BA SANGO YA CONGO KINSHASA

À deux jours des élections, la SADC convoque une réunion avec la CENI et les candidats à la présidentielle

December 28, 2018

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5WvPa9ThHvHZ4Fv_Jfu0osBXmjfcAC1JhVVEmLyUYo0OIwafU2gfWc9D_vJ2T9B9vC_t7VM8vAt_ptSagciQaUacZkNoBcUqZkzl_SCtezbBRxfS9u87rcssJcKb-l7TENV_WKkKyZLgm/s1600/Snapshot_94.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="406" data-original-width="735" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5WvPa9ThHvHZ4Fv_Jfu0osBXmjfcAC1JhVVEmLyUYo0OIwafU2gfWc9D_vJ2T9B9vC_t7VM8vAt_ptSagciQaUacZkNoBcUqZkzl_SCtezbBRxfS9u87rcssJcKb-l7TENV_WKkKyZLgm/s400/Snapshot_94.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /></span>
<span style="font-size: large;">À deux jours de la tenue des élections, la Communauté de Développement d’Afrique Australe (SADC) convoque une reunion d’urgence avec la CENI et les candidats à la présidentielle, à l’hôtel Fleuve Congo.</span><br />
<span style="font-size: large;"><br /></span>
<span style="font-size: large;">Cas-Info</span>

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À deux jours de la tenue des élections, la Communauté de Développement d’Afrique Australe (SADC) convoque une reunion d’urgence avec la C...

À Matadi, Mbandaka et Kinshasa, l’appel à la journée ville morte n’a pas été suivi, rapporte Radio Okapi

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_aT6R8Xlnx9UvMueCOFM9aAMNzHAhqv98ru_Gkmh8MD722K6iE21IhCATQ455XYebaLvGg7Wdd2MxzOj6SnwTXohJI3yP5CHIvTPkEsGEdamsAOsi2TuMnMt7xFZhQP2rOzhMAUZEGWb4/s1600/Snapshot_93.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="406" data-original-width="735" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_aT6R8Xlnx9UvMueCOFM9aAMNzHAhqv98ru_Gkmh8MD722K6iE21IhCATQ455XYebaLvGg7Wdd2MxzOj6SnwTXohJI3yP5CHIvTPkEsGEdamsAOsi2TuMnMt7xFZhQP2rOzhMAUZEGWb4/s400/Snapshot_93.jpg" width="400" /></a><br />
L’appel à la journée ville morte lancé par la coalition Lamuka n’a pas été suivi dans les villes de Mbandanka, Matadi et Kinshasa, rapporte Radio Okapi, ce vendredi.<br />
<br />
Selon les informations livrées par cette radio, toutes les activités ont tourné normalement dans ces grandes villes de la RDC.<br />
<br />
À Kinshasa, par exemple, malgré un calme relatif observé très tôt dans la matinée, toutes les activités ont repris leur cours normal vers midi. Les marchés, les bureaux et les magasins ont ouvert dans la capitale.<br />
<br />
En revanche, les activités ont tourné au ralenti dans la partie Est du pays, notamment à Beni, Goma et Bunia, indique la Radio Okapi.<br />
<br />
<br />
Par Espérant Keke

Politique À Matadi, Mbandaka et Kinshasa, l’appel à la journée ville morte n’a pas été suivi, rapporte Radio Okapi

L’appel à la journée ville morte lancé par la coalition Lamuka n’a pas été suivi dans les villes de Mbandanka, Matadi et Kinshasa, rapporte...

Elections : la CENI supprime 14% des bureaux de vote à Kinshasa

December 28, 2018

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<br />
Par contre, elle a réduit le nombre de bureaux de vote à Kinshasa, soit 14 % des bureaux supprimés pour cause de diminution des machines à voter, rapporte RFI, ce vendredi.<br />
<br />
Par ailleurs, la centrale électorale annonce que quelques machines supplémentaires pour la ville de Lubumbashi ont été retournées à Kinshasa pour combler le vide des machines incendiées dans l’entrepôt général de la CENI, souligne la radio française.<br />
<br />
À noter que cette mesure ne touche que la province de Kinshasa, dont les matériels électoraux ont été brûlés lors de l’incendie de l’entrepôt principal, a souligné Jean-Pierre Kalamba, Rapporteur de la CENI.<br />
<br />
<br />
<br />
Prince Ndongo

Politique Elections : la CENI supprime 14% des bureaux de vote à Kinshasa

La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) confirme la tenue des élections le dimanche 30 décembre. Par contre, elle a réduit ...

Journée ville morte : un calme relatif observé à Kinshasa ce vendredi

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBCS-Ep07ryqLb2dor8lxoKGrupB2uNT9X2zaetCvt12BBBADuV2wovuHSh2HUc2PzpGGzN6VXscYmt_XyUxXHcImSBE__fVGXRBBSNYaym5hs2Ue6w4nP9JErDnWghhKIO_RQ9xx6FPe_/s1600/DvfXgXCX0AAHcC1.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="1200" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBCS-Ep07ryqLb2dor8lxoKGrupB2uNT9X2zaetCvt12BBBADuV2wovuHSh2HUc2PzpGGzN6VXscYmt_XyUxXHcImSBE__fVGXRBBSNYaym5hs2Ue6w4nP9JErDnWghhKIO_RQ9xx6FPe_/s400/DvfXgXCX0AAHcC1.jpg" width="400" /></a>Un calme relatif est observé dans la ville de Kinshas ce vendredi, jour où la coalition de l’opposition Lamuka a appelé à une ville morte.<br />
<br />
Dans certains endroits de la capitale, la circulation était moins fluide, les boutiques et les magasins ont été fermés, dans la matinée. il s’agit, par exemple de la commune de Limete, en passant par le boulevard Lumumba.<br />
<br />
Même constat observé dans la commune de la Gombe, où le boulevard du 30 juin n’a pas été pris d’assaut par les transports en commun et les personnes qui travaillent dans le centre-ville, très tôt. On observe sur les arrêts de bus, un nombre moins important de personnes comme à l’accoutumée.<br />
<br />
En revanche, l’appel à une journée ville morte n’a pas été respectée d’autres milieux. C’est le cas du quartier Victoire, un des droits très visité de Kinshasa. Autour de la place des artistes, on peut observer beaucoup des taxis et taxis-bus, et aussi des passagers.<br />
<br />
<br />
<br />
À noter que dans toute la ville, même à des endroits où il y avait une acalmie totale, les activités sont entrain de reprendre leur cours normal.<br />
<br />
Par P. Ndongo

Politique Journée ville morte : un calme relatif observé à Kinshasa ce vendredi

Un calme relatif est observé dans la ville de Kinshas ce vendredi, jour où la coalition de l’opposition Lamuka a appelé à une ville morte. ...

L'ambassadeur de l’Union Européenne quitte définitivement la RDC

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhW0_mjpe6f_z0XPT_sDpB7Ht_OP3MHTkO6ThTsD0iJ1wPMh56m6N2RS4uGKl8xYCbD7aSZmSUr6yVYULehiK-ZWvnTRnORDkdozUhZlESQYLPWQMog-vNKsspFEmES5_LEcG_6bXYX0nPd/s1600/Snapshot_92.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="273" data-original-width="549" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhW0_mjpe6f_z0XPT_sDpB7Ht_OP3MHTkO6ThTsD0iJ1wPMh56m6N2RS4uGKl8xYCbD7aSZmSUr6yVYULehiK-ZWvnTRnORDkdozUhZlESQYLPWQMog-vNKsspFEmES5_LEcG_6bXYX0nPd/s400/Snapshot_92.jpg" width="400" /></a>« L'ambassadeur Bart Ouvry quitte définitivement la RDC à la demande du gouvernement congolais », annonce sur sa page Facebook, l'Union européenne en République démocratique du Congo (RDC).<br />
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<a href="https://www.facebook.com/677221398963602/posts/2208011852551208/" target="_blank">https://www.facebook.com/677221398963602/posts/2208011852551208/</a><br />
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<br />
« Le chef de Délégation a remercié le personnel pour toutes les belles réalisations et l'a encouragé à travailler dans la même ferveur avec son successeur » qui n'est pas encore connu. <br />
<br />
Le vice-Premier ministre des Affaires étrangères, Léonard She Okitundu, a annoncé jeudi que « le Gouvernement de la République Démocratique du Congo invite instamment le Conseil Européen à procéder impérativement, dans les 48 heures, au rappel de son Chef de mission en RDC ».<br />
<br />
http://mobile.topcongo.fm/article/la-rdc-demande-le-rappel-du-chef-de-mission-de-lue-3528<br />
<br />
Une mesure de réciprocité à l’égard de l’Union Européenne après les sanctions de Bruxelles à l'encontre de personnalités congolaises dont le candidat président de la République, Emmanuel Ramazani Shadary.<br />
<br />
<br />
Les relations RDC- Union Européenne étaient au menu de l’émission FACE À FACE qui recevait le 4 mars 2018, le chef de mission.<br />
<br />
<a href="https://youtu.be/D0ZMyOf-zsM" target="_blank">https://youtu.be/D0ZMyOf-zsM</a><br />
<br />
Par Barick Bwematelwa

Politique L'ambassadeur de l’Union Européenne quitte définitivement la RDC

« L'ambassadeur Bart Ouvry quitte définitivement la RDC à la demande du gouvernement congolais », annonce sur sa page Facebook, l'Un...

RDC-Elections : Journée ville morte transformée en manifestations à Goma, l’armée et la police mobilisées

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKHewcX1Bbu4lgJpIotTWi8fZZMsr72Knkni8AFZ8mVo-bavceP5f_JxWIKlVO1fEE1_l2EmzxVSAkRALg5u1rgjlEieMC4CxEMOEzyHYedAvtSM711CcHipKv4hPabPe0B628h6bisOO4/s1600/DvaMCQVWkAAncy2.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKHewcX1Bbu4lgJpIotTWi8fZZMsr72Knkni8AFZ8mVo-bavceP5f_JxWIKlVO1fEE1_l2EmzxVSAkRALg5u1rgjlEieMC4CxEMOEzyHYedAvtSM711CcHipKv4hPabPe0B628h6bisOO4/s400/DvaMCQVWkAAncy2.jpg" width="400" /></a>Au Nord-Kivu, une vive tension s'observe depuis ce vendredi matin à Majengo, quartier du nord de la ville de Goma. À la base, l'appel de la société civile du Nord-Kivu et de la coalition Lamuka au sujet d’une journée ville morte pour protester contre la décision de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) de reporter les élections dans certaines circonscriptions électorales.<br />
<br />
C'est depuis 9 heures locales que plusieurs dizaines de jeunes ont commencé par ériger des barricades sur les principales artères. La circulation est perturbée, particulièrement sur l'axe Mutinga-marché Majengo de plus de 2 km. La police et l'armée dispersent les manifestants à coups de gaz lacrymogènes et des tirs de sommation.<br />
<br />
Jonathan Kombi

Politique RDC-Elections : Journée ville morte transformée en manifestations à Goma, l’armée et la police mobilisées

Au Nord-Kivu, une vive tension s'observe depuis ce vendredi matin à Majengo, quartier du nord de la ville de Goma. À la base, l'appe...

Les causes cachées du déploiement des troupes à l’est du pays… Beni-Lubero

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVDTmmNs01aLaiC_l0YxFB2sAJBgT0zGTM_07dcaUevk1TWpEEQIUQ_BkobwSzvD3dtPqHkPE_xGVRRzlt4VJdJuM9tBLtrhTL0hOpbEwmeCy209Rixkslu-9YNDaUsAG9xsxOs64crIoU/s1600/Snapshot_90.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="274" data-original-width="674" height="162" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVDTmmNs01aLaiC_l0YxFB2sAJBgT0zGTM_07dcaUevk1TWpEEQIUQ_BkobwSzvD3dtPqHkPE_xGVRRzlt4VJdJuM9tBLtrhTL0hOpbEwmeCy209Rixkslu-9YNDaUsAG9xsxOs64crIoU/s400/Snapshot_90.jpg" width="400" /></a>L’est de la RDC en général, et la région de Beni en particulier, est caractérisé par la sur-militarisation constante depuis un certain temps. En dépit de cette réalité, il est noté avec inquiétude la poursuite de déploiement plus intentif que jamais dans le même secteur, surtout à partir de la période qui s’approchait du 23 décembre 2018.<br />
Aujourd’hui, des révélations livrées par des personnes du sein de la boîte de la gestion militaire à la tête hiérarchique de la structure militaire aident à comprendre le fond de la sur-militarisation toujours en cours, en précisant que les objectifs dudit déploiement sont entre autres les suivants:<br />
<br />
1. Etouffer la base électorale favorable à l’opposition politique, en ciblant particulièrement Beni-Lubero<br />
<br />
Les nouveaux soldats qui arrivent à Beni-Lubero sont, selon des sources militaires, envoyés dans cette région avant tout pour donner un nouveau souffle au phénomène de massacre permanent depuis 2014. La communauté Nande (Yira) est considérée par le régime de Kinshasa comme un ennemi juré. D’où, que ce soit à Beni-Lubero ou dans toute autre partie de l’est du pays, les soldats actuellement déployés n’ont qu’une consigne majeure: « tout autre personne est tolérable, mais pas le Nande, qu’il ne faut jamais manqué de tuer aussitôt qu’on en trouve une opportunité ».<br />
<br />
2. Priver la population de Beni-Lubero de participer aux élections<br />
<br />
La stratégie reste la même, à savoir enflammer un état d’insécurité incontrôlable. La disponibilité d’argent du trésor public aide à financer des groupes armés que le gouvernement actuel a créés dans la région pour destabiliser davantage les autochtones. Tout se passe comme si ce sont ces groupes qui se sont rendus des maîtres du terrain. Cependant, la réalité est telle que ces pauvres malheureux milices, souvent recrutés à contre coeur (après avoir été kidnappés) ne servent que de couverture aux troupes terroristes que Joseph Kabila a larguées pour décimer la population locale. L’objectif d’un tel comportement consiste à maintenir la région ciblée sous la pression d’une psychose de guerre, une guerre virtuelle et non justifiable, surtout au moment où les beaucoup de vote s’ouvriront pour accueilir la population aux urnes. Joseph Kabila aurait donc décidé de ne point permettre aux populations de Beni-Lubero de voter, à cause de leur zèle à réclamer le changement politique et à cause de leur soutien à l’opposition politique. C’est pourquoi, ajoute la source militaire, les massacres de Beni doivent continuer d’une manière plus intensive que par le passé. C’est un projet qui vise priver les quelques 2 millions d’électeurs de la région ciblée de voter.<br />
<br />
3. Rallumer les massacres de l’Ituri<br />
<br />
Pendant que les épées et les armes sont réactivées contre les Nande dans la région de Beni, d’autres violences sont planifiées contre le peuple Hema en Ituri. Actuellement des troupes inombrables des militaires terroristes de Kabila sont acheminés sur l’Ituri. Le gouvernement congolais les présente officiellement comme des « policiers ». L »Ituri subira le même sorte que la région voisine du grand Nord-Kivu. La guerre et les insécurités que les militaires privés de Joseph Kabila engageront lui procurera non seulement une justification valable à son avis, pour suspendre le rêve d’aller aux élections. Un complot qui quic cherche à détourner l’attention des congolais pour se préoccuper de la situation de guerre qui leur seront imposée.<br />
<br />
©Beni-Lubero Online.

Politique Les causes cachées du déploiement des troupes à l’est du pays… Beni-Lubero

L’est de la RDC en général, et la région de Beni en particulier, est caractérisé par la sur-militarisation constante depuis un certain temps...

Tryphon Kin-Kiey Mulumba, l'espion de Kagame pour contrôler les mouvements du Ranger Félix Tshisekedi

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXVGeJYVwMbf_5giRJpcGbSWmXx2Q4L5NPVxAnlzBdt76OF6LNTDrMJ9l4NKTaMRf00C9jon8ZjinIz375K-2xclkb2bgceW3yXY0LRJE1nDg8oXgI4o2ua8rGFBMATEy3iXfOvRPAQCH9/s1600/Snapshot_89.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="373" data-original-width="675" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXVGeJYVwMbf_5giRJpcGbSWmXx2Q4L5NPVxAnlzBdt76OF6LNTDrMJ9l4NKTaMRf00C9jon8ZjinIz375K-2xclkb2bgceW3yXY0LRJE1nDg8oXgI4o2ua8rGFBMATEy3iXfOvRPAQCH9/s400/Snapshot_89.jpg" width="400" /></a>Dans tous les milieux informés, ça se murmure. L'ancien ministre des PTNTIC, Tryphon Kin-Kiey Mulumba n'a pas seulement rejoint CACH, dans le cadre du mariage secret FCC - UDPS-UNC, mais l'homme est aux côtés de Félix Tshisekedi comme l'oeil et l'oreille du président rwandais, Paul Kagame. Kin-Kiey est l'espion de Kagame pour contrôler et suivre les mouvements de FATSHI et rendre compte à qui de droit. Pour dire clair, Félix Tshisekedi est otage de Kabila et Kagame à travers Tryphon Kin-Kiey Mulumba.<br />
<br />
DEBORHA MBELU MPIANA<br />
<br />
C-News

Politique Tryphon Kin-Kiey Mulumba, l'espion de Kagame pour contrôler les mouvements du Ranger Félix Tshisekedi

Dans tous les milieux informés, ça se murmure. L'ancien ministre des PTNTIC, Tryphon Kin-Kiey Mulumba n'a pas seulement rejoint CACH...

Le pouvoir de Kinshasa renforce les mesures d’asphyxie du peuple Yira (Nande).

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUhGD1hKXwNbfONDcAP848GV1PMLSTKt3ahx5pp0Y5SFeISVBgAL-QSFfN4uTNE16YuMoJJXfelbedW5OdbnpO1sRSIEfik023PkpKTbpB4FtTjUUxGvsnSPpk_w6Zdldah1qgKBltDkaU/s1600/Snapshot_88.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="380" data-original-width="673" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUhGD1hKXwNbfONDcAP848GV1PMLSTKt3ahx5pp0Y5SFeISVBgAL-QSFfN4uTNE16YuMoJJXfelbedW5OdbnpO1sRSIEfik023PkpKTbpB4FtTjUUxGvsnSPpk_w6Zdldah1qgKBltDkaU/s400/Snapshot_88.jpg" width="400" /></a>Ce 26 décembre 2018, la communauté (Yira)Nande de Butembo et Beni apprend par un communiqué de la CENI qu’elle ne peut participer aux élections présidentielles, législatives et provinciales reportées au 30 décembre 2018 sous prétexte de la menace sécuritaire de l’épidémie à virus d’Ebola et des « présumés rebelles ougandais ADF », qui ne massacrent que la population Nande depuis 2014 à Beni. Cette exclusion représente plus d’un million d’électeurs et privés de leur droit de participer notamment à l’élection de leur Chef de l’Etat.<br />
Signes de contradiction :<br />
– Alors que la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) a lancé la campagne électorale à Beni et Butembo pendant 30 jours, sans se soucier des menaces des fameux ADF sans visage, une campagne qui a rassemblée des milliers des gens venant de partout pour écouter les différents candidats, elle prétexte que les rassemblements d’un seul jour de plus ou moins 600 électeurs par bureau pendant 8 heures le 30 décembre 2018 constituent désormais un danger pour la population.<br />
<br />
– Alors que le Ministre de la santé venait de déclarer 24heures avant que l’épidémie à virus Ebola ne constitue pas un obstacle à l’organisation des élections dans les territoires de Beni et Butembo.<br />
– Alors que le peuple Nande assiste ces dernières semaines préélectorales à un déploiement massif des militaires lourdement armés sur les territoires de Butembo-Beni, il est absurde d’apprendre que ces éléments sont incapables de sécuriser le processus électoral pendant 24heurs. Quelle serait alors leur mission ?<br />
Pour quiconque connaît le projet du pouvoir de Kinshasa sur le peuple Nande ne peut croire à ces arguments infondés et rejetés par le peuple Nande à travers différentes déclarations de la Société Civile. Cette mesure de la CENI inféodé au pouvoir va dans la droite ligne de réaliser le plan commencé par la lise en insécurité de la région de Butembo Beni par une milice bidon dénommée ADF. Cette nouvelle mesure de la CENI a comme objectifs pour le pouvoir :<br />
1. Isoler davantage le peuple Nande sur le plan politique, après le plan économique. Avec cette exclusion, le peuple Nande n’apparaîtra plus dans la vie politique congolaise. Il n’a plus le droit de participer à la vie des institutions politiques congolaises. Il va devenir esclave.<br />
<br />
2. Augmenter le traumatisme du peuple Nande déjà victimisé depuis les massacres et les enlèvements massifs remontant à octobre 2014.<br />
<br />
3. Le déploiement massif des soldats à Beni et Butembo rentre dans le plan d’anéantir le peuple Nande. Ces soldats ont pour mission de mater tout soulèvement de la population contre des mesures de rétorsion.<br />
<br />
4. Sous la pression de ce contingent, continuera silencieusement le génocide du peuple Nande, et son remplacement par un autre venant du Rwanda.<br />
<br />
On comprend ainsi le grave danger de toute rallonge au pouvoir de Joseph Kabila. Les congolais dignes de ce nom doivent refuser toute forme de transition. En effet, au vu de ce qui passe au Kivu-Ituri, toute transition au-delà de décembre 2016, donnerait du temps et des moyens au gouvernement congolais qui est, de toute évidence, complice de l’occupation rwandaise du Kivu-Ituri en cours ».<br />
<br />
(Père Vincent Machozi)<br />
<br />
Rédaction BLO

Politique Province Le pouvoir de Kinshasa renforce les mesures d’asphyxie du peuple Yira (Nande).

Ce 26 décembre 2018, la communauté (Yira)Nande de Butembo et Beni apprend par un communiqué de la CENI qu’elle ne peut participer aux électi...

Alerte Élections RDC : Des machines à voter déjà en fonction découvertes à l’école privée « Plamedie », appartenant au candidat député Hugo Tembe à Kinshasa Lingwala

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhydKMDoYuYy7dxllIct18EYtH_19zzJ7CGtHYrMtsLAmCDK0sJH1-DoAZtw7KuEYOBZEuaiWsvaB_64rSWWS9aUcQPM2JBYJoMd6fEz9YCVE7tlRShsokHrV9IE5Ek1yZ8pT7t4d-ZWCmF/s1600/Snapshot_87.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="402" data-original-width="733" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhydKMDoYuYy7dxllIct18EYtH_19zzJ7CGtHYrMtsLAmCDK0sJH1-DoAZtw7KuEYOBZEuaiWsvaB_64rSWWS9aUcQPM2JBYJoMd6fEz9YCVE7tlRShsokHrV9IE5Ek1yZ8pT7t4d-ZWCmF/s400/Snapshot_87.jpg" width="400" /></a>Des machines à voter seraient entreposées très tard dans la nuit du mercredi 26 à jeudi 27 décembre dans une école privée, « Plamedie », au quartier PLC dans la commune de Lingwala. Des sources sures renseignent que l’école appartient à un certain Hugo Tembe, lui même candidat député provincial dans cette commune. L’homme aurait utilisé sa posture d’agent de service secret pour acheminer ces machines à voter jusque dans son école où réside aussi un foyer quidam pour favoriser la tricherie selon la population qui alerte.<br />
<br />
Pourtant cette école ne figure pas sur la liste de la Ceni comme centre ou bureau de vote. Sur place, des témoins de Hugo Tembe remplissent les fiches de la Ceni en toute discrétion. Ce qui fonde l’inquiétude de la population environnante. Jusqu’au moment où nous couchons par écrit ces mots, des policiers commis à la garde de ces machines interrogés nous ont confirmé que les machines se trouvent bel et bien dans cette école privée qui est en même temps une extension du bureau de vote de l’école Mushi et que la Ceni est informée.<br />
<br />
Information confirmée par l’agent de la CENi trouvé sur place à l’école Mushi qui affirme aussi que les machines à voter sont entreposées à l’école plamedie et que certains électeurs seront saisis le même jour du vote qu’ils ne voterons pas à Mushi mais à l’école de Mr Hugo Tembe. Pourquoi seulement choisir l’école d’un candidat concurrent aux 43 autres à la députation provinciale de Lingwala ? Voilà qui frise inquiétude et tricherie dénonce la population et certains candidats en lice dans cette circonscription.<br />
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À suivre !<br />
africatopnews.net

Alerte Élections RDC : Des machines à voter déjà en fonction découvertes à l’école privée « Plamedie », appartenant au candidat député Hugo Tembe à Kinshasa Lingwala

Politique Alerte Élections RDC : Des machines à voter déjà en fonction découvertes à l’école privée « Plamedie », appartenant au candidat député Hugo Tembe à Kinshasa Lingwala

Des machines à voter seraient entreposées très tard dans la nuit du mercredi 26 à jeudi 27 décembre dans une école privée, « Plamedie », au ...

Elections en RDC: Félix Tshisekedi, entre le père et la "base"

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjrZDx2gqLjdGgFdWVP4opoauazW469FgM-OtGzxSjSPbHOJY9zYvEkw4VQx4W7xaqnX0JXS-7h0uW3ENnQb0zY5LlWV1itO1pf9kCq5Bf55lxdWUNRohrRweLFen-zFdKZf976Oxrv8a06/s1600/Snapshot_86.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="378" data-original-width="673" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjrZDx2gqLjdGgFdWVP4opoauazW469FgM-OtGzxSjSPbHOJY9zYvEkw4VQx4W7xaqnX0JXS-7h0uW3ENnQb0zY5LlWV1itO1pf9kCq5Bf55lxdWUNRohrRweLFen-zFdKZf976Oxrv8a06/s400/Snapshot_86.jpg" width="400" /></a>L'opposant congolais Félix Tshisekedi, un des trois principaux candidats à l'élection présidentielle prévue le 30 décembre en République démoratique du Congo, est l'héritier politique de son père Etienne, décédé le 1er février 2017 à Bruxelles.<br />
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Comme son père en 2011, "Félix" va tenter de bousculer les forces du président sortant Joseph Kabila dans un pays qui n'a jamais connu de transition pacifique du pouvoir. Son père avait dénoncé des fraudes lors de la réélection contestée de M. Kabila en 2011.<br />
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"Fatshi" - son surnom - part au combat avec l'appui de la machine de guerre fondée par son père dans les années 80 contre la dictature du maréchal Mobutu, l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS).<br />
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Tshisekedi fils, 55 ans, a été désigné sans surprise président et candidat de l'UDPS lors d'un congrès en avril dernier au siège historique du parti à Limete, une des 26 communes de Kinshasa.<br />
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Et pourtant, 2018 n'est pas 2011, tout comme Félix n'est pas le portrait politique craché du "sphynx de Limete", le surnom de son défunt père.<br />
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"Etienne était têtu et fier. Félix est plus diplomate, plus conciliant, plus à l'écoute des autres", témoigne un bon connaisseur de l'opposition congolaise.<br />
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Facilement reconnaissable à sa haute taille et sa carrure massive, l'homme est en effet d'un abord courtois, à l'écoute. Le ton de la voix est mesuré dans le tourbillon des passions électorales.<br />
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Contrairement à son père en 2011, il fait équipe avec un "ticket", l'ex-président de l'Assemblée Vital Kamerhe, également candidat sous son propre nom en 2011.<br />
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Les deux hommes ont rompu en novembre un accord qu'ils avaient signé avec cinq autres opposants pour soutenir la candidature d'un seul d'entre eux, Martin Fayulu.<br />
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Versatile et hésitant, "Félix" ? Ses proches affirment qu'il n'a fait qu'écouter la "base" de l'UDPS, en colère contre l'accord.<br />
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- Exil en Belgique -<br />
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Né en juin 1963, Félix-Antoine Tshisekedi est le troisième d'une famille de cinq enfants. A l'âge de 19 ans, il suit son père relégué par Mobutu dans son village du Kasaï. Un épisode marquant pour le jeune homme.<br />
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A 22 ans, "Fatshi", sa mère et ses frères prennent le chemin de l'exil en Belgique. A Bruxelles, le jeune homme fait le coup de poing contre des proches de Mobutu ou même des policiers belges, un soir de février à l'aéroport, quand son père est empêché de rentrer à Kinshasa.<br />
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Dans l'ombre de la figure paternelle, Félix gravit tous les échelons de l'UDPS. Luba du Kasaï, il est élu député national à Mbuji-Mayi en 2011. Il refuse de siéger à l'Assemblée nationale pour respecter le mot d'ordre de son père contre la réélection contestée de M. Kabila.<br />
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En 2015, il était au cœur des négociations secrètes qui n'avaient pas abouti avec des émissaires de Joseph Kabila à Ibiza (Espagne), Monaco, Paris et Bruxelles.<br />
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Fin 2016, juste avant la mort de son père, il est encore aux avant-postes des négociations majorité/opposition sous l'égide de l'église catholique, qui allait déboucher sur l'accord de la Saint-Sylvestre reportant les élections.<br />
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Tshisekedi fils aurait alors refusé un poste de Premier ministre, tandis que le président Kabila se maintenait au pouvoir au-delà de la fin de son deuxième et dernier mandat.<br />
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Marié, père de cinq enfants, diplômé en marketing et communication en Belgique, son dossier de candidature a été validé sur fond de rumeurs. Ses détracteurs mettent en doute la validité de ses diplômes. Ils lui reprochent également de n'avoir jamais exercé une fonction de responsabilité ou de gestion.<br />
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En cas d'alternance, M. Tshisekedi évoquait en août 2017 devant l'AFP "une commission vérité et réconciliation" pour demander des comptes à M. Kabila et lui permettre de rester au pays.<br />
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S'il est élu, son dossier prioritaire, affirme-t-il, sera l'organisation de funérailles nationales pour son père. La dépouile du "Sphynx" se trouve toujours en Belgique, faute d'accord pour les obsèques au pays avec le pouvoir. "Je n'aime pas en parler, c'est une souffrance".<br />
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AFP

Politique Elections en RDC: Félix Tshisekedi, entre le père et la "base"

L'opposant congolais Félix Tshisekedi, un des trois principaux candidats à l'élection présidentielle prévue le 30 décembre en Républ...

MOÏSE KATUMBI : "LE REPORT DU VOTE À BENI, BUTEMBO ET YUMBI EST INJUSTIFIABLE"

December 28, 2018

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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La décision prise hier mercredi 26 décembre par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de repousser les élections au mois de mars 2019 dans les territoires de Beni et Yumbi, ainsi que dans la ville de Butembo n’a pas tardé à susciter des réactions tant dans la classe politique congolaise qu’au sein de la société civile. A travers un tweet, Moïse Katumbi qualifie d’injustifiable ce report.<br />
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Le président de la plateforme "Ensemble pour le changement" et l’un des signataires de l’accord qui a donné naissance à la coalition "Lamuka" estime que le report des élections dans ces deux zones du pays ne se justifie pas.<br />
"Le report du vote à Beni, Butembo et Yumbi est injustifiable. Cette nouvelle manœuvre montre que le régime veut s’éterniser pour continuer le pillage ! Naanga et la CENI ont prouvé leur mauvaise foi et leur incompétence. Les Congolais doivent se prendre en main et chasser ce régime", a publié hier Moïse Katumbi sur son compte twitter.<br />
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DES PRETEXTES FALLACIEUX<br />
Réagissant à ce report, Martin Fayulu, le candidat président de la République de la coalition Lamuka, met en garde contre ce qu’il qualifie d’une énième stratégie visant à détourner la vérité des urnes. Il affirme que les prétextes d’Ebola et de l’insécurité sont fallacieux. <br />
Même réaction côté Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO). "C’est très grave et curieuse la décision unilatérale de la CENI de reporter les élections prévues le 30 décembre à mars 2019 pour les territoires de Beni, Yumbi et la ville de Butembo", a déclaré l’abbé Donatien Nshole, Secrétaire général de la CENCO.<br />
La CENI justifie le report des élections dans les circonscriptions de Beni et de Butembo, dans la partie Est de la RDC, par la situation sécuritaire et sanitaire préoccupante dans cette région. Elle fait principalement référence à l’épidémie d’Ebola et aux attaques fréquentes des rebelles ougandais de Forces démocratiques alliés (ADF). <br />
La Centrale électorale explique, par contre, le report des élections présidentielle, législatives nationales et provinciales dans le territoire de Yumbi, dans la province du Maindombe, par les conflits ethniques entre les communautés Banunu et Batende qui ont provoqué plus de 50 morts au cours du mois de décembre courant.<br />
"Ces incidents ont occasionné un déplacement massif des populations, la destruction de tous les matériels et documents électoraux, les pillages des entrepôts et installations de l’antenne de la CENI. La persistance des tensions dans cette circonscription ne permet pas l’organisation des élections apaisées dans le délai imparti", renseigne le communiqué de la CENI. Orly-Darel NGIAMBUKULU

Politique MOÏSE KATUMBI : "LE REPORT DU VOTE À BENI, BUTEMBO ET YUMBI EST INJUSTIFIABLE"

La décision prise hier mercredi 26 décembre par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de repousser les élections au mois...

ELECTIONS : LA CENCO ET L’ECC FONT CHORUS

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQeVSXNPGXxt3mFnHP1KwpJRUMDbECF-HtA1yR3VS2hOxQsKGkecm_BuTjF7oD4q_zspvDkXlRXAfpfjKjIU9LLgzvzvFcfkPYs4PILZy3oFa6fg32zN3oS834FgTPbGSebcOY27aCnxuL/s1600/Snapshot_84.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="327" data-original-width="589" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQeVSXNPGXxt3mFnHP1KwpJRUMDbECF-HtA1yR3VS2hOxQsKGkecm_BuTjF7oD4q_zspvDkXlRXAfpfjKjIU9LLgzvzvFcfkPYs4PILZy3oFa6fg32zN3oS834FgTPbGSebcOY27aCnxuL/s400/Snapshot_84.jpg" width="400" /></a>*Les deux confessions religieuses demandent à la CENI de faciliter l’accès des observateurs et des témoins aux centres locaux de compilation des résultats (CLCR).<br />
*Elles invitent particulièrement les candidats à participer aux cultes œcuméniques le samedi 29 décembre.<br />
<br />
La Conférence Episcopale nationale du Congo (CENCO) et l’Eglise du Christ au Congo (ECC) regardent à nouveau dans la même direction. Depuis l’avènement du pasteur André Bokundoa-Bo-Likabe, en août 2017, en remplacement de Mgr Marini Bodo dont la présidence a duré 19 ans, il y a une nouvelle dynamique qui s’est traduite par le rapprochement entre ces deux principales confessions religieuses du pays.<br />
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Dans un communiqué conjoint signé le mardi 24 décembre par Mgr Utembi et le Pasteur André Bokundoa, la Cenco et l’ECC appellent à des élections transparentes, crédibles et apaisées le 30 décembre. Pour ces deux organisations religieuses, la transparence et la crédibilité desdits scrutins passent notamment par l’accès des observateurs et des témoins aux centres locaux de compilation des résultats (CLCR).<br />
"Le processus électoral se déroule sur fond d’une crise de confiance qui risque d’entraîner des conséquences dangereuses pour la paix post-électorale. C’est pourquoi, nous encourageons la CENI à tenir sa promesse de faciliter l’accès aux observateurs et aux témoins dans les bureaux de vote et dans les centres locaux de compilation des résultats (CLCR). Aussi qu’elle s’en tienne à ne publier que les résultats issus du comptage manuel reçus des CLCR et dont les procès-verbaux devront être affichés devant les différents bureaux de vote" soulignent les deux institutions religieuses.<br />
La Cenco et l’ECC appellent égalementle gouvernement à ne pas couper l’Internet et les SMS, un acte qui risquerait de remettre en cause la transparence des élections.<br />
Utembi et Bokundoa demandent aux différents candidats de cultiver un climat de paix, d’éviter les discours de violence et d’utiliser les moyens légaux en cas de contestation des résultats.<br />
"Nous demandons aux candidats, particulièrement les candidats président, à lancer un appel pressant à leurs militants à la non-violence", ont-ils insisté. Pas seulement. Les deux serviteurs de Dieu invitent également les candidats à la magistrature suprême à participer aux cultes œcuméniques ce samedi à la Cathédrale Notre Dame du Congo à 11h00.<br />
Cela n’aura donc échappé à personne. L’Eglise catholique et l’Eglise du Christ au Congo réapprennent à se concerter sur de grands sujets d’intérêt national. Ce communiqué en fait foi. Avant cette prise de position sur le processus électoral, il y a eu notamment une déclaration commune sur comment préparer le peuple à bien voter et l’implication conjointe des pères spirituels des Catholiques et des Protestants (Cardinal Monsengwo et Pasteur Bokundoa) dans la sensibilisation à la catastrophe humanitaire qui a débouché sur la Conférence humanitaire de Genève.<br />
Certains analystes attribuent en partie ce rapprochement à la retraite de Mgr Marini Bodo (qui ne cachait pas beaucoup ses penchants politiques) suivie de l’élection surprise d’André Bokundoa, un pasteur sans antécédent politique, le 19 août 2017. Et au seuil de son mandat, comme pour annoncer les couleurs, il y eût cette prédication coupe gorge du désormais célèbre pasteur François-David Ekofo, le 16 janvier lors de la commémoration de l’assassinat du président Laurent-Désiré Kabila. Et depuis lors, les liens entre l’ECC et les Catholiques n’ont cessé de s’affermir. <br />
D’autres aussi mettent cette synergie sur le fait que l’église catholique a réalisé qu’elle a beau être la première confession religieuse du pays, mais sans la collaboration avec les protestants qui viennent en deuxième position, ses différentes démarches peinent à se concrétiser. Tout au long de l’année dernière, les différentes croisades contestataires du Comité laïc de coordination (CLC) bénies par l’église catholique de Kinshasa ont certes embêté les détenteurs du pouvoir sans véritablement faire bouger les lignes. <br />
La sociologie des confessions religieuses ayant changé aussi, en dehors de l’église catholique et des protestants, il y a eu l’avènement des églises dites de Réveil qui drainent chaque dimanche des centaines des milliers des fidèles. Catholiques et Protestants se devaient donc bien de travailler ensemble. Didier KEBONGO<br />
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COMMUNIQUE CONJOINT DE LA CENCO ET DE L’ECC POUR DES ELECTIONS TRANSPARENTES, CREDIBLES ET APAISEES<br />
1. Nous, vos Pères spirituels de l’Eglise Catholique et Protestante, solidaires avec vous, Peuple congolais qui attend impatiemment depuis 2016 l’aboutissement heureux du processus électoral, en vertu de notre mission pastorale et prophétique, avons décidé de lancer cet appel pressant pour vous encourager à tenir bon afin de gagner le pari des élections libres, transparentes, crédibles et apaisées dans quelques jours.<br />
2. Nous demandons à la CENI de tout mettre en œuvre pour que la date du 30 décembre 2018 soit impérativement respectée afin de finir en toute beauté l’année 2018 et, de commencer l’Année 2019 avec l’espoir des jours meilleurs. Les diverses réactions enregistrées suite aux différents reports des élections donnent à penser que le Peuple congolais ne tolérera pas un nouveau report des élections.<br />
3. Le processus électoral se déroule sur fond d’une crise de confiance qui risque d’entraîner des conséquences dangereuses pour la paix post-électorale. C’est pourquoi nous encourageons la CENI à tenir sa promesse de faciliter l’accès aux observateurs et aux témoins dans les bureaux de vote et dans les centres locaux de compilation des résultats (CLCR). Aussi qu’elle s’en tiennent à ne publier que les résultats issus du comptage manuel, reçus des CLCR et dont les procès-verbaux devront être affichés devant les différents bureaux de vote.<br />
4. Nous sommes préoccupés par l’intolérance politique de tout bord et par les actes de violence qui ont causé les pertes en vies humaines sans compter de nombreux blessés au cours de la campagne électorale. Nous présentons nos condoléances aux familles éprouvées et condamnons fermement toute forme de violence d’où qu’elle vienne et désapprouvons l’intolérance qui risque de nous conduire à des violences déplorables pendant et après le scrutin.<br />
5. Nous demandons aux leaders politiques, particulièrement aux candidats Président de la République de lancer un appel pressant et public à leurs partisans en les invitant à la non-violence. Nous exhortons également les candidats à différents niveaux d’élections à cultiver en eux l’esprit démocratique d’acceptation élégante des résultats, et en cas de contestation légitime, de le faire par des voies légales et non par l’incitation à la violence.<br />
6. Nous encourageons le Peuple congolais à continuer à œuvrer pour la paix et l’unité de la Nation. Qu’il participe massivement et activement au scrutin. Qu’il ne prête pas oreille à certains leaders politiques qui distillent les messages incitant à la violence, au régionalisme et au tribalisme.<br />
7. Afin de garantir la transparence pendant et après les élections, nous demandons au Gouvernement de veiller au fonctionnement normal de l’internet et des SMS qui constituent aujourd’hui des canaux de communication importants pour les différentes parties prenantes au processus électoral, notamment les acteurs politiques, les observateurs, les témoins et les journalistes….<br />
8. « Si le Seigneur ne bâtit la maison, c’est en vain que peinent les bâtisseurs » (Ps126). Forts de cette conviction, nous invitons toutes les parties prenantes au processus électoral, particulièrement les candidats, à participer aux cultes œcuméniques que nous recommandons d’organiser partout où c’est possible, le samedi 29 décembre 2018. A Kinshasa, ce culte œcuménique aura lieu à la Cathédrale Notre Dame du Congo à 11h00.<br />
9. Que Dieu bénisse notre pays et nous donne de consolider notre démocratie par des élections libres, transparentes, crédibles et apaisées. A tous et à chacun Joyeuses Fêtes de Noël et du Nouvel An.<br />
Kinshasa, le 24 décembre 2018.<br />
<br />
Rév. Dr. André BOKUNDOA Président de l’ECC<br />
Son Exc. Mgr Marcel UTEMBI<br />
Président de la CENCO

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*Les deux confessions religieuses demandent à la CENI de faciliter l’accès des observateurs et des témoins aux centres locaux de compilation...

FC RENAISSANCE : PAPY KIMOTO PREND LES COMMANDES DU STAFF TECHNIQUE

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQFrUS6Bm0KfuA5YvSVP4fozPy9-mlrfTQNFGM93CoJ_8x7zKI57A1x4JzQ3tMbXA-D3QamoLfb-nQ5Q45SignPDaS5Iyhwuspj2LOV3IxiRseiTdkwWDu-mwqF9BHtp3jSRvRNTf4QfEb/s1600/Snapshot_83.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="328" data-original-width="594" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQFrUS6Bm0KfuA5YvSVP4fozPy9-mlrfTQNFGM93CoJ_8x7zKI57A1x4JzQ3tMbXA-D3QamoLfb-nQ5Q45SignPDaS5Iyhwuspj2LOV3IxiRseiTdkwWDu-mwqF9BHtp3jSRvRNTf4QfEb/s400/Snapshot_83.jpg" width="400" /></a>Papy Kimoto est nommé depuis le mercredi 26 décembre, entraîneur principal ad intérim du Football Club Renaissance. Cet ancien léopard remplace Pitchou Manze, relégué au poste d’adjoint par le comité de coordination de cette formation kinoise.<br />
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Après la signature de huit joueurs de champ, le FC Renaissance vient d’étoffer son staff technique avec l’arrivée d’un ancien Léopard à sa tête : Papy Okitankoyi Kimoto. Le natif de Kinshasa aura pour mission de maintenir cette formation, déjà en très mauvaise posture, en championnat national de la Division d’élite. <br />
Né le 22 juillet 1976, Papy Kimoto est un ancien footballeur international congolais, naturalisé belge en 2008. Il a été sélectionné pour la première fois en équipe nationale de la RDC en 1997, au sein de laquelle il a évolué jusqu’en en 2006. Il a connu 54 sélections en matchs officiel et avait réussi à y inscrire 13 buts durant sa carrière. <br />
Il a joué dans plusieurs clubs de Belgique, dont Lokeren, Standard de Liège et Saint Trond, et en Israël sous les couleurs de Maccabi Netanya, Maccabi Herzliya, Hakoah Amidar Ramat Gan et à Chypre dans les formations d’Atromitos Yeroskipou et APEP Pitsilia. <br />
Cet ancien « Léopard » a entrainé le récent vainqueur de l’Entente provinciale de football de KInshasa (Epfkin), la Jeunesse Sportive Kinoise (JSK). En tant que coach de JSK, il a été battu par l’AS Nyuki de Butembo en finale de la 54ème Coupe du Congo, organisée cette même année à Kolwezi. BAHATI KASINDI

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Papy Kimoto est nommé depuis le mercredi 26 décembre, entraîneur principal ad intérim du Football Club Renaissance. Cet ancien léopard rempl...

VODACOM LIGUE 1 : V.CLUB PLUS FORT QUE SANGA BALENDE À KASHALA BONZOLA (0-1)

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvY-295t4JZmyS-17zMYFXijpnw0JIcTWmgJDXzPZ5naH0xveEpbz74QaxfZYCpQImUunIqzdcOVVDkOfKoLmOMmnjBdznzq8axj_tOM43mRA1GcZBhURvoiJCjIT7pyawyN2ILJKhDAsg/s1600/vita.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="376" data-original-width="500" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvY-295t4JZmyS-17zMYFXijpnw0JIcTWmgJDXzPZ5naH0xveEpbz74QaxfZYCpQImUunIqzdcOVVDkOfKoLmOMmnjBdznzq8axj_tOM43mRA1GcZBhURvoiJCjIT7pyawyN2ILJKhDAsg/s400/vita.jpg" width="400" /></a>L’histoire s’est répétée au profit de l’AS V.club. Comme le 27 juin dernier, en match de play-off de la 23ème édition, le club de Kinshasa a, une fois de plus, pris le dessus sur la formation de Mbuji-Mayi (1-0), dans son antre de Kashala Bonzola de Mbuji-Mayi. C’était hier jeudi 27 décembre 2018, en match comptant pour la 5ème journée de la phase aller de la 24ème édition du championnat national de la Division I congolaise.<br />
<br />
L’homme providentiel des « vert et noir » de la capitale était Francis Kazadi Kasengu. Cet attaquant a trouvé le chemin du filet à la 28ème minute de jeu, pendant que sa formation subissait une forte domination de l’équipe locale. Le pressing stérile des « Anges et Saints » a créé une faille dans leur propre charnière défensive, laissant la voie à l’assaut des Dauphins Noirs de Kinshasa qui a conduit à l’unique but de la partie. <br />
Pour le coach Olivier Tshilumba, le match était prenable. C’est plutôt la sortie de deux de ses milieux de terrain qui l’ont beaucoup handicapé. « C’était un match prenable. Malheureusement mon équipe a joué réduit. On a perdu deux joueurs clés du milieu du terrain en plein match. Tous nous savons que Vita concentre son jeu à la médiane avec une action rapide pour alimenter les ailes. C’est pourquoi vous avez vu que le but est arrivé au moment où nous nous y attendions le moins. C’était pendant que l’équipe était en train d’acculer l’adversaire malgré l’irréalisme de notre ligne d’attaque. Cette envie de vouloir pousser à tout prix a créé un vide derrière qui a profité à V.Club », s’est justifié l’entraîneur de Sanga Balende après le match.<br />
De son côté, le coach de Vita Club Florent Ibenge se félicite de sa deuxième victoire en une année à Kashala Bonzola. Ce, en dépit de son effectif très réduit, 14 joueurs seulement, qu’il a ramené de Kinshasa. « Je suis très fier de mes joueurs. Nous avons réalisé un grand match face à une très belle formation de Sanga Balende. Nous sommes venus en sous-effectif mais nous sommes repartis vainqueurs. C’est la première fois pour nous de changer de système de jeu et de tenter le 4-4-2. Heureusement que les joueurs ont très bien respecté les consignes », s’est-il réjoui. <br />
Ibenge a également reconnu la domination de l’équipe adverse. C’est d’ailleurs ce qui lui a poussé à encourager son entraineur. « L’équipe adverse est très bonne. La preuve, elle nous a mis en difficulté pendant un bon moment. Nulle n’était la dextérité de nos deux gardiens, Lukongou Mudekereza, on aurait encaissé beaucoup de but. Le seul problème dans cette formation est tout simplement le manque de confiance. Elle est conduite par un jeune entraîneur pour qui j’ai beaucoup de respect. Il faut lui laisser le temps », a renchérit « Flo » à propos du coach de Sanga Balende. <br />
Le technicien de V.club a conclu son speech en expliquant quecette victoire est à oublier compte tenu de l’agenda très chargé de son club. Le vainqueur de l’édition 2011-2017 affrontera ce lundi 31 décembre le Daring Club Motema Pembe. « Quant à nous, il nous faut continuer à gérer la fatigue car nous avons encore beaucoup de match à disputer. Ce lundi nous serons en face de Daring à Kinshasa. Nous espérons nous remettre de notre fatigue et faire un bon match », a indiqué Florent Ibenge. <br />
Bahati KASINDI

Sport VODACOM LIGUE 1 : V.CLUB PLUS FORT QUE SANGA BALENDE À KASHALA BONZOLA (0-1)

L’histoire s’est répétée au profit de l’AS V.club. Comme le 27 juin dernier, en match de play-off de la 23ème édition, le club de Kinshasa a...

TOUT EN DESAPPROUVANT LA DECISION DE LA CENI D’EXEMPTER BENI, BENI-BUTEMBO ET YUMBI L’UDPS APPELLE À LA TENUE DES ÉLECTIONS CE DIMANCHE

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4PeuYdbdZJ7UXZvbksEOQqB4asKVhrIYK3ztNF7qkb3AaozmdIGuf3L3dftaFLfA87Fvwjp0gKzNk2m6HaMz3ioz66PaOrcYKynEkgBcCZfMBTxfTI4zmliE8VPE8SgeF1EnHWLFcuM3s/s1600/Snapshot_82.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="434" data-original-width="583" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4PeuYdbdZJ7UXZvbksEOQqB4asKVhrIYK3ztNF7qkb3AaozmdIGuf3L3dftaFLfA87Fvwjp0gKzNk2m6HaMz3ioz66PaOrcYKynEkgBcCZfMBTxfTI4zmliE8VPE8SgeF1EnHWLFcuM3s/s400/Snapshot_82.jpg" width="400" /></a>Le secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Jean-Marc Kabund-A-Kabund, appelle la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), , à organiser impérativement les élections ce dimanche 30 décembre dans tous les endroits de la République démocratique du Congo. Et ce, à l’exception de Beni, Beni-ville et Butembo dans le Nord-Kivu et Yumbi dans la province de Mai-Ndombe, pour cause de menaces d’Ebola et d’insécurité.<br />
<br />
Tout en désapprouvant cette décision de la CENI, le parti de Félix Tshisekedi affirme compatir avec les populations de ces contrées de la République démocratique du Congo, déjà victimes des tueries à répétition, des viols et maintenant de l’injustice électorale, a indiqué Kabund dans un communiqué daté d’hier 27 décembre<br />
Pour l’UDPS, cette décision du président de la CENI, Corneille Nangaa, s’aligne parmi les nombreuses provocations pour "exacerber le peuple congolais et le pousser aux actes d’énervement qui ne profiteront qu’à Monsieur Kabila et à son régime illégal".<br />
Néanmoins, ce parti de FATSHI appelle les Congolais à demeurer vigilants et mobilisés au cas les élections n’ont pas lieu à la date indiquée, en vue des actions pacifiques.<br />
Emma MUNTU<br />
<img height="640" src="https://www.forumdesas.org/IMG/arton18323.jpg" width="480" /><br />
L’Ambassade des Etats-Unis invite ses ressortissants à la prudence<br />
<br />
L’Ambassade des Etats-Unis appelle ses ressortissants à la prudence le dimanche 30 décembre, jour de vote en RDC. Dans un message diffusé par voie électronique, la chancellerie américaine recommande à ces citoyens de rester cantonnés à domicile. Sinon, d’éviter des lieux où il y a des attroupements. Mesures de sécurité obligent.<br />
<br />
Alerte de sécurité - Ambassade des États-Unis à Kinshasa,République démocratique du Congo (27 décembre 2018)<br />
<br />
Lieu : RDC, dans tout le pays<br />
Evénement : L’annulation des élections à Beni, Butembo et Yumbi et l’appel à une « Ville Morte » ou à une grève générale à l’échelle du pays, le 28 décembre, pourraient déclencher des manifestations spontanées et des perturbations des transports dans certaines régions du pays. Les citoyens américains sont invités à éviter les grandes foules. Il est conseillé aux fonctionnaires américains de rester chez eux le jour du scrutin, le 30 décembre.<br />
<br />
Actions à entreprendre :<br />
*Évitez les grandes foules et les manifestations possibles.<br />
*Surveiller les médias locaux pour les mises à jour.<br />
*Avertissez vos amis et votre famille de votre sécurité et développez une stratégie de communication alternative.<br />
*Restez attentif aux situations potentiellement dangereuses.<br />
<br />
Assistance :<br />
Ambassade des États-Unis à Kinshasa, République démocratique du Congo<br />
(243) 97 261 6144 ou (243) 97 261 6145<br />
ACSKinshasa@state.gov

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Le secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Jean-Marc Kabund-A-Kabund, appelle la Commission Electorale...

A TSHIBALA CE QUI LUI REVIENT

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCanML-9HX4h8gGzV4x2mmhggPN-gupL-Xr-Yb6ilfym0Bufm_SMAnUY40oCN5uZwJ-Rh5emBYfE5Hl_zAq_g75vZMkDNVqdITyg24Zfl8Z3a_wRefAJVJzPyiBPL7Shh6yGCV-ElSoFkp/s1600/Snapshot_80.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="402" data-original-width="669" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCanML-9HX4h8gGzV4x2mmhggPN-gupL-Xr-Yb6ilfym0Bufm_SMAnUY40oCN5uZwJ-Rh5emBYfE5Hl_zAq_g75vZMkDNVqdITyg24Zfl8Z3a_wRefAJVJzPyiBPL7Shh6yGCV-ElSoFkp/s400/Snapshot_80.jpg" width="400" /></a>Dans deux jours, les élections. Enfin ! Un épilogue qui fut long à se dessiner. Que de pesanteurs ! Que d’hypothèques ! Que de paris non tenus ! Cette fois-ci c’est bien la bonne. Avec juste un décalage technique d’une semaine, les élections sont en passe de se tenir dans le délai fixé par la CENI.<br />
 <br />
A 48 heures de ce rendez-vous historique, comment ne pas reconnaître que le Gouvernement Tshibala est sur le point de tenir sa promesse. A la tête d’un Cabinet de mission, Bruno Tshbala s’était fait un point d’honneur d’organiser les meilleures élections de l’histoire du Congo-Kinshasa et ce, conformément au calendrier de la CENI. On y est. Ou presque.<br />
A moins que la terre se dérobe sous nos pieds, ce 30 décembre dimanche, le pari qui paraissait impossible pour nombre d’acteurs politiques deviendra réalité. Bruno Tshibala y avait cru. Il s’est investi. Et le voilà sur le point d’honorer sa parole proclamée urbi et orbi via la Chambre.<br />
A l’heure de la reddition des comptes, ce Premier ministre aura toutes les raisons du monde de brandir son trophée estampillé "élections". Un exploit d’autant plus important que le Gouvernement congolais aura supporté l’ensemble du processus électoral.<br />
Au crépuscule de 2019, Bruno Tshibala n’a vraiment pas à rougir de son bilan. Lui qui se sera acquitté de sa mission principale qu’est la tenue d’élections. Lui qui, en guise de cerise sur le gâteau, peut brandir des clignotants repassés au vert avec une croissance qui passe de 2,16% en 2017 à 3,8% en 2018. Les réserves de change évoluant de 300 millions à 1,7 milliard USD. Bref, des chiffres qui renseignent sur la consolidation du cadre macro-économique.<br />
Alors, tout va très bien madame la Marquise ? Pas du tout. Pour un pays plongé dans les abysses à la suite notamment de la zaïrianisation, des pillages, de guerres de rapine…, le redressement est une tâche de longue haleine. Bruno Tshibala en a parfaitement conscience. Mais, cela ne saurait empêcher ce Premier ministre de mission de boire du petit lait. Ce ne serait pas immérité. José NAWEJ

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Dans deux jours, les élections. Enfin ! Un épilogue qui fut long à se dessiner. Que de pesanteurs ! Que d’hypothèques ! Que de paris non ten...

REPORT DES ELECTIONS A BENI, BUTEMBO ET YUMBI COUP DE GUEULE DE SAMY BADIBANGA

December 28, 2018

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqaG1TuVu2ITDrJwR4PZcw22z_d2wWyJq0lJM-x4CkFKwL9EsO57bept7bhnIm3kA0NQB6UC4esVzCIoCFPzgfquO7o_XE467rEsgF0Pelb-AILa5DRu2WrZdmMPWZb5jMduFYfQNAU6KY/s1600/Snapshot_79.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="374" data-original-width="671" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqaG1TuVu2ITDrJwR4PZcw22z_d2wWyJq0lJM-x4CkFKwL9EsO57bept7bhnIm3kA0NQB6UC4esVzCIoCFPzgfquO7o_XE467rEsgF0Pelb-AILa5DRu2WrZdmMPWZb5jMduFYfQNAU6KY/s400/Snapshot_79.jpg" width="400" /></a></div>
* "La nation amputée, la démocratie violentée", clame le numéro un de Les Progressistes.<br />
<br />
A l’examen des faits, tant sur le plan de la sécurité que du risque sanitaire lié au virus Ebola, la décision unilatérale et brutale de la CENI n’apparaît pas justifiée. C’est une décision grave qui fait suite à d’autres décisions prises par la CENI, sans aucun consensus des forces politiques, sans consultation de la population. Plus grave encore, elle compromet à long terme la légitimité des autorités publiques à Beni, Butembo et Yumbi, dont la population serait privée du droit fondamental à choisir ses dirigeants.<br />
<br />
La CENI vient d’exclure Beni, Butembo et Yumbi de l’élection présidentielle. Population martyre de la République, frappée dans sa chair, laissée pour compte, privée de sécurité et d’ordre public, elle ne choisira pas ses dirigeants.<br />
La CENI a, une nouvelle fois, agi seule. Sans consensus des forces politiques. Sans consultation de la population locale. En a-t-elle même le droit ? C’est une décision grave dont il est difficile de mesurer les conséquences, très probablement irréparables.<br />
Privée de sécurité, premier des droits humains. Privée maintenant d’un autre droit humain fondamental, le droit à la participation à la direction des affaires publiques de son pays. Ce droit est, pourtant, consacré à l’article 21 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, dont on vient de fêter le 70ème anniversaire le 10 décembre.<br />
<br />
FAIBLESSE DE L’ETAT<br />
L’article 21 dispose que la volonté du peuple est le fondement de la légitimité des autorités publiques.Il ne fait que peu de doute que l’insécurité est liée à la faiblesse de l’Etat et de la légitimité des autorités publiques.<br />
La décision de la CENI ajoute un problème à une situation déjà critique. Quelle légitimité auront les autorités publiques nationales à Beni, Butembo et Yumbi, alors que la population n’aura pas pu les choisir ?<br />
A cela s’ajoute des conséquences extrêmement sérieuses sur le résultat des élections. Sans Beni, Butembo et Yumbi, les résultats des législatives nationales peuvent-ils être proclamés ? Et quand ?<br />
Concernant Ebola, quelles sont les chiffres et preuves d’un risque majeur de santé publique, d’une telle gravité, qui pourraient justifier d’exclure la population de l’élection présidentielle, lui interdisant de choisir ses dirigeants ? La Céni a-t-elle des éléments significatifs de la part de l’Organisation Mondiale de la Santé ?<br />
<br />
COUP DE POKER CONTRE LA DEMOCRATIE<br />
Comment expliquer encore que la population ait été enrôlée, que la campagne ait eu lieu, que la Monusco est sur place, avec les FARDC, que les habitants se rendent à leur travail, au marché, à l’école ; bref, ils mènent leurs activités normalement ?<br />
Il semble que, paradoxalement, Ebola ne paralyse pas l’activité économique et sociale de Beni et Butembo. Il semble même que la décision solitaire de la CENI perturbe plus la vie économique et sociale que le virus Ebola lui-même.<br />
Il faut une réunion de toute urgence de la CENI, des autorités sanitaires nationales et provinciales, des médecins des hôpitaux de Beni et Butembo, avec l’OMS et MSF, de l’état-major de l’armée, des représentants de la société civile, en présence des candidats à l’élection présidentielle pour mettre sur la table, tous les éléments qui pourraient justifier ou exclure une décision, telle que la CENI vient de prendre sans aucun consensus.<br />
La CENI mesure-t-elle l’impact de sa décision solitaire ? Après le report des élections du 23 au 30 décembre et l’arrêt brusque de la campagne, c’est un nouveau coup de poker contre la démocratie. Agissant seule et sans justification, toujours dans le sens d’une restriction (ou répression ?) des droits fondamentaux, la CENI diminue encore la transparence et la confiance dans le processus électoral.<br />
<br />
UNE RECUPERATION POLITIQUE INACCEPTABLE<br />
Séparer Beni et Butembo de la République est un acte grave. Contre l’unité de la République. Contre la souveraineté de la Nation. Contre notre démocratie en construction que la CENI est chargée par la Constitution de renforcer, de faire vivre et rayonner pour notre développement à toutes et à tous.<br />
C’est un acte grave qui fait suite à une série de décisions qui divisent la Nation jusqu’à la pousser au bord du chaos. Il y a eu le choix de la machine à voter. Il y a encore un fichier électoral en partie corrompu. Il y a le report des élections et l’arrêt de la campagne. Maintenant, la division, au sens littéral, du territoire, avec l’exclusion de Beni, Butembo et Yumbi.<br />
Il semble tout à fait inconcevable que les autorités soient incapables d’assurer la sécurité, même temporaire, d’une journée d’élection. Avec l’armée et l’ensemble des forces de sécurité, avec l’aide de la Monusco, est-ce qu’il n’est pas concevable que la sécurité publique ne puisse être garantie, ne serait-ce que pour 24 heures ?<br />
La décision de la CENI est, en réalité, une récupération politique inacceptable de la misère et de l’insécurité de la population de Beni et Butembo. Et par-delà, c’est une décision qui va faire perdurer la crise de légitimité des autorités publiques en RDC. Samy Badibanga Ntita

Politique REPORT DES ELECTIONS A BENI, BUTEMBO ET YUMBI COUP DE GUEULE DE SAMY BADIBANGA

* "La nation amputée, la démocratie violentée", clame le numéro un de Les Progressistes. A l’examen des faits, tant sur le pla...

"CACH" non concerné par la ville morte décrétée par "Lamuka"

December 28, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgO042yjb8hCVPGANX_uywdc0RQ-mFxiVjxcC985JkHzrGiChlD_AhFLqnCrlAe4SlW7szHM3ghDbQJh9PCBEH_HnFvWAQKYEE63SrA-IRVJH6nnNPsBHeebmFY1mk0yy0hI7RNmPvLzJ_t/s1600/Snapshot_78.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="369" data-original-width="671" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgO042yjb8hCVPGANX_uywdc0RQ-mFxiVjxcC985JkHzrGiChlD_AhFLqnCrlAe4SlW7szHM3ghDbQJh9PCBEH_HnFvWAQKYEE63SrA-IRVJH6nnNPsBHeebmFY1mk0yy0hI7RNmPvLzJ_t/s400/Snapshot_78.jpg" width="400" /></a>"Cap pour le Changement ", coalition électorale qui soutient la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle, ne souscrit pas à la ville morte décrétée par la coalition "Lamuka", a fait savoir Jean-Marc Kabund dans un entretien avec la presse.<br />
<br />
Pour le secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), l'exclusion de Beni, Butembo et Yumbi participe à la stratégie du pouvoir en complicité avec la Commission Électorale Nationale Indépendante( CENI) pour repousser les élections afin de maintenir le président Kabila au pouvoir. <br />
<br />
Jean Marc kabund a réaffirmé la détermination du Cach à participer au scrutin du 30 décembre. Il a toutefois souligné que leur coalition ne poursuit pas les mêmes objectifs avec Lamuka qui soutient Martin Fayulu à la présidentielle du 30 décembre 2018.<br />
<br />
Selon lui, Lamuka est en en connivence avec le FCC pour faire capoter les élections pour une transition.<br />
<br />
<br />
MEDIA CONGO PRESS

Politique "CACH" non concerné par la ville morte décrétée par "Lamuka"

"Cap pour le Changement ", coalition électorale qui soutient la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle, ne souscrit p...

Pour coincer la Kabilie : l’UDPS fait le “Ndata Sango”

December 27, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjult4e37u-h6L2T_02Ql8kla8xTJujCy30gH6jyjpY9F6fbE-eIIe-tdT72fUNQ-SFUIXJPzmRtcdfvXve19I_k71hxX4f2J6u3tEyebkGY2zaK73JPFfofVIltQLMDUipZEnr-oTkOVQk/s1600/WHITEUDPS1.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1016" data-original-width="1291" height="313" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjult4e37u-h6L2T_02Ql8kla8xTJujCy30gH6jyjpY9F6fbE-eIIe-tdT72fUNQ-SFUIXJPzmRtcdfvXve19I_k71hxX4f2J6u3tEyebkGY2zaK73JPFfofVIltQLMDUipZEnr-oTkOVQk/s400/WHITEUDPS1.jpg" width="400" /></a>Tout celui qui a fait dans la vieille époque le Cycle d’Orientation (C.O), connaît l’histoire du vieux Ndata N’sangu et la jeune fille. Malgré toutes les astuces données par sa belle-mère à sa femme, beaucoup moins âgée que lui, en vue de l’énerver et le pousser à casser le mariage, le vieil homme est très sage. Repas très salés, habits nettoyés avec de l’huile de palme, légumes très pimentés, riz ensablé…toutes ces recettes étaient très appréciées par le vieux Ndata N’sangu, à la grande déception de sa belle-mère qui s’attendait à des réactions méchantes pour récupérer vite sa jeune fille livrée en mariage par son mari à un vieil homme.<br />
C’est cette attitude du vieux Ndata N’sangu que l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) aurait adopté pour mettre dos au mur le régime Kabila. Découvrant que celui-ci n’avait pas l’intention d’organiser les élections et voulait que son bras séculier la CENI profite du rejet de la machine à voter par l’opposition pour prolonger le mandat de Joseph Kabila en sollicitant un temps pour imprimer les bulletins, l’UDPS trancha : “avec ou sans machine à voter, nous irons aux élections“.<br />
Un revirement ayant, non seulement bouleversé la Majorité présidentielle et l’ayant poussé à revoir ses calculs, mais aussi ayant coincé la Centrale électorale à retropédaler. Premier coup de massue. Aux critiques de collaboration ou connivence avec le régime, l’UDPS est restée de marbre. L’un des secrétaires généraux adjoints, à l’occurrence Augustin Kabuya avait expliqué à l’époque au reporter de Scooprd.net que le souci de l’UDPS était d’avoir après le 23 décembre un autre président de la république autre que Joseph Kabila, Shadary soit-il.<br />
Pour pousser l’opposition à l’énervement, la CENI repousse à trois jours de l’échéance, les élections d’une semaine. Comme Ndata N’sangu, l’opposition accepte ce report sans problème. Dans ses stratégies de toujours pousser l’opposition à boycotter les élections, l’infatigable CENI vient d’écarter la région du grand nord du scrutin. ” Avec ou sans Beni, Butembo et Yumbi, nous irons aux élections le 30 décembre “, a réagi la fille mère de l’opposition qui tient mordicus au départ de Joseph Kabila.<br />
A trois jours du vote, quelle sera la nouvelle ou prochaine cartouche de Nangaa et sa CENI pour énerver l’opposition et le peuple congolais ? Wait and see !<br />
Ginno Lungabu

Politique Pour coincer la Kabilie : l’UDPS fait le “Ndata Sango”

Tout celui qui a fait dans la vieille époque le Cycle d’Orientation (C.O), connaît l’histoire du vieux Ndata N’sangu et la jeune fille. Malg...

RDC 2001-2018: les dates clés de l'ère Kabila

December 27, 2018

<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitWOvuwiD0C8SvIZOjS0-Nf6_mcThT0npuX6Kdf7WgPPVdenqNVrqpZ1cj2RhaerVPnkVQvIN1K9tnBWe0YAG4ojBt0fNT_lN9YVvel-BSxV5UJKlyI_2WntzleEPAfyrdxhwi696AYaKB/s1600/Snapshot_66.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="301" data-original-width="547" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitWOvuwiD0C8SvIZOjS0-Nf6_mcThT0npuX6Kdf7WgPPVdenqNVrqpZ1cj2RhaerVPnkVQvIN1K9tnBWe0YAG4ojBt0fNT_lN9YVvel-BSxV5UJKlyI_2WntzleEPAfyrdxhwi696AYaKB/s400/Snapshot_66.jpg" width="400" /></a>Arrivé à la tête du pays en janvier 2001, dans la foulée de l'assassinat de son père, Joseph Kabila a présidé à la destinée de la République démocratique du Congo (RDC) pendant presque 18 ans. L’un des chefs de l’Etat les plus riches de la planète, il va devoir céder sa place après l'élection présidentielle finalement prévue pour le 30 décembre, au terme d'une série de reports successifs de l'échéance. Repères.<br />
►26 janvier 2001 : de Kabila à Kabila</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
A 30 ans, Joseph Kabila succède à son père Laurent-Désiré Kabila après la disparition de ce dernier dans un attentat. Le père avait succédé à Mobutu qui avait régné sur le Congo pendant 32 ans. Le fils Kabila hérite d’un pays exsangue, déchiré depuis 1998 par une guerre régionale impliquant une trentaine de groupes armés et plusieurs pays africains. La RDC, alliée notamment à l’Angola et au Zimbabwe, affronte des rebelles banyamulenge venus du Kivu (Est) et soutenus notamment par le Rwanda et l’Ouganda. Selon les ONG, cette guerre, connue sous le nom de « deuxième guerre du Congo », aura fait quatre millions de morts et fait fuir plusieurs millions de personnes, réfugiées dans les pays voisins.</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
►7 décembre 2002 : négociations et partage du pouvoir</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
Réunis à Pretoria, le gouvernement de transition de Kinshasa et les principaux groupes rebelles signent un accord de paix à Pretoria, mettant officiellement un terme à la guerre. L’accord prévoit la nomination d’un gouvernement d’union nationale composé des leaders des mouvements rebelles, chargé de préparer les élections multipartites.</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
►18 décembre 2005 : naissance d'une nouvelle République</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
Les Congolais sont appelés à se prononcer par référendum sur la nouvelle Constitution rédigée sous l’égide du gouvernement d’union nationale en place depuis deux ans. La Constitution est approuvée à 84% par les électeurs.</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
► 6 décembre 2006 : Joseph Kabila élu président</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
Proclamé officiellement vainqueur avec 58% des voix au second tour face à son vice-président Jean-Pierre Bemba lors des premières élections libres depuis le coup d'Etat de Mobutu en 1965, Joseph Kabila prête serment en tant que président élu. Ces élections au suffrage direct avaient été organisées par une commission électorale indépendante et avaient été jugées relativement justes par la communauté internationale, mais l’entre-deux-tours a été marqué par des violences. Des partisans des deux candidats se sont affrontés à l’arme lourde dans les rues de Kinshasa.</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
►28 août 2008 : le Nord-Kivu à feu et à sang</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
L’année 2008 est ponctuée de violences dans le Nord-Kivu, opposant l’armée et les combattants du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), mouvement dirigé par le général rebelle Laurent Nkunda. Les affrontements prennent un tournant tragique avec l’exode de 250 000 réfugiés suite à une vaste offensive des troupes du CNDP. L’année se clôt sur la publication d’un rapport de l’organisation Human Rights Watch qui accuse le régime de Joseph Kabila de pratiquer la « répression brutale », entraînant la mort de 500 opposants et l’arrestation de plus d’un millier de personnes en deux ans de pouvoir.</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
►23 mars 2009 : recherche de la paix</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
Sous la pression de la communauté internationale, le gouvernement Kabila signe à Goma un accord de paix avec le CNDP. Kinshasa s’engage à intégrer les troupes rebelles de Laurent Nkunda au sein de l’armée régulière FARDC. Devenu un parti politique et un allié de la majorité présidentielle, le CNDP coopère avec le gouvernement pour la recherche de la paix face à l’insécurité qui règne encore dans l’est du pays.</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
►28 novembre 2011 : élections contestées</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;">
Joseph Kabila est officiellement réélu lors d’une présidentielle à un tour et son camp obtient la majorité absolue aux législatives. L’opposant Etienne Tshishekedi, arrivé deuxième à la présidentielle, rejette les résultats. Les élections sont marquées par des violences et entachées de multiples irrégularités, conduisant la mission d'observateurs de l'Union européenne à s'interroger sur la crédibilité des résultats. Le pays est au bord de l’implosion.</div>
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►6 mai 2012 : naissance du Mouvement du 23 mars</div>
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On assiste à la recrudescence de violences dans le Kivu avec l’entrée en scène du Mouvement du 23 Mars (M23), composé d’ex-rebelles du CNDP intégrés à l’armée. Les mutins dénoncent le non-respect des accords signés par le président Kabila le 23 mars 2009, date à laquelle le nom de leur mouvement fait référence. C’est le début d’une nouvelle guerre en RDC, fomentée, selon la communauté internationale, par le Rwanda et l’Ouganda. En novembre les rebelles du M23 prennent le contrôle de Goma, la capitale du Nord-Kivu.</div>
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►12 décembre 2013 : fin de la rébellion</div>
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Kinshasa et les rebelles du M23 entérinent formellement à Nairobi la fin de leur conflit, plus d’un mois après la défaite militaire de la rébellion, début novembre, avec la prise de contrôle par les troupes gouvernementales de leurs dernières bases dans l’Est. La reddition en mars 2013 de Bosco Ntaganda, chef des rebelles, avait marqué le début de la fin de cette mutinerie.</div>
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►19 au 22 janvier 2015 : manifestations contre la révision de la loi électorale</div>
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La proposition du gouvernement de modifier la loi électorale pour permettre au président Kabila de se maintenir au pouvoir au-delà du terme de son mandat, fin 2016, pousse les opposants au régime à manifester, principalement dans les rues de Kinshasa. La répression fait plusieurs dizaines de morts.</div>
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►31 décembre 2016 : accord entre pouvoir et opposition</div>
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Sous l’égide de l’épiscopat catholique, le pouvoir et l’opposition signent un accord permettant au président Kabila de se maintenir au pouvoir jusqu’à fin 2017, en contrepartie de la création d’un Conseil national de transition et la nomination d’un Premier ministre de l’opposition. L'opposant Bruno Tshibala est nommé à la primature, poste brigué par Félix Tshisekedi, fils d'Etienne Tshisekedi décédé en février.</div>
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►5 novembre 2017 : guerre des dates</div>
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Joseph Kabila et ses proches poussaient pour avril 2019 pour la tenue des élections présidentielles, législatives et provinciales attendues depuis deux ans. Or sous la pression de la communauté internationale ainsi que l’opposition congolaise et les mouvements citoyens, la Commission électorale annonce la date du 23 décembre pour l’organisation de ces scrutins régulièrement reportés.</div>
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►8 août 2018 : Kabila nomme un dauphin</div>
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Après avoir laissé planer le doute sur sa volonté de briguer un nouveau mandat, ce qui aurait nécessité la modification de la Constitution, le président Kabila renonce et désigne son ex-ministre de l’Intérieur et secrétaire permanent du PPRD au pouvoir, Emmanuel Ramzani Shadary, comme le candidat de son camp au présidentiel. Fidèle du président sortant et originaire de la province du Maniema dans l'est de la RDC, Emmanuel Shadary portera les couleurs du Front Commun pour le Congo (FCC), la nouvelle coalition politique regroupant les partis de la majorité présidentielle.</div>
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►11 novembre 2018 : candidat unique de l’opposition désavoué</div>
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Face au candidat du pouvoir, les ténors de l’opposition réunis à Genève désignent l’ancien homme d’affaires Martin Fayulu, fondateur du parti Engagement pour la citoyenneté et le développement, comme le candidat unique de l'opposition à la présidence. Cette nomination suscite l’enthousiasme dans les rangs de l’opposition, mais patatras, dès le lendemain de l’annonce, le candidat est désavoué par deux principaux leaders de l’opposition congolaise : Félix Tshisekedi de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et par le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC) Vital Kamerhe. Ce dernier soutient désormais la candidature Tshisekedi.</div>
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►21 décembre 2018 : report des élections</div>
<div style="background-color: white; color: #1d2129; display: inline; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-top: 6px;">
La Commission électorale, la Céni, crée la surprise en reportant les scrutins au 30 décembre, suite à l’incendie de l’un de ses entrepôts à Kinshasa où étaient stockés des machines à voter ainsi que des bulletins de vote. L’opposition y voit un prétexte pour reporter les élections aux calendes congolaises.</div>
Par Tirthankar Chanda <br />
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<br />
RFI

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RDC : Après l’annonce de l’expulsion de Barthe Ouvry, Kinshasa prévoit d’autres mesures contre l’UE

December 27, 2018

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg48h49FOaKNgKGno4lBbT-JKON6tm0LZejPSRBx8p7zh4OrMT_tZdumuzaWpZS9AGV9Jq5ArU_7PcuP7haT0fmvr6N6RLV2Ns8kEi6CHriWcV4w-YXdafku5TRd52aO8S-KnHjJIybroNg/s1600/photo_6002_15354793.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="338" data-original-width="600" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg48h49FOaKNgKGno4lBbT-JKON6tm0LZejPSRBx8p7zh4OrMT_tZdumuzaWpZS9AGV9Jq5ArU_7PcuP7haT0fmvr6N6RLV2Ns8kEi6CHriWcV4w-YXdafku5TRd52aO8S-KnHjJIybroNg/s400/photo_6002_15354793.jpg" width="400" /></a></div>
Le chef de la mission diplomatique de l'Union européenne, Barthe Ouvry, a 48 heures pour quitter le pays. La décision a été annoncée ce jeudi 27 décembre par Léonard She Okitundu, vice-premier ministre et ministre des affaires étrangères, Kinshasa au cours d’une rencontre avec les ambassadeurs accrédités en RDC.<br />
<br />
« Ne pouvant plus demeurer inerte, le gouvernement a arrêté une série de mesures qui seront annoncées au fur et à mesure. D'ores et déjà, la première mesure touche le chef de mission de l'UE en République Démocratique du Congo conformément à l'article 9 point 1 de la convention de vienne sur les relations diplomatiques. Concrètement, le gouvernement de la république invite instamment le conseil européen à procéder impérativement dans les 48 heures, au rappel de son chef de mission en RDC (…). Cette mesure, d'une part sanctionne le comportement répréhensible de l'intéressé et d'autre part, s'inscrit dans le cadre de la réciprocité prépensionnée », a argumenté le chef de la diplomatie congolaise.<br />
<br />
CONTEXTE<br />
<br />
Le Conseil de l’Union Européenne (UE) a prolongé les mesures restrictives actuellement en place contre certaines personnalités congolaises jusqu'au 12 décembre 2019.<br />
<br />
"Ces sanctions consistent en un gel des avoirs et une interdiction de visa pour l'Union européenne visant 14 personnes. Elles ont été adoptées le 12 décembre 2016 et le 29 mai 2017 en réponse aux entraves au processus électoral en RDC et aux violations des droits de l'homme qui y étaient liées", explique le Conseil des ministres de l'Union européenne dans un communiqué publié ce lundi 10 décembre.<br />
<br />
Ilunga Kampete (FARDC), Gabriel Amisi Kumba (FARDC), Ferdinand Ilunga Luyoyo (PNC), Célestin Kanyama (PNC), John Numbi (PNC), Roger Kibelisa (ANR), Delphin Kaimbi (DEMIAP), Evariste Boshab (ancien ministre de l’Intérieur et de la Sécurité), Alex Kande Mupompa (ancien gouverneur du Kasaï Central), Jean-Claude Kazembe Musonda (ancien gouverneur du Haut-Katanga), Lambert Mende (ministre de la Communication et des Médias), Eric Ruhorimbere (FARDC), Ramazani Shadary (ancien ministre de l’Intérieur et actuellement candidat à la présidentielle du 23 décembre) et Kalev Mutond (ANR) sont concernés par ces sanctions.<br />
<br />
Le Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l'Union Africaine (UA) avait demandé la levée de toutes les sanctions individuelles imposées par l’UE à l’encontre des personnalités congolaises, « afin de créer un environnement propice à la tenue d’élections libres, transparentes et apaisées en RDC ».<br />
<br />
Cette prise de position officielle était consécutive à une offensive diplomatique congolaise menée notamment auprès des organisations régionales dont l’UA.<br />
<br />
Pour sa part, Joseph Kabila s’était exprimé  également sur ces sanctions. Au journal Le Soir (Belgique), il a expliqué sa position sur cette question :<br />
<br />
"Moi, je fais pleinement confiance à tous ceux qui ont été sanctionnés, et surtout les officiers ; je sais qu’ils défendent l’Etat de droit. On me dit que si tout se passe bien lors des élections, les sanctions pourraient être levées. Mais, moi, je m’en fous. Pour les élections, tout va très bien se passer, et cela ne dépendra pas des sanctions. Ce seront les meilleures élections que ce pays aura connues depuis 1959. Je crois que nous aurons été du bon côté de l’histoire. Le Congo ne sera jamais à genoux, il sera toujours debout", avait-il dit.<br />
<br />
Il avait également évoqué le cas d'Emmanuel Ramazani Shadary.<br />
<br />
"Si Shadary est élu, il sera le président de la RDC. En Belgique, il ne possède rien. Certains ont regretté que les individus visés n’aient pas eu l’occasion de se défendre. Moi, je demande pourquoi nous devrions aller nous justifier. Ces sanctions sont tout à fait illégales, injustes, arbitraires, orientées politiquement. Quelques pays d’Europe ne peuvent s’arroger le droit de nous sanctionner ainsi. Dans quel monde vivons-nous, où ceux qui ont la force ou croient l’avoir peuvent s’arroger un tel droit ?".<br />
<br />
En fonction depuis le 17 janvier 2001, Joseph Kabila, 47 ans, a désigné Emmanuel Ramazani Shadary comme candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), la coalition électorale dont il est l’autorité morale.

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<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHfho7kpz-y7Ww0k3rGHyzJmsD1FhDomGdH7vuGPmZLNP7lyBQviphXzKOcTi4LwswPl_Qg_PJoLMk3CUwIQE_MwYQMUvBNbhqTAjz2-xwyqwHOKBF6kyR1EP9aHzebTDbK-nFV87ApcnZ/s1600/ffggg+ggrrr+gghg.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHfho7kpz-y7Ww0k3rGHyzJmsD1FhDomGdH7vuGPmZLNP7lyBQviphXzKOcTi4LwswPl_Qg_PJoLMk3CUwIQE_MwYQMUvBNbhqTAjz2-xwyqwHOKBF6kyR1EP9aHzebTDbK-nFV87ApcnZ/s400/ffggg+ggrrr+gghg.jpg" width="400" /></a>Le chef de la mission diplomatique de l'Union européenne, Barthe Ouvry, a 48 heures pour quitter le pays. La décision a été annoncée ce jeudi 27 décembre par Léonard She Okitundu, vice-premier ministre et ministre des affaires étrangères, Kinshasa au cours d’une rencontre avec les ambassadeurs accrédités en RDC.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
Déjà le14 décembre, le ministre de la Communication et des Médias, Lambert Mende, s’était déjà montré très ferme face à l’Union Européenne (EU) qui a prolongé d’un an les sanctions à l’encontre de 14 personnalités congolaises.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
<span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">« </span><em style="box-sizing: border-box;">Nous nous réservons le droit de dévoiler ici et maintenant des mesures de rétorsion que nous envisageons vis-à-vis de ceux qui veulent faire marcher le train de l’histoire en reculant. Je vous invite à ouvrir les yeux dans les jours qui viennent et vous verrez ce que vous verrez et je pense que les lueurs ne seront pas là où l’on croit. Nous avons plus de moyens qu’on nous imagine au niveau du continent pour faire payer cette action hostile totalement injustifiée qu’on nous a faite pour simplement essayer de mettre les grappins sur nos ressources économiques et nous punir de vouloir défendre ce qui est à nous </em><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">»</span><em style="box-sizing: border-box;">,</em> avait déclaré Lambert Mende.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
Pour rappel, le Conseil de l’Union Européenne (UE) a prolongé les mesures restrictives actuellement en place contre certaines personnalités congolaises jusqu'au 12 décembre 2019.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
<em style="box-sizing: border-box;">"Ces sanctions consistent en un gel des avoirs et une interdiction de visa pour l'Union européenne visant 14 personnes. Elles ont été adoptées le 12 décembre 2016 et le 29 mai 2017 en réponse aux entraves au processus électoral en RDC et aux violations des droits de l'homme qui y étaient liées", </em>expliquait le Conseil des ministres de l'UE dans un communiqué publié le 10 décembre.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px; margin-bottom: 10px;">
L’Union européenne avait le 14 décembre une fois de plus, appelé à un processus électoral apaisé en RDC. Dans une autre déclaration, l’organisation européenne avait souligné particulièrement la responsabilité de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Montserrat; font-size: 18px;">
<em style="box-sizing: border-box;">« Il est essentiel que tous les acteurs congolais participent de manière pacifique et constructive au processus électoral, dans le plein respect des libertés fondamentales. Dans ce cadre, la Commission Electorale Nationale Indépendante porte une responsabilité particulière dans la gestion transparente et efficace de prochaines étapes »,</em> avait déclaré Maja Kocijancic, porte-parole de l'Union européenne sur le processus électoral en République Démocratique du Congo.</div>

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