BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Sale temps pour le ministre de Transport Kalumba

June 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF_Ek77kP8wmeVIOQlYj3xvolKGO49sJuId8NjSI0HV8aOiULRmial0rTK-z9Kea_VQ0GYsogOk3PdcM9xnymguLVwMsvqn99Kl_P3nNaUFJjh_E7gR1pHKdRc9TZxHAqwvTWQneKd4_w/s1600/Kalumba.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="283" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF_Ek77kP8wmeVIOQlYj3xvolKGO49sJuId8NjSI0HV8aOiULRmial0rTK-z9Kea_VQ0GYsogOk3PdcM9xnymguLVwMsvqn99Kl_P3nNaUFJjh_E7gR1pHKdRc9TZxHAqwvTWQneKd4_w/s400/Kalumba.jpeg" width="400" /></a></div>
S’il est sauvé, ça sera par justesse. C’est un élu national de la Majorité qui a lancé cette petite phrase à la rédaction du bihebdomadaire C-News.<br />
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 Le ministre des Transports et Voies de Communication est en train d’être dans l’abattoir où une guillotine l’attend. Difficile que la coupe qui attend Justin Kalumba soit enlevée. Aux dernières nouvelles, la motionde motion contre l’auteur de la dissolution motion Lignes motionériennes Congolaises (LAC), a recueilli plus de cent signatures.<br />
Des élus nationaux l’accusent d’insolence à leur endroit après qu’ils aient rejetés la proposition de loi portant nouveau Code de la route en RD-Congo. me il n’y a plus de motion de défiance pour sauver des membres du Gouvernement de la Guelle du loup, la motion Kalumba ira jusqu’au bout.<br />
C’est-à-dire aux urnes où son sort sera décidé. Outre l’insolence à l’égard des élus nationaux, la représentation nationale indique que le min¬istre des Transports et Voies de Communication est mêlé dans plusieurs dossiers sales dans son domaine. Risque que cette motion soutenue par la Majorité me par l’Opposition puisse em¬porter l’ancien ministre du Commerce Extérieur. Ce qui sera une première depuis l’avènement d’Aubin Minaku au perchoir de la Chambre basse du Parlement. La balle est dans le cas du Bureau de l’Assemblée nationale pour qu’elle programme la motion de défiance contre Kalumba dans une des plénières qui restent avant la clôture de la cession de mars prévue en principe le 15 juin prochain. Pour l’instant, on s’aperçoit que la tempête s’annonce à toute allure dans la mai¬son Kalumba mais il n’y a pas d’abris. Avec le vote se¬cret, difficile de savoir qui aura voté pour ou contre le départ de ce ministre.<br />
Ce qui est vrai, Justin Kalum¬ba Mwana Ngongo fait des insomnies jusqu’à connaître le sort que l’Assemblée na¬tionale lui réserve. Dans la foulée des noms des proba¬bles remplaçants sont cités. Certaines voix de la prov¬ince du Maniema avancent qu’Athanase Matenda serait bien placé pour prendre sa place.<br />
L’intéressé lui-même n’a encore rien dit connais¬sant bien Kabila qui n’aime pas des tintamarres avant qu’une chose s’accomplisse.<br />
MOZER MARONE<br />
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Economie la Nation Politique Sale temps pour le ministre de Transport Kalumba

S’il est sauvé, ça sera par justesse. C’est un élu national de la Majorité qui a lancé cette petite phrase à la rédaction du bihebdomadair...

Elections, le PPRD risque de mordre la poussière

June 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_sj2CR0kf32pancSqqRzbCNjo4al1377tFNPPVpYRg6_Y_KRKvYEpo_eLYlFtNAEUvQP5sYPYPoyI722TVfM4M0bM4k7IAXJ4JJXJt_OqED57LUq8VL5OjmT3OTn8HRrzu9IzDwZJn1g/s1600/movasakaiie.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_sj2CR0kf32pancSqqRzbCNjo4al1377tFNPPVpYRg6_Y_KRKvYEpo_eLYlFtNAEUvQP5sYPYPoyI722TVfM4M0bM4k7IAXJ4JJXJt_OqED57LUq8VL5OjmT3OTn8HRrzu9IzDwZJn1g/s400/movasakaiie.jpg" width="400" /></a></div>Le PPRD risque de mordre la risque dans la perspective des échéances électorales à venir. Cause, les caisses du parti présidentiel sont vides.<br />
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C’est Henri Mova Sakani, nouveau secrétaire Général du PPRD qui l’a fait savoir aux candidats PPRD à la députation provinciale, au cours d’une réunion.<br />
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Mova a fait remarquer à ses camarades du parti qu’ils devront s’autofinancer pendant la campagne parce que les caisses du parti n’ont aucun rond même pas un seul dollar. Ici, la question qui se pose: est où passé l’argent des contribualables de ce parti? Boshab doit donc se justifier à ce sujet qui fâche les esprits au sein du PPRD. Cette situation mettra en très mauvaise posture Henri Mova Sakini qui après s’avoir été porté à la tête du parti présidentiel, s’est résolu de gagner haut la main.<br />
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Cela mettra aussi en dif¬ficulté les candidats du PPRD qui manqueront des moyens financiers. Si cela s’avère vrai que les caisses du PPRD sont vides, allez-y comprendre que Boshab a saigné à blanc les comptes du PPRD. Le nouveau VPM de l’intérieur doit rendre compte à ce sujet.<br />
XAVIER PEREZ<br />
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Politique Elections, le PPRD risque de mordre la poussière

Le PPRD risque de mordre la risque dans la perspective des échéances électorales à venir. Cause, les caisses du parti présidentiel sont vide...

3 ans durant Matata Ponyo toujours incapable de trouver la solution aux problèmes des ex agents Fly Congo ( vidéo)

June 12, 2015

Matata Ponyo toujours incapable de trouver la solution aux problèmes des ex agents  Fly Congo ( vidéo)<br />
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Au tour de Kinshasa Economie infos en vidéos le JT de la RTVS1 3 ans durant Matata Ponyo toujours incapable de trouver la solution aux problèmes des ex agents Fly Congo ( vidéo)

Matata Ponyo toujours incapable de trouver la solution aux problèmes des ex agents Fly Congo ( vidéo)

Témoignage d'un Kuluna qui a accepté christ, révélations politiques choquantes (vidéo)

June 12, 2015

Au tour de Kinshasa infos en vidéos Religion Témoignage d'un Kuluna qui a accepté christ, révélations politiques choquantes (vidéo)

Témoignage d'un Kuluna qui a accepté christ, révélations politique choquantes (vidéo)

NE MUANDA NSEMI POUR UNE TRANSITION DE TROIS ANS

June 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1v2qf7LMpOPKctCODugG3EG8iwh-8AdnPiBevcSfVQO0F15hrY2Eord-VoqiFJWNU5TuCrTQgGj2Wo5VgvKGji-i8lSwIfTDkebx4nwwA4eG-L-56B3wa4DSYmDeyYgsG3hclo4utIdc/s1600/Snapshot_17.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1v2qf7LMpOPKctCODugG3EG8iwh-8AdnPiBevcSfVQO0F15hrY2Eord-VoqiFJWNU5TuCrTQgGj2Wo5VgvKGji-i8lSwIfTDkebx4nwwA4eG-L-56B3wa4DSYmDeyYgsG3hclo4utIdc/s400/Snapshot_17.jpeg" width="400" /></a></div>* Ainsi, il préconise la formule « 1+4 » comme autrefois, c’est-à-dire un président <br />
de la République assiste de quatre vice-présidents.<br />
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« Kongo Dieto 1833 ». Telle est la référence de la dernière publication de l’ancien chef de « Bundu dia Kongo ». Après avoir été reçu par le chef de l’Etat, dans le cadre des consultations au Palais de la nation, le député Ne Muanda Nsemi largue sa formule pour sortir de la crise politique actuelle. Car, pour ce leader Kongo, il n’y a pas mille manières pour sortir de cette crise. Sa recette demeure loin de plaire à ses pairs de l’Opposition politique et à la communauté internationale. Le « grand maître de la sagesse Kongo » ne redoute nullement le glissement. A ses yeux, « la crainte du glissement n’est pas un talisman qui va améliorer tous les paramètres déficients du moment ». Que faire alors, s’interroge-t-il à travers son dépliant intitulé « le retour au un plus quatre ». Et de répondre : « Il faut réfléchir et décider ». <br />
Le député Ne Muanda Nsemi prend ses responsabilités. « Votre crainte d’aboutir à un glissement est compréhensible. Mais, c’est à nous de choisir ou bien nous voulons organiser des élections crédibles, ou simplement des élections de mascarade ». C’est par ces mots qu’il débute sa réflexion profonde dans son dernier dépliant. Il propose donc sa formule pour sortir de la crise actuelle en allant au-delà des clivages Majorité-Opposition. Car, poursuit-il, « si nous voulons organiser des élections crédibles, alors nous sommes obligés de satisfaire certains préalables : notamment le recensement de la population et le renouvellement du fichier électoral ». Et d’ajouter comme pour trancher : « Je le répète trois fois que, dans les conditions d’aujourd’hui, nous sommes en RDC incapables d’organiser des élections crédibles. Alors, il faut choisir, car notre crainte morbide du glissement n’est pas un talisman qui va améliorer tous les paramètres déficients du moment ».<br />
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UNE TRANSITION DE TROIS ANS MAXIMUM AVEC LA FORMULE « 1+4 »<br />
Comme les conditions pour des élections crédibles ne sont pas réunies, Ne Muanda Nsemi propose une transition de trois ans maximum. Pendant cette période, préconise-t-il, « nous allons tout faire pour remplir ces conditions ». Mais alors, de quel type de transition politique s’agira-t-il ? « Pour cette période de transition, nous revenons à la formule un plus quatre. Ainsi, la RDC sera dirigée par un président de la République, secondé par quatre vice-présidents », indique-t-il. Une proposition qui n’est pas du goût de ses pairs de l’Opposition, et de la communauté internationale parce qu’elle fait la part belle au fameux glissement tant redouté en ce que Joseph Kabila pourrait rester à la tête de la RDC jusque 2017 et même bien au-delà. Contrairement à la thèse défendue.<br />
D’après la proposition de Ne Muanda Nsemi, sur les quatre vice-présidents de la République, le premier représentera la Zone Ouest de la RDC (Kongo Central, Bandundu, la Mongoli et la Mongala, le second représentera la Zone du Nord (Province Orientale, Nord-Kivu et Sud-Kivu), le troisième représentera la Zone du Sud-Est (Maniema et Katanga) et, enfin, le quatrième représentera le Centre du pays (Kasaï et le Sankuru). La Zone Ouest, tient à préciser l’ancien chef de « Bundu dia Kongo », est représentée par Ne Muanda Nsemi et Jean-Pierre Bemba. « Ce dernier étant en prison à la CPI, il ne reste que Ne Muanda Nsemi sur cette zone », souligne l’auteur de « Kongo Dieto 1833 ». Avant de lancer : « C’est pourquoi, les Bakongo préfèrent Ne Muanda Nsemi qui est le grand défenseur du Kongo Central et son peuple ».<br />
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UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION ET DES DEPUTES PROVINCIAUX COOPTES<br />
Qui représentera chaque zone à la vice-présidence ? S’il se place en bonne place pour la Zone Ouest, en dehors de JP Bemba, Ne Muanda Nsemi soutient que, pour la Zone du Centre, le choix devra se faire entre Etienne Tshisekedi et Beltchika. « Tshisekedi étant devenu trop vieux et malade, il reste Beltchika ». En ce qui concerne la Zone du Sud-est, il propose un choix entre Thambwe Mwamba, Gabriel Kyungu, Henri Mova et Lunda Bululu. S’agissant de la Zone du Nord-est, il aligne Azarias Ruberwa, Vital Kamerhe, Julien Paluku et Anzuluni Bembe. Le Gouvernement, durant cette nouvelle transition de’ trois ans, sera dirigé par Un Premier ministre et les ministres seront nommés en accord avec le vice-président représentant sa zone d’origine. Mais, Ne Muanda Nsemi ne dit rien à propos du choix du Premier ministre, s’il sera de la Majorité ou de l’Opposition.<br />
Les assemblées provinciales seront aussi de la partie durant cette transition, explique Ne Muanda Nsemi. « L’Assemblée provinciale sera composée par des députés provinciaux cooptés à raison d’un quota qui représentera le pourcentage de popularité du leader qui le représente dans la province. Cette assemblée provinciale désignera les sénateurs qui vont représenter la province au niveau national ». Mais, rien n’a été dit sur les députés nationaux, peut-être que l‘Assemblée nationale bénéficiera d’une prolongation, dictée par la nouvelle transition politique souhaitée par le député national Ne Muanda Nsemi. C’est donc la formule que propose l’homme de Luozi pour sortir de la crise actuelle et ainsi préparer l’organisation des élections crédibles en RDC. <br />
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M. M.<br />
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Politique NE MUANDA NSEMI POUR UNE TRANSITION DE TROIS ANS

* Ainsi, il préconise la formule « 1+4 » comme autrefois, c’est-à-dire un président de la République assiste de quatre vice-présidents. «...

AMBASSADEURS -CENI : LE POINT CE MATIN !

June 12, 2015

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D’ores et déjà, Martin Köbler réitère sa disponibilité à offrir ses bons offices au dialogue en perpective. En ce qui concerne la tenue effective des élections, Jean-Michel Dumont pense qu’il appartient à la CENI d’établir un calendrier faisable et réaliste.<br />
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Une rencontre des ambassadeurs accrédités en RD Congo et le bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) est prévue aujourd’hui vendredi le 12 juin à Kinshasa. C’est ce qu’a déclaré hier jeudi, le Représentant de l’Union européenne en RD Congo, Jean-Michel Dumont, au sortir de l’audience accordée par le Président Joseph Kabila, à une délégation de 23 diplomates, dans le cadre des consultations politiques initiées depuis lundi le 1er juin courant. <br />
Selon ce diplomate, des questions liées au calendrier électoral, au financement du processus électoral en cours et le fichier électoral seront les points à débattre au cours de cette réunion. Cette rencontre est la première, depuis que les considérations en rapport avec l’actualisation du Fichier électoral, les supputations autour d’un calendrier électoral et même le Budget alloué aux opérations électorales en RD Congo, préoccupent plus d’un acteur socio-politique du pays de Joseph Kabila. <br />
En ce qui concerne l’appui de l’Union européenne au processus électoral en RD Congo, Jean-Michel Dumont est formel. " L’Union européenne est prête à apporter son appui au processus électoral. Nous en discuterons demain (ndlr : aujourd’hui vendredi) avec la CENI puisqu’il lui appartient d’établir un calendrier faisable et réaliste ", déclare le Représentant de l’UE en RD Congo. <br />
Toutes proportions gardées, les propos de ce diplomate viennent corroborer ceux de Léon Kengo Wa Dondo. Reçu lundi le 8 juin par Joseph Kabila, l’autorité morale de la plateforme politique connue sous le label Opposition républicaine (OR), n’avait fait aucun mystère sur le financement des élections en RD Congo. Devant les caméras, Léon Kengo Wa Dondo avait déclaré que le budget 2015 en cours d’exercice n’ayant pas alloué des ressources nécessaires au processus électoral de 2015, il est impossible d’organiser toutes les élections prévues au courant de cette même année. C’était donc, une manière pour le chef de fil de l’OR, d’appuyer sa prise de position en faveur d’un dialogue politique en interne. Cette rencontre de différents acteurs sociopolitiques congolais pourrait déboucher sur un nouveau calendrier électoral, élaboré de manière consensuelle.<br />
<br />
L’UNION EUROPEENNE SOUTIENT LE DIALOGUE<br />
Abordant le sujet relatif au dialogue politique depuis peu au centre d’une vivre controverse au sein des états-majors des partis politiques à Kinshasa, notamment ceux de l’Opposition, Jean-Michel Dumont n’y est pas allé par quatre chemins. D’abord, au nom de l’Union européenne et des Etats membres, ce diplomate a remercié le Président rd congolais Joseph Kabila pour son initiative des consultations du Palais de la nation. <br />
Quant au Dialogue, l’Ue par la bouche de son Représentant en RD Congo, soutient cette initiative comme espace d’échanges sincères sur de vrais problèmes qui se posent autour du processus électoral. " Le Président Joseph Kabila nous a demandé de jouer un rôle positif. En tant que l’Union européenne, nous avons répondu favorablement pour que les élections à venir soient organisées de manière libre, transparente, démocratique. Ce selon les échéances constitutionnelles et dans un climat politique apaisé ", parole du diplomate.<br />
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MARTIN KÖBLER PRET POUR UNE MISSION DE BONS OFFICES<br />
Premier à prendre la parole, l’Allemand Martin Köbler, Représentant du Secrétaire général des nations unies en RD Congo, n’a pas manqué de mots pour gratifier leur hôte Joseph Kabila. " Laissez-moi remercier le chef de l’Etat de cette initiative d’informer le corps diplomatique de ses consultations. C’est très important d’avoir cette relation parce qu’il y a beaucoup de rumeurs ", dit-il.<br />
Par ailleurs, Martin Köbler, s’exprimant au nom de la délégation qu’il a conduite hier au Palais de la Nation, s’est félicité d’avoir reçu de Joseph Kabila, des clarifications sur ce qu’il fait à travers les consultations politiques du Palais de la nation. " L’échanges de vues avec le Président s’est bien passé ", dit-il. <br />
Köbler est-il disposé à offrir ses bons offices au dialogue tant réclamé en RD Congo ? A cette question de la presse, le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en RD Congo répond : " Dans ma déclaration, j’ai dit que nous sommes tout à fait prêt à accorder le plein soutien de la Communauté internationale aux élections en RD Congo. Bien sûr, selon les principes de la résolution des Nations Unies, de consensus de faire les élections libres et paisibles, selon les standards internationaux crédibles " a déclaré Martin Köbler, avant d’ajouter que " les autres principes, c’est que la Constitution doit être respectée comme dit dans la Résolution des Nations unies... que le calendrier soit respecté jusqu’en novembre 2016, prévu pour les législatives."<br />
Revenu sur la question proprement dite en rapport avec sa mission de facilitation du dialogue, telle que souhaitée par certains partis politiques de l’Opposition, Martin Köbler dit ne pas y trouver des inconvénients. " Mais cela doit se faire naturellement par consensus des deux parties (la Majorité présidentielle au pouvoir et l’Opposition politique plurielle ?) ". Toutefois, le même diplomate précise : " Nous ne sommes pas des acteurs politiques. Si les partenaires sont d’accord, nous pouvons offrir les bons offices, ma facilitation mais aussi, un témoignage positif si tous le désirent."<br />
Prêchant pour sa chapelle, Martin Köbler ajoute : " je crois que nous avons eu une très bonne réunion avec le Président Joseph Kabila sur les consultations qu’il mène. J’ai attiré son attention sur le rôle positif de la Mission des Nations Unies pour la stabilité au Congo (MONUSCO) et de la Communauté internationale sur les sujets qui doivent être résolus rapidement. Il s’agit de la question de nouveaux majeurs, du Fichier électoral, du calendrier électoral et du budget alloué aux élections."<br />
C’est donc avec vingt-trois diplomates en poste à Kinshasa que Joseph Kabila a échangé sur des questions de brulante actualité en RD Congo. La délégation a été constituée du doyen du corps diplomatique, le camerounais Chungong Ayafor. Dans sa suite, les diplomates de la république du congo, du Royaume du Maroc, de la république d’Angola, de la république d’Afrique du Sud, de la république française, de la république de Côte d’ivoire. Les circonspects du Royaume de Belgique, d’Allemagne, de la Russie, des Etats-Unis d’Amérique, de la république de Tanzanie, du Royaume d’Espagne, d’Italie, de la république du Zimbabwe viennent allonger la liste. Sans oublier les ambassadeurs de la république populaire de Chine, de la république Arabe d’Egypte, de la république du Tchad, de la Grande-Bretagne, de l’Union Africaine, de la Commission de l’Union Européenne et du Nigeria.<br />
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J.KABILA ENVOIE LES GOUVERNEURS DE PROVINCES EN MISSION <br />
Le Président Joseph Kabila n’entend pas tout faire et tout seul. Devant la situation actuelle du pays, il estime que l’apport de chaque leader politique local s’avère indispensable. Aussi, a-t-il demandé aux Gouverneurs de provinces de mener les mêmes consultations politiques au niveau de leurs entités respectives. Ainsi, à la fin de différents contacts avec leurs administrés, chaque gouverneur adressera un rapport-synthèse au Président de la République. C’est ce qu’a déclaré hier jeudi, le Gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku, au sortir de l’audience que joseph Kabila a accordée aux Gouverneurs de provinces. Tous ont répondu présent, à l’exception du Gouv de la province du Bas-Congo. Le Katanga s’est fait le représenté par son vice-gouverneur. <br />
Au regard du statut des personnalités avec qui le Président Joseph Kabila a échangé hier, les Consultations du Palais de la Nation auront ainsi atteint leur étape ultime. Peut-être l’avant dernière, avant la présentation de la synthèse de ces rencontres par le Raïs lui-même. <br />
Quant aux Gouverneurs de provinces, la mission qui leur est confiée n’est pas une mince. Car, ils ont la lourde charge d’expliquer les enjeux actuels dans la perspective d’un processus électoral voulu apaisé par tous. <br />
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Laurel KANKOLE<br />
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Politique AMBASSADEURS -CENI : LE POINT CE MATIN !

D’ores et déjà, Martin Köbler réitère sa disponibilité à offrir ses bons offices au dialogue en perpective. En ce qui concerne la tenue ef...

Une vraie-fausse motion contre Kamisendu : Bandundu, un Député divise l’Assemblée provinciale !

June 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg124xPv5OKHRIhnD4xqY-VfFf8c7bGstdeTo8IF9H2ilF32xXABF6ZJUjRHPG9rpWWLjaObqjEH5_ji-97Nbiv9RttpKaUO4bkxpkEs0kXZMQBtpwArNxBQlQp6CQMn1l3fQrvPVvRdsk/s1600/Snapshot_15.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg124xPv5OKHRIhnD4xqY-VfFf8c7bGstdeTo8IF9H2ilF32xXABF6ZJUjRHPG9rpWWLjaObqjEH5_ji-97Nbiv9RttpKaUO4bkxpkEs0kXZMQBtpwArNxBQlQp6CQMn1l3fQrvPVvRdsk/s400/Snapshot_15.jpeg" width="400" /></a></div>Ses collègues l’accusent. Lui, c’est l’honorable Joseph Evra, Député provincial de Bandundu. Il se ferait ‘‘maître’’ des motions dites alimentaires. Avec seul objectif, se faire une place au soleil. Seulement, la méthode pour atteindre la cime est jugée anachronique, du moins par ses pairs. D’autant plus qu’elle, la méthode, ne se fonde pas sur un idéal quelconque. Elle est, plutôt, basée sur les attaques en règles et non en règles. Cela contre les différents Gouverneurs qui se sont succédé à la tête de la province. ‘‘Tout gouverneur de Bandundu qui ne veut pas composer avec moi n’aura pas de chance de finir son mandat’’, ne cesse-t-il de tempêté. Son arme fatale, pour ce faire, ce sont ses motions de défiances. Dans sa liste, noire, il cite l’ex-gouverneur Richard Ndambu qui n’aurait pas résisté à l’Ouragan de sa motion. Inusable dans ses démarches, renseignent ses collègues, Joseph Evra serait à sa troisième motion de défiance depuis l’avènement de Jean Kamisendu. Toutes ces motions, soulignent-on, sont étouffées dans l’œuf. Tout simplement parce qu’elles sont, parfois, jugées recevables, mais constamment rejetées parce que non fondées.    <br />
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Déjà, dès l’entrée en fonction de Jean Kamisendu, l’actuel gouverneur, Joseph Evra, révèle un élu de Bandundu qui a requis l’anonymat, se serait empressé d’aller le prévenir de son poids politique au sein de l’Assemblée provinciale de cette province.<br />
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Quelques temps après, l’honorable Evra aurait sollicité du gouverneur la construction d’un marché dans son village natal. Et dans le souci de développer la province, le gouverneur ne s’était pas fait prier pour mettre des moyens qu’il fallait pour la construction du marché en question. Et, à l’occasion, Joseph Evra aurait perçu 11 millions de Francs congolais, 300 sacs de ciment, 150 tôles et 200 triplex pour construire des édifices laissés inachevés par le gouvernement précédent. Notamment, un centre de santé et une école. Mais jusqu’ici, les deux édifices pour lesquels Joseph Evra aurait bénéficié de la faveur du gouverneur, sont  restés des chantiers. Alors que ses collègues députés ont reçu 50 sacs de ciment, seulement.<br />
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Ce n’est pas tout. L’honorable Joseph Evra aurait demandé à Jean Kamisendu de lui acheter une parcelle dans la commune de Bandalungwa, à Kinshasa. Cela, en échange de la paix et de son silence jusqu’à la fin du mandat de Jean Kamisendu. Et, il aurait, lui-même,  négocié le prix de ladite parcelle, soit 81.000 dollars. Personne, encore moins Jean Kamisendu, ne pouvait se lancer dans une telle aventure. D’où, la motion que ses pairs qualifient d’alimentaire. Interpelé, parce que n’étant pas le seul Député à introduire une demande auprès du Chef de l’Exécutif provincial, Joseph Evra aurait piqué une colère, au point de proférer des menaces avec, à la clé, une motion de défiance aux allures d’un croque-mitaine contre le Gouverneur.<br />
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Mécontent, ce député provincial va rédiger une motion qui serait en quête des signatures pour couler le gouverneur Jean Kamisendu. Jusque-là, on dit qu’il aurait ramassé 10 signatures dans les rangs des élus de l’opposition. Certains signataires de la motion auraient  été, d’ailleurs, embrigadés sans connaitre les tenants, ni les aboutissants de cette démarche.<br />
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Une motion à coloration politique<br />
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A Bandundu-ville tout comme à Kikwit, la motion contre Jean Kamisendu n’a pas rencontré l’assentiment de la population qui l’a rejetée en bloc. Une marche de protestation contre cette motion alimentaire serait  prévue pour ce vendredi à Bandundu-ville. Les associations de la société civile, la ligue des jeunes du Pprd ainsi que les autres partis de la Majorité présidentielle vont, à cet effet, déposer un memo auprès du président de l’Assemblée provinciale pour barrer la route à cette motion fantaisiste.<br />
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Aux dernières nouvelles, 4 députés qui, au départ, étaient favorables à cette motion, auraient retiré leurs signatures.  <br />
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La Pros.  <span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Politique Une vraie-fausse motion contre Kamisendu : Bandundu, un Député divise l’Assemblée provinciale !

Ses collègues l’accusent. Lui, c’est l’honorable Joseph Evra, Député provincial de Bandundu. Il se ferait ‘‘maître’’ des motions dites alime...

Consolidation de la paix dans l’Est : Voici les résultats du sondage initié par HHI, PNUD et la MONUSCO !

June 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj29G1_4f4NpkvYXCSY1-elnAyDoCz6u3Ffg3LXAJCXTINCo4w9fV6YMR2P3eiZoOjiiRiWOEJM_NBuonSIATHITRS-AgP3k0m9gzj-Ap_vilC0-C78jU68lzoje15zxH90TICT-lJumdM/s1600/Snapshot_14.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj29G1_4f4NpkvYXCSY1-elnAyDoCz6u3Ffg3LXAJCXTINCo4w9fV6YMR2P3eiZoOjiiRiWOEJM_NBuonSIATHITRS-AgP3k0m9gzj-Ap_vilC0-C78jU68lzoje15zxH90TICT-lJumdM/s400/Snapshot_14.jpeg" width="400" /></a></div>Les résultats du sondage sur la consolidation de la paix et reconstruction ont été présentés, officiellement, hier, mercredi, 10 juin 2015, au restaurant Petit Trianon, à l’Institut Français, à la Halle  de la Gombe, à Kinshasa. Ils se présentent de la manière suivante : une stabilité s’observe sur le plan sécuritaire dans les territoires du Petit Nord, suivi de la diminution de confiance dans les acteurs clés. Ce projet est une initiative conjointe de la Havard Humanitarian Initiative (HHI) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), en collaboration avec la MONUSCO. Son objectif est d’amener toutes les parties prenantes à s’en approprier, en vue d’apporter une valeur ajoutée à la gouvernance de la RD. Congo. Ces deux enquêtes ont été réalisées en décembre 2014 et dans la période de mars à mai 2015.<br />
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Pour Isaac Mushokoro du PNUD, il s’agit d’un projet évalué à hauteur de 2.558.000 USD, afin de collecter des données et de rémedier au gap des statistiques du pays. Cela, dans le souci d’aider les différents partenaires à mettre en place des objectifs programmatifs visés. Pour ce faire, les spécialistes se sont également focalisés sur le renforcement de capacités des étudiants de deux universités, dans les deux Kivu, ainsi que de l’Université libre des Grands Lacs, sur des  sujets portant sur la protection et l’accès à la justice. A cet effet, quelques phases ont été exploitées notamment, l’étude de base en 2013 ainsi que le sondage trimestriel sur différentes thématiques au Nord et Sud Kivu, puis en Ituri.<br />
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Sécurité  <br />
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La journée d’hier était consacrée à la présentation de deux premières enquêtes. Patrick Vinck de HHI a indiqué qu’après une forte amélioration, la sécurité reste stable dans les territoires du Petit Nord, mais la confiance dans ses acteurs a diminué. A Goma, principalement, après la défaite du M23 fin 2013, le sentiment de sécurité de la population s’est considérablement amélioré dans cette région, englobant les territoires de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo. Ces enquêtes révèlent que dans tous ces territoires, Dieu et la Communauté elle-même continuent à être les plus souvent identifiés comme les principaux pourvoyeurs de sécurité plus que tout autre acteur formel. Les données qualitatives suggèrent que les zones qui étaient précédemment patrouillées régulièrement par les FARDC et/ou MONUSCO ne sont plus surveillées depuis la défaite du M23, alimentant le sentiement que personne n’est là pour assurer la sécurité.<br />
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Violences sexuelles <br />
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En dépit de cela, la criminalité diminue, sauf à Bukavu où le niveau de violences sexuelles est inchangé. Sur base des déclarations de la population à ce dernier sujet, les taux d’incidence pour la période d’un an avant l’entrevue variait de moins de 1% à 5 %. Les différences avec l’enquête de 2013 se situent dans la marge d’erreur. Neuf sur dix résidents ont indiqué qu’ils accepteraient le retour dans leur foyer d’une femme victime de violence sexuelle.<br />
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Crise de confiance<br />
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Quant au facteur de confiance, il a signalé que la crise dans les acteurs de la justice demeure un défi. Car, malgré l’amélioration de l’accès à la justice, les habitants de toute la région d’étude ont déclaré que les niveaux de confiance dans la justice civile et militaire est en diminution, lorsqu’on le compare avec les résultats de décembre 2014 et décembre 2013. Cela confirme ainsi l’écart grandissant de la méfiance envers les acteurs de justice. D’ailleurs, peu de résidents pensent que les tribunaux traitent tout le monde de façon juste et équitable.<br />
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Opérations contre les FDLR<br />
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L’offensive lancée contre les FDLR en février 2015 est largement connue, surtout dans les deux Kivu où, à quelques exceptions près, plus de la moitié des personnes interrogées sont au courant. Mais, cette information est moins connue en Ituri. La perception de cette intervention est tout de même très contrastée. Dans presque tous les territoires, une majorité de ceux ayant entendu parler de ces opérations les jugent favorablement. Pourtant, un tiers seulement de la population de Goma, Nyiragongo et Masisi le juge favorable, par crainte de représailles.<br />
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Elections<br />
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Dans tous les territoires, une grande majorité de répondants indique qu’ils voteront lors des prochaines échéances électorales. Néanmoins, les deux-tiers ou plus indiquent que leurs élus nationaux et provinciaux représentent très mal leurs intérêts. Il faut signaler qu’un comité de projet se réunit, régulièrement, pour discuter des questions à traiter. De son côté, Martin Köbler, Patron de la Monusco, a remercié tout le monde pour la collaboration étroite. Il a, en effet, relevé quelques questions qu’il sollicite d’être abordées au prochain trimestre par rapport à cette mission. D’autant plus que ces résultats peuvent influer sur la prochaine résolution du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur la présence de la MONUSCO en RDC.<br />
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Judith Asina<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Province Société Consolidation de la paix dans l’Est : Voici les résultats du sondage initié par HHI, PNUD et la MONUSCO !

Les résultats du sondage sur la consolidation de la paix et reconstruction ont été présentés, officiellement, hier, mercredi, 10 juin 2015, ...

A travers ses tournées universitaires : UPN, le Général Célestin Kanyama scelle un mariage solide avec les étudiants

June 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH3DGHnh2KnbCvMq3oTgdcf33oK8YYnYA8HAqnAGAkA3h9k42c6i62e0vVZMS4NZ5wx1oCSKA5PrhxEFuBJmBGo4dqqQUfw2e0A_KW01ACUjXLYBzIaUk-b10LpW4If6VCAjXQn66Lr9M/s1600/Snapshot_13.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH3DGHnh2KnbCvMq3oTgdcf33oK8YYnYA8HAqnAGAkA3h9k42c6i62e0vVZMS4NZ5wx1oCSKA5PrhxEFuBJmBGo4dqqQUfw2e0A_KW01ACUjXLYBzIaUk-b10LpW4If6VCAjXQn66Lr9M/s400/Snapshot_13.jpeg" width="400" /></a></div>*La Police Nationale Congolaise et les étudiants de l’Université Pédagogique Nationale, ont décidé de ne  plus se regarder, comme avant, en chiens de faïence. Ce pacte a été scellé le samedi 6 juin 2015, lors d’une rencontre, d’abord, pédagogique et, ensuite, sportive dans l’enceinte de l’UPN. L’inspecteur provincial de la Police Nationale/Ville de Kinshasa, le Général Célestin Kanyama, était accompagné, à l’occasion, par une forte délégation des officiers de la PNC.<br />
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C’était un samedi qui a commencé avec beaucoup de questionnements dans le chef des étudiants, qui ont constaté, dès la matinée, l’affluence d’un nombre important des éléments de la police devant le bâtiment du Rectorat. Cette présence a attiré la curiosité des étudiants à connaitre le vrai mobile de ladite présence de ces hommes en uniforme dans le site universitaire alors qu’aucun mouvement suspect n’avait été observé. L’apaisement des esprits interviendra, heureusement, grâce à une bonne communication du Coordonnateur des étudiants, MinjiStany ainsi que ses collaborateurs qui, dans les minutes qui ont suivi, ont justifié cette présence inhabituelle des éléments de la police dans le campus.<br />
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Il s’agissait, en fait, d’une rencontre d’échanges entre le patron de la police de Kinshasa, le Général Célestin Kanyama et les étudiants. Et il était, également, prévue,  une rencontre sportive entre les deux camps. L’homme tant attendu par les étudiants, à cause des mauvais souvenirs qu’ils gardent de lui, après les différents incidents déclarés à l’UPN, a été signalé au couloir de l’Université aux environs de midi. Il fera son entrée dans la salle de promotion K2, rempli comme un œuf, ensemble avec le Recteur de l’UPN,  Clémence Kasinga.<br />
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Dans son mot de bienvenu, le Recteur Kasinga a fait savoir à l’auditoire que l’homme recherché par les étudiants, est avant tout un scientifique, qu’il a des charges horaires au département de droit à l’UNIKIN. Pour dire qu’il n’est pas n’importe qui, et à travers sa communication pédagogique, il saura quoi dire aux étudiants. Surtout qu’il est aussi doublé de sa casquette d’officier de la police.<br />
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Toutefois, Clémence Kasinga a reconnu que le Patron de la police de Kinshasa entre dans son établissement après un moment qui était tendu et ce dans ce contexte qu’il est venu pour rapprocher les deux parties. En perspectives de ce mariage, une marche sera organisée dans la ville pour rapprocher davantage les étudiants et la police.<br />
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De son côté, le Général Célestin Kanyama a fait savoir que sa visite à l’UPN avait pour but de sceller un mariage solide entre la police et les étudiants. Ceci, afin de veiller et de léguer aux générations futures l’amour de la patrie, une nation qui leur appartient, tous.<br />
<br />
Il a exprimé ce souci afin de faire participer les citoyens dans le cadre de sensibilisation en vue de se rapprocher de vrais bénéficiaires des effets de la sécurité. Ceci, aussi, «pour échanger ensemble les bonnes voies pour atteindre les résultats probants, approche voulue sous la coordination de la police de proximité», a-t-il déclaré.<br />
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Les actions de la police<br />
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«Elles sont constitutionnelles, elles sont assurées par votre police qui est un service public, civil, accessible et à l’écoute de la population », a-t-il informé. Par ailleurs, il a indiqué que ces actions sont parfois mal comprises et mal interprétées par manque d’informations et de communication, avec comme conséquence des débats débouchant parfois sur des commentaires qui vont dans tous les sens. Par ailleurs, le très célèbre Général Kanyama a soutenu que les actions de la police sont encadrées et contrôlées, contrairement à ce que l’opinion qui croit qu’elle décide par elle-même et se comporte ainsi.<br />
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Les missions de la police, a-t-il poursuivi, ont un caractère préventif et répressif qui se subdivise en deux catégories qui sont notamment, ordinaires, extraordinaires et spéciales. Il y a lieu de retenir que ces missions s’exercent dans le cadre de la surveillance du territoire national.<br />
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Les missions ordinaires s’exercent dans le cadre du service normal de la police nationale. Elles consistent à prévenir l’ordre public, chercher les auteurs de trouble à l’ordre public, les identifier et les déférer devant l’autorité judiciaire compétente. Ces actions sont entreprises indépendamment des ordres venant d’ailleurs, précise-il. En outre, elle se charge de la lutte contre la criminalité, la sécurité routière, les voies de communication et le transport. A cela, il faut ajouter la salubrité publique qui prend en compte les nuisances sonores, l’occupation anarchique des espaces.<br />
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Les missions spéciales sont celles qui s’exercent selon les circonstances au titre de soutenance ou d’appui ou de concours à d’autres services y compris les services diplomatiques.<br />
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Malgré l’arsenal juridique qui confère ces prérogatives à la police, le Général Kanyama fait savoir que la bonne exécution ne pourra que s’effectuer avec la bonne collaboration de population bénéficiaire. Raison d’ailleurs de la création de la police de proximité dont l’objectif principal poursuivi résulte sur la volonté de juguler le savoir de la sécurité, prévenir et réduire la délinquance afin de renforcer le rapport avec la population. Dans la rencontre sportive de football, la police nationale congolaise a eu raison des étudiants en les battant sur un score sans appel de trois buts contre un (3-1).<br />
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Cédric Beya<br />
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*La Police Nationale Congolaise et les étudiants de l’Université Pédagogique Nationale, ont décidé de ne plus se regarder, comme avant, en ...

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