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Course Aux Postes : Le FCC Veut Gâcher La Fête De Fatshi

February 15, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="text-align: start;">Grand vainqueur des législatives nationales et provinciales, le FCC veut tout contrôler – du gouvernement central jusqu’aux exécutifs – ne laissant qu’une infime portion au président élu, Félix-Antoine Tshisekedi. Entre le CACH et le FCC, il y a des étincelles en l’air. Dans le FCC, on pense tout mettre en œuvre pour quadriller le président de la République, en ne lui accordant aucune marge de manœuvre pour exécuter son programme. Le renouveau promis par Félix Tshisekedi risque d’être une chimère. Sa fête est en voie d’être gâchée.</span></div>
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Joseph Kabila est parti, tout en prenant soin de verrouiller le jeu politique. Avec son Front commun pour le Congo, il s’est assuré d’avoir le contrôle de l’appareil de l’Etat. Avec une majorité confortable à l’Assemblée nationale – ce qui lui ouvre grandement la porte du gouvernement – et une forte présence dans les assemblées provinciales, Joseph Kabila et son FCC sont également assurés d’avoir toutes les manettes du pouvoir de l’Etat au cours de cinq prochaines années.<br />
Le FCC a certes perdu à la présidentielle, mais il a conforté sa position aux législatives nationales. A la Chambre basse du Parlement, la plateforme électorale de Joseph Kabila revendique près de 350 sièges, contre environ 40 sièges pour son allié, le CACH, avec qui il est lié par un accord dont les termes relèvent encore du secret de Dieu. Au niveau provincial, le FCC s’est également taillé la part du lion, en alignant un nombre impressionnant de députés provinciaux pour les 715 sièges prévus dans les 26 assemblées provinciales dela RDC. Dans l’architecture institutionnelle issue des élections du 30 décembre 2018, le FCC est assuré de régner en maître. Dans ses rangs, on ne s’en cache pas.<br />
Il y a cependant un bémol. C’est la victoire de Félix Tshisekedi, sorti du ticket gagnant présenté par le CACH, coalition formée entre l’UDPS et l’UNC de Vital Kamerhe.<br />
Élu sur base d’un programme, le chef de l’Etat Félix Tshisekedi cherche aussi à s’assurer le contrôle de l’appareil de l’État. Son électorat l’attend au tournant. Au moment venu – sans doute en 2023 – il sait qu’il sera appelé à rendre des comptes. Pour le moment, la machine conçue autour d’un accord de « cogestion » conclu entre le FCC et le CACH, n’a pas encore présenté des signes de faiblesse.<br />
En réalité, chacun gère à sa manière ses frictions internes. Néanmoins, au FCC, les tensions sont nettement visibles. La course aux postes au sein de différentes institutions, en commençant par le Parlement jusqu’au gouvernement, s’annonce âpre. Modeste Bahati, autorité de l’AFDC-A, a d’ores et déjà annoncé les couleurs. En réalité, Bahati n’est que la face révélée de l’iceberg. En interne, au sein du FCC, la gestion des ambitions est âpre du fait que des calculs politiques sont tout autres.<br />
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Le verrou<br />
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Selon des indiscrétions recueillies dans ses rangs, l’aile dure du FCC a décidé de tout contrôler, ne laissant qu’une portion congrue au CACH et au chef de l’Etat. Les partisans de ce courant s’appuient éventuellement sur l’alinéa 1 de l’article 78 de la Constitution qui stipule que « Le président de la République nomme le Premier ministre au sein de la majorité parlementaire après consultation de celle-ci… ».<br />
Ravivé par son raz-de- marée aux législatives nationales, le FCC est déterminé à s’accrocher à cette disposition constitutionnelle. Mais, les plus modérés dans ses rangs prévoient d’accorder une passerelle au président de la République pour ne pas le gêner dans l’exercice de son mandat. Ils évoquent à cet effet l’accord conclu, bien avant la proclamation des résultats de la présidentielle, entre le FCC et le CACH. Dans ces conditions, le chef de l’Etat peut donc jouir de la possibilité d’aligner au sein du nouvel exécutif national certains de ses partisans, tout en prenant soin de respecter les dispositions de l’alinéa 3 de l’article 90 de la Constitution qui rappelle que « la composition du gouvernement tient compte de la représentativité nationale ».<br />
Autrement dit, si le FCC accepte de cohabiter avec le CACH au sein du gouvernement, il est néanmoins assuré d’être le dominant. Ce qui pourrait être gênant pour le président de la République.<br />
<br />
Il ne faut pas non plus oublier l’alinéa 1 de l’article 91 de la Constitution qui dispose en des termes clairs que « Le gouvernement définit, en concertation avec le président de la République, la politique de la nation et en assure la responsabilité ». Le dernier alinéa de cet article précise par ailleurs que « le gouvernement est responsable devant l’Assemblée nationale… ».<br />
Avec une Assemblée nationale totalement acquise à sa cause, le FCC veut se lancer en solitaire dans la gestion de l’Etat. Entre le FCC et le président de la République, la coalition ou encore la cohabitation pourrait vite virer à une confrontation. En tout cas, aucune hypothèse n’est à minimiser.<br />
<br />
Voilà donc des éléments qui indiquent que la fête promise par le président Félix Tshisekedi pourrait être gâchée à tout moment. La détermination du FCC à avoir la mainmise sur l’ensemble de l’appareil de l’Etat est confictogène. C’est un handicap que Félix Tshisekedi devra porter pendant les cinq ans de son mandat.

Politique Course Aux Postes : Le FCC Veut Gâcher La Fête De Fatshi

Grand vainqueur des législatives nationales et provinciales, le FCC veut tout contrôler – du gouvernement central jusqu’aux exécutifs – ...

RDC: Ministres et Gouverneurs frappés d’incompatibilités avec le mandat de député national

February 15, 2019

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgH9iMOMcTE93o2-fuSR_sebAwcSX3cvNc1NRsEwzREYwdnR2mQ16QvIVb030KzdCd2jB_i5H0MQqDgzaEv9EVwN6JVOMF1mVctYJOZ4WLZ9-x7cNiCcfNNOxAVV2EH0nTzCWwxxtn94Ce/s1600/IMG-20190215-WA0001.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="768" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgH9iMOMcTE93o2-fuSR_sebAwcSX3cvNc1NRsEwzREYwdnR2mQ16QvIVb030KzdCd2jB_i5H0MQqDgzaEv9EVwN6JVOMF1mVctYJOZ4WLZ9-x7cNiCcfNNOxAVV2EH0nTzCWwxxtn94Ce/s400/IMG-20190215-WA0001.jpg" width="400" /></a></div>
En attendant les 15 autres qui seront issus des élections législatives au mois de mars prochain à Yumbi, Beni-ville et Beni-Territoire, l’Assemblée nationale a procédé le mercredi 13 février 2019 à la validation des pouvoirs de 485 députés nationaux. Ceci conformément à l’article 103 de la constitution qui stipule que le mandat de député national commence à la validation des pouvoirs par l’Assemblée nationale et expire à l’installation de la nouvelle assemblée.<br />
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En effet, dans son mot, Gabriel Kyungu wa Kumwanza, le président du bureau provisoire de la chambre basse avait rappelé que les députés qui font l’objet de l’une des incompatibilités marquées dans l’arsenal juridique congolais doivent faire le choix, dans les huit jours de la validation de mandat, entre son mandat et les autres fonctions qu’ils exercent. A défaut de se prononcer dans le délai prévu par la loi a-t-il prévenu, il est présumé avoir renoncé à son mandat »Allusion faite à l’article 108 de la même constitution qui stipule que le mandat du député national est incompatible avec le mandat de sénateur et vice-versa.<br />
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Ce mandat, poursuit-il est incompatible avec les fonctions ou les mandats de membre du gouvernement ; de membre d’une institution d’appui à la démocratie ; membre des Forces armées, de la police nationale et des services de sécurité ; magistrat, agent de carrière des services publics ; cadre politico-administratif de la territoriale ; mandataire public actif, membre des cabinets du président de la République, du premier ministre, du président du Sénat ; des membres du Gouvernement, de tout autre mandat électif.<br />
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Partant de cette disposition et des résultats des législatives tels que rendus publics par la CENI, l’on constate que plusieurs personnalités sont visées au niveau de la présidence de la République avec notamment, Vital Kamerhe, le président de l’UNC et colistier de l’actuel président de la République, devenu directeur de cabinet à la présidence.<br />
<br />
Au niveau du gouvernement central, l’on note plusieurs ministres notamment les trois vice-premiers ministres, respectivement José Makila (chargé des Transports et voies de communication), Henri Mova Sakanyi (de l’Intérieur et de la Sécurité) et Léonard She Okitundu (des Affaires étrangères).<br />
<br />
C’est le cas des Ministres d’État, Joseph Kapika (de l’Economie nationale) et Jean-Lucien Bussa (du Commerce extérieur).<br />
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Il s’agit également de : Martin Kabwelulu (des Mines), Atama Tabe (de la Défense nationale), Eugene Serufuli (des Affaires sociales), Bernard Biando (de la Solidarité et de l’Action humanitaire), Papy Niango (des Sports et des Loisirs), Steve Mbikayi (de l’Enseignement supérieur et universitaire), Heva Mwakasa (de la Recherche scientifique), Maguy Kiala (de la Jeunesse) et Guy Mikulu (ministre des Affaires coutumières), Lambert Mende (de la Communication et des Médias), Félix Kabange (de l’Aménagement du territoire), Joseph Kokonyangi (de l’Urbanisme et de l’Habitat), Bienvenu Liyota (des Petites et moyennes entreprises), et Georges Kazadi (de l’Agriculture), Gaston Musemena (de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel), Ngoyi Mukena (des Hydrocarbures), Jean – Marie Ingele (de l’Énergie et des Ressources hydrauliques), Amy Ambatobe (de l’Environnement et du Développement durable).<br />
<br />
S’agissant des Vice- ministres, Papy Mantezolo (aux Infrastructures, des Travaux publics et de la Reconstruction) et Noël Botakile (à l’Agriculture), Rwakabuba Maguy (au Budget), Agée Matembo Toto (aux Affaires étrangères).<br />
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Outre le gouvernement central, ce constat est fait aussi au niveau de la territoriale notamment avec Julien Paluku gouverneur du Nord-Kivu, Alphonse Ngoyi Kasanji du Kasaï Oriental, André Kimbuta de Kinshasa mais aussi Richard Muyej au Lualaba.<br />
<br />
D’après la jurisprudence, plusieurs observateurs notent que si ces membres du gouvernement central optaient pour leurs mandats au niveau de la chambre basse comme c’était le cas avec le gouvernement Muzito Adolphe les années antérieures, les ministres restants encore au gouvernement assumeront les charges dans au moins deux ou trois ministères. A défaut de cette option, certains membres du gouvernement seront obligés de laisser leurs mandats aux suppléants qui, eux, attendront la prochaine session ordinaire qui sera déjà pilotée par le Bureau définitif. Même chose pour ceux de la territoriale.<br />
<br />
Rappelons-le, l’option attend voir si ses dirigeants respecteront ces dispositions de la constitution.<br />
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Clément Muamba Mulembue/Times.cd

Politique RDC: Ministres et Gouverneurs frappés d’incompatibilités avec le mandat de député national

En attendant les 15 autres qui seront issus des élections législatives au mois de mars prochain à Yumbi, Beni-ville et Beni-Territoire, l’...

Fayulu à Butembo : « A quoi servent les élections s’il faut voler ? »

February 15, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBgXtUaNgID9IGC3WWxzwCZGVlO0Wngxq78fZhW2i4iZAhyphenhyphen_urbvUI5M2PFXua-A3_YcSK0o_PkNuzazVJ8E0xYJAxXK3OazEq0y1UyXJJXcwVATZO_H13lMM3mVysXqF7pSsJYdOr5Uoc/s1600/ob_b7b571_felix-tshisekedi-et-fayulu-1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="482" data-original-width="1200" height="160" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBgXtUaNgID9IGC3WWxzwCZGVlO0Wngxq78fZhW2i4iZAhyphenhyphen_urbvUI5M2PFXua-A3_YcSK0o_PkNuzazVJ8E0xYJAxXK3OazEq0y1UyXJJXcwVATZO_H13lMM3mVysXqF7pSsJYdOr5Uoc/s400/ob_b7b571_felix-tshisekedi-et-fayulu-1.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
Martin Fayulu a tenu son meeting au stade de l'Institut technique agricole et vétérinaire (ITAV) de la commune de Kimemi, devant des milliers de personnes. Il a dénoncé le « <em style="box-sizing: border-box;">vol de sa victoire </em>» à la présidentielle du 30 décembre.</div>
<blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 17.5px; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px;">
<div style="box-sizing: border-box;">
<em style="box-sizing: border-box;">« Si l’on vous dit que votre fils a réussi à l’examen, on lui donne le bulletin mais en réalité il a triché, est-ce que vous serez content ? Les parents, dites-moi, comment vous allez écrire l’histoire du Congo ? Lumumba avait dit que nous allons écrire l’histoire de ce pays. Est-ce qu’on va écrire l’histoire de ce pays avec la fraude, le mensonge ? A quoi servent les élections s’il faut voler ? »</em>, a-t-il déclaré.</div>
</blockquote>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
Il a rappelé à la communauté internationale la souveraineté du peuple congolais qui « <em style="box-sizing: border-box;">l’a élu président </em>».</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
Comme lors de son meeting à la place Sainte-Thérèse de Ndjili, à Kinshasa, Fayulu a invité les habitants de Butembo à bannir le tribalisme. <em style="box-sizing: border-box;">« Toute personne qui amènera le tribalisme ici, il faut la chasser. Nous sommes tous des Congolais. J’aime mon pays »</em>, a-t-il dit.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
Enfin, il a appelé tous les habitants de Butembo à participer dans l’éradication du virus Ebola qui a déjà dépassé la barre de 500 morts au Nord-Kivu et en Ituri.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
Fayulu passe la nuit à Butembo. Il va y rencontrer plusieurs couches sociales ce samedi avant de se rendre dimanche à Beni. Lundi, il tiendra un meeting au terrain Afya, à Goma.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px;">
<span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Claude Sengenya, depuis Butembo</span></div>

Politique Fayulu à Butembo : « A quoi servent les élections s’il faut voler ? »

Martin Fayulu a tenu son meeting au stade de l'Institut technique agricole et vétérinaire (ITAV) de la commune de Kimemi, devant des ...

Le parti du nouveau président congolais menace la Belgique ( Médias Belge )

February 15, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_L78gM4_70MxO7uRRgsR9fzXY4X6ALqIo3Ponv7oPBial1fVhOr0ydleRqF11yOJzevdtk0NMmUB9TDKE1_R6xs4wKEd6xPX_yTIhpoHGb_mW2uzgNptP2O99VqqGWg_56kXMktfdqWjt/s1600/067B7CAD-0E3A-4382-97BA-4C120F7B43C9_w1023_r1_s.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="575" data-original-width="1023" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_L78gM4_70MxO7uRRgsR9fzXY4X6ALqIo3Ponv7oPBial1fVhOr0ydleRqF11yOJzevdtk0NMmUB9TDKE1_R6xs4wKEd6xPX_yTIhpoHGb_mW2uzgNptP2O99VqqGWg_56kXMktfdqWjt/s400/067B7CAD-0E3A-4382-97BA-4C120F7B43C9_w1023_r1_s.jpg" width="400" /></a></div>
<div class="intro" style="background-color: white; border: 0px; clear: none; font-family: Arial, Helvetica, "Helvetica Neue", sans-serif; font-size: 1.3em; font-weight: bold; line-height: 1.4em; margin-bottom: 7px; margin-top: 7px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Le parti du nouveau président congolais Félix Tshisekedi a mis vendredi en garde la Belgique, où vivent des poids-lourds de l'opposition, contre toute tentative de déstabilisation visant le nouveau chef de l'Etat.</div>
<br />
<section class="clear" style="background-color: white; clear: both; font-family: Arial, Helvetica, "Helvetica Neue", sans-serif; font-size: 11.52px;"><div style="border: 0px; clear: none; font-family: inherit; font-size: 1.3em; font-style: inherit; font-weight: inherit; line-height: 1.4em; margin-bottom: 7px; margin-top: 7px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
"Si la Belgique est devenue le repaire de ceux qui veulent faire la rébellion contre le pouvoir de Tshisekedi, nous disons à la Belgique que si cela continue, nous serons obligés de dire au peuple congolais que c'est elle notre ennemi numéro 1", a déclaré le président par intérim de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean-Marc Kabund.<br />
<br />
M. Kabund s'exprimait devant des milliers de militants à l'occasion du 37e anniversaire du parti.<br />
<br />
L'ex-chef de guerre Jean-Pierre Bemba et l'ex-gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, vivent en Belgique. Ils avaient soutenu à l'élection présidentielle l'autre candidat de l'opposition Martin Fayulu, qui conteste l'élection de M. Tshisekedi et revendique la victoire.<br />
<br />
"Nous avons gagné les élections, cette victoire n'a pas été un cadeau mais le couronnement de notre lutte", a poursuivi M. Kabund.<br />
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"Et quelqu'un vient crier que nous avons volé sa victoire!", a-t-il protesté, ciblant M. Fayulu qui dénonce un "putsch électoral" organisé selon lui par l'ex-président Kabila avec la complicité de Félix Tshisekedi.<br />
<br />
"Il n'y aura pas de prisonnier politique sous notre règne. Celui qui veut critiquer le président peut le faire dans le respect de la loi", a-t-il assuré.<br />
<br />
Cependant, "ceux qui chercheront à déstabiliser le président de la République vont se confronter à la machine politique de l'UDPS [qui est] capable de tout broyer sur son passage", a-t-il prévenu.<br />
<br />
Depuis son investiture le 24 janvier, le président Tshisekedi a développé un discours sur l'instauration d'un État de droit et la réconciliation nationale.<br />
<br />
M. Kabund est également revenu sur les obsèques toujours différées du père de M. Tshisekedi et fondateur de l'UDPS, Etienne Tshisekedi, décédé le 1er février 2017 à Bruxelles où sa dépouille se trouve toujours: "Il faut l'entrée en fonction du nouveau gouvernement. Soyez patients. Nous allons l'enterrer avec tous les honneurs".</div>
</section>

Politique Le parti du nouveau président congolais menace la Belgique ( Médias Belge )

Le parti du nouveau président congolais Félix Tshisekedi a mis vendredi en garde la Belgique, où vivent des poids-lourds de l'opposit...

Gouvernorat du Sud-Kivu : La candidature de Bitakwira déclarée irrecevable

February 15, 2019

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3Hn3tACcVjcIDiPOKviRwjbYEQXWqoTo85Nn5QQKXVNjXqNZA7CpBV8_qo31CY4iaDZzH6L30qfyrH6XHmc4xYWg2dMGNdH6gQ9VILN485xGEn3Do-RLVlxHFQCo6sjSXjd9yCr1bvJQB/s1600/Bitakwira-Justin-UviraOnline2-e1482257000638.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="287" data-original-width="530" height="216" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3Hn3tACcVjcIDiPOKviRwjbYEQXWqoTo85Nn5QQKXVNjXqNZA7CpBV8_qo31CY4iaDZzH6L30qfyrH6XHmc4xYWg2dMGNdH6gQ9VILN485xGEn3Do-RLVlxHFQCo6sjSXjd9yCr1bvJQB/s400/Bitakwira-Justin-UviraOnline2-e1482257000638.jpg" width="400" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
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La candidature de Justin Bitakwira Bihona a été déclarée irrecevable à l’élection du gouverneur du Sud-Kivu. Membre du Font Commun pour le Congo (FCC), il s’était présenté en indépendant. C’est également le cas de Gabriel Kalonda, Shenila Mwanza, Elie Zihundula.<br />
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Par ailleurs Théo Ngwabidje, Telexy Rubuye et Jean-Claude Kibala sont bel et bien en compétition pour gouverner cette province, d’après la liste publiée ce vendredi 15 février 2019.<br />
<br />
Dans d’autres provinces, les candidatures suivantes ont été recalées : Jean Bamanisa Saidi (Ituri), Augustin Kabaka (Kwango), Christophe Kolomoni (Lomami), Bruno Kazadi (Lomami), Hubert Kishabongo (Maniema), John Bupila (Maniema), Joachim Taila (Sud-Ubangi), Heustache Muhiya. L’élection des gouverneurs est prévue fin mars 2019.<br />
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Catégorie

Politique Province Gouvernorat du Sud-Kivu : La candidature de Bitakwira déclarée irrecevable

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Félix Tshisekedi demande la levée des sanctions de l’UE contre des responsables congolais

February 15, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8m_Br4Jb56hh4ghWYU7g87uOF-L-52OoK__3cbnSJIJYrvpuMS9MMOgyjZCff8g8WwCd-aIAwuRh4wQdAvGSCVMpmNp8OKER6PbjQn5yZ4U2zobVDNqDlubw1GAxS4VGpTiXv3-w6JoKF/s1600/Dzdm6j0WkAAdu_l.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="667" data-original-width="1000" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8m_Br4Jb56hh4ghWYU7g87uOF-L-52OoK__3cbnSJIJYrvpuMS9MMOgyjZCff8g8WwCd-aIAwuRh4wQdAvGSCVMpmNp8OKER6PbjQn5yZ4U2zobVDNqDlubw1GAxS4VGpTiXv3-w6JoKF/s400/Dzdm6j0WkAAdu_l.jpg" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div>Le nouveau Chef de l’Etat congolais a lancé un appel pour la levée des sanctions européennes contre des responsables congolais, à l’occasion de l’échange des vœux avec le corps diplomatique à Kinshasa.<br />
<br />
"Dans cet élan de dégel des relations entre la RDC et nos partenaires européens, je voudrais finalement lancer un appel pressant pour la levée des sanctions ayant concerné l’un ou l’autre responsable congolais particulièrement à la suite de la décision y relative du sommet des chefs d’Etat de l’Union européenne de juillet 2017, " a déclaré Félix Tshisekedi devant des ambassadeurs accrédités en RDC.<br />
<br />
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><div dir="ltr" lang="fr"><a href="https://twitter.com/hashtag/RDC?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#RDC</a><br />
Cérémonie de présentation des voeux du Corps diplomatique accrédité en République Démocratique du Congo à S.E. Monsieur le Président de la République, Félix-Antoine <a href="https://twitter.com/hashtag/Tshisekedi?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#Tshisekedi</a> Tshilombo.<br />
Cité de l'UA, vendredi 15 février 2019. <a href="https://t.co/JP2lVkoEJ3">pic.twitter.com/JP2lVkoEJ3</a></div>— Présidence RDC 🇨🇩 (@Presidence_RDC) <a href="https://twitter.com/Presidence_RDC/status/1096458359874732033?ref_src=twsrc%5Etfw">15 février 2019</a></blockquote><script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script><br />
<br />
<br />
<div style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Merriweather-Light, Georgia, Times, "Times New Roman", serif; font-size: 16px; margin-bottom: 24px; padding: 0px;">Le président congolais a, à la même occasion, fait savoir qu’il avait donné des instructions pour que la partie congolaise accélère les discussions pour la réouverture de la Maison Schengen de Kinshasa.</div><div style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Merriweather-Light, Georgia, Times, "Times New Roman", serif; font-size: 16px; margin-bottom: 24px; padding: 0px;">Plus de 15 responsables congolais sont visés par des sanctions européennes, entre autres pour entrave à la démocratie avant les élections tenues le 30 décembre 2018.</div><div style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Merriweather-Light, Georgia, Times, "Times New Roman", serif; font-size: 16px; margin-bottom: 24px; padding: 0px;">Emmanuel Shadary, candidat de la coalition conduite par le président Joseph Kabila qui a quitté le pouvoir à l'issue des élections, figure aussi parmi les sanctionnés.</div><div style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Merriweather-Light, Georgia, Times, "Times New Roman", serif; font-size: 16px; margin-bottom: 24px; padding: 0px;">Issu de l’opposition, M. Tshisekedi a été confirmé vainqueur de la présidentielle malgré les contestations d’une autre figure de l’opposition, Martin Fayulu, désigné candidat d'une coalition de l'opposition.</div><div style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Merriweather-Light, Georgia, Times, "Times New Roman", serif; font-size: 16px; margin-bottom: 24px; padding: 0px;">La Maison Schengen de Kinshasa avait été fermée par le gouvernement du président Joseph Kabila en mesure de rétorsion aux décisions de à l’Union européenne concernant la RDC.</div><div style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Merriweather-Light, Georgia, Times, "Times New Roman", serif; font-size: 16px; margin-bottom: 24px; padding: 0px;">Kinshasa avait aussi enjoint à l'UE de rappeler dans les "48 heures" son représentant en RDC.</div><div style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Merriweather-Light, Georgia, Times, "Times New Roman", serif; font-size: 16px; margin-bottom: 24px; padding: 0px;"><br />
</div>

Politique Félix Tshisekedi demande la levée des sanctions de l’UE contre des responsables congolais

Le nouveau Chef de l’Etat congolais a lancé un appel pour la levée des sanctions européennes contre des responsables congolais, à l’occasion...

JEAN MARC KABUND:KABILA APESI PEUPLE CONGOLAIS CADEAU TE,BATU BA KUFI EBELE PONA FELIX TSHISEKEDI AZWA POUVOIR (VIDEO)

February 15, 2019

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UDPS BA SUKOLI PROF YOMBI TONA YA COREE DU SUD : MAKAMBU YA BA REFUGIE ESILI NA POTO (VIDEO)

February 15, 2019

UDPS BA SUKOLI PROF YOMBI TONA YA COREE DU SUD : MAKAMBU YA BA REFUGIE ESILI NA POTO (VIDEO)

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Point de vue : Felix Tshisekedi devrait commencer par la libération des prisonniers politiques avant de demander à l'UE de lever les sanctions contre la Kabilie

February 15, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinSqt5gZPQ8Fm1wWScCZt777c96kYIRXo_gEfaK8-Wafr4Y7VqO-XAraopGD4cNbRLPa3c5IWE_QNLRPkk8njdPIuAnLiJs00xaIC6bHpUAYdUpk42Lv7ZjIpo0yz5e6vPcPw69KFJyMuo/s1600/diomi-et-felix.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="349" data-original-width="620" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinSqt5gZPQ8Fm1wWScCZt777c96kYIRXo_gEfaK8-Wafr4Y7VqO-XAraopGD4cNbRLPa3c5IWE_QNLRPkk8njdPIuAnLiJs00xaIC6bHpUAYdUpk42Lv7ZjIpo0yz5e6vPcPw69KFJyMuo/s400/diomi-et-felix.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: x-large;">Point de vue: Felix Tshisekedi devrait commencer par la libération des prisonniers politiques ( Franck Diongo, Eugène Diomi, Firmin Yangambi) et le retour des exilés (Katumbi, Mbussa , Floribert Anzuluni, Jean Jacques Lumumba, Paul Nsapu ...et autres avant de demander à l'UE de lever les sanctions contre la Kabilie. (Analyste).</span>

Point de vue : Felix Tshisekedi devrait commencer par la libération des prisonniers politiques avant de demander à l'UE de lever les sanctions contre la Kabilie

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Point de vue: Felix Tshisekedi devrait commencer par la libération des prisonniers politiques ( Franck Diongo, Eugène Diomi, Firmin Yangam...

37 ANS DE L ' UDPS : "JEAN MARC KABUND APESI MARTIN FAYULU AVERTISSEMENT YA SUKA AVANT BA KANGA YE . L 'UDPS VAINCRA ET A VAINCU . MARTIN FAYULU EST SANS HISTOIRE NDENGE TOKO YIBA VICTOIRE NA YE " (VIDÉO)

February 15, 2019

infos en vidéos le journal Nos vidéos Politique 37 ANS DE L ' UDPS : "JEAN MARC KABUND APESI MARTIN FAYULU AVERTISSEMENT YA SUKA AVANT BA KANGA YE . L 'UDPS VAINCRA ET A VAINCU . MARTIN FAYULU EST SANS HISTOIRE NDENGE TOKO YIBA VICTOIRE NA YE " (VIDÉO)

37 ANS DE L ' UDPS : JEAN MARC KABUND APESI MARTIN FAYULU AVERTISSEMENT YA SUKA AVANT BA KANGA YE . L 'UDPS VAINCRA ET A VAINCU

UDPS: COMBATTANT OYO ASALAKA PRIERE PONA KANAMBE,ALOBI KABILA AKOMI MOSANTU.AKO KENDE LISUSU TANZANIE TE , FELIX TSHISEKEDI AKO BATELA YE. DANIEL SAFU AZA AGENT YA ANR (VIDEO)

February 15, 2019

UDPS: COMBATTANT OYO ASALAKA PRIERE PONA KANAMBE,ALOBI KABILA AKOMI MOSANTU.AKO KENDE LISUSU TANZANIE TE , FELIX TSHISEKEDI AKO BATELA YE. DANIEL SAFU AZA AGENT YA ANR (VIDEO)

Au tour de Kinshasa infos en vidéos Nos vidéos Politique UDPS: COMBATTANT OYO ASALAKA PRIERE PONA KANAMBE,ALOBI KABILA AKOMI MOSANTU.AKO KENDE LISUSU TANZANIE TE , FELIX TSHISEKEDI AKO BATELA YE. DANIEL SAFU AZA AGENT YA ANR (VIDEO)

ECIDE : Martin Fayulu à son arrivé à Butembo. La souveraineté du peuple congolais ne sera pas bradée par des « arrangements particuliers » ou autres « compromis à l’africaine ». (vidéo)

February 15, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLPst4xwJ6d6uRqK2HfEuIvEHGw7apQ1WoUuYBVL2NbvUozb0s7OtzdRLzXHV_8ErUABeNTzVZ8kyeU-Mu5GYnkNGNCQD09scnvz_cwLbp_VLNUXHImRrGrL2S5Iz-abhUudU_QqpBgeS6/s1600/DzcxNWmX4AIuBWL.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="540" data-original-width="960" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLPst4xwJ6d6uRqK2HfEuIvEHGw7apQ1WoUuYBVL2NbvUozb0s7OtzdRLzXHV_8ErUABeNTzVZ8kyeU-Mu5GYnkNGNCQD09scnvz_cwLbp_VLNUXHImRrGrL2S5Iz-abhUudU_QqpBgeS6/s400/DzcxNWmX4AIuBWL.jpg" width="400" /></a></div>
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ECIDE : Martin Fayulu à son arrivé à Butembo. La souveraineté du peuple congolais ne sera pas bradée par des « arrangements particuliers » ou autres « compromis à l’africaine ». (vidéo)

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LILIANE EMENEYA Brise le silence 5ans Après la Mort de KESTER, Sa Relation Secrète avec PAPA WEMBA (VIDEO)

February 15, 2019

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Le petit frère d ' Etienne Tshisekedi ,Mgr Mulumba inaugure un bureau d ' étude pour les investisseurs ( vidéo en réponse à Muzitu )

February 15, 2019

Le petit frère d ' Etienne Tshisekedi ,Mgr Mulumba inaugure un bureau d ' étude pour les investisseurs ( vidéo en réponse à Muzitu )

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LE CANDIDAT DE LAMUKA ET VAINQUEUR VIRTUEL EST UN DICTATEUR !

February 15, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: x-large;">Rien qu'à l'entendre parler, avec un ton ferme et radical, souvent en engueulade, le VDU (Vérité des urnes) est un authentique dictateur!</span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br />
</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjH0cNxW_AgAY9Py6nnCocMQ0KIuGEZY_EbxRlcX1kvrpLm6U8VZQKMvACh_AQJ0fPoOwZu5YxLk_H4cod68JKQvY3F26CHsXD9i-Jtsr6jLUNbtsMBp6RlVgM8BwgvuSaitFkkhfhr87Zs/s1600/01bd0ab75c0b4fe09f6df5d09f4c51d1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="683" data-original-width="1024" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjH0cNxW_AgAY9Py6nnCocMQ0KIuGEZY_EbxRlcX1kvrpLm6U8VZQKMvACh_AQJ0fPoOwZu5YxLk_H4cod68JKQvY3F26CHsXD9i-Jtsr6jLUNbtsMBp6RlVgM8BwgvuSaitFkkhfhr87Zs/s400/01bd0ab75c0b4fe09f6df5d09f4c51d1.jpg" width="400" /></a></div><br />
<br />
Ce pays a vraiment de la chance, car non seulememt on allait avoir un nouveau dictateur à la tête du pays, qui, contrairement au président élu qui va peut -être associer quelques figures colombes de la famille politique de Kabila, lui n'allait même pas procéder ainsi, car il vit et mange avec eux: il allait seulement les amener dans ses bagages et les réinstaller au pouvoir, sans négociations, ni arrangements!<br />
D'ailleurs, je suis sûr et certain que des lois particulières allaient être aménagées dans l'urgence pour permettre à des étrangers comme Mo Ibrahim de siéger dans le gouvernement, ou comme conseiller à la présidence!<br />
<br />
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Et Soros serait le parrain, heu, a nge!<br />
<br />
Alors, le dictateur, c'est dans ses actes!<br />
Quand quelqu'un perd les élections, ainsi que tous les recours, on doit savoir s' incliner, sauf si on est dictateur ou rêveur.<br />
<br />
Je me souviens pour avoir vécu cela que ce candidat est un dictateur déjà au début de la Dynamique de l'opposition, où, seul, il avait la capacité de renvoyer tel, de gueuler sur tel autre, et de mettre régulièrement ses pairs mal à l'aise, car il se considérait comme le seul opposant radical, soupçonnant souvent les autres de débauchés ou des kabilistes déguisés.<br />
Une fois dans une réunion, VDU s' en est pris vertement au Templier VK le traitant de proche de Kabila, au point qu'ils ont failli en venir aux mains, n'eût été l'interposition de quelques anciens sociétaires comme Lucien Busa!<br />
Et depuis ce jour, VK avait pris congé de la Dynamique pour ne plus revenir!<br />
<br />
Et lorsque la Dynamique de l'Opposition dont il était le patron incontesté était devenue une plateforme éléctorale et que les partis politiques de l'opposition et des personnalités comme Lubaya, Ewanga, Sessanga, Diongo et autres la rejoignirent, le climat dictatorial et déletère avait continué au point que lorsque le milliardaire MKC créa Ensemble, cette plateforme se vida complètement, laissant le dictateur seul avec quelques fidèles, en dépit de la rotation qui y régnait.<br />
<br />
Mais sa plus grande démonstration dictatoriale a été la façon dont il avait quasiment chassé le prof Freddy Oignon de la DO, le qualifiant de "mutu azo koka nzala te depuis ba longola ye na FMI", pour avoir été aux consultations de Bruno Tshibala.<br />
Ce dernier d'ailleurs lui avait répondu par voie de presse par une lettre cinglante sur ses revenus et ses rentes, avant de claquer la porte de cette plateforme!<br />
Oyo eza dictature te?<br />
Et même si aujourd'hui ils sont "ensemble", Grand Kwilu oblige, je crois qu'il ya malaise.<br />
<br />
J'apprends aussi que VDU a pris beaucoup d'initiatives personnelles après leur victoire virtuelle dans les réseaux sociaux et sur les média étrangers impérialistes ( qui avaient sur ordre des financiers décreté un embargo contre Félix Tshisekedi et ses lieutenants), sans consulter ses pairs et financiers, toujours dans la dictature, ce qui commence à l'éloigner de ses vrais patrons...<br />
<br />
Ce pays a de la chance, on allait renvoyer un dictateur pour le remplacer par un autre dictateur !

Politique LE CANDIDAT DE LAMUKA ET VAINQUEUR VIRTUEL EST UN DICTATEUR !

Rien qu'à l'entendre parler, avec un ton ferme et radical, souvent en engueulade, le VDU (Vérité des urnes) est un authentique dicta...

RDC: la Céni à Yumbi pour évaluer les défis sécuritaires des élections

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmi7i-We4i5OspMdvz6Lpu7rnOaSqDRyhx4Z9hm93UBp9dpm1Hmxz5EzwxeWIg8xF9NFXfQlfeEr5fb8UKokAsTMqVweIZ1MTtfyJuCqNFErQgPSYdfD4BNcwf93y4wPZ50D7xrbgpDnJ7/s1600/Snapshot_1596.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="438" data-original-width="670" height="261" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmi7i-We4i5OspMdvz6Lpu7rnOaSqDRyhx4Z9hm93UBp9dpm1Hmxz5EzwxeWIg8xF9NFXfQlfeEr5fb8UKokAsTMqVweIZ1MTtfyJuCqNFErQgPSYdfD4BNcwf93y4wPZ50D7xrbgpDnJ7/s400/Snapshot_1596.jpg" width="400" /></a>La Commission électorale nationale indépendante a entamé les préparatifs de l’organisation des élections législatives nationales et provinciales dans les circonscriptions de Beni et de Butembo, dans la province du Nord-Kivu et de Yumbi, dans la province de Mai Ndombe. Les deux premières entités n’avaient pas voté en décembre 2018 à cause de l’épidémie d’Ebola et de l’activisme des groupes armés, selon les explications des autorités congolaises. A Yumbi, des violences à caractère communautaire avaient fait au moins 800 morts. Le bâtiment ainsi que les matériels de la Céni avaient été incendiés. Aujourd’hui, la centrale électorale se prépare et tient à organiser ces élections le 31 mars 2019.<br />
Une mission de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) est arrivée à Yumbi ce jeudi. Sa mission : évaluer les défis sécuritaires et logistiques à l’approche des élections législatives nationales et provinciales du 31 mars, soit environ quatre mois après les violences.<br />
<br />
Première tâche : s’assurer que les conditions sécuritaires sont remplies dans cette zone désormais gérée par un colonel des forces armées de la RDC (FARDC) qui fait office d’administrateur du territoire.<br />
<br />
Ici, le peu de personnes restées dans la cité après les violences de décembre craignent une autre attaque malgré le dispositif renforcé de l’armée, de la police et la présence des casques bleus de la Monusco, la mission onusienne. L’autre inconnue est le retour ou non de la population.<br />
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Et d’après le porte-parole de la Monusco, la situation risque de durer en raison de l’ampleur de la destruction dans la zone, la perte des biens et moyens de subsistance des populations, et l’absence des services de l’Etat. Mais aussi la destruction du bâtiment et des matériels de la centrale électorale. Le personnel de la Céni devra également être reconstitué.<br />
<br />
Attaque liée aux élections<br />
<br />
De son côté, la justice militaire poursuit son enquête sur le massacre. 14 personnes ont déjà été arrêtées pour le meurtre d'au moins 501 victimes, c'est le bilan jusqu'à présent de la justice militaire. L'ONU parle d'au moins 535 victimes. D'autres personnes sont recherchées et présumées en fuite.<br />
<br />
Pour l'auditeur général de l'armée, le général major Timothée Mukuntu, tout semble indiquer aujourd'hui que l'attaque était préméditée et qu'elle était liée aux élections.<br />
<br />
RFI <br />
Lire la suite sur ce lien <a href="http://www.rfi.fr/afrique/20190215-rdc-ceni-yumbi-defis-securitaires-election" target="_blank">http://www.rfi.fr/afrique/20190215-rdc-ceni-yumbi-defis-securitaires-election</a>

Politique RDC: la Céni à Yumbi pour évaluer les défis sécuritaires des élections

La Commission électorale nationale indépendante a entamé les préparatifs de l’organisation des élections législatives nationales et provinci...

Élection Du Bureau Définitif : Ça Se Bouscule Au FCC

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPvgkKHXKKQeHrVIUQ-QtLCKVkPM9RDB1SFrNhxl9MaokjsAtO26IG3hF_ExFaG5MBlDldmrHFBwxrTlY7YqA0yX5ZxVQRWNx_oLuCMNCthT6EZTKj5Ngs_kSEKxoT2eU8_78nMJTlO5PK/s1600/Snapshot_1595.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="394" data-original-width="710" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPvgkKHXKKQeHrVIUQ-QtLCKVkPM9RDB1SFrNhxl9MaokjsAtO26IG3hF_ExFaG5MBlDldmrHFBwxrTlY7YqA0yX5ZxVQRWNx_oLuCMNCthT6EZTKj5Ngs_kSEKxoT2eU8_78nMJTlO5PK/s400/Snapshot_1595.jpg" width="400" /></a>Les députés nationaux, élus au terme des législatives du 30 décembre 2018, ont vu leurs mandats validés au terme de la plénière de ce mercredi. Le prochain round se joue autour de l’élection du bureau définitif de l’Assemblée nationale. Au Front commun pour le Congo (FCC), virtuellement majoritaire à la chambre basse du Parlement, l’heure est aux négociations. Avec toute sa nébuleuse, des tractations s’annoncent très agitées. Modeste Bahati, autorité morale de l’AFDC-A, a déjà annoncé les couleurs. Sans compter le CACH (Cap pour le changement), qui devrait vraisemblablement avoir sa part dans le partage compte tenu de l’accord qui le lie au FCC. De part et d’autre, ça sa bouscule déjà.<br />
<br />
Le Potentiel<br />
<br />
Les députés nationaux, issus des législatives du 30 décembre 2018, sont maintenant en droit de siéger. Leurs mandats ont été validés au cours de la plénière convoquée mercredi par Gabriel Kyungu, président du bureau provisoire de l’Assemblée nationale. Après cette étape protocolaire, le cap devrait être mis sur l’élection du bureau définitif de la chambre basse du Parlement. Ce qui ouvre la voie à des tractations dans différents regroupements politiques.<br />
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Dans la nébuleuse FCC (Front commun pour le Congo), la plateforme électorale de Joseph Kabila, qui aligne sur papier près de 350 députés nationaux, le débat promet d’être houleux. On a encore frais en mémoire la sortie en fanfare de Modeste Bahati Lukwebo, autorité morale de l’AFDC-A, deuxième force politique du FCC, qui a tenté de faire monter les enchères pour ne pas être mis de côté dans le partage. Il attend donc mieux positionner ses élus au niveau de différentes institutions, dont l’Assemblée nationale.<br />
<br />
Mais, dans le FCC, Bahati et son AFDC-A ne sont pas seuls. A côté du PPRD et de l’AFDC-A, les deux plus grands regroupements du FCC, il y a une nébuleuse où gravitent divers regroupements. Evidemment, chacun cherche également à tirer son épingle du jeu. Malheureusement, sur la table, il n’y aura que sept postes à partager dans le bureau définitif.<br />
<br />
Si on doit prendre en compte la tradition parlementaire qui recommande à ce que deux postes du bureau soient réservés à l’opposition parlementaire, le FCC ne devrait donc se contenter que de 5 postes à se distribuer.<br />
<br />
Dans le jeu politique qui entoure l’élection du bureau définitif de l’Assemblée nationale, il ne faut pas oublier le CACH, la coalition qui a porté au pouvoir le président Félix Tshisekedi, qui, à en croire Modeste Bahati, est lié par un accord de « cogestion » avec le FCC. Il va s’en dire que le FCC et le CACH doivent également passer par des arbitrages pour se répartir les postes qui leur seront alloués au bureau de l’Assemblée nationale.<br />
<br />
A première vue, le problème ne devrait se poser au niveau du CACH, dans la mesure où cette coalition n’est portée que par ses deux partis phares, à savoir l’UDPS et l’UNC. C’est au sein du FCC que le problème se pose. Comment concilier les points de vue parfois antagonistes de différents regroupements du FCC ? L’équation n’est certes pas insoluble, mais on peut d’ores et déjà prédire la grande difficulté qu’aura le FCC pour parvenir à un compromis.<br />
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Kabila saura-t-il rassembler ses troupes ?<br />
<br />
Se reconnaissant toujours derrière Joseph Kabila, son autorité morale, la solution au sein du FCC pourrait certainement venir de Kingakati, où a l’habitude de se recentrer Joseph Kabila, depuis son départ du Palais de la nation. C’est donc Joseph Kabila qui devra trancher en dernier ressort. C’est une certitude.<br />
<br />
L’exercice peut paraître facile pour Joseph Kabila, mais il faut reconnaitre qu’aucune surprise désagréable n’est à mettre de côté. En effet, après avoir cédé son fauteuil présidentiel à Félix Tshisekedi, Joseph Kabila ne bénéficie plus du même aura au sein de sa famille politique, le FCC. Selon des indiscrétions, certains leaders du FCC qui se sont souvent sentis frustrés par la forte présence de Kabila dans les décisions politiques de la plateforme ont trouvé l’occasion, avec son départ de la présidence de la République, de s’émanciper. Si bien qu’aujourd’hui, le FCC n’est plus forcement le même. Il est presqu’en mutation – Kabila n’étant plus dans les affaires. C’est une donne qui pourrait peser dans les prochaines délibérations liées à la constitution du bureau définitif de l’Assemblée nationale.<br />
<br />
En tout cas, le FCC se prépare à son premier test de maturité en tant que plateforme électorale soudée derrière Joseph Kabila. La gestion des ambitions pour le bureau de l’Assemblée nationale va inévitablement marquer son avenir. Le FCC éviterait d’élargir le camp des frustrés. L’AFDC-A de Modeste Bahati n’est plus loin de cette situation.<br />
<br />
A tout prendre, ca se bouscule au sein du FCC. A la base, la course au bureau définitif de l’Assemblée nationale. Surtout que le CACH, son partenaire à la cogestion du pays, n’a pas clairement dévoilé ses ambitions.<br />
<br />
<br />
lepotentielonline

Politique Élection Du Bureau Définitif : Ça Se Bouscule Au FCC

Les députés nationaux, élus au terme des législatives du 30 décembre 2018, ont vu leurs mandats validés au terme de la plénière de ce mercre...

Élections En RDC : Vers Un Nouveau Report À Yumbi ?

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNAOM8U5_9oa6ycyYTFIyqACrgnrJKCcyuU3Min_izgu_Y5_bf7JiB_moNeAcCbdQpNW5f7q3LujqK5fgR5hHefyKnrmThcg555MURn5eAtxfVB9gYSaQju8edocV6UdH7uZuiKZa7jmBM/s1600/Snapshot_1594.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="379" data-original-width="669" height="181" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNAOM8U5_9oa6ycyYTFIyqACrgnrJKCcyuU3Min_izgu_Y5_bf7JiB_moNeAcCbdQpNW5f7q3LujqK5fgR5hHefyKnrmThcg555MURn5eAtxfVB9gYSaQju8edocV6UdH7uZuiKZa7jmBM/s320/Snapshot_1594.jpg" width="320" /></a>La tenue des élections à Yumbi (Mai-Ndombe) pose problème, celui de faciliter le retour des déplacés de cette région. Et, cela doit être accompagné d’un effort sur la réconciliation communautaire afin d’éviter de nouveaux affrontements. Au cas contraire, un nouveau report est possible.<br />
<br />
L’objectif principal de la mission est de voir dans quelle mesure les élections législatives nationales et provinciales pourraient se tenir en respectant la date annoncée du 31 mars. Toutefois, le bâtiment de la Céni se trouvant à Yumbi avait été incendié et tous les matériels brûlés.  Au moins 800 personnes ont été tuées dans les violences à caractère communautaire.<br />
<br />
L’autre grand défi est le retour de la population dans cette zone sinistrée où au total, 1539 maisons ont été brûlées, 21 673 ménages affectés et des milliers de personnes déplacées : 19.000 dont 16.000 à Makotimpoko, en République du Congo, 3.000 à Lukolela, Bolobo et d’autres dans des campements environnants, selon le bilan de Caritas-Développement de l’archidiocèse de Mbandaka-Bikoro.<br />
<br />
Il sied de noter que Mathias Gillmann, porte-parole par intérim de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation du Congo (Monusco), avait rapporté que la situation de déplacement risque de durer en raison de l’ampleur de la destruction, la perte des biens et moyens de subsistance des populations, et l’absence des services de l’État.<br />
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Conduite par le directeur des opérations au Secrétariat exécutif national de la Céni, cette mission va procéder à l’identification et à la confirmation des disponibilités des agents électoraux temporaires retenus avant le report des scrutins du 30 décembre 2018.<br />
<br />
La Monusco prête à apporter son appui<br />
<br />
La Monusco a annoncé sa disponibilité à soutenir la Céni dans l’organisation des élections législatives nationales et provinciales à Yumbi le 31 mars après les violences de décembre 2018. « Nous, de notre côté, nous sommes prêts à soutenir les autorités congolaises pour arriver à ces résultats. Nous voulons faciliter aussi vite que possible le retour des déplacés. Et il nous semble que ce processus de retour doit être accompagné d’un effort particulier sur la réconciliation communautaire pour éviter, évidemment, que de tels affrontements ne se reproduisent », avait affirmé mercredi, Mathias Gillmann, porte-parole par intérim de la Monusco.<br />
<br />
Pour rappel, le gouvernement de la RDC et la Céni ont toujours clamé leur volonté d’organiser ce cycle électoral sans l’appui de la Communauté internationale.  Mais, les enjeux sont tels que ces élections ont une portée plus que politique dans un territoire sinistré et déchiré par un conflit qui risque de s’enraciner.<br />
<br />
Par ailleurs, le porte-parole par intérim de la Monusco a insisté sur l’inclusivité, la transparence et la crédibilité des élections. Au total, 67 033 électeurs ont été enrôlés dans cette circonscription, précise-t-on.<br />
<br />
Hervé Ntumba

Politique Élections En RDC : Vers Un Nouveau Report À Yumbi ?

La tenue des élections à Yumbi (Mai-Ndombe) pose problème, celui de faciliter le retour des déplacés de cette région. Et, cela doit être acc...

Le Poids De Deux Casquettes

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg14T56LNtqnwliuneD6oej_eiD-hy3vlOlhY3buXcY6WqE8qoRqlCTjoFyeKuBC8T_xHLGnpWhCsyXF-4T9iNTWR7eo25a6HKZZIGrzI4nff8_aKPwdaRbZdyOHEwDu5ttYWiQx-kVV6hC/s1600/Snapshot_1593.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="336" data-original-width="568" height="236" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg14T56LNtqnwliuneD6oej_eiD-hy3vlOlhY3buXcY6WqE8qoRqlCTjoFyeKuBC8T_xHLGnpWhCsyXF-4T9iNTWR7eo25a6HKZZIGrzI4nff8_aKPwdaRbZdyOHEwDu5ttYWiQx-kVV6hC/s400/Snapshot_1593.jpg" width="400" /></a>Le mardi 12 février 2019, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, élu 5ème président de la République démocratique du Congo, une casquette qui pèse du fait de la dimension du pays et de sa population. Il est revenu à Kinshasa, venant d’Addis-Abeba où il a pris part à l’Assemblée générale élective de l’Union africaine avec ses pairs du continent.<br />
<br />
Sans préjudice de sa prestation à la Tribune de l’Assemblée de l’Union africaine (UA) en présentant, dans un discours fort applaudi, sa vision du futur du Contient, FATSHI a été élu par ses pairs et autres chefs du gouvernement dans la capitale éthiopienne, siège même de l’organisation panafricaine, deuxième vice-président de l’UA charge de l’Afrique centrale. Une deuxième casquette qui ne pèse pas non plus moins lourde, les deux casquetttes exigeant un long et solide coup, mais aussi de larges épaules pour les supporter.<br />
<br />
Car, qui dit Afrique centrale pense à une région du continent où les infrastructures routières, hospitalières, écolières sont soit désuètes, soit inexistantes; où le taux de chômage de jeunes est le plus élevé, pendant que ceux qui travaillent sont mal payés. Sinon, accusent plusieurs mois d’arriérés de salaires, qu’aucun projet prévu par le NEPAD n’a résolu et n’en a même pas décidé les modalités des études de faisabilité. Plus grave, dans certains pays de cette région, foisonnent le trafic de drogue, les tueries sauvages comme dans l’est de la RDC.<br />
<br />
Fatshi aura-t-il une baguette magique pour résoudre ces problèmes aussi bien dans son pays que dans l’ensemble de la région. Difficile à Dire.<br />
Ce qui est pourtant certain est qu’il lui faudra, vu le poids de ces deux casquettes, faire des choix. Deux ou trois qu’il pourra conduire à terme durant son mandat, afin de marquer son histoire où il est déjà de plein pieds.<br />
<br />
lepotentielonline

Politique Le Poids De Deux Casquettes

Le mardi 12 février 2019, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, élu 5ème président de la République démocratique du Congo, une casquette qui p...

Course Aux Postes : Le FCC Veut Gâcher La Fête De Fatshi

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEguE4ZB1REXS2gpaZ9qstsYgM3K3aAFoVBmd95Om9iYFQMz4-ir8DxOYX1Inz8d_ew10t47CVVXXnEv5WtNJD3zGeWtnewU3L9ShH331MM9tPzfundYrSeHFSIk2QGYv8-g7f04snrzqCbC/s1600/Snapshot_1592.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="398" data-original-width="710" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEguE4ZB1REXS2gpaZ9qstsYgM3K3aAFoVBmd95Om9iYFQMz4-ir8DxOYX1Inz8d_ew10t47CVVXXnEv5WtNJD3zGeWtnewU3L9ShH331MM9tPzfundYrSeHFSIk2QGYv8-g7f04snrzqCbC/s400/Snapshot_1592.jpg" width="400" /></a>Grand vainqueur des législatives nationales et provinciales, le FCC veut tout contrôler – du gouvernement central jusqu’aux exécutifs – ne laissant qu’une infime portion au président élu, Félix-Antoine Tshisekedi. Entre le CACH et le FCC, il y a des étincelles en l’air. Dans le FCC, on pense tout mettre en œuvre pour quadriller le président de la République, en ne lui accordant aucune marge de manœuvre pour exécuter son programme. Le renouveau promis par Félix Tshisekedi risque d’être une chimère. Sa fête est en voie d’être gâchée.<br />
<br />
Par Le Potentiel<br />
<br />
Joseph Kabila est parti, tout en prenant soin de verrouiller le jeu politique. Avec son Front commun pour le Congo, il s’est assuré d’avoir le contrôle de l’appareil de l’Etat. Avec une majorité confortable à l’Assemblée nationale – ce qui lui ouvre grandement la porte du gouvernement – et une forte présence dans les assemblées provinciales, Joseph Kabila et son FCC sont également assurés d’avoir toutes les manettes du pouvoir de l’Etat au cours de cinq prochaines années.<br />
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Le FCC a certes perdu à la présidentielle, mais il a conforté sa position aux législatives nationales. A la Chambre basse du Parlement, la plateforme électorale de Joseph Kabila revendique près de 350 sièges, contre environ 40 sièges pour son allié, le CACH, avec qui il est lié par un accord dont les termes relèvent encore du secret de Dieu. Au niveau provincial, le FCC s’est également taillé la part du lion, en alignant un nombre impressionnant de députés provinciaux pour les 715 sièges prévus dans les 26 assemblées provinciales dela RDC. Dans l’architecture institutionnelle issue des élections du 30 décembre 2018, le FCC est assuré de régner en maître. Dans ses rangs, on ne s’en cache pas.<br />
<br />
Il y a cependant un bémol. C’est la victoire de Félix Tshisekedi, sorti du ticket gagnant présenté par le CACH, coalition formée entre l’UDPS et l’UNC de Vital Kamerhe.<br />
<br />
Élu sur base d’un programme, le chef de l’Etat Félix Tshisekedi cherche aussi à s’assurer le contrôle de l’appareil de l’État. Son électorat l’attend au tournant. Au moment venu – sans doute en 2023 – il sait qu’il sera appelé à rendre des comptes. Pour le moment, la machine conçue autour d’un accord de « cogestion » conclu entre le FCC et le CACH, n’a pas encore présenté des signes de faiblesse.<br />
<br />
En réalité, chacun gère à sa manière ses frictions internes. Néanmoins, au FCC, les tensions sont nettement visibles. La course aux postes au sein de différentes institutions, en commençant par le Parlement jusqu’au gouvernement, s’annonce âpre. Modeste Bahati, autorité de l’AFDC-A, a d’ores et déjà annoncé les couleurs. En réalité, Bahati n’est que la face révélée de l’iceberg. En interne, au sein du FCC, la gestion des ambitions est âpre du fait que des calculs politiques sont tout autres.<br />
<br />
Le verrou<br />
<br />
Selon des indiscrétions recueillies dans ses rangs, l’aile dure du FCC a décidé de tout contrôler, ne laissant qu’une portion congrue au CACH et au chef de l’Etat. Les partisans de ce courant s’appuient éventuellement sur l’alinéa 1 de l’article 78 de la Constitution qui stipule que « Le président de la République nomme le Premier ministre au sein de la majorité parlementaire après consultation de celle-ci… ».<br />
<br />
Ravivé par son raz-de- marée aux législatives nationales, le FCC est déterminé à s’accrocher à cette disposition constitutionnelle. Mais, les plus modérés dans ses rangs prévoient d’accorder une passerelle au président de la République pour ne pas le gêner dans l’exercice de son mandat. Ils évoquent à cet effet l’accord conclu, bien avant la proclamation des résultats de la présidentielle, entre le FCC et le CACH. Dans ces conditions, le chef de l’Etat peut donc jouir de la possibilité d’aligner au sein du nouvel exécutif national certains de ses partisans, tout en prenant soin de respecter les dispositions de l’alinéa 3 de l’article 90 de la Constitution qui rappelle que « la composition du gouvernement tient compte de la représentativité nationale ».<br />
<br />
Autrement dit, si le FCC accepte de cohabiter avec le CACH au sein du gouvernement, il est néanmoins assuré d’être le dominant. Ce qui pourrait être gênant pour le président de la République.<br />
<br />
Il ne faut pas non plus oublier l’alinéa 1 de l’article 91 de la Constitution qui dispose en des termes clairs que « Le gouvernement définit, en concertation avec le président de la République, la politique de la nation et en assure la responsabilité ». Le dernier alinéa de cet article précise par ailleurs que « le gouvernement est responsable devant l’Assemblée nationale… ».<br />
<br />
Avec une Assemblée nationale totalement acquise à sa cause, le FCC veut se lancer en solitaire dans la gestion de l’Etat. Entre le FCC et le président de la République, la coalition ou encore la cohabitation pourrait vite virer à une confrontation. En tout cas, aucune hypothèse n’est à minimiser.<br />
<br />
Voilà donc des éléments qui indiquent que la fête promise par le président Félix Tshisekedi pourrait être gâchée à tout moment. La détermination du FCC à avoir la mainmise sur l’ensemble de l’appareil de l’Etat est confictogène. C’est un handicap que Félix Tshisekedi devra porter pendant les cinq ans de son mandat.<br />
<br />
lepotentielonline

Politique Course Aux Postes : Le FCC Veut Gâcher La Fête De Fatshi

Grand vainqueur des législatives nationales et provinciales, le FCC veut tout contrôler – du gouvernement central jusqu’aux exécutifs – n...

Assemblée nationale : les députés ministres, gouverneurs et mandataires… ont huit jours pour opérer le choix !

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhebMCb6PztvFdd8_9AgXUs0sgvN7Vb9NdwLjUN5WhA_q49mmpTwMiTVRfJvTNGnTZkUNITvGNy63OV9oep0FfFqzCu3zZpkxvChPZhbeQEPThJkjr2Y30HSdoaWZFlf3FPZ7fnQM-pvvrn/s1600/Snapshot_1591.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="747" height="295" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhebMCb6PztvFdd8_9AgXUs0sgvN7Vb9NdwLjUN5WhA_q49mmpTwMiTVRfJvTNGnTZkUNITvGNy63OV9oep0FfFqzCu3zZpkxvChPZhbeQEPThJkjr2Y30HSdoaWZFlf3FPZ7fnQM-pvvrn/s400/Snapshot_1591.jpg" width="400" /></a><br />
La plénière de l’Assemblée nationale de ce mercredi 13 février a validé les pouvoirs des députés nationaux, évidemment à l’exception de Yumbi, Beni-ville et Beni-Territoire. Ceci marque, d’après l’article 103 de la constitution le début de leur mandat de cinq ans. Cette validation, au regard de l’article 108 de la même constitution, contraint certains d’entre eux qui sont cumulards, d’opérer le choix endéans huit jours entre l’hémicycle et leurs fonctions actuelles.<br />
<br />
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<br />
Ce rappel constitutionnel leur a été fait avec insistance par Gabriel Kyungu wa Kumwanza, président du bureau provisoire de l’Assemblée nationale avant la levée de la séance plénière. En effet, selon les dispositions de l’article 108 de la constitution, le mandat du député national est incompatible avec le mandat de sénateur et vice-versa. Aussi, ce mandat est-il incompatible avec les fonctions ou les mandats de membre du gouvernement ; de membre d’une institution d’appui à la démocratie ; membre des Forces armées, de la police nationale et des services de sécurité ; magistrat, agent de carrière des services publics ; cadre politico-administratif de la territoriale ; mandataire public actif, membre des cabinets du président de la république, du premier ministre, du président du Sénat ; des membres du Gouvernement, de tout autre mandat électif.<br />
<br />
Ainsi sont visés par cette disposition Vital Kamerhe, devenu directeur de cabinet du président de la République, les ministres du Gouvernement central Lambert Mende, Magguy Kiala, Henri Mova, Crispin Atama, Ingele Ifoto, Joseph Kokonyangi, Papy Niango, Jean-Lucien Bussa, José Makila, Steve Mbikayi, Heva Muakasa, Félix Kabange, She Okitundu, Marcel Ilunga Leu… ; les gouverneurs de province Julien Paluku, Alphonse Ngoyi Kasanji, André Kimbuta, Richard Muyej…<br />
<br />
Si en 2011, les gouverneurs comme Kimbuta, Kasanji et Paluku avaient préféré garder leurs postes de gouverneur de province, cette-fois tout observateur ne les voit pas opérer ce choix risqué. De même pour tous les ministres. Dès la semaine prochaine, il y aura beaucoup de trous au Gouvernement Tshibala.<br />
<br />
Innocent Olenga

Politique Assemblée nationale : les députés ministres, gouverneurs et mandataires… ont huit jours pour opérer le choix !

La plénière de l’Assemblée nationale de ce mercredi 13 février a validé les pouvoirs des députés nationaux, évidemment à l’exception de Yum...

Grève à TVS1 : Muzito, scribe ou pharisien ?

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKnOSWrp15kgBu-GZ5MSz4QxX8MKOzDt7njR4lUCrXLO_JrPudZvuecyq48yZAC_EV9f5m2x__aIKjEqcPYoJuOManRMMn7uKsEDLqnZjMr3PYQ-uohEdIfOZg77iO2cKNAuhuPIAA8Hfu/s1600/Snapshot_1589.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="409" data-original-width="742" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKnOSWrp15kgBu-GZ5MSz4QxX8MKOzDt7njR4lUCrXLO_JrPudZvuecyq48yZAC_EV9f5m2x__aIKjEqcPYoJuOManRMMn7uKsEDLqnZjMr3PYQ-uohEdIfOZg77iO2cKNAuhuPIAA8Hfu/s400/Snapshot_1589.jpg" width="400" /></a>Seul le Christ saura nettement différencier le statut de cet ancien premier ministre, au regard de son comportement qui ne cadre pas avec ses propres enseignements. Affamant ses travailleurs qui accusent des arriérés de salaires allant de 10 à 26 mois, c’est   celui-là même qui s’illustre en donneur des leçons d’économie et de bonne gouvernance ! En effet, lorsqu’Adolphe Muzito prêche son évangile macro-économico-financier à travers ses tribunes, les naïfs ont tendance de se suspendre à ses lèvres et le suivre religieusement. Mais hélas, l’homme n’est nullement un modèle de gestion !<br />
<br />
<br />
<br />
Pas étonnant, parce que le Christ l’avait prédit : “ce n’est pas ceux qui disent Seigneur, Seigneur qui entreront dans le royaume des cieux, mais plutôt ceux qui font la volonté de mon père”. Non sans raison, comment Adolphe Muzito prétendait-il diriger un grand Congo et assurer le bien-être de plus de 80 millions d’habitants quand il ne sait pas gérer une poignée d’environ 65 travailleurs ? Ces derniers qui ont déclenché un mouvement de grève ce mercredi 13 février, accusent d’après leurs témoignages des arriérés de salaires allant de 10 à 26 mois.<br />
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D’après l’enquête de Scooprdc.net, il n’est pas question de défaut de rentabilité de la chaîne TVS1 mais plutôt d’une très mauvaise gestion familiale, pareille d’une boutique, mieux d’un « ligablo » comme aiment bien le dire les Kinois. La comptabilité démontre que cette chaîne réalise mensuellement entre 36 et 38 mille USD provenant de la publicité et de frais de diffusion des éléments dans le journal tandis que la masse salariale y compris les charges connexes ne dépasse pas 13 mille USD. Pourquoi ne pas alors rémunérer les agents ?<br />
<br />
<br />
<br />
Tout simplement parce que femme et enfants Muzito considèrent la TVS1 comme une boutique familiale où chacun vient prendre comme il veut l’argent dans la caisse sans aucune norme comptable. “Billets d’avion de vacances, organisation des anniversaires et autres dépenses familiales ; toutes ces dépenses Benoîte Muzito (NDLR : fille aînée de l’ancien premier ministre qui est DG de TVS1) et sa mère les font avec l’argent de la chaîne”, explique un agent gréviste.<br />
<br />
Avec ce qui se passe chez lui, Adolphe Muzito peut-il vraiment se présenter comme un donneur de leçons de gouvernance comme il l’a fait contre Joseph Kabila et maintenant  contre Félix Tshisekedi ? Pas du tout pour les initiés, car les scribes et les pharisiens l’avaient fait dans les synagogues. Heureusement que le Christ avait mis à nu ces hypocrites qui faisaient le contraire de ce qu’ils prêchaient, comme les grévistes de TVS1 viennent de le faire avec l’ancien premier ministre du Parti Lumumbiste Unifié (PALU).<br />
<br />
Agnelo Agnade.

Société Grève à TVS1 : Muzito, scribe ou pharisien ?

Seul le Christ saura nettement différencier le statut de cet ancien premier ministre, au regard de son comportement qui ne cadre pas avec se...

Claudel-A. Lubaya : « Il faut aller de l’avant, le Congo ne va pas s’arrêter avec les résultats des élections »

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuOJSnkERYkljpJfuyPomLtSO6y_VTCJPATA1NXSnucgM4p4Vr1FVHdfGTPfc1jXy0yU7esGQUJAz2gt8U9CxZFLX-fmPFF3b9V5iGUbno93n5AfZZB0Yq3-W3BqKMv_IQJ20ycIEN3r5O/s1600/Snapshot_1563.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="432" data-original-width="797" height="216" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuOJSnkERYkljpJfuyPomLtSO6y_VTCJPATA1NXSnucgM4p4Vr1FVHdfGTPfc1jXy0yU7esGQUJAz2gt8U9CxZFLX-fmPFF3b9V5iGUbno93n5AfZZB0Yq3-W3BqKMv_IQJ20ycIEN3r5O/s400/Snapshot_1563.jpg" width="400" /></a>- Invité de la radio Top Congo, mardi 12 février, le président d’Alliance des Mouvements du Kongo (AMK) a donné la voix sur la position de la plateforme sous sa houlette. Claudel André Lubaya, a souligné que le leader d’Ensemble pour le changement, Moise Katumbi, « n’est pas en opposition à FélixTshisekedi ».<br />
Tout en précisant qu’il n’est pas porte-parole de Moise Katumbi, mais membre de sa plateforme, André-Claudel Lubaya « croit ne pas être en opposition avec la vision globale d’Ensemble pour le changement dont les principaux mouvements ont eu le temps de s’exprimer » sur le sujet.<br />
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« Tourner la page des élections » <br />
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Avec l’évolution des choses notamment, la mise en place des institutions issues des élections du 30 décembre dernier, Lubaya est d’avis qu’il faut avancer.<br />
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« Il est temps de tourner la page et de faire le deuil de tout ce qui s’est passé pendant la campagne électorale, les élections et la publication des résultats. Il faut aller de l’avant parce que le Congo ne va pas s’arrêter avec les résultats des élections ni avec les contentieux », estime l’élu de Kananga (Kasaï Central). Il relève que le pays a « des institutions issues des élections. Les débats sur les résultats appartiennent désormais au passé ».<br />
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Bien que Moïse Katumbi ne se soit pas encore exprimé sur le sujet, André-Claudel annonce que « Moise Katumbi prendra position incessamment ».<br />
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Une position qui ne devrait pas être « contraire à celle qui a été déjà communiquée par le doyen d’âge de la plate-forme Ensemble, Gabriel Kyngu wa Kumuanza, actuel président du bureau provisoire de l'Assemblée nationale »<br />
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PM/Le Potentiel

Politique Claudel-A. Lubaya : « Il faut aller de l’avant, le Congo ne va pas s’arrêter avec les résultats des élections »

- Invité de la radio Top Congo, mardi 12 février, le président d’Alliance des Mouvements du Kongo (AMK) a donné la voix sur la position de l...

ESU : Félix Tshisekedi ordonne le paiement du manque à gagner dû au taux de 92 francs le dollar de l’année passée

February 15, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhilM4LgI_VTG3Sq8rG2ONar8xdQO2YvGUF6VCvdUFIGT2aqIIYpPdDcQdY55dNpAnLg554w4tfqshyphenhyphentnsyoROxtbSSshxOyxRfcnGcGHCzbI2gOvyuaPTkXdV-F-OzzRsNI1ltpI_vztxM/s1600/Snapshot_1572.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="571" data-original-width="1017" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhilM4LgI_VTG3Sq8rG2ONar8xdQO2YvGUF6VCvdUFIGT2aqIIYpPdDcQdY55dNpAnLg554w4tfqshyphenhyphentnsyoROxtbSSshxOyxRfcnGcGHCzbI2gOvyuaPTkXdV-F-OzzRsNI1ltpI_vztxM/s400/Snapshot_1572.jpg" width="400" /></a>Sur instruction du chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Directeur du cabinet du chef de l’Etat, Vital Kamere, s’est entretenu mercredi 13 février 2019, à la cité de l’UA avec une forte délégation des institutions d’enseignement Supérieur et Universitaire conduit par le ministre de tutelle, Steve Mbikayi.<br />
Sur instruction du chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Directeur du cabinet du chef de l’Etat, Vital Kamere, s’est entretenu mercredi 13 février 2019, à la cité de l’UA avec une forte délégation des institutions d’enseignement Supérieur et Universitaire conduit par le ministre de tutelle, Steve Mbikayi. Après la réunion, plusieurs décisions ont été prises pour alléger la facture sociale du corps professorale.<br />
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Selon le ministre de l’Enseignement Supérieure et Universitaire (ESU), Steve Mbikayi, « on a parlé des questions qui concerne la prime du personnel, notamment le manque a gagné dû au taux de 92 Fc l’année passée, et le président de la République a répondu à nos préoccupations et dès la semaine prochaine, on va recommencer à payer le manque à gagner de la fois passée pendant 3 mois », a-t-il confirmé et le mercredi prochain on va se retrouver autour du président de la République, avant de pouvoir trouver des solutions durables, notamment en ce qui concerne la prime du personnel, que nous allons discuter avec le gouvernement et la présidence, a nuancé le ministre de l’ESU.<br />
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Pour rappel, après deux jours des fortes tensions dans cet établissement où les étudiants et le corps académique scientifique, exigeaient le départ du comité de gestion pour megestion, le mardi 12 février 2019, le ministre de l’ESU, s’était rendu sur le site universitaire afin d’échanger avec toutes les parties. En ce qui concerne la situation qui prévaut à l’Université Pédagogique National (UPN), Steve Mbikayi a clarifié ladite situation en suspendant toutes les activités académiques au sein de cette institution jusqu’à l’installation d’un nouveau comité de gestion.<br />
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« A l’UPN, c’était une affaire d’incompréhension entre le comité de gestion d’une part et le corps académique scientifique administratif d’une autre part. Que les étudiants de cette institution sachent qu’à dater de ce jeudi 14 février, il n’y pas cours jusque lundi prochain. Le temps pour le ministre de tutelle de mettre de l’ordre au sein de cet établissement universitaire ».<br />
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Après cette rencontre de mercredi avec le Directeur de cabinet du chef de l’Etat, il a été décidé du début de paiement du manque à gagner aux établissements à partir de lundi 18 février prochain.<br />
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Au moment où nous mettons cet article sur le site, il nous revient que le comité de gestion suspendu conteste la décision prise par le ministre de tutelle la qualifiant d’injuste. Quoi qu’il en soit, le vin est tiré et il faut le boire.<br />
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Gisèle Mbuyi/MMC<br />
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Education ESU : Félix Tshisekedi ordonne le paiement du manque à gagner dû au taux de 92 francs le dollar de l’année passée

Sur instruction du chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Directeur du cabinet du chef de l’Etat, Vital Kamere, s’est entret...

7sur7.cd : « Assemblée Nationale : les mandats de députés nationaux dont Fayulu, Kamerhe, Kabund… validés »

February 15, 2019

Au cours de la plénière de mercredi 13 février, les mandats de députés nationaux élus à l’issue des élections du 30 décembre 2018, ont été validés par l’Assemblée Nationale. 7sur7.cd renseigne que parmi ces députés l’on retrouve le candidat malheureux à la présidentielle, Martin Fayulu qui continue de réclamer la vérité des urnes.<br />
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Il y a aussi l’actuel directeur de cabinet du chef de l’État Vital Kamerhe et Jean-Marc Kabund, le président intérimaire de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti actuellement au pouvoir en RDC.<br />
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Ainsi, les 485 députés nationaux, hormis ceux des territoires Beni Butembo et Yumbi, ont le plein pouvoir de siéger à l’hémicycle comme des véritables avocats du peuple, ajoute Actu30.info.<br />
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Selon ce média en ligne, la session extraordinaire de la chambre basse, conduite par un bureau provisoire est aussi consacrée à l’élaboration du règlement intérieur ainsi qu’à l’élection du bureau définitif qui, sauf imprévu, interviendra le 11 mars prochain.<br />
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Le député qui fait l’objet de l’une des incompatibilités marquées dans la loi électorale doit opter, dans les huit jours de la validation de mandat, entre son mandat et les autres fonctions qu’il exerce, renchérit Actualité.cd<br />
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Le portail énumère une série de fonctions incompatibles, citant notamment le membre du cabinet du Président de la République, du Président de l’assemblée nationale, du Président du Sénat, du Premier ministre, des membres du Gouvernement et de toute autre autorité politique ou administrative de l’Etat, membre des Forces armées, de la Police nationale ou encore agent de carrière des services publics de l’Etat.<br />
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Son mandat étant validé à l’Assemblée nationale, Martin Fayulu joue son « ultime carte », estime Forum des As. Pour le journal, les analystes de la scène politique pensent qu'après l'insuccès de Martin Fayulu en interne, à l'échelle continentale et même à l'internationale, plus rien ne lui reste encore à faire. Tous les « espoirs » d'un éventuel revirement de la situation politique en faveur du leader de Lamuka, sont allés en eau de boudin.<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjw8fNMXJIr2y-q3FswYN-cmS3tdibgWfKZvXB0XnnGk79NwS1V2Wg7Xq-Ocr0XeX48aW5vOmcIXDXvT32m9vBjGhcMYSPxOYpH3cZMzwMG5m-qLLIRaG1NgGcSkdyrhPfHmb6g5B7Igt4B/s1600/Snapshot_1584.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="434" data-original-width="637" height="272" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjw8fNMXJIr2y-q3FswYN-cmS3tdibgWfKZvXB0XnnGk79NwS1V2Wg7Xq-Ocr0XeX48aW5vOmcIXDXvT32m9vBjGhcMYSPxOYpH3cZMzwMG5m-qLLIRaG1NgGcSkdyrhPfHmb6g5B7Igt4B/s400/Snapshot_1584.jpg" width="400" /></a>Cependant, d'aucuns postulent que Martin Fayulu n'a pas tout perdu. Il a encore quelque chose à sa portée. A savoir la place constitutionnelle de chef de file de l'opposition. Même s'il n'est pas issu d'un grand parti politique, le Fayulu d'aujourd'hui n'a rien à voir avec celui que les Congolais ont connu au cours des dix dernières années, décrypte le quotidien.<br />
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Après la validation des mandats des députés, le prochain round se joue autour de l’élection du bureau définitif de l’Assemblée nationale, pense Le Potentiel.<br />
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« Au Front commun pour le Congo (FCC), virtuellement majoritaire à la chambre basse du Parlement, l’heure est aux négociations. Dans cette nébuleuse, des tractations s’annoncent très agitées. Modeste Bahati, autorité morale de l’AFDC-A, a déjà annoncé les couleurs. Sans compter le CACH (Cap pour le changement), qui devrait vraisemblablement avoir sa part dans le partage compte tenu de l’accord qui le lie au FCC. De part et d’autre, ça se bouscule déjà », constate le tabloïd.<br />
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En santé, Congoprofond.net annonce que L’épidémie « Chikungunya » touche la ville de Kinshasa, après des analyses effectuées par l’Institut National des Recherches Biomédicales, INRB. Le portail énumère quelques précautions à prendre pour se protéger, entre autres : éviter de se faire piquer par le moustique, porter les vêtements longs et clairs qui couvrent les extrémités surtout le matin (6h à 10h) et le soir (15h à 19h00), vider les récipients ou boites contenant l’eau: boites de tomate, sardine, conserve, abreuvoirs, pots de fleurs, écorce de noix de coco, gouttières, pneus, utiliser les insecticides, moustiquaires.<br />
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C’est pour la troisième fois que l’épidémie de Chikungunya sévit en RDC. La première fois, la maladie s’était déclarée en 1999-2000, et la seconde fois en 2012. Toutefois, la maladie n’est pas mortelle mais très invalidante, alerte Le Phare.<br />
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Politique 7sur7.cd : « Assemblée Nationale : les mandats de députés nationaux dont Fayulu, Kamerhe, Kabund… validés »

Au cours de la plénière de mercredi 13 février, les mandats de députés nationaux élus à l’issue des élections du 30 décembre 2018, ont été v...

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37 ANS DE L ' UDPS : "JEAN MARC KABUND APESI MARTIN FAYULU AVERTISSEMENT YA SUKA AVANT BA KANGA YE . L 'UDPS VAINCRA ET A VAINCU . MARTIN FAYULU EST SANS HISTOIRE NDENGE TOKO YIBA VICTOIRE NA YE " (VIDÉO)

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ECIDE : Martin Fayulu à son arrivé à Butembo. La souveraineté du peuple congolais ne sera pas bradée par des « arrangements particuliers » ou autres « compromis à l’africaine ». (vidéo)

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