Cherchant à avoir un éclairage sur cette situation, Le Phare a appris que la veille, plus précisément  dans la soirée du vendredi 8 novembre, une altercation a eu lieu entre des éléments de la Garde Républicaine (GR) et ceux de la Police nationale  au sujet de cette barrière. Selon les témoins de l’événement, les premiers cités, en grand nombre, ont obligé les seconds à lever leurs barrières. Face à la résistance des policiers, les menaces se sont accrues, poussant même les GR à les détruire violemment, sans aucune explication claire.</span></span></div>
<div style="font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;"><span style="color: blue;">La circulation ayant repris normalement sur cette voie, c’est le samedi 9 novembre 2013 qu’une autre équipe renforcée de policiers est venue réinstaller de force les barrières devant l’immeuble menacé, obligeant les véhicules à prendre une nouvelle fois des voies détournées.</span></span></div>
<div style="font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;"><span style="color: blue;">Témoin impuissant de ce jeu de ping-pong entre éléments armés, la population ne fait que se poser des questions sans recevoir, en retour, la moindre réponse : qui a donné à ces GR l’ordre de lever ces barrières? Jusqu’à quand le « blocus » va-t-il persister ? Que va-t-on faire de l’immeuble ? Qui va compenser le manque à gagner dont ils sont victimes ? etc.</span></span></div>
<div style="font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="background-color: white;"><span style="color: blue;">Au sujet du propriétaire de l’immeuble, les voisins ont indiqué qu’il garde un silence déconcertant depuis le début de cette affaire. « Nous avons appris que le procureur de la République de son état, il est catégoriquement opposé à la destruction de son bien, jurant plutôt sur sa volonté de faire réparer les parties défectueuses… », a déclaré un  changeur de monnaie, jadis opérant dans le périmètre de l’immeuble menacé d’effondrement. Dossier à suivre.</span></span></div>
<div align="right" style="font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b style="background-color: white;"><span style="color: blue;">Tshieke Bukasa</span></b></div>

Au tour de Kinshasa Confusion au quartier Bon Marché : les barrières d’un immeuble menacé d’écroulement enlevées, puis rétablies…de force !

Les habitants du quartier Bon Marché, dans la commune de Barumbu, particulièrement les voisins de l’immeuble à trois étages menacé d’écro...

Un accord sera signé aujourd’hui : Kampala, Bisimwa s’inquiète, la MP dénonce !

November 11, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaBDkrzMHrV9GWjHb1isEOMrPgzemuVGIgWZLw2XU8gM3W1Y02nlkY1b9HsCP1ZHK6eYVaNVReCzXxMg7WrT_Yjl-TbbKwEbUmasYlWqkA-fxs9ycKlpqrIqeXdQ-Hb-3oG8W4NSFMsVw/s1600/instantan%C3%A9_004.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaBDkrzMHrV9GWjHb1isEOMrPgzemuVGIgWZLw2XU8gM3W1Y02nlkY1b9HsCP1ZHK6eYVaNVReCzXxMg7WrT_Yjl-TbbKwEbUmasYlWqkA-fxs9ycKlpqrIqeXdQ-Hb-3oG8W4NSFMsVw/s400/instantan%C3%A9_004.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;"><strong>A en croire le porte-parole du Gouvernement ougandais, M. Ofwono Opondo, un accord pourra être signé ce lundi 11 novembre 2013 à Kampala entre Kinshasa et ce qui reste du M23. Le document, a-t-on indiqué du côté de Crispus Kiyonga, est fin prêt. Il n’attendrait que la présence de deux délégations en pourparlers depuis décembre dernier. La médiation voudrait, par ailleurs, que la cérémonie revête un caractère solennel. Comme quoi,  les envoyés spéciaux dans la région des Grands Lacs devront être représentés, à défaut d’être présents, eux-mêmes.  Le sort des ex-combattants du M23 et la solution politique à la crise vont, certainement, constituer la trame essentielle  de cet accord, tout en prenant en compte la donne de la reddition du mouvement insurrectionnel annoncée,   le 5 novembre dernier. Seulement, au sujet de ces ex-combattants de la créature rwandaise, la position de Kinshasa est d’ores et déjà connue. A savoir qu’ils seront répartis en trois catégories. La première, soit une centaine, ont  été étiquetés  ‘‘Non-éligibles’’ à l’amnistie, pour avoir commis des crimes de guerre, crimes contre l’humanité…Pour ceux-ci, rien à faire, ils doivent répondre de leurs actes devant les juridictions compétentes. La seconde sera admise au processus de réintégration alors que la dernière, quant à elle, sera constituée de candidats au processus DDR. Mais, c’est sans compter avec la levée de bouclier qui s’observe dans les différentes couches sociopolitiques de la RDC. A commencer par la Société Civile du Nord-Kivu qui ne veut rien attendre d’un accord entre le Gouvernement et la rébellion, fut-il négocié à  Kampala ou ailleurs. Toujours au sujet de ces ex-combattants, il s’avère que la guerre de chiffres  succède  à la guerre des balles. En effet, selon le Gouvernement ougandais, près de 1600 éléments du M23 auraient trouvé asile sur son territoire depuis la fin de la  contre-offensive totale et foudroyante des vaillantes Forces armées de la RD-Congo. Un chiffre que conteste énergiquement, d’ailleurs, un groupe de Députés nationaux et des personnalités membres de la Majorité Présidentielle. En effet, dans une déclaration lue hier, dimanche 10 novembre 2013, au Palais du Peuple, par l’Honorable Jean Kimbunda.  Ces cadres de la Majorité ont, dans un premier temps, renouvelé leurs hommages aux FARDC et à son Commandant Suprême, le Président de la République, Joseph Kabila Kabange. Ils ont, par ailleurs, appelé le gouvernement ougandais au respect des engagements souscrits dans l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, en remettant les mutins exilés  au Gouvernement congolais, pour leur réinsertion sociale ou intégration dans l’armée, au cas par cas, conformément à la législation en vigueur. En ce qui concerne particulièrement le nombre de rebelles qui se trouveraient en Ouganda, ces Députés Nationaux et personnalités politiques de la MP prennent à témoin la communauté nationale et internationale sur le chiffre non vérifié d’environ 1600 ex-rebelles du M23, avancé par l’Ouganda, qui se trouvent sur son territoire alors que d’autres sources renseignent que le nombre des ex-rebelles M23 serait compris entre 200 et 400.</strong> <strong>Cette attitude du gouvernement ougandais, soulignent-ils, présage d’une stratégie délibérée de continuer à entretenir les conditions durables de déstabilisation de la RD. CONGO. Ils n’ont manifestement pas tort. Car, dans une correspondance datée du 7 novembre 2013, adressée au Président Museveni de l’Ouganda, en sa qualité de médiateur du dialogue entre Kinshasa et le M23, M. Bertrand Bisimwa, Président dudit Mouvement, reconnait ‘‘la présence inattendue sur le sol de la République de l’Ouganda de certains ex-combattants du Mouvement du 23 mars qui se sont clandestinement soustraits aux ordres de leur commandement’’. De l’avis des observateurs avisés, ‘‘certains’’ ne peut pas être 1600 éléments. De ce qui précède, la sonnette d’alarme tirée par les Députés et personnalités de la MP devrait être prise au sérieux. D’autant plus que, selon les statistiques viables, le M23 n’avaient au total que près de 1500 éléments qui étaient, sans cesse, renforcés par un corps expéditionnaire rwandais. Raison pour laquelle il était continuellement en panne de troupes à cause de multiples défections dans ses rangs. C’est d’ailleurs ce qui le poussait à enrôler, de force, des enfants dans son armée.</strong></span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><span style="color: blue;">Découvrez, ci-après, la Déclaration  des Députés nationaux et personnalités membres de la MP et la lettre de Bertrand Bisimwa au Président Ougandais, Yoweri Kaguta Museveni.      </span></strong></div>
<div align="center" style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px;">
<br /></div>
<div align="center" style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px;">
<strong><u><span style="color: blue;">DECLARATION DES DEPUTES NATIONAUX ET PERSONNALITES POLITIQUES MEMBRES DE LA MAJORITE PRESIDIENTIELLE</span></u></strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">A la suite des hauts faits d’armes de nos vaillants militaires qui ont mis en déroute et anéanti les forces négatives du M23 ;</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Prenant acte de la déclaration d’auto dissolution de ces forces négatives, et réagissant aux déclarations outrageantes des autorités ougandaises tendant à héberger les éléments de ces forces sur leur sol ;</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Après que le conseil de sécurité de l’ONU ait pris acte de la fin du M23 comme organisation rebelle, à la suite de sa débâcle ;</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Les Députés nationaux et personnalités politiques membres de la Majorité Présidentielle réitèrent leurs hommages aux FARDC et à son Commandant Suprême, le Président de la République, Chef de l’Etat, Joseph Kabila, et tiennent à fixer l’opinion tant nationale qu’internationale sur ce qui suit :</span></div>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<ol style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><span style="color: blue;">Le Gouvernement ougandais qui reconnait la présence sur son territoire des ex-rebelles du M23, devrait s’exécuter au regard des engagements pris dans le cadre de l’accord de paix signé à Addis-Abeba et par conséquent, l’Ouganda devrait les remettre au gouvernement congolais pour leur réinsertion sociale ou intégration dans l’armée, au cas par cas, conformément à la législation nationale en vigueur.</span></li>
<li><span style="color: blue;">Les Députés Nationaux et Personnalités Politiques membres de la Majorité Présidentielle prennent à témoin la communauté nationale et internationale sur le chiffre non vérifié d’environ 1600 ex-rebelles du M23, avancé par l’Ouganda, qui se trouvent sur son territoire alors que d’autres sources renseignent que le nombre des ex-rebelles M23 serait compris entre 200 et 400. Cette attitude du gouvernement ougandais présage d’une stratégie délibérée de continuer à entretenir les conditions durables de déstabilisation de la RD. CONGO.</span></li>
<li><span style="color: blue;">Les Députés nationaux et personnalités politiques membres de la Majorité Présidentielle soutiennent la position de notre gouvernement quant à la signature d’une déclaration à Kampala mettant ainsi fin aux pourparlers avec les ex-rebelles défaits du M23.</span></li>
<li><span style="color: blue;">Les Députés Nationaux et personnalités politiques membres de la Majorité Présidentielle condamnent fermement ce jeux de «Qui perd, gagne » auquel se livre le gouvernement ougandais dans son soutien aux ex-rebelles défaits du M23.</span></li>
<li><span style="color: blue;">Les Députés Nationaux et Personnalités politiques membres de la Majorité Présidentielle encouragent notre gouvernement à exiger une solennité autour de l’auto dissolution du M23 en vue de lui permettre de fixer clairement les options sur le sort de ces ex-rebelles défaits du M23.</span></li>
</ol>
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="color: blue;">Pour les Députés Nationaux et personnalités politiques membres de la Majorité Présidentielle :</span></div>
<ol style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE KIMBUNDA JEAN</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE KAKWATA</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE BABABASWE ZACHARI</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE BOTAKILE</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE MIKULU GUY</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE NGOBILA GENTINI</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE THETIKA HUBERT</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE MAYAYA RICHARD</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE JOLIETY</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE ABDALLAH</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE PEMBE DIDACE</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE BOKONDA FAUSTIN</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">HONORABLE KANKONDE CRISPIN</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">MONSIEUR BAFOA LIFETA WILLY</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">MONSIEUR EMILE NGOY KASONGO</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">MONSIEUR LUHULU RAPHAEL</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">MONSIEUR TSHAMALA FRANKLIN</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">MADAME NYOKA ERNESTINE</span></strong></li>
<li><strong><span style="color: blue;">MONSIEUR OKENDE CHERUBIN    </span></strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 36pt; text-align: justify;">
     </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>

la Nation Politique Un accord sera signé aujourd’hui : Kampala, Bisimwa s’inquiète, la MP dénonce !

A en croire le porte-parole du Gouvernement ougandais, M. Ofwono Opondo, un accord pourra être signé ce lundi 11 novembre 2013 à Kampala ...

VIDEO.AS VITA CLUB 2-0 DCMP IMANA (2013-2014) phase aller de la Linafoot

November 10, 2013

Sport VIDEO.AS VITA CLUB 2-0 DCMP IMANA (2013-2014) phase aller de la Linafoot

Cliquer ici pour Regarder la vidéo sur youtube

NORD-KIVU : 14 MILICIENS MAÏ-MAÏ SE SONT RENDUS AUX FARDC À BENI

November 10, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKIFwHCa4_mRGp35NcEN2TZsHl7KuUSUQaAofvWA4W1oMtZKKhknjEQzhsiPyxE54s31qBAu67slkIWLFR5AKnLuZ3MBfxgDyjbI4QpXmmlMhP1p4kPnjS1oHgkdk2j8CRDg6c6pEisyI/s1600/instantan%C3%A9_021.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKIFwHCa4_mRGp35NcEN2TZsHl7KuUSUQaAofvWA4W1oMtZKKhknjEQzhsiPyxE54s31qBAu67slkIWLFR5AKnLuZ3MBfxgDyjbI4QpXmmlMhP1p4kPnjS1oHgkdk2j8CRDg6c6pEisyI/s400/instantan%C3%A9_021.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="color: #c27ba0;">Quatorze miliciens Maï-Mmaï se sont rendus mercredi 6 novembre2013 aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) au camp de transit de Mambango dans la commune Bungulu, à 5 km du centre ville de Beni,  à 350 km au nord de Goma (Nord-Kivu). Cinq autres Maï-Maï du même groupe les ont rejoints.</span><div>
<br /><br />« A la tête de ces miliciens, se trouve le colonel autoproclamé Adalbert Four By Four Marshall. Ces Maï-Maï ,qui opéraient à Mwalika dans le Graben, en chefferie des Bashu (à 10 km à l’Est de Butembo), se sont rendus avec deux armes AK47 et des armes blanches », a indiqué à la presse le colonel Franc Ntumba, délégué du conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité.<br /><br />Avant les cérémonies, ces Maï-Maï ont été accueillis dans la matinée à Kasinga, dans la partie rurale de la commune de Ruwenzori, par le commandant du premier secteur des FARDC, le colonel Dieudonné Muhima.<br /><br />C’est la deuxième vague de Maï-Maï qui se rendent, après celle de 44 autres venus du territoire de Lubero et qui se trouvent actuellement dans le camp de Mambango.<br /><br />Une nouvelle milice Maï-Maï démantelée<br /><br />Vendredi, le  chef de poste administratif de la localité de Kyavinyonge, Paluku Barthélemy, a annoncé le démantèlement d’une nouvelle milice Maï-Maï non encore structurée, opérant dans le groupement Isale-Kasongwere, en territoire de Beni par les FARDC.<br /><br />« Cette milice ayant à sa tête Kasereka Mangasani est accusée d'actes de pillage et d'assassinats des civils dans le territoire de Béni », a-t-il indiqué à Xinhua.</div>

la Nation NORD-KIVU : 14 MILICIENS MAÏ-MAÏ SE SONT RENDUS AUX FARDC À BENI

Quatorze miliciens Maï-Mmaï se sont rendus mercredi 6 novembre2013 aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) au cam...

BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Après la chute du M23 : Elections 2014-2016, la CENI et la Monusco en mission d’évaluation au Nord-Kivu !

jED : Nord-Kivu, Un journaliste contraint de se refugier à Kinshasa à la suite des graves menaces de mort

CENI : prochain rendez-vous avec la CENI fixé au 9 décembre 2013

Abas le jeu de vocabulaire : M23, Serge Kambasu débloque Kampala !

GRANDS LACS : KIGALI ET KAMPALA RALLUMENT LE FEU

LA RDC ET LE M23 EN « JOURNÉE FINALE » LUNDI À KAMPALA

Même sans M23, les mines congolaises de l'Est contrôlées par les groupes armés

Accord ou déclaration de paix ? : Kinshasa-M23, ça coince à Kampala !

PROCESSUS ELECTORAL 2013-2016 : Malumalu présente la feuille de route des élections aux partis politiques

Confusion au quartier Bon Marché : les barrières d’un immeuble menacé d’écroulement enlevées, puis rétablies…de force !

Un accord sera signé aujourd’hui : Kampala, Bisimwa s’inquiète, la MP dénonce !

VIDEO.AS VITA CLUB 2-0 DCMP IMANA (2013-2014) phase aller de la Linafoot

NORD-KIVU : 14 MILICIENS MAÏ-MAÏ SE SONT RENDUS AUX FARDC À BENI

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

Blog Archive