Bill Clinton a démarré JB Mpiana grave aza irresponsable, affaire 10.000dollars (VIDEO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGzDxcKaKe7g8S6S8ML5DgcX_0PUGSmco043g24MNcUx3P5nwadZ4ilfyIsIiffSmm2Tzc753wsOEBrdbPJDPR-LR__ugujwuVEKpheAwHs3PvdCFIQi_vWSVk7AXx1OynhdoB8oV8Ah8/s1600/Snapshot_1995.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="316" data-original-width="796" height="79" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGzDxcKaKe7g8S6S8ML5DgcX_0PUGSmco043g24MNcUx3P5nwadZ4ilfyIsIiffSmm2Tzc753wsOEBrdbPJDPR-LR__ugujwuVEKpheAwHs3PvdCFIQi_vWSVk7AXx1OynhdoB8oV8Ah8/s200/Snapshot_1995.jpg" width="200" /></a></div> <iframe allow="autoplay; encrypted-media" allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/V9Nw37D3kFc" width="640"></iframe>

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L’0pposition est tombée dans le piège de la Kabilie :Elle dépose ses candidatures aux provinciales avant l’adresse du Président au Parlement devant les deux chambres réunies en Congrès

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVbwPl5BB8Tse_evt8gACDEqb1REpUO1KEn3shS4l5ymOrQjZ8CCZrgpdEfG5xwpd8pLb8jI6J3mf9BwI_dPy79y1ZDzKSYmphsKDm40D1N8l0N_ufOUy58NfQK8ulDBNekg59sA6Yt8s/s1600/Snapshot_6992.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="377" data-original-width="744" height="202" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVbwPl5BB8Tse_evt8gACDEqb1REpUO1KEn3shS4l5ymOrQjZ8CCZrgpdEfG5xwpd8pLb8jI6J3mf9BwI_dPy79y1ZDzKSYmphsKDm40D1N8l0N_ufOUy58NfQK8ulDBNekg59sA6Yt8s/s400/Snapshot_6992.jpg" width="400" /></a></div> <br /> Elle dépose ses candidatures aux provinciales avant l’adresse du Président au Parlement devant les deux chambres réunies en Congrès, celui-ci prendra la parole pour saluer les avancées du processus électoral qui vient de connaitre son étape irréversible : le dépôt des candidatures. On peut donner aller aux élections. La question électorale étant du domaine des affaires domestiques, il sera interdit aux étrangers de s’immiscer.<br /> On ira ainsi aux élections avec la machine à voter, le fichier électoral corrompu, la Cour constitutionnelle truquée, le Conseil d’Etat piegé... Ainsi, la tricherie sera consacrée surtout lorsqu’il faut passer en revue l’arrogance qui caractérise les propos du Président Nangaa.<br /> <br /> Elle refuse de déposer ses candidatures, en multipliant les préalables, la Kabilie ainsi que les nouveaux Opposants ou les Opposants recrutés vont aller aux élections sans Opposition et réussir à gagner haut la main toutes les élections, en s’assurant une majorité écrasante au Parlement qui va lui permettre de revoir la Constitution à guise et accorder à l’Autorité Morale du FCC, une présidence à vie.<br /> <br /> Dans tous les deux cas, Kabila a gagné.<br /> Dans tous les deux cas, le peuple a perdu. Dans tous les deux cas, la démocratie sera enterrée.<br /> <br /> L’unique issue, c’est l’application intégrale de l’Accord de la St Sylvestre qui avait coupé définitivement la route à une possible reconduction de la médiocrité au pouvoir ou à un referendum.<br /> <br /> Mais l’Opposition peut aussi déposer les candidatures et aller aux élections, étant donné que la machine à voter n’est pas inscrite dans le calendrier électoral, seulement les bulletins dont l’impression et le déploiement sont prévus.<br /> <br /> La crise congolaise n’est plus électorale avec les élections truquées de 2006 et celles chaotiques de 2011. Je crains que celles-ci aboutissent à l’effacement de la RDC sur la carte de l’Afrique.<br /> <b>Joel Cadet Ndanga</b>

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La plateforme politique ''Majorité Présidentielle'' risque une explosion dans les heures qui suivent.

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh29CLiCs2tb0FR0v7-bvPOPpNt3YSGn97G1zIA7TZWwykxfWfCASCk3aL_gNxXeb9RYcrelNU2F0-iT-05oOkGtU24dFNQvdsjQDBgX7ZZgghfQ1Wg5NFCFYHV6zU3F9uPjN5WphQgRlo/s1600/Snapshot_6991.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="597" data-original-width="500" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh29CLiCs2tb0FR0v7-bvPOPpNt3YSGn97G1zIA7TZWwykxfWfCASCk3aL_gNxXeb9RYcrelNU2F0-iT-05oOkGtU24dFNQvdsjQDBgX7ZZgghfQ1Wg5NFCFYHV6zU3F9uPjN5WphQgRlo/s400/Snapshot_6991.jpg" width="335" /></a></div> <br /> <br /> À la base, le refus de financer le dépôt des candidatures de tous les partis sociétaires de cette méga plateforme. Le Secrétariat Général de cette famille politique dont l'Autorité Morale est le Président Joseph Kabila a décidé de ne supporter que 60℅ pour l'ensemble des candidats des partis politiques membres.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Ce qui a provoqué un tollé et un véritable mécontentement dans les états-majors de tous les partis politiques qui attendaient que la famille politique ''Moupatas'' allait financer le dépôt des candidatures.<br /> <br /> Un très mauvais départ qui annonce également une campagne électorale dans un état de frustrations pour cette famille politique qui endosse le bilan catastrophique de la gestion du pays par Joseph Kabila depuis 2001.<br /> <br /> Outre ce refus de financer le dépôt des candidatures, l'on craint que ces députés n puissent faire face du syndrome nigérien ou indien où les anciens députés ont été lapidés par leurs électeurs quand ils sont entrés pour solliciter un nouveau mandat.<br /> <br /><br /><br /><br />Joel Cadet Ndanga<br /> À suivre

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À la base, le refus de financer le dépôt des candidatures de tous les partis sociétaires de cette méga plateforme. Le Secrétariat Généra...

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Après les « médiocres », le Cardinal Monsengwo dénonce les « satanistes »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEineqvqh3XUvLh4R2kxckK8OjRRSgZBy4XilF3rxMiBTZ64bHFWlY8_l9DNBzNeYo8iSBILqu4lKeWfXlWmJVDRCJJBodZ3qqD05HpGDZ29JyB5LRW4IIZvOm8Jalbe-CaDvOGID7AeloE/s1600/Snapshot_6987.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="440" data-original-width="562" height="312" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEineqvqh3XUvLh4R2kxckK8OjRRSgZBy4XilF3rxMiBTZ64bHFWlY8_l9DNBzNeYo8iSBILqu4lKeWfXlWmJVDRCJJBodZ3qqD05HpGDZ29JyB5LRW4IIZvOm8Jalbe-CaDvOGID7AeloE/s400/Snapshot_6987.jpg" width="400" /></a></div> En dépit de son âge avancé et de son départ imminent à la retraite, le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, Archevêque de Kinshasa, continue de secouer les milieux politiques et intellectuels congolais à travers des réflexions peu tendres à l’endroit des hommes et femmes chargés de la gestion de la chose publique en République Démocratique du Congo.<br /> Ce prince de l’Eglise catholique, qui avait terriblement fait bouger le microcosme politique congolais en fin d’année dernière en parlant des « médiocres » qui refusent de « dégager », après avoir conduit le pays au fond du gouffre aux plans politique, sécuritaire, économique, social et culturel, est revenu à la charge le week-end dernier.<br /> <br /> Dans une homélie au vitriol, le prélat catholique a, cette fois,<br /> décoché des flèches empoisonnées en direction des « satanistes ». Il<br /> s’agit, selon sa vision, des ces gouvernants et mandataires publics<br /> qui s’illustrent par un enrichissement sans cause, au milieu d’un<br /> océan de misère, après avoir fait main basse sur les biens et deniers<br /> publics.<br /> «Quand tu voles l’argent public et du deviens riche alors que le<br /> peuple souffre, tu es sataniste », tranche-t-il. Et de souligner que<br /> « Tôt ou tard, tu vas payer cela. Car Dieu n’est pas injuste. Ce sont<br /> ceux qui ont un cœur droit que Dieu bénit, car ceux qui volent<br /> l’argent de l’Etat et ils sont heureux avec leurs biens mal acquis,<br /> Dieu finira par les punir ».<br /> Dans ce message fort interpellateur pour ceux et celles qui se<br /> reconnaissent dans ses propos, le Cardinal Monsengwo avertit que «<br /> Leurs enfants ou leurs petits-fils payeront aussi les fautes de leurs<br /> pères ou de leurs grands-pères. Ne soyez jamais heureux que votre père<br /> ou votre grand-père soit un riche parce qu’il est un dictateur ou un<br /> riche avec les biens mal acquis ».<br /> Moraliste, le numéro un de l’Eglise catholique de Kinshasa fait cette<br /> recommandation à ses paroissiens mais aussi à l’ensemble de sa<br /> communauté ecclésiastique : « Ne soyons pas comme des gens qui font de<br /> multiples péchés et ils s’en foutent. Le chrétien n’est pas comme<br /> cela, car le chrétien doit avoir peur du péché. Quand il a péché, il<br /> demande pardon à Dieu et il pleure pour son péché ».<br /> Comme à ses habitudes, ses messages ont souvent en étroite<br /> corrélation avec l’environnement politique et social. Dans le contexte<br /> actuel des incertitudes qui planent sur la tenue des élections<br /> présidentielle, législatives nationales et provinciales, Mgr Monsengwo<br /> apporte un soutien public aux forces politiques et sociales qui se<br /> battent pour un changement de gouvernance au sommet de l’Etat : «<br /> Quand rien ne marche dans ton pays, quand un individu veut prendre le<br /> pouvoir par la force, et veut prendre plus de 80 millions d’habitants<br /> en otage, tu as le droit de te lever et combattre cette dictature.<br /> C’est ton devoir patriotique, toi chrétien ! Un chrétien est une<br /> personne de la justice… ».<br /> <br /> Nouveau cou-de-pied dans la fourmilière…<br /> <br /> A l’analyse des propos de l’Archevêque de Kinshasa, il s’avère que<br /> les « satanistes » et les « médiocres » présentent les mêmes tares :<br /> boulimie du pouvoir, égoïsme, clochardisation du grand nombre, pillage<br /> des ressources nationales, course effrénée à l’enrichissement<br /> personnel, abus des biens et avoirs publics, gestion calamiteuse du<br /> pays, refus de démocratiser la vie publique, refus de passer la main<br /> aux plus méritants par la voie des urnes, etc.<br /> Le Cardinal Monsengwo voit, dans les « satanistes », une caste de<br /> privilégier qui ont échoué dans la conduite des affaires de l’Etat et<br /> qui ont très peur de la sanction du souverain primaire. Aussi<br /> exhorte-t-il celui-ci à résister pour se choisir ses futurs<br /> gouvernants par le biais des élections.<br /> Au vu du tollé suscité, dans les cercles politiques du pouvoir, par<br /> sa réflexion sur les « médiocres », amplifiée par le pasteur<br /> protestant Ekofo lors du culte religieux organisé le 16 janvier 2018,<br /> en marge de la fête commémorative des héros nationaux Lumumba et LD<br /> Kabila – qui avait dû s’exiler aux USA pour échapper aux courroux des<br /> décideurs politiques- il y a fort à parier que Mgr Monsengwo va faire<br /> l’objet d’un nouveau lynchage médiatique. Tous ceux et toutes celles<br /> qui s’estiment visés par ses propos ne vont certainement pas rester<br /> sans voix. A défaut de répondre à visage découvert, ils vont laisser<br /> cette besogne à leurs sous-fifres.<br /> Kimp

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En dépit de son âge avancé et de son départ imminent à la retraite, le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, Archevêque de Kinshasa, continu...

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CPI : L’acquittement de Bemba plane sur l’affaire de subornation de témoins

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkpa5SYg7kfI5a_56hG5NhZ5_p9g_ZVC-DNX5dSkyflPNbbJfZ3LX1FL3tDZSg5FvSh5aZx7FgeWIbIn3IpnjDoU9IBwz9J57jDiRJsxOMRc0RFbiKirWKL8mqrJq1Y8S9l-kx1Lyd9ec/s1600/Snapshot_6986.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="361" data-original-width="640" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkpa5SYg7kfI5a_56hG5NhZ5_p9g_ZVC-DNX5dSkyflPNbbJfZ3LX1FL3tDZSg5FvSh5aZx7FgeWIbIn3IpnjDoU9IBwz9J57jDiRJsxOMRc0RFbiKirWKL8mqrJq1Y8S9l-kx1Lyd9ec/s400/Snapshot_6986.jpg" width="400" /></a></div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Par <a href="http://www.rfi.fr/auteur/rfi" style="background-color: transparent; box-sizing: border-box; color: #444444; text-decoration-line: none;">RFI</a> </span></div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Le cas de Jean-Pierre Bemba est une nouvelle fois devant la Cour pénale internationale. Une audience dans l’affaire de subornation de témoins se tient à La Haye, ce mercredi 4 juillet. L’ancien vice-président congolais a été condamné de manière définitive dans ce dossier et attend d’être fixé sur sa peine. Mais cette audience intervient surtout un mois après l’acquittement surprise en appel de Jean-Pierre Bemba dans l’affaire de crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en Centrafrique. Un acquittement dont il est beaucoup question dans l’audience de ce mercredi.</span></div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> Les avocats de la défense estiment que l’audience de ce mercredi tourne un peu au procès de la décision d’<span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;"><a href="http://www.rfi.fr/afrique/20180608-cpi-jean-pierre-bemba-acquitte-appel" style="background-color: transparent; box-sizing: border-box; color: #444444; text-decoration-line: none;">acquittement de Jean-Pierre Bemba en appel</a></span>. Ils ont demandé aux juges de ne pas tenir compte du « <em style="box-sizing: border-box;">désaccord continuel</em> », déjà exprimé publiquement par la procureure générale de CPI, Fatou Bensouda, concernant cette décision.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> « <em style="box-sizing: border-box;">Le verdict existe et il est final</em> », a même rappelé Me Melinda Taylor, l’avocate de Jean-Pierre Bemba. Pour la défense, quand le bureau du procureur demande la peine maximale de cinq ans de prison pour l’ancien vice-président et deux membres de son équipe de défense parce que <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;"><a href="http://www.rfi.fr/afrique/20161019-rdc-jean-pierre-bemba-juge-coupable-subornation-temoins-cpi" style="background-color: transparent; box-sizing: border-box; color: #444444; text-decoration-line: none;">la subornation de 14 témoins</a></span> a favorisé l’acquittement de Jean-Pierre Bemba, il s’agit d’un avis subjectif.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Nouveau document</span></div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> L’avocate de l’opposant congolais s’est insurgée contre l’enregistrement au greffe d’un nouveau document la veille de l’audience, développant cette ligne d’accusation, introduisant même, dit-elle, de nouveaux éléments alors que Jean-Pierre Bemba a déjà été condamné de manière définitive pour des cas précis.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> Les juges ont reconnu que la défense avait le droit de se sentir prise en embuscade pour l’introduction d’un document de plusieurs dizaines de pages dans le registre de la cour alors que normalement, la procédure ne permettait plus l’enregistrement au greffe de requêtes écrites par les parties.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">La question sensible des témoignages</span></div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> La cour a néanmoins décidé de les entendre. Pour le bureau du procureur, il est clair que si 14 des 34 témoins de la défense ont été entraînés à donner certains témoignages par écrit ou à l’oral et que d’autres ont eu des contacts réguliers avant leur témoignage, cela a eu une influence sur la décision d’acquittement.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> Car c’est sur la base de certains de ces témoins que la chambre d’appel a décidé de casser la condamnation de <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;"><a href="http://www.rfi.fr/emission/20160622-rdc-18-ans-prison-jean-pierre-bemba-justice-internationale-cpi" style="background-color: transparent; box-sizing: border-box; color: #444444; text-decoration-line: none;">Jean-Pierre Bemba à 18 ans de prison</a></span>, en disant que plusieurs circonstances atténuantes n’avaient pas été prises en compte par les juges de première instance.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">« <em style="box-sizing: border-box;">Leur plan a fonctionné</em> »</span></div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> Le représentant de Fatou Bensouda cite par exemple le témoignage du témoin D14 auquel l’avocat de Jean-Pierre Bemba de l’époque, Me Aimé Kilolo, co-condamné pour subornation de témoins, avait demandé d’atténuer l’idée que Jean-Pierre Bemba avait connaissance des crimes commis par ses troupes en Centrafrique.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> Le premier substitut du procureur cite d’autres témoins, d’autres affirmations et des passages de la décision d’acquittement. « <em style="box-sizing: border-box;">Leur plan a fonctionné</em> », n’a cessé de répéter le représentant de Fatou Bensouda.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;"><a href="http://www.rfi.fr/afrique/20161019-rdc-jean-http:/www.rfi.fr/afrique/20180704-cpi-nouvelle-audience-deuxieme-proces-jean-pierre-bemba" style="background-color: transparent; box-sizing: border-box; color: #444444; text-decoration-line: none;">Ce mercredi matin</a></span>, c’est donc principalement le bureau du procureur qui s’est exprimé. Les avocats de la défense de Me Jean-Jacques Kabongo ont commencé à s’exprimer, mais la cour a prononcé une suspension d’audience. Les plaidoiries ont repris à 14h et devaient se poursuivre cet après-midi jusqu’à 16h.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Open Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <br /></div>

Justice CPI : L’acquittement de Bemba plane sur l’affaire de subornation de témoins

Par  RFI   Le cas de Jean-Pierre Bemba est une nouvelle fois devant la Cour pénale internationale. Une audience dans l’affaire de subor...

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Çà brûle Entre Fally Ipupa Et Anita Mwarabu : Fally aza ko étouffer ye na na FVICTEAM carrière ezo décollé te ! (vidéo)

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RDC-Uvira: Plusieurs dizaines de morts depuis le début de la violence à Bijombo

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFZFYqS_AiHrU30K0vrIr7w7t83PWoNh4OYrKxegxS_C8Xy5ILwmIEIbQjghsScRbFtGgzitECQjwNV1FJAXwk9FZse5c_y1ieXFEz-dg-H4DgmgG4_TKn5qzL4jTGY7P7LhexBlhUW-M/s1600/Snapshot_6985.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="370" data-original-width="659" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFZFYqS_AiHrU30K0vrIr7w7t83PWoNh4OYrKxegxS_C8Xy5ILwmIEIbQjghsScRbFtGgzitECQjwNV1FJAXwk9FZse5c_y1ieXFEz-dg-H4DgmgG4_TKn5qzL4jTGY7P7LhexBlhUW-M/s400/Snapshot_6985.jpg" width="400" /></a></div> Au moins 78 civils sont tués depuis 2017 suite aux affrontements communautaires dans les hauts plateaux de Bijombo, (Sud-Kivu), a rapporté ce jeudi 5 juillet 2018 la société civile du territoire d’Uvira. Selon elle, les jeunes armés appartenant aux communautés locales s’affrontent pour revendiquer la propriété des villages.<br /> <br /> «78 morts parmi les civils sans compter les maisons incendiées», a affirmé ce jeudi à ACTUALITE.CD, le président de la société civile d’Uvira, Mazaliwa Kamanzi. «La détention illégale d’armes est à la base de tout ce que nous sommes en train de connaître aujourd’hui avec comme conséquences notamment les vols des vaches et l’incendie des maisons. Et comme il y a absence totale de l’Etat à cet endroit, ça devient pire», a-t-il ajouté.<br /> <br /> Bijombo est une région difficile d’accès dans les Hauts plateaux d’Uvira. La société civile parle des groupes des jeunes armés qui se sont organisés sur base d’appartenance communautaires qui s’affrontent depuis 2017.<br /> <br /> «Cette situation a commencé en 2017. Il y a un groupe de jeunes banyamulenge dénommé «kigwaniho» et l’autre groupe chez les bafuliru, bayumbu et babembe qui s’appelle «iloza bishambuke». Quand ces jeunes, tous armés se retrouvent autour de l’alcool, ils se chamaillent et se mettent à s’échanger des tirs et cela provoque le déplacement de la population. Cette situation a évolué de cette manière avant de prendre de l’ampleur en janvier 2018 car d’autres personnes se sont ajoutées avec l’idée de revendiquer des groupements. Et ces jeunes armés sont utilisés pour réclamer des groupements pendant que les autres se défendent contre l’occupation. Il y a aussi les Mai-Mai qui ne font pas partie de ces deux groupes de jeunes qui s’entremêlent et les combats s’intensifient de cette manière-là», a expliqué Mazaliwa Kamanzi, président de la société civile d’Uvira.<br /> <br /> L’armée a dit travailler pour « calmer » les affrontements communautaires dans la région.<br /> <br /> «Ce sont des communautés qui s’affrontent, elles ont été en contact avec le secteur opérationnel. Nos éléments sont en train de calmer la situation pour le moment. C’est un problème de leadership entre les communautés Banyamulenge, Bafulero et Babembe. Nous avons la situation en main, l’armée calme le jeu. Ce n’est pas la rébellion», a dit mercredi à ACTUALITE.CD, le Major Jean-Louis Tshimwanza, porte-parole militaire au Sud-Kivu.<br /> <br /> «La société civile a déjà envoyé une commission de pacification à Bijombo mais jusqu’à présent cette commission est bloquée dans les hauts plateaux. Nous demandons urgemment aux autorités de déployer une force qui doit aller neutraliser et désarmer ces jeunes armés afin de protéger la population civile à Bijombo», a-t-il plaidé.<br /> <br /> D’après le Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA), environ 76 000 personnes ont fui la région suite à ces violences pour trouver refuge notamment dans le territoire de Mwenga.<br /> <br /> Seize formations sanitaires des Hauts Plateaux de Bijombo, dont l’Hôpital général de référence de Katanga, sont affectées, privant près de 95 000 personnes de soins de santé de qualité, dit la même source.<br /> <br /> Patrick Maki

Politique RDC-Uvira: Plusieurs dizaines de morts depuis le début de la violence à Bijombo

Au moins 78 civils sont tués depuis 2017 suite aux affrontements communautaires dans les hauts plateaux de Bijombo, (Sud-Kivu), a rapporté...

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GUERRE ENTRE JB MPIANA ET FALLY IPUPA : FALLY IPUPA ABOYI BA MUSICIENS NA YE BA LEKA NA TV (VIDEO)

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Bercy Mwana : Frère Patrice ayaki ko sambela pona nga na PRISON YA MAKALA et FERRE GOLA ASUNDOLAKI YE (VIDEO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-IA_xqsGlzKLlALJpZnVqBKZQwsQq97QOHVfXapVUoReYdHEn8VZl0I0rytqQkHT1LpddSxoCJn4Dy-LPI6SAGGHO_JbHrDWKgfMa64HGe4FOTu8xx8QA6NWCpwp8ken98RhtGo0ObaU/s1600/Snapshot_6984.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="407" data-original-width="851" height="190" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-IA_xqsGlzKLlALJpZnVqBKZQwsQq97QOHVfXapVUoReYdHEn8VZl0I0rytqQkHT1LpddSxoCJn4Dy-LPI6SAGGHO_JbHrDWKgfMa64HGe4FOTu8xx8QA6NWCpwp8ken98RhtGo0ObaU/s400/Snapshot_6984.jpg" width="400" /></a></div> <br /> <iframe allow="autoplay; encrypted-media" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/DKhZkZX87EU" width="654"></iframe>

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ANNONCANT SON DEPART DU PARTI NOËL BOTAKILE RENONCE-T-IL À SON POSTE ACQUIS DANS LE QUOTA PALU ?

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEia1zNJT2ny1Jf0wppWSN7TrNiNngs6p88_h_HnHyTlpRQ0yg9cheHY_jugxZtwUiDuiKLJjV3ZBeudzriEo6QRE5vQxjdZ4bsiGUR3pAhmnP85MYviPLNhL3Mbvldz8J3aK1hpCm976J8/s1600/Snapshot_1994.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="314" data-original-width="558" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEia1zNJT2ny1Jf0wppWSN7TrNiNngs6p88_h_HnHyTlpRQ0yg9cheHY_jugxZtwUiDuiKLJjV3ZBeudzriEo6QRE5vQxjdZ4bsiGUR3pAhmnP85MYviPLNhL3Mbvldz8J3aK1hpCm976J8/s400/Snapshot_1994.jpg" width="400" /></a>* Désormais, son nom figure sur la liste des membres du Gouvernement qui ont signé la charte constitutive du FCC.<br /> <br /> Le vice-ministre de l’Agriculture, Noël Botakile Batanga, a quitté son ancien parti, le Parti Lumumbiste unifié (PALU) du patriarche Antoine Gizenga, pour créer sa propre formation politique. Il l’a personnellement annoncé le mardi 03 juin, à l’occasion de la signature de la Charte constitutive du Front pour le Congo (FCC), plateforme politique et électorale initiée par le Président Joseph Kabila.<br /> <br /> "J’ai décidé de créer mon propre parti politique pour agir en toute indépendance d’esprit", a déclaré hier mercredi, le numéro 2 de l’Agriculture sur les antennes de Top Congo Fm qui a relayé la décision de ce dernier. <br /> Cependant, Noël Botakile n’a avancé aucune raison idéologique pour motiver son départ du parti cinquantenaire du quartier Des Marais de la commune de Matete.Au Palu, justement, des militants et certains cadres du parti considèrent le départ du vice-ministre de l’Agriculture comme un non-événement, estimant que sur le plan politique, le Prof est loin d’être un "poids lourd" pour le parti de "Mbuta". <br /> <br /> TIRER LES CONSEQUENCES DE SA DECISION<br /> Tout en concédant à la décision de l’élu de la circonscription de la Tshangu, le Palu pense que l’intéressé devrait aller jusqu’au bout de sa logique et tirer les conséquences qui s’imposent. <br /> En d’autres termes, Noël Botakile ne devrait pas se limiter à quitter le Palu. Bien plus. La conséquence de sa décision serait sa démission du poste de vice-ministre de l’Agriculture du Gouvernement Bruno Tshibala, acquis dans le quota du Palu et la renonciation à son mandat de député national, parce que justement élu sur la liste Palu.<br /> Par rapport à la députation, la loi est claire pour ce cas de figure. "Tout député national ou tout sénateur qui quitte délibérément son parti politique durant la législature est réputé renoncer à son mandat parlementaire, obtenu dans le cadre dudit parti politique", stipule la Constitution du 18 février 2006 en vigueur en RD Congo, spécialement en son article 110. Noël Botakile, en sa qualité de membre du Groupe parlementaire Palu et Alliés, avant sa nomination au sein de l’Exécutif de mai 2017, n’ignore pas cela. <br /> <br /> " JE SAIS QUE LE PALU VA SIGNER… "<br /> En ce qui concerne la signature du Règlement constitutif du FCC par son ancien parti politique, le vice-ministre de l’Agriculture n’a pas caché son optimisme. " Je sais que le PALU va signer la Charte ", a-t-il déclaré. <br /> A la suite de cette déclaration, certains observateurs estiment que si la raison du départ du PALU est l’adhésion librement consentie au FCC, Noël Botakile devrait se "cacher" derrière la décision de son parti, plutôt que d’agir en loup solitaire. <br /> <br /> POURQUOI AVOIR SIGNE EN SOLO ?<br /> "Car si Noël Botakile savait que le PALU allait signer la Charte du FCC, pourquoi a-t-il alors agi en solo ? Pourquoi n’a-t-il pas attendu que l’engagement soit pris par le parti au nom de tous ses membres ?", se demandent des observateurs qui ont suivi la déclaration hier, du désormais ancien cadre du parti gizengiste. <br /> Quoiqu’il en soit, l’adhésion à un parti, tout aussi que le départ, sont des actes librement acquiescés.<br /> De ce point de vue, Noël Botakile aura donc usé de ses libertés fondamentales. <br /> A théoriquement sept mois de la fin de la législature en cours, issue des élections de 2011, peut-être que l’intéressé a estimé ne rien perdre, en se débarrassant publiquement de la casquette gizengiste. Pour si peu que son départ du Palu n’occasionne le dysfonctionnement de ce parti politique vieux de plus de 50 ans.<br /> Laurel KANKOLE

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* Désormais, son nom figure sur la liste des membres du Gouvernement qui ont signé la charte constitutive du FCC. Le vice-ministre de l’Ag...

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LE GPI SIGNE OFFICIELLEMENT LA CHARTE DU FCC

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFhT2hJlPe57Pvz_FaWlt2zx-GDmIBQKLSOSAx1KZBf0OFUIxepJWAKH2Zzj7-vQwwqcmPpa1EHlWMkgLdQD-2hrwZ3HP8fRDJakpwnDLEr4GfQ4KXdW3gvSO8WLJcD9I-l2mEkR6Qzvw/s1600/Snapshot_1993.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="373" data-original-width="554" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFhT2hJlPe57Pvz_FaWlt2zx-GDmIBQKLSOSAx1KZBf0OFUIxepJWAKH2Zzj7-vQwwqcmPpa1EHlWMkgLdQD-2hrwZ3HP8fRDJakpwnDLEr4GfQ4KXdW3gvSO8WLJcD9I-l2mEkR6Qzvw/s400/Snapshot_1993.jpg" width="400" /></a></div> Le Groupe des Partis Indépendants, GPI, a officiellement signé la Charte constitutive du Front Commun pour le Congo (FCC), le mardi 3 Juillet dernier à Pullman Hôtel de Kinshasa. Cette adhésion s’est déroulée au au cours de la cérémonie solennelle de signature organisée par le comité stratégique.<br /> <br /> A travers la signature apposée au bas de la Charte du FCC par le Coordonnateur national de cette plate-forme et Président national de l’UDS, Crispin Kabasele Tshimanga, le GPI confirme qu’il devient membre à part entière de cette nouvelle coalition politique congolaise.<br /> "Le GPI remercie ainsi l’Autorité morale du FCC, Joseph Kabila, pour son implication personnelle dans les démarches qui ont positivement abouti à la signature de ladite Charte par ce regroupement politique", annonce un communiqué de presse.<br /> Pour cette plateforme politique, "cette adhésion est la preuve de l’engagement patriotique du GPI au combat que mène le Président de la République, Chef de l’Etat, pour l’affermissement et la consolidation de l’indépendance nationale ".<br /> Force politique de gauche, le GPI estime, " que le moment est venu pour que la gestion de la res publica réponde aux attentes et aspirations profondes du Peuple congolais "<br /> Ce mouvement politique encourage enfin les congolaises et les congolais réunis au sein du Front Commun pour le Congo autour du Président de la République, Joseph Kabila, à "dépasser leurs intérêts, à lutter contre la corruption, les détournements des deniers publics, et à combattre le clanisme, le tribalisme, le régionalisme, l’ethnicisme pour mieux servir notre Peuple".<br /> Le GPI se dit fier ainsi d’être "le premier regroupement politique congolais à adhérer au Front Commun pour le Congo au lendemain de sa création". Dina BUHAKE

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Le Groupe des Partis Indépendants, GPI, a officiellement signé la Charte constitutive du Front Commun pour le Congo (FCC), le mardi 3 Juil...

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DANS L’OPTIQUE DES ELECTIONS APAISEES RDC : L’UNION AFRICAINE EXHORTE LA CLASSE POLITIQUE À PRIVILÉGIER LE DIALOGUE ET LE CONSENSUS

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSusX0KbzjgYXQYjcCVpWEvo2p1eynX82szZ-Q0EQ20EQSLfeVdnZ-arHwC12bQzGoQjBe8lZ_UHXra-naF7nOGmrhNo_ZreFq_Ku52zxrBR-_3uNAafiHGrLDBnUzx4L3xC8ju4ZHVUc/s1600/Snapshot_1992.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="419" data-original-width="553" height="302" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSusX0KbzjgYXQYjcCVpWEvo2p1eynX82szZ-Q0EQ20EQSLfeVdnZ-arHwC12bQzGoQjBe8lZ_UHXra-naF7nOGmrhNo_ZreFq_Ku52zxrBR-_3uNAafiHGrLDBnUzx4L3xC8ju4ZHVUc/s400/Snapshot_1992.jpg" width="400" /></a>Les rideaux sont tombés sur la 31ème session du Sommet de l’Union africaine, tenue du 1er au 2 juilet dernier à Nouakchott, capitale de la Mauritanie. L’occasion a été propice pour les chefs d’Etat africains de passer en revue la situation qui prévaut en RDC. Ils ont, à ce propos, exhorté la classe politique congolaise à privilégier le dialogue et le consensus, en vue des élections apaisées.<br /> <br /> La conférence de l’Union africaine (UA) a adressé ses félicitations au gouvernement de la République Démocratique du Congo et à la Commission nationale électorale indépendance (CENI) pour des efforts déployés dans la préparation et l’organisation des prochaines élections générales, prévues le 23 décembre 2018.<br /> Dans la déclaration finale diffusée à l’issue de la 31ème session ordinaire de ce Sommet de l’UA, les chefs d’Etat africains ont encouragé les acteurs politiques et sociaux congolais à faire les compromis nécessaires, en vue de préserver un dialogue continu et un esprit de consensus, comme seul moyen pour la conduite d’élections pacifiques.<br /> La Conférence exhorte, en outre, les autorités congolaises de continuer à coopérer pleinement avec la Mission de stabilisation des Nations Unies en RDC (MONUSCO) et la Brigade d’intervention pour les opérations visant à neutraliser les groupes armés dans l’Est de la RDC.<br /> <br /> L’UA SALUE LA LUTTE CONTRE EBOLA<br /> S’agissant de l’épidémie à virus Ebola, la Conférence exprime sa solidarité envers le peuple congolais. Elle se félicite des efforts déployés pour endiguer cette maladie. <br /> Les parties prenantes ont profiré de l’occasion pour saluer les efforts fournis avec le soutien de la Commission de l’Union africaine, de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), de la Conférence internationale pour la région des Grands Lacs (CIRGL), de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et d’autres Etats membres de l’UA et des Nations Unies.<br /> La délégation de la RDC à la 31ème session ordinaire de l’UA était conduite par le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et intégration régionale Léonard She Okitundu, représentant le Président de la République, Joseph Kabila Kabange. <br /> FDA

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Les rideaux sont tombés sur la 31ème session du Sommet de l’Union africaine, tenue du 1er au 2 juilet dernier à Nouakchott, capitale de la M...

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L’ETAPE DE PRESTATION DE SERMENT FRANCHIE HIER COUR CONSTITUTIONNELLE : L’ÉQUATION ÉLECTORALE EN VUE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFef_oPavyIcoQt2n5TFXGEqqgtQDqaFJco-u0pbaQ-1KkE6BVHhPVXM_eQ24ssG5zVvXK95iAHFK0jilGGs8UJxa8llIs5xSY6tg5bYls-we_Ag5njyqOAcIBvTy8xe4apwsUtjRF3i8/s1600/Snapshot_1990.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="374" data-original-width="556" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFef_oPavyIcoQt2n5TFXGEqqgtQDqaFJco-u0pbaQ-1KkE6BVHhPVXM_eQ24ssG5zVvXK95iAHFK0jilGGs8UJxa8llIs5xSY6tg5bYls-we_Ag5njyqOAcIBvTy8xe4apwsUtjRF3i8/s400/Snapshot_1990.jpg" width="400" /></a>Le procureur général près la Cour constitutionnelle, les neuf juges, les Premiers avocats généraux et les avocats généraux près cette Cour, ont juré d’exercer leurs fonctions en toute impartialité et dans le respect de la Constitution et des lois du pays avec dignité. C’était au cours d’une cérémonie solennelle de prestation de serment devant le Président de la République, organisée hier mercredi 04 juillet dans la salle de Congrès du Palais du peuple, siège du Parlement. La manif s’est déroulée en présence des Parlementaires, des membres du Gouvernement, des responsables des institutions d’appui à la démocratie et des chefs de corps constitués.<br /> <br /> Forte de vingt et un membres dans son ensemble, la Cour constitutionnelle est composée d’un Procureur général, de 9 juges expérimentés, quatre Premiers Avocats généraux et sept Avocats généraux dont trois femmes. Parmi les neuf hauts magistrats qui ont prêté serment hier, cinq siègent depuis 2014. Il s’agit du président actuel de cette Cour, Benoit Lwamba Bindu, Jean-Pierre Mavungu, professeur en droit à l’Université de Kinshasa et ancien directeur de cabinet du président de l’Assemblée nationale, Evariste Funga Molima, Corneille Wasenda Nsongo et Noël Kilomba Ngozi Mala. Les quatre autres ayant été récemment nommés au terme des ordonnances d’organisation judiciaire, prises par le Président de la République le 11 juin dernier. <br /> Les nouveaux membres sont Jean Ubulu Pungu, détenteur d’une licence en Droit de l’ex-Université nationale du Zaïre depuis 1981 et ancien substitut du procureur au Parquet de Grande instance de Mbanza-Ngungu, Norbert Nkulu Kilombo avocat de carrière pétri d’expérience. En 2006, il avait été avocat du candidat Kabila arbitré à la Cour suprême de justice, dans le contentieux électoral ayant opposé le candidat Joseph Kabila Kabange à son principal challenger Jean-Pierre Bemba Gombo. Pas seulement. Le CV de Me Norbert Nkulu renseigne qu’Il a également exercé la fonction de Directeur de cabinet adjoint du Président de la République, Joseph Kabila, avant d’être nommé ambassadeur de la RDCongo au Rwanda. <br /> Les deux autres juges sont l’émanation du Parlement. Il s’agit de l’ancien député national, François Bokona Wiipa, désigné au mois de mai dernier en remplacement de son collègue Eugène Banyaku Luape qui, comme Jean-Louis Esambo, avaient démissionné de leur fonction de membre de la Cour constitutionnelle début avril de cette année. Agé de 51 ans et élu d’Inongo dans l’actuelle province de Mai-Ndombe. François Bokona est considéré comme le benjamin de la Cour constitutionnelle. Avant son départ du Parlement pour la Cour Constitutionnelle, François Bokona fut de 2012 à mai 2018, président de la Commission Politique, administrative et judiciaire (PAJ) de l’Assemblée nationale. Avocat honoraire au barreau de Kinshasa-Gombe, il est titulaire d’une thèse de doctorat en Droit. <br /> Le tout dernier juge est l’ancien sénateur et PGR, Polycarpe Mongulu T’apangane, désigné au mois de juin dernier par le Sénat, pour remplacer Félix Vundwawe Te Pemako. Ce dernier a été nommé Premier Président du Conseil d’Etat. Ce, à la faveur de l’ordonnance d’organisation judiciaire n°18/048 du 11 juin 2018 signé à cet effet.<br /> <br /> UNE ETAPE DECISIVE FRANCHIE<br /> AU- delà de son caractère purement formaliste, la cérémonie de prestation de serment des membres de la Cour constitutionnelle hier au Palais du peuple, a valeur de symbole. Elle marque une étape importante que la Cour constitutionnelle a franchie dans son existence. C’est que désormais, elle peut fonctionner à plein régime. Rien à redire, quand on tient compte non seulement de ses compétences mais aussi du contexte politique actuel du pays, essentiellement marqué par les préparatifs des élections prévues le 23 décembre prochain. <br /> Conformément à la loi organique n°13/026 du 15 octobre portant son organisation et fonctionnement, la Cour constitutionnelle exerce une compétence matérielle spécifique. Elle est la juridiction pénale du Président de la République et du Premier ministre. Autrement dit, c’est elle qui a les compétences nécessaires de juger le Chef de l’Etat. Pas seulement. La Cour constitutionnelle a également dans ses attributions, la compétence de juger de la constitutionnalité des lois, des actes ayant force de loi, des édits et des règlements intérieurs de l’Assemblée nationale et du Sénat. C’est elle qui reçoit des recours en interprétation de la Constitution et tranche des conflits des compétences entre les pouvoirs législatif et exécutif, l’Etat et les provinces ainsi qu’entre les ordres de juridictions. <br /> En matière électorale, la Cour constitutionnelle est juge de la régularité du processus des élections présidentielle et législatives au niveau national et du référendum. De ce point de vue, la Cour a donc l’aptitude de connaitre les recours et trancher par ses arrêts les contentieux électoraux. En ce moment précis où d’évolution du processus électoral, marqué entre autres, par le dépôt de candidatures pour les législatives provinciales, le moindre retard dans le fonctionnement de la Cour constitutionnelle pourrait s’avérer contre-productif au regard de sa mission d’arbitrage des contentieux électoraux. <br /> Instituée par l’article 157 de la Constitution du 18 février 2006, la Cour constitutionnelle a été officiellement installée en mars 2015. Une installation traduite alors par la prestation de serment des neufs membres de la Cour au Palais du peuple, en présence du Raïs. Vu de la Constitution, le mandat des membres de la Cour constitutionnelle est de neuf ans non renouvelable. Cependant, la Cour est renouvelée par le tiers, tous les trois ans, à travers un tirage au sort. Laurel KANKOLE et Mathy MUSAU

Politique L’ETAPE DE PRESTATION DE SERMENT FRANCHIE HIER COUR CONSTITUTIONNELLE : L’ÉQUATION ÉLECTORALE EN VUE

Le procureur général près la Cour constitutionnelle, les neuf juges, les Premiers avocats généraux et les avocats généraux près cette Cour, ...

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HIER A LA CPI C’EST DEVANT LA CHAMBRE DE PREMIÈRE INSTANCE...

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Justice HIER A LA CPI C’EST DEVANT LA CHAMBRE DE PREMIÈRE INSTANCE...

C’est devant la Chambre de première instance VII de la CPI que les parties, dans l’affaire le Procureur près la CPI contre Jean-Pierre Bemba...

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Nice presse du 3 Juillet 2018:Loi sur la protection de l ' ex président Kabila inopportune (vidéo)

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Claude Mashala : La RD CONGO est au cœur d ' un complot à l ' Union Africaine pour chasser Kabila (vidéo)

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RDC - AFFAIRE FRANCK DIONGO : La défense exige la révision du procès (vidéo)

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Valentin Mubake : L’UDPS/Le Peuple, « n’ira pas aux élections »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDBrHUtkaSK1uPH1VXs_cvevbOC1xkJErv74RSwWh7yNokQy4G3KceKIdfcCAu7wrYaqGuUOBY1sBUR62cKlER1VdnL3OhyD62_uyHtmRZegdANarljWbE8npvxVYFkvTYCVOjlgM043s/s1600/Snapshot_6973.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="359" data-original-width="486" height="295" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDBrHUtkaSK1uPH1VXs_cvevbOC1xkJErv74RSwWh7yNokQy4G3KceKIdfcCAu7wrYaqGuUOBY1sBUR62cKlER1VdnL3OhyD62_uyHtmRZegdANarljWbE8npvxVYFkvTYCVOjlgM043s/s400/Snapshot_6973.jpg" width="400" /></a></div> <br /><br />Pas celles que veut organiser la CENI, « il faut d’abord qu’on définisse le contexte », a dit à TOP CONGO FM, Valentin Mubake (photo), avant que son parti dépose la liste de ses candidats aux prochains scrutins.<br /><br />« Les elections servent à donner à la population le choix d’élire ses propres dirigeants, pour son bien-être et donc les élections ne peuvent pas servir à reconduire des médiocres ».<br /><br />Pour Valentin Mubake, « les élections tel que définies dans les conditions actuelles », ne permettent pas d’élire les futurs vrais représentants du peuple.<br /><br />Et de citer,<br />« La fameuse machine à voter »<br />le fichier « corrompu, que Nangaa maintient, les personnes sans empreintes digitales sont des personnes fictives ».<br /><br /><br /><br /><br />Sans dire formellement qu’il boycottera les élections sous leur forme actuelle, Valentin Mubake déclare « ne pas vouloir crédibiliser un processus vicié. Il faut d’abord que ce processus soit assaini ».

Politique Valentin Mubake : L’UDPS/Le Peuple, « n’ira pas aux élections »

Pas celles que veut organiser la CENI, « il faut d’abord qu’on définisse le contexte », a dit à TOP CONGO FM, Valentin Mubake (photo), ava...

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L’Avenir : « Statut des anciens présidents de la République : les sénateurs rejettent la demande spéciale d’étendre la loi à d’autres personnalités »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNyZ1J-zM91bk3vOUCd5K0Bxs2SqfNdLgeTgshlWMx5FMxmZhq9sGUrLvKjbxnhAeMGE47RvrjwnR89Kuhz4_P2qIziru854uOJYchaez40wLqc3kaufSNNCU7Gj6KFofUY1rIJJi-cVU/s1600/Snapshot_6972.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="468" data-original-width="615" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNyZ1J-zM91bk3vOUCd5K0Bxs2SqfNdLgeTgshlWMx5FMxmZhq9sGUrLvKjbxnhAeMGE47RvrjwnR89Kuhz4_P2qIziru854uOJYchaez40wLqc3kaufSNNCU7Gj6KFofUY1rIJJi-cVU/s400/Snapshot_6972.jpg" width="400" /></a></div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 10px;"> <strong style="box-sizing: border-box;">Revue de presse du mercredi 4 juillet 2018</strong><br style="box-sizing: border-box;" /> <br style="box-sizing: border-box;" />La presse de Kinshasa revient sur le rejet par les Sénateurs des amendements proposés par la présidence de la République sur le projet de loi portant statut des anciens présidents de la République.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 10px;"> Les sénateurs ont levé l’option de ne pas étendre la loi portant statut des anciens présidents de la République à d’autres personnalités, rapporte<strong style="box-sizing: border-box;"> L’Avenir</strong>. Ils ont rejeté cette demande venue de la Présidence de la République unanimement et par le vote à main levée, renseigne le journal.<br style="box-sizing: border-box;" /> <br style="box-sizing: border-box;" />La commission spéciale qui travaille sur cette loi dispose de 24 heures pour aménager le texte pour son vote final qui aura lieu ce mercredi 4 juillet 2018 à la chambre haute du Parlement, avant d’être transmis à la Chambre basse pour une seconde lecture, précise le quotidien.<br style="box-sizing: border-box;" /> <br style="box-sizing: border-box;" />Les orientations de la présidence de la République sur cette proposition de loi, fait remarquer <strong style="box-sizing: border-box;">Forum des As</strong>, sont illégales et anticonstitutionnelles du fait que dans la constitution, nulle part il n’est donné pouvoir à la présidence de la République de faire des observations sur une proposition de loi.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 10px;"> Pour l’auteur de cette proposition de loi, Modeste Mutinga Mutuishayi, ancien rapporteur du Sénat, l’assemblée plénière de la chambre haute a « démontré sa sagesse », soulignant que l’objectif poursuivi par cette proposition de loi est de protéger et d’accorder quelques avantages aux anciens Présidents élus et non aux autres chefs des institutions de la République, rapporte <strong style="box-sizing: border-box;">L’Agence congolaise de presse</strong>.<br style="box-sizing: border-box;" /> <br style="box-sizing: border-box;" />Le Sénat « rétablit ainsi la loi Mutinga », conclut <strong style="box-sizing: border-box;">Le Potentiel</strong> qui prévient que le chemin à parcourir est encore long quand on connait les réticences de l’Assemblée nationale à s’allier aux options de la chambre haute. C’est dire que le Sénat a gagné juste une bataille, en tout cas, pas la guerre, conclut le tabloïd.<br style="box-sizing: border-box;" /> <br style="box-sizing: border-box;" />L’autre sujet qui intéresse les journaux de Kinshasa est la nomination des membres du cabinet de Moïse Katumbi.<br style="box-sizing: border-box;" /> <br style="box-sizing: border-box;" />Le cabinet de M. Katumbi est mis en place dans l’objectif de s’apprêter pour des élections prévues en décembre 2018, rapporte <strong style="box-sizing: border-box;">Actualite.cd</strong>. Le cabinet de Moïse Katumbi compte 44 conseillers qui sont placés sous la direction d’Olivier Kamitatu qui en est le directeur, précise le site web.<br style="box-sizing: border-box;" />Le portail cite notamment l’ancien député du PPRD, Francis Kalombo qui est désigné conseiller chargé des questions électorales et communication ou encore Salomon Idi Kalonda Della, nommé conseiller spécial et politique de Katumbi.<br style="box-sizing: border-box;" /> <br style="box-sizing: border-box;" />Avec ces nominations, le leader d’Ensemble fait mieux que respecter la parité, note <strong style="box-sizing: border-box;">Forum des As</strong>. Car, dans son équipe, le nombre de femmes est légèrement supérieur à celui d’hommes : 23 femmes contre 21 hommes, détaille le tabloïd.</div> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 16px;"> M. Katumbi « fait honneur à la parité » conclut ainsi <strong style="box-sizing: border-box;">Le Potentiel</strong> pour qui ce cabinet est à la mesure des ambitions de la plateforme qu’il dirige.</div>

Politique L’Avenir : « Statut des anciens présidents de la République : les sénateurs rejettent la demande spéciale d’étendre la loi à d’autres personnalités »

Revue de presse du mercredi 4 juillet 2018   La presse de Kinshasa revient sur le rejet par les Sénateurs des amendements proposés par la...

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DCMP 2-0 SM SANGA BALENDE , OTIS NGOMA : Aux supporters de Vclub, je ne peux que le dire Merci pour leur apport et soutien

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_7Hfn6jZTZlpRPhC4OBhhmjKCGHz61ZpWQkdYGldcX_Q54PxGNPekObBY3fJGRirA-FCGtcHlL05_asyQLIGtL7T3FBZmYHtV3Uffr36tdRyDXMow9rRPkpsx6oq8rVgjpzPco3hoaGQ/s1600/Snapshot_6971.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="503" data-original-width="757" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_7Hfn6jZTZlpRPhC4OBhhmjKCGHz61ZpWQkdYGldcX_Q54PxGNPekObBY3fJGRirA-FCGtcHlL05_asyQLIGtL7T3FBZmYHtV3Uffr36tdRyDXMow9rRPkpsx6oq8rVgjpzPco3hoaGQ/s400/Snapshot_6971.jpg" width="400" /></a></div> <span style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: "helvetica" , "arial" , sans-serif; font-size: 14px;">Les immaculés remportent donc la bataille de la 3eme place grace à un but de </span><span class="_5afx" style="direction: ltr; font-family: inherit;"><span class="_58cm" style="font-family: inherit;">Tulenge</span></span><span style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: "helvetica" , "arial" , sans-serif; font-size: 14px;"> et de </span><span class="_5afx" style="direction: ltr; font-family: inherit;"><span class="_58cm" style="font-family: inherit;">Tshibamba</span></span><span style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: "helvetica" , "arial" , sans-serif; font-size: 14px;">.</span><br /> <br /> Otis Ngoma : entraîneur de Dcmp : "On a pu bien se positionner après cette victoire qui était comme l'intersection à la troisième place mais le grand travail serait de remporter les trois matchs, un moindre faux pas, nous fera rater la compétition africaine.<br /> <br /> L'équipe reste concentrer et tous les matchs restants sont comme de finale pour nous.<br /> <br /> Aux supporters de Vclub, je ne peux que le dire Merci pour leur apport et soutien qui est comme une union sacrée, a conclu.<br /> <br /> <br /> <iframe allow="autoplay; encrypted-media" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/yVWHIfyd5s0" width="620"></iframe>

Sport DCMP 2-0 SM SANGA BALENDE , OTIS NGOMA : Aux supporters de Vclub, je ne peux que le dire Merci pour leur apport et soutien

Les immaculés remportent donc la bataille de la 3eme place grace à un but de  Tulenge  et de  Tshibamba . Otis Ngoma : entraîneur de Dcm...

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EN Direct : DCMP vs SM SANGA BALENDE ( Match retour LINAFOOT 2018 )

<iframe allow="autoplay; encrypted-media" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/yVWHIfyd5s0" width="640"></iframe>

Nos vidéos Sport EN Direct : DCMP vs SM SANGA BALENDE ( Match retour LINAFOOT 2018 )

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DES EMBALLAGES EN SACHET D’ "EAU PURE" DE PLUS EN PLUS RARES À KINSHASA

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQ69zNXhaG8VWTmA-SvdmbesOQaVqYrlAWGTK91X-W4eflBOABi0DHmsHraDgHf0oxuaAmOGraaq7biVWp6LaHO4ZeBwRmCH6CjcaumKhsUf-Crb68y3OaLanFGllfPQfiTT1W0wszeEs/s1600/Snapshot_1988.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="374" data-original-width="548" height="272" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQ69zNXhaG8VWTmA-SvdmbesOQaVqYrlAWGTK91X-W4eflBOABi0DHmsHraDgHf0oxuaAmOGraaq7biVWp6LaHO4ZeBwRmCH6CjcaumKhsUf-Crb68y3OaLanFGllfPQfiTT1W0wszeEs/s400/Snapshot_1988.jpg" width="400" /></a>A Kinshasa, deux jours après le moratoire accordé aux opérateurs économiques, les emballages plastiques se font un peu plus rares sur le marché. Les usines locales de fabrication d’eau en sachet, par exemple souffrent d’un manque criant de ces récipients à tel point que les détaillants ne savent plus renouveler leur stock d’eau.<br /> <br /> Cette carence en emballages en plastique dont souffrent les fabricants d’eau en sachet, communément appelé " eau pure " n’est que la conséquence directe dela mesure interdisant la production, l’importation, la commercialisation et l’utilisation des sacs, sachets et autres emballages en plastique. Mesure qui est entrée en vigueur à partir du 1er juillet prochain, sur instruction du Gouvernement de la République à travers le ministre de l’Industrie. Ce dernier est même revenu en charge, en promettant d’appliquer "la tolérance zéro" à l’égard de tout entrepreneur qui s’entêterait à produire et commercialiser les emballages plastiques sur toute l’étendue de la RDC.<br /> Dans cette perspective, le ministre de l’Economie a encouragé les entreprises qui produisent des emballages plastiques à recycler leurs produits. Il a, à cet effet, salué la collaboration des gouverneurs de provinces issues de l’ancien Katanga dans la mise en application de cette mesure du gouvernement. "Je suis heureux de vous informer que dans la province du Haut Katanga, j’ai eu des entretiens avec le gouverneur. Il est déjà sur un projet de recyclage avec les Chinois. J’ai été à Kolwezi, à Kalemie ... où j’ai constaté que tous les gouverneurs s’activent pour accompagner les opérateurs économiques de sorte qu’on ait des entreprises qui recyclent", conseille-t-il, soulignant qu’un sachet en plastique fait plus de 500 ans sans se détruire. <br /> Selon lui, ces sachets ont "un méfait incroyable à travers tout le pays". Il a évoqué notamment des inondations enregistrées récemment à Kinshasa et qui ont causé mort d’homme parce que les caniveaux sont bouchés. Le même scénario s’observe dans les villes de l’ex-Katanga, a-t-il déploré. A en croire le ministre, Kinshasa dispose déjà des Start up disposés à produire les sacs en papiers. Rachidi MABANDU

Société DES EMBALLAGES EN SACHET D’ "EAU PURE" DE PLUS EN PLUS RARES À KINSHASA

A Kinshasa, deux jours après le moratoire accordé aux opérateurs économiques, les emballages plastiques se font un peu plus rares sur le mar...

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PROPOSITION DE LOI DE MODESTE MUTINGA MUTWISHAYI LE SÉNAT OPTE POUR LE STATUT DU SEUL CHEF DE L’ETAT ÉLU, SANS AUCUNE EXTENSION !

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJeEZ8nO5Of_r-_CqkN4BzMvAGxY30VeK9CsocyP1mFlGR-qzfET13G9-Hf01cnIdqJ6HmKc1AfxU8uKg7s8Qrz_MU1WMaEeHFwCRgIukZvoy9JUXqtVAZLt11bTeUNmqju5iUMk0z9L4/s1600/Snapshot_1987.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="305" data-original-width="558" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJeEZ8nO5Of_r-_CqkN4BzMvAGxY30VeK9CsocyP1mFlGR-qzfET13G9-Hf01cnIdqJ6HmKc1AfxU8uKg7s8Qrz_MU1WMaEeHFwCRgIukZvoy9JUXqtVAZLt11bTeUNmqju5iUMk0z9L4/s400/Snapshot_1987.jpg" width="400" /></a>*Le Président Kengo annonce le Congrès de ce mercredi pour la prestation de serment d’un membre de la Cour constitutionnelle.<br /> <br /> C’est à la plénière d’hier que les sénateurs ont voté, en ce qui concerne la proposition de loi de Modeste Mutinga Mutwishayi sur le statut d’ancien d’Etat élu, l’option que la loi vise le seul Président de la République élu. Il n’est donc pas question de l’étendre aux autres chefs de corps constitués comme voulu par la Présidence de la République dans ses observations. Les sages ont donc rejeté, par ce vote toute extension possible des avantages de cette loi aux autres personnalités. <br /> <br /> La proposition de loi sur le statut d’ancien chef de l’Etat était confiée à la Commission spéciale qui a abattu un travail de fourmi pour y intégrer les amendements présentés par les sénateurs. Auparavant, le Rapporteur du Sénat Flore Musendu Flungu a présenté à la plénière les deux options sur lesquelles elle devait se prononcer par vote sur deux options de base venant des orientations dégagées par les deux Bureaux des deux Chambres parlementaires. <br /> La première est celle qui veut que la loi sur le statut d’ancien chef de l’Etat élu ne concerne que le seul Président de la République élu. La deuxième option qui l’étend aux autres chefs des corps constitués. Pour ce denier cas, il faudra que la plénière détermine s’il s’agit d’anciens chefs des corps constitués élus ou non élus. Mais Modeste Mutinga Mutwishayi, l’auteur de la proposition de loi ne l’entendait pas de cette oreille. Il est revenu plusieurs fois au perchoir pour demander à ses pairs de vider d’abord la question de la forme avant le fond. <br /> La forme, c’est que la plénière se prononce sur les orientations de la Présidence de la République sur sa proposition de loi. Car pour lui, ces orientations sont illégales et anticonstitutionnelles du fait que dans la Constitution, nulle part il n’est donné pouvoir à la Présidence de la République de faire des observations sur une proposition de loi. Le gouvernement oui mais pas la Présidence de la République, argumente Modeste Mutinga Mutwuishayi. <br /> C’est une violation de la Constitution et du Règlement intérieur (RI) du Sénat. La plénière doit, avant toute chose, statuer sur la légalité des observations de la Présidence de la République que les deux Bureaux appellent « demande spéciale ». Quel est le sens de ce concept de « demande spéciale » et d’où vient-elle et à quel moment est-elle intervenue et quelle est la source de sa légalité ? interroge Modeste Mutinga Mutwishayi. <br /> Il conclut, sur le même ton alerte que la plénière ne doit pas accepter de prendre des positions qui ne sont ni conformes à la Constitution ni aux lois et encore moins au RI. Pour l’auteur de la proposition de loi sur le statut des anciens chefs de l’Etat élus, c’est cette question de forme qu’il faut vider avant tout vote sur les options proposées par les deux Bureaux des deux Chambres parlementaires. Le Président du Sénat Léon Kengo Wa Dondo est passé outre cette demande expresse de Modeste Mutinga Mutwishayi et est directement allé au vote les deux options levées par les deux Bureaux. <br /> Les sénateurs ont voté à l’unanimité la première option qui est celle de la loi qui ne vise que le seul Président de la République élu. Ce qui a eu l’effet de rendre l’ancien journaliste Mutinga Mutwishayi Modeste, l’homme le plus heureux. Par la suite, le Président du Sénat a lu à l’attention des sages de la Chambre haute la lettre de la Présidence de la République sur la convocation du Parlement en Congrès aujourd’hui mercredi avec comme objet la prestation de serment d’un membre de la Cour constitutionnelle à savoir Polycarpe Mungulu T’Apangane, qui venait de remplacer le Professeur Félix Vundwawe Tepe Mako, pour le compte du Sénat. KANDOLO M.

Politique PROPOSITION DE LOI DE MODESTE MUTINGA MUTWISHAYI LE SÉNAT OPTE POUR LE STATUT DU SEUL CHEF DE L’ETAT ÉLU, SANS AUCUNE EXTENSION !

*Le Président Kengo annonce le Congrès de ce mercredi pour la prestation de serment d’un membre de la Cour constitutionnelle. C’est à la p...

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PROCES KAMWINA NSAPU DES EXPERTS OUTILLENT LES PARTIES SUR L’USAGE DES RELEVÉS TÉLÉPHONIQUES

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHesXs9t33yjZJOoN74gsBdEPANU7_mxlr_ehuZisBLXS3z6a0rU7yw9AxbSV6St3S3teVMGl3T65a5VgDh2N2s9JiPsfRAwkESLsFLTHP8UxayhyW9qnHCm4lxWVjCOIyc31tbAoQIik/s1600/Snapshot_1986.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="308" data-original-width="504" height="243" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHesXs9t33yjZJOoN74gsBdEPANU7_mxlr_ehuZisBLXS3z6a0rU7yw9AxbSV6St3S3teVMGl3T65a5VgDh2N2s9JiPsfRAwkESLsFLTHP8UxayhyW9qnHCm4lxWVjCOIyc31tbAoQIik/s400/Snapshot_1986.jpg" width="400" /></a></div> <br /> On est de plein pied dans la phase d’analyse des relevés téléphoniques, dans l’affaire Ministère public - présumés miliciens du mouvement terroriste Kamwina Nsapu aile Kinshasa. Les experts de la compagnie de téléphonie mobile Vodacom Congo ont, à l’audience d’hier mardi 3 juillet, commencé à démystifier des termes techniques contenus dans ces rapports à l’intention des parties au procès.<br /> <br /> Sur demande de la Défense, le tribunal militaire de garnison Kinshasa Gombe a fait venir, à l’audience d’hier, les experts de quatre entreprises de téléphonie œuvrant en RDC, à savoir Vodacom, Airtel, Orange et Africell. Ces derniers ont pour tâche de donner les clefs d’analyse des relevés d’appels, réquisitionnés au bénéfice de toutes les parties.<br /> Roger Musepu et Guylain Kisonia, responsables « Corporate security » chez Vodacom Congo ont, tour à tour, donné l’éclairage sur les mots clés et les outils d’analyse de leurs documents. Ils ont donné des indications précises quant à la signification de chacune des lignes et colonnes, structurant les tableaux contenus dans les rapports de leur entreprise.<br /> <br /> UTILISATION DES RELEVÉS D’APPELS <br /> Ils ont expliqué, noir sur blanc, comment faire le lien entre, non seulement les numéros émetteurs et récepteurs, mais aussi entre ceux-ci et les antennes de prise en charge, ainsi qu’avec les heures de transaction des appels et des sms échangés par les correspondants. Répondant à une question de la Défense, ces experts affirment que leur entreprise ne peut pas fournir les contenus des échanges téléphoniques de ses clients au tribunal.<br /> Leur court exposé a fait débouché sur un jeu de questions-réponses avec les parties au procès. Se disant dubitatifs quant à la crédibilité desdits relevés téléphoniques, les avocats de la défense promettent une plaidoirie torrentielle. La partie civile RDC, elle, salue la pertinence et la cohérence des données fournies par la compagnie Vodacom.<br /> « Nous sommes suffisamment éclairés par les informations fournies par les experts. Nous pouvons à présent faire bon usage de ces relevés d’appels. Si nous ne pouvons pas être renseignés sur le contenu des communications effectuées entre prévenus, au moins ces données nous permettront de savoir quand ’ils ont été en communication et où ils se situaient au moment de leur communication. Ce qui mettra à nu leur stratégie de négation », s’est réjoui le bâtonnier national, Matadi Wamba.<br /> <br /> INTENSE BATAILLE JUDICIAIRE<br /> « Nous sommes d’accord avec le bâtonnier national. Qu’à cela ne tienne. Le moment venu, nous critiquerons la fiabilité de ces relevés téléphoniques. Car, si ces données établissent que tel individu était en communication avec tel autre, ce n’est pas pour autant que ce fut pour planifier des actions criminelles. Ce sont là des questions de droit que nous allons relever », a réagi Me Kabengela Ilunga, avocat de la défense.<br /> L’audience d’hier a démarré avec la confrontation du prévenu Mpoy Mukendi au rapport médical rendu par un médecin soignant du centre hospitalier du camp militaire Kokolo. Contrairement à ses déclarations faites devant la barre, ce rapport confirme que Mpoy Mukendi et son co-prévenu Kabasele Kaluila auraient bénéficié de soins, pendant cinq jours, au sein de cet établissement hospitalier. Ce, après avoir été touchés par balle, le 17 mai 2017 dans les environs de la prison de Makala.<br /> Dans sa réplique, le Conseil de Mpoy a demandé au tribunal de rejeter ce rapport médical pour non-respect d’un certain nombre de prescrits de sa réquisition. « Comment voulez-vous que l’on fasse confiance à un document signé par un médecin qui ne décline pas sa spécialité ? Encore qu’il ne s’agit pas d’un médecin légiste. Le document ne renseigne pas non plus sur la provenance des malades que l’hôpital du camp Kokolo aurait reçus », a fait remarquer Me Richard Ngoy.<br /> Le Ministère public qualifie ces propos de pures échappatoires. Il confirme que le médecin a fourni toutes les informations sollicitées par le tribunal et a décliné tous les éléments de son identité, tout en mentionnant la provenance des malades reçus. <br /> L’audience du jeudi 5 juillet prochain sera consacrée à l’explication, par les experts de trois autres entreprises de téléphonie restantes, de la structure de leurs relevés téléphoniques et de tous les autres outils de lecture dont les parties ont besoin afin de bien exploiter les données le moment indiqué. Orly-Darel NGIAMBUKULU

Justice PROCES KAMWINA NSAPU DES EXPERTS OUTILLENT LES PARTIES SUR L’USAGE DES RELEVÉS TÉLÉPHONIQUES

On est de plein pied dans la phase d’analyse des relevés téléphoniques, dans l’affaire Ministère public - présumés miliciens du mouvement...

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AVEC UN CABINET DE 44 CONSEILLERS, DONT 23 DAMES MOÏSE KATUMBI FAIT HONNEUR À LA FEMME

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8vd7zrTfyKmypBtsYN6GsJWAMXQL21kBIVa1RNaQRfaRPlnytQuO0T8kLF96fuj3DsGhHiCIfQUkvYMKQrYeJeDH7ros45pRmYG_ee2PPIoNBzZYv8_5RWNdzrtOb_t59NFTHEv55B2k/s1600/Snapshot_1985.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="288" data-original-width="500" height="230" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8vd7zrTfyKmypBtsYN6GsJWAMXQL21kBIVa1RNaQRfaRPlnytQuO0T8kLF96fuj3DsGhHiCIfQUkvYMKQrYeJeDH7ros45pRmYG_ee2PPIoNBzZYv8_5RWNdzrtOb_t59NFTHEv55B2k/s400/Snapshot_1985.jpg" width="400" /></a></div> <br /> Pour se faire entourer, Moïse Katumbi n’a pas lésiné sur la taille de son cabinet. 44 conseillers, pas moins. Des collaborateurs dont les compétences balayent tous les secteurs de la vie nationale. Et même internationale. Autre signe particulier du cabinet Katumbi, c’est la forte représentativité féminine. Le leader de « Ensemble » fait mieux que respecter la parité. Car, dans son équipe, le nombre de femmes est légèrement supérieur à celui d’hommes. Le brain-trust du « Chairman » compte, en effet, 23 femmes contre 21 hommes. Une première en RDC. Ci-dessous la liste des membres du cabinet du Président de « Ensemble ».<br /> <br /> <img src="http://www.forumdesas.org/IMG/arton16228.jpg" />

Politique AVEC UN CABINET DE 44 CONSEILLERS, DONT 23 DAMES MOÏSE KATUMBI FAIT HONNEUR À LA FEMME

Pour se faire entourer, Moïse Katumbi n’a pas lésiné sur la taille de son cabinet. 44 conseillers, pas moins. Des collaborateurs dont les...

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