Bemba, Luanda & enjeux 2018 : une épée de Damoclès sur Kabila ?

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0v14CZe8ajFKyO_NK0M1wuC_AMEsNcUBxRCM7eAnNicwyPyrK22aXRrURu043Q4IdrbWO9Aftp_J3ok4cMxH_FzyZ_2M_JaW5QXhClYl6YbgnbhF_cBT6uHAStd4GpUqKEYywSFOUtdI/s1600/Snapshot_6857.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="509" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0v14CZe8ajFKyO_NK0M1wuC_AMEsNcUBxRCM7eAnNicwyPyrK22aXRrURu043Q4IdrbWO9Aftp_J3ok4cMxH_FzyZ_2M_JaW5QXhClYl6YbgnbhF_cBT6uHAStd4GpUqKEYywSFOUtdI/s400/Snapshot_6857.jpg" width="400" /></a></div> <br /><br />D’après la légende grecque qui relaie le soubassement de cette expression ‘’Epée de Damoclès ‘’, le précité était un courtisan du roi Denys l’Ancien, qu’il flattait souvent à propos de ses richesses et du bonheur attaché à sa condition de majesté. <div> <br /></div> <div> Pour faire comprendre à Damoclès combien ce bonheur était précaire, le roi l’invita un jour à un banquet où il jouissait l’ombre de ce jour festif des honneurs dus au roi. Damoclès attablé et plus qu’heureux va, dans ce moment de grande joie, découvrir qu’une épée est suspendue au-dessus de sa tête maintenue par un simple crin de cheval. Donc, qu’elle pouvait tomber sur lui à n’importe quel instant alors qu’il jouissait du bonheur presqu’absolu. Voilà, culture oblige, l’explication trait-à-trait de cette formule qui décrit une situation périlleuse ou évoque des circonstances particulièrement risquées.<br /><br />Bien loin des contrées de la Grèce où elle a trouvé ses origines, l’expression est dans des langues à Kinshasa sur la situation découlant des analyses du jeu politique et diplomatique autour des élections à venir et la problématique d’un troisième mandat pour le Président de la République. </div> <div> <br /></div> <div> <br /></div> <div> L’acquittement de Bemba dix ans après son arrestation et la possible libération actée par un verdict ce mardi 12 juin tombant dans une période d’incertitudes et des bras de fer au Congo-Kinshasa, poussent certains à croire qu’à l’aube de la très attendue réunion de Luanda ce 17 mai, les lobbys nationaux et internationaux anti-3ème mandat pour Joseph Kabila jouent la carte de l’épouvante contre le Pouvoir. </div> <div> <br /></div> <div> <br /></div> <div> Ce, avec cette affaire d’une menace d’intervention musclée sur la RDC au cas où le Président Kabila aurait à déposer sa candidature en juillet. Une option bénite, d’ailleurs, par Paris via Macron visiblement par Washington via Herman Cohen et acquiescée, du reste, par Kigali par le biais de Kagame puis portée à bras le corps par l’Angolais Lourenço chez qui la décisive rencontre des Chefs d’Etat de la Région est censée se tenir mi-juin. Après les sons de cloches de la Haye sur Bemba, les oreilles autant que les regards sont rivés vers Luanda pour essayer de rassembler les cartes et prédire, en dernier lieu, la suite des choses au pays. Tout cela, en attendant la venue d’Antonio Guterres en juillet 2018 avant le dépôt officiel des candidatures pour la présidentielle de décembre. Entre-temps, après les retombées de Luanda, il faudra aussi scruter les dessous des actions de Bemba après la CPI et le climat politique global à l’intérieur du pays. Si oui, Kinshasa semble être sous pression diplomatique à l’extérieur notamment par les voisins et sous pression politique à l’intérieur par l’Opposition, le CLC, l’Eglise Catholique, et les autres forces vives, il ne reste pas moins que même avec cette ‘’épée de Damoclès’’ sur la tête, le régime pourrait avoir quelques coups divins sous la manche à jouer sur l’échiquier politico-diplomatique. A tout dire, seul le temps saura dire le mot de cette passe d’armes où tous les coups sont permis.<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #8f8f8f; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;"> <strong style="box-sizing: border-box;">Danny Ngubaa</strong></div> </div>

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D’après la légende grecque qui relaie le soubassement de cette expression ‘’Epée de Damoclès ‘’, le précité était un courtisan du roi Deny...

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EMISSION KIOSQUE DU 11 JUIN 2018 : KABILA ENVISAGE BLOQUER LE RETOUR DE JEAN PIERRE BEMBA

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Masolo ma bonkutu : Eglise , coutume na LIBALA , ndenge nini ko sepelisa partenaire (vidéo)

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VIDEO TESTAMENT : Qui succédera au couple Olangi ? LE COUPLE OLANGI RÉPOND ( VIDEO )

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NICE PRESSE DU 11 JUIN 2018 : BEMBA SERA LIBRE LE 12 JUIN 2018, LA FIN DE KABILA SE DESSINE (VIDÉO)

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Lugi Gizenga de nouveau secrétaire permanent du Palu, 4ème changement en 3 mois

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhITPCU02ECjD2tK3e9yAmKTzTeNcA82PNxnigvimxxIuwBkGXVfht_1zIALgVb5qHZ6yW31-SEVbK_oKf8OG6h7fK0xJatX9uzn4O5yPqPXsxLl2Gj-XBDFXOrSZQYvFbGe-LnLDKN4lk/s1600/Snapshot_6856.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="372" data-original-width="494" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhITPCU02ECjD2tK3e9yAmKTzTeNcA82PNxnigvimxxIuwBkGXVfht_1zIALgVb5qHZ6yW31-SEVbK_oKf8OG6h7fK0xJatX9uzn4O5yPqPXsxLl2Gj-XBDFXOrSZQYvFbGe-LnLDKN4lk/s400/Snapshot_6856.jpg" width="400" /></a></div> <br /><br />A quelques jours du dépôt des candidatures à la députation provinciale, la tension monte au sein des partis et regroupements politiques .<div> <br /></div> <div> <br /><br />Chaque famille politique se met en ordre de bataille. Au Parti Lumumbiste Unifié “PALU”, l’on n’est pas en reste .<br /><br /><br /><br /><br />Le secrétaire général du parti, le patriarche Antoine Gizenga, a procédé à des nouvelles nominations dimanche 10 juin dernier.<br /><br /><br /><br /><br />Sans surprise, c’est Lugi Gizenga qui a une fois de plus bénéficié de la confiance du patriarche Gizenga. Il est nommé secrétaire permanent et porte-parole du PALU.<br /><br /><br /><br /><br />Autre retour au sein de l’équipe dirigeante du Parti Lumumbiste Unifié, c’est celui de Godefroid Mayobo, nommé 1er secrétaire permanent adjoint du parti.<br /><br /><br /><br /><br />Parmi les autres nominations importantes, il y a notamment l’entrée de Célestin Ngoma dans l’équipe dirigeante du Palu, jusque-là coordonnateur national de la jeunesse.<br /><br /><br /><br /><br />C. Ngoma devient désormais permanent adjoint en charge de la jeunesse du parti cher à Antoine Gizenga.<br /><br /><br /><br /><br />Rappelons par ailleurs qu’en l’espace de 3 mois, le PALU aura donc connu 4 changements majeurs au sein de la permanence du parti. Notamment :<br /><br />Wolf Kimasa et Sylvain Ngabu.<br /> <b>Jephté Kitsita</b></div>

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A quelques jours du dépôt des candidatures à la députation provinciale, la tension monte au sein des partis et regroupements politiques . ...

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Coup de tonnerre ! Bismack Biyombo rejette les Léopards/Baskett-ball. Toute la vérité sur ce dossier

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVgqTkJ75thfTs9no_KAsWEYtVHs1-_hKEhSbRsLaCEL2gO6EQtpJDkREXOUOLAMDYpmTqB6iMepl-GLtEGoTmsAhkw_pOwhIBT1OQeyTLZLYHdba69TQr-cgdfFfPSJgzKwBNbheOrjA/s1600/Snapshot_1542.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="412" data-original-width="606" height="271" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVgqTkJ75thfTs9no_KAsWEYtVHs1-_hKEhSbRsLaCEL2gO6EQtpJDkREXOUOLAMDYpmTqB6iMepl-GLtEGoTmsAhkw_pOwhIBT1OQeyTLZLYHdba69TQr-cgdfFfPSJgzKwBNbheOrjA/s400/Snapshot_1542.jpg" width="400" /></a>Alors qu’il avait annoncé le vendredi 08 juin 2018, au cours d’une conférence de presse à Kinshasa/Gombe, qu’il va participer aux éliminatoires du mondial Chine 2019, Bismack Biyombo s’est aujourd’hui retracté ! Il a décidé de ne plus rejoindre la sélection nationale pour sa préparation à cette compétition internationale, alors que 48 heures plutôt il promettait d’aller en stage à Tunis avec tous ces coéquipiers de l’équipe nationale.<br /> <br /> Selon le manager de l’équipe nationale baskett-ball, Joe Nkoi Lolonga, « le pivot congolais de Magic d’Orlando, à la NBA aux États-Unis, ne veut pas jouer sous le coaching de l’actuel entraîneur Douaglin de l’équipe nationale, nommé il y a moins d’un mois.<br /> <br /> Cependant, explique-t-il, ce professionnel veut imposer un entraîneur portugais de la NBA, Dalsiva. » La fédération voulait quand même associer les deux coaches ( Douaglin et Dalsiva), mais le camp Bismack ne veut même pas de ça. Il veut que l’entraîneur portugais soit nommé avant que le basketteur ne puisse jouer… », a-t-il expliqué.<br /> <br /> Bismack Biyombo Sumba<br /> <br /> <br /> De l’autre côté, contacté au téléphone par le Desk Sport de TIMES.CD, l’un des proches de Bismack nie cette version du manager de l’équipe nationale et parle surtout de la non application des principes convenus entre les deux camps.<br /> « Ce problème n’a rien avoir avec l’entraîneur », a-t-lâché, avant d’ajouter que c’est un problème d’accord des principes dès le départ.<br /> <br /> Et de rencherir : « Avant que Bismack puisse se déplacer pour Kinshasa, il s’était entendu avec la fédération. Mais arrivé ici, il se rend compte que rien n’a été mis en place. Ça n’a rien n’à avoir avec le problème du coach et rien avoir aussi avec la TMB qui est le sponsor de Bismack. Au contraire, Bismack a sollicité l’apport de son sponsor pour aider la sélection. La sélection a toujours besoin des moyens pour que les joueurs soient rémunérer comme il se doit. Pour le sponsor, il y a pas un problème. »<br /> <br /> Lors d’un point de presse de Bismack Biyombo le 08 juin 2018<br /> <br /> <br /> Le point de presse précipité de Bismack<br /> Si les accords convenus n’ont pas été respectés, pourquoi avait-il précipité d’animer ce point de presse le vendredi 08 juin dernier, en annonçant même sa présence à l’équipe nationale ? Le camp Bismack repond clairement :<br /> <br /> « La frustration est à ce niveau justement. Il a fait le point de presse parce qu’il y avait de la confiance. Mais après cette rencontre, il y a eu une petite réunion de dernière minute. C’est alors qu’on s’est rendu compte que ce n’était pas la vérité. C’est juste un problème de respect des uns envers les autres, ainsi que des accords. On ne peut pas se comporter comme des sauvages. On veut essayer de mettre quelque chose de très bien avec une personne qui a un niveau actuellement le plus haut placé au baskett. Bismack est notre équivalent de Cristiano Ronaldo… Même le dossier du capitanat, rien n’a été mise en place ».<br /> <br /> Et d’ajouter : « On a pas un problème avec la fédération. On essaie juste de mettre les choses au clair. Qu’il respecte l’accord et c’est tout. »<br /> <br /> Bismack Biyombo ne ferme pas la porte<br /> <br /> Toujours présent à Kinshasa, Biyombo ne ferme pas pourtant sa porte à l’équipe nationale, selon son proche.<br /> <br /> « Si le problème est réglé, il peut toujours rejoindre l’équipe nationale. La preuve: il est encore à Kinshasa et attend juste que soit respecté tout ce qui lui avait été dit. Et il faut savoir que Bismack fait déjà beaucoup d’ actions pour son pays sans qu’il demande quelque chose en retour. Il construit des écoles, il vient de construire le premier gymnase du Congo à Goma. Il a une philosophie à lui, il veut développer l’intérieur du pays et on sera motivé à Kinshasa. »<br /> <br /> Le coach portugais Dasilva était une priorité pour Bismack<br /> <br /> Selon le camp Biyombo, le sélectionneur portugais était l’une de ses priorités.<br /> <br /> « Bismack n’est pas là seulement pour jouer les éliminatoires, il est là pour créer une bonne ossature. Toutes les grandes nations comme l’Angola joue avec la même équipe ça fait plus de 10 ans avec le même staff. L’apport de Bismack est simple, il est professionnel et veut juste que l’équipe nationale soit professionnelle. Qu’on parle du baskett, comme on parle du football. Même pour la FIFA c’est un gros apport d’avoir un jouer de la NBA comme Bismack au fenêtre des éliminatoires. Il pouvait déjà participer à la préparation avec les amis en Tunis, mais on craint qu’après toutes ces assurances données que rien ne soit fait.<br /> C’est devenu un problème de confiance. Malheureusement ce n’est pas la faute de Bismack. Personne au monde dira Bismack vient de détruire quoi que ce soit. Il va apporter son savoir et en gros, parce qu’il est encore jeune, et a également 10 ans de carrière à la NBA devant lui. Si déjà aujourd’hui on n’arrive pas à se mettre d’accord sur de petites choses, comment ça sera pour les grandes choses? Si la fédération respecte les accords, même si on ne se qualifie pas, Bismack est prêt à accepter toute les responsabilités. Il s’est dit qu’il va prendre tous les risques possibles pour qualifier sa nation. Il aime son pays. Il a un plan et il connaît bien le plan. Un plan qu’il n’a pas élaboré tout seul. Il en a fait aussi part à la fédération. Ils étaient tous d’accord sur le plan. Il est le pilier pour l’équipe nationale, il n’a jamais troublé le morale des autres. Il ne faut pas le voir comme un échec, il faut le voir comme un apport, un gros apport sur le long terme. Même par son statut et son poste, c’est celui qui défend la maison. C’est un pivot, tout tourne autour de lui. », termine-t-il<br /> <br /> Pour rappel, l’équipe nationale de baskett-ball séjourne à Tunis sur invitation de la Fédération tunisienne de basketball pour préparer le deuxième tour des éliminatoires mondiale Chine 2019 qui va se jouer en juillet au Caire en Égypte. La phase aller de ces éliminatoires s’est déroulée en 2017 en Angola. Les Léopards de la RDC avaient perdu toutes ses trois rencontres.<br /> <br /> Jolga Luvundisakio/TIMES.CD

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Eddyngwe : Maman Olangi alukaki nga Na selemani avant abanda église na ye , to yebi nini to pesaka ye , Nzambe azo beta bango fimbu ! (vidéo)

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FORUM DES MEDIAS : JB BEMBA ACQUITTE , LES CONGOLAIS ENVISAGENT DE SE RETIRER DE LA CPI (VIDÉO)

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LE RETOUR IMMINENT DE JEAN PIERRE BEMBA : PAULETTE KIMUNTU RECOIT ENERSTINE NYOKA (VIDÉO)

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Meeting de l’Ensemble à N’Djili : Moïse Katumbi, retour imminent au pays

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeeNNp9Pg2aYcQ0UlBJTSQsn3ZMAXAuVaoA3sZfzBPZestohxlOHkOnmyayWY7X3-lud5rLKku-3FbuSDrtYzoSrukF2lyftbrooleEIt_EsuL9waY5SIGCiAAmhr4WmkLxr5jkAVxhHk/s1600/Snapshot_1537.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="417" data-original-width="743" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeeNNp9Pg2aYcQ0UlBJTSQsn3ZMAXAuVaoA3sZfzBPZestohxlOHkOnmyayWY7X3-lud5rLKku-3FbuSDrtYzoSrukF2lyftbrooleEIt_EsuL9waY5SIGCiAAmhr4WmkLxr5jkAVxhHk/s400/Snapshot_1537.jpg" width="400" /></a>Des milliers de Kinoises et Kinois se sont déplacés le samedi 09 juin 2018 à la place Sainte Thérèse, dans la commune de N’Djili, pour le meeting de l’Ensemble. Alors qu’ils attendaient des messages de Delly Sesanga, Secrétaire général, Pierre Lumbi, vice-président, Jean-Bertrand Ewanga, modérateur du jour, ou Gabriel Kyungu, venu expressément de Lubumbashi pour cette première sortie publique de leur plate-forme, ils étaient surpris d’être conviés, grâce à la magie de la technologie, à suivre en live, par vidéo- conférence, celui de Moise Katumbi en personne.<br /> <br /> Le candidat de l’Ensemble à l’élection présidentielle du 23 décembre<br /> 2018 est apparu, comme dans un film, sur un écran géant installé à la<br /> place Sainte Thérèse, pour communier avec une foule de plus de 30.000<br /> personnes mobilisées pour le meeting, lesquelles ne cessaient de lui<br /> répondre par des ovations assourdissantes. Cette forte mobilisation<br /> populaire n’a connu aucun incident, grâce à la fois à la vigilance du<br /> cordon de sécurité mis en place par les organisateurs contre tout<br /> fauteur de trouble ou infiltré, mais aussi au professionnalisme de la<br /> police nationale congolaise, sans oublier l’accompagnement remarquable<br /> de la Monusco.<br /> Dans son message en lingala – autre surprise du jour- une façon pour<br /> le patron du Tout Puissant Mazembe de démontrer qu’il est un Congolais<br /> de souche, contrairement aux élucubrations de méchantes langues, qui<br /> s’évertuent à lui imputer la double nationalité pour l’éliminer de la<br /> course à la présidentielle, il s’est voulu solidaire des souffrances<br /> du Congolais moyen.<br /> En effet, dans son intervention, Moise Katumbi a commencé par rendre<br /> hommage à la population qui a bravé un soleil de plomb et abandonné<br /> ses occupations habituelles pour se mettre à la disposition de sa<br /> plate-forme électorale.<br /> Il a, dans son message d’environ 8 minutes, martelé que tous les<br /> Congolais et Congolaises devraient se lever, tel un seul homme, pour<br /> barrer la route à un troisième mandat illégal de Joseph Kabila, qu’il<br /> a qualifié de « troisième faux penalty ».<br /> Dans la foulée, il a annoncé son retour imminent au pays pour venir<br /> déposer, en personne, sa candidature afin de participer à l’élection<br /> présidentielle du 23 décembre 2018, sans la machine à voter. Dans le<br /> même registre, il a réaffirmé son refus de tout report des élections.<br /> Séance tenante, les 30.000 participants au meeting ont exigé, au nom<br /> de plus de dix millions de Kinoises et Kinois, que l’avion qui devrait<br /> le ramener au pays puisse atterrir à l’aéroport international de<br /> N’Djili. On ose croire que les leaders de l’Ensemble présents sur le<br /> lieu ont pris acte de la requête de la « base ».<br /> L’ex-gouverneur de l’ancienne province du Katanga a réaffirmé sa<br /> volonté de travailler pour une candidature commune de l’opposition en<br /> vue de permettre à celle-ci de gagner la bataille de l’alternance au<br /> sommet de l’Etat à l’horizon 2018.<br /> A ce sujet, il a fait savoir qu’il est en pourparlers avec plusieurs<br /> leaders de l’Opposition, dont Félix Tshisekedi, Jean-Pierre Bemba,<br /> Vital Kamerhe… pour l’harmonisation des idées et des ambitions<br /> politiques.<br /> Tout en saluant l’acquittement du président du MLC, Jean-Pierre Bemba,<br /> par la Cour Pénale Internationale, le candidat de l’Ensemble à<br /> l’élection présidentielle a exigé la libération des prisonniers<br /> politiques, notamment Jean-Claude Muyambo, Franck Diongo, Diomi<br /> Ndongala, Gérard Mulumba …<br /> Moise Katumbi a, par ailleurs, déploré la détérioration de la<br /> situation sociale de l’écrasante majorité de la population, laquelle<br /> se caractérise par un faible taux de desserte en eau potable et<br /> électricité, la modicité des salaires des fonctionnaires, militaires,<br /> policiers, médecins, professeurs d’universités, enseignants du<br /> primaire et du secondaire, le chômage des millions de jeunes et<br /> adultes, etc.<br /> Pour y remédier, il a sollicité les suffrages des Kinoises et Kinois<br /> pour l’élection présidentielle du 23 décembre 2018, de façon qu’une<br /> fois au pouvoir, il mette en application un programme quinquennal fort<br /> ambitieux, basé sur un budget de 100 milliards de dollars américains<br /> destiné à éradiquer la pauvreté, à créer plus de 300.000 emplois, à<br /> financer la construction d’écoles et hôpitaux,<br /> Son objectif, a-t-il fait savoir, est de réaliser le miracle<br /> économique à l’échelon national, comme il l’avait fait au Katanga.<br /> Moise Katumbi a également fait part, aux cadres et militants de<br /> l’Ensemble, des victoires diplomatiques remportées lors des tournées<br /> en Europe, en Amérique ou en Afrique, tantôt seul, tantôt en synergie<br /> avec d’autres compagnons de lutte au sein de l’opposition.<br /> A la fin du message de Moise Katumbi, le modérateur du jour, Jean<br /> Bertrand Ewanga, a simplement invité la population à regagner<br /> calmement ses quartiers de résidence. Quant au Secrétaire Général de<br /> l’Ensemble, Delly Sesanga, il a révélé que le message de leur candidat<br /> allait être vulgarisé d’ici peu à travers les différentes bases des<br /> partis politiques et associations de l’Ensemble, à Kinshasa comme en<br /> provinces. Une tournée provinciale est d’ailleurs annoncée pour très<br /> bientôt.<br /> On a noté la présence de plusieurs leaders de l’Ensemble sur le<br /> podium érigé à la place Sainte Thérèse, notamment Pierre Lumbi,<br /> Christoph Lutundula, Jean-Claude Vuemba, Jean- Bertrand Ewanga, Moise<br /> Moni Della … accompagnés de leurs militants mobilisés pour la<br /> circonstance.<br /> On signale que le secrétaire général de l’Ensemble, Delly Sesanga,<br /> avait improvisé une caravane motorisée à partir de sa résidence de<br /> Macampagne jusqu’à la place Sainte Thérèse, en passant par le siège de<br /> son parti, sur l’avenue de l’Enseignement, dans la commune de<br /> Kasa-Vubu.<br /> ERIC WEMBA

Politique Meeting de l’Ensemble à N’Djili : Moïse Katumbi, retour imminent au pays

Des milliers de Kinoises et Kinois se sont déplacés le samedi 09 juin 2018 à la place Sainte Thérèse, dans la commune de N’Djili, pour le me...

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La CPI hypothèque sa crédibilité

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Mais le verdict du vendredi 08 juin a fortement entamé la crédibilité de la Cour Pénale Internationale.<br /> <br /> Peu des gens et particulièrement les africains ne lui prêtaient plus la moindre confiance car cette cour s’est acharnée sur des africains avec une ferveur sans pareil. Depuis sa création, la Cour Pénale ne s’est occupée que des Africains et spécialement des Congolais. En tout<br /> et pour tout cinq compatriotes ont été pratiquement enlevés sans ménagement ni la moindre considération et cosdnamnés lourdement pour 4 d’entre eux.<br /> <br /> Mauvais signal<br /> <br /> D’aucuns pensent qu’au lieu de laisser moisir JP Bemba en prison, il<br /> aurait été plus juste de le fixer rapidement sur son sort ou de lui<br /> accorder la liberté provisoire, telle que sollicitée plusieurs fois<br /> par la défense. Le constat d’un dossier mal ficelé pousse à croire que<br /> le Procureur Moreno était, soit instrumentalisé, soit « corrompu » par<br /> une main noire. Dans un sens, cadres et militants du MLC n’avaient pas<br /> tort de décrier un procès politisé.<br /> En tous les cas, le revirement spectaculaire que vient de connaître<br /> l’affaire Bemba vient de semer le doute dans de nombreux esprits au<br /> sujet des investigations du Procureur Moreno Ocampo comme de celles de<br /> celle qui lui a succédé au poste, Bensouda.<br /> Beaucoup de Congolais et Africains ont désormais toutes les raisons<br /> de douter de l’indépendance et de l’impartialité des magistrats du<br /> parquet comme du siège de la CPI. Du coup, il y a à se demander si<br /> les arrêts rendus contre Germain Katanga, Thomas Lubanga, Matthieu<br /> Ngudjolo étaient assis sur des faits irréfutables. Il reste à savoir<br /> si le Général Bosco Ntaganda, dont le dossier relatif aux crimes de<br /> guerre et crimes contre l’humanité commis en RDC y est pendant<br /> connaîtra un verdict sans reproche.<br /> Au regard du feuilleton de Jean-Pierre Bemba, on est en droit de<br /> s’interroger sur l’impunité des commanditaires et auteurs des<br /> massacres, viols, tortures, et autres épurations ethniques au<br /> Nord-Kivu, en Ituri, au Sud-Kivu, au Nord-Katanga et dans le Grand<br /> Kasaï. En s’illustrant par une justice qui a tout l’air d’être<br /> sélective, la CPI laisse la triste image d’une juridiction qui agirait<br /> sur ordre. De qui ? Les Occidentaux sont pointés du doigt.<br /> <br /> Arrestations illégales et irrégulières<br /> En 2008, en exil en Belgique, Jean-Pierre Bemba fut cueilli vers 21<br /> heures en son domicile situé au quartier huppé de Rhode-Saint-Genèse<br /> avant d’être menotté et conduit brutalement dans une fourgonnette de<br /> la Police Belge pour la prison de Scheveningen, aux Pays-Bas. Le<br /> mandat d’arrêt émis par la Procureur Ocampo Moreno n’était pas<br /> accompagné d’un dossier judiciaire documenté par des preuves de<br /> culpabilité. Il va ainsi passer presque douze mois dans cet état sans<br /> que le Procureur n’ait pu requalifier les faits comme prévu par la<br /> Charte de Rome en ce qui concerne les accusations de crimes de guerre<br /> ou contre l’humanité, viols et autres crimes lui reprochés sur papier,<br /> sans aucune preuve palpable.<br /> Des audiences publiques lugubres et ennuyeuses<br /> L’opinion a assisté à des audiences publiques ennuyeuses et monotones<br /> au cours desquelles l’accusation n’avait apporté aucune preuve<br /> palpable au regard de la Charte de Rome créant cette juridiction<br /> judiciaire internationale. Bien au contraire, que des fois les avocats<br /> de la défense n’ont-ils pas humilié le Procureur Occampo Moreno en<br /> balayant du revers de la main les différentes accusations qu’il<br /> prononçait à charge de l’infortuné !<br /> <br /> J.P Bemba n’a jamais mis ses pieds à Bangui<br /> Le tout premier élément qui a surpris l’opinion, c’est le fait que<br /> durant tout ce procès, l’accusation n’a jamais apporté des preuves<br /> attestant une quelconque présence de l’infortuné sur le territoire<br /> centrafricain. Il en est de même du gouvernement centrafricain et de<br /> la Fédération Internationale des Droits de l’Homme qui s’étaient<br /> présentés comme parties civiles, en saisissant la Cour Pénale<br /> Internationale.<br /> <br /> Experts militaires<br /> ridiculisent la CPI<br /> Au cours des audiences publiques, tous les experts militaires<br /> provenant des Etats européens commis pour éclairer la religion de la<br /> Cour avaient démontré, preuves à l’appui, que l’on ne peut pas diriger<br /> les opérations militaires pendant une guerre à partir de 8.000 kms du<br /> front. Il étairt, du reste, prouvé que J.P.Bemba se trouvait à la tête<br /> de la délégation de son mouvement politico-militaire le MLC aux<br /> négociations politiques inter congolaises de Sun City en Afrique du<br /> Sud.<br /> <br /> Eléments du MLC sans armes au beach de Bangui<br /> Il a été établi aussi que les éléments du MLC avaient été accueillis<br /> au beach de Bangui par l’Etat-Major composé des militaires de l’armée<br /> régulière centrafricaine. C’est là qu’ils avaient été équipés en armes<br /> et habillés en tenues de l’armée régulière centrafricaine.<br /> Et c’est le même Etat-Major centrafricain qui allait diriger les<br /> opérations de ratissage de la ville de Bangui et ses environs pour<br /> déloger des éléments rebelles du général François Bozize. L’actuel<br /> général de Brigade Mustafa Munia commandait les éléments du MLC en<br /> compagnie des officiers supérieurs centrafricains qui connaissent bien<br /> le terrain et les différentes localités occupées par les rebelles de<br /> François Bozize, qui bénéficiait des appuis militaires de l’armée<br /> tchadienne.<br /> <br /> Ange-Félix Patassé jamais entendu par la CPI<br /> <br /> Le plus étonnant et révoltant, c’est le fait que le chef de l’Etat<br /> centrafricain de l’époque, à savoir Ange-Félix Patassé, et aucun<br /> officier supérieur centrafricain n’avaient jamais été convoqués, ni<br /> comme témoins ni comme renseignant, par la Cour et encore moins par le<br /> Procureur Occampo Moreno. Et cela pendant tout le procès qui avait<br /> duré sept ans.<br /> <br /> Les lettres de Bemba à Bangui, ONU, Union Africaine et Union européenne<br /> <br /> Lorsque Jean-Pierre Bemba avait eu vent des exactions attribuées aux<br /> éléments du MLC durant les opérations militaires de ratissage à Bangui<br /> et ses environs, il avait expédié des lettres au gouvernement<br /> centrafricain, avec copies pour information à l’Union Africaine, Union<br /> Européenne, l’ONU et certaines ONG de défense des droits de l’homme<br /> pour demander à la justice militaire de l’Etat centrafricain de<br /> sanctionner avec sévérité ce genre d’actes. Plus tard, de retour à<br /> Gemena, il avait institué une cour martiale pour juger certains de ses<br /> hommes reconnus coupables de ces crimes. La presse congolaise avait<br /> été conviée à couvrir ce procès. On rappelle à ce sujet qu’un avion de<br /> la MONUSCO mis à la disposition des journalistes kinois avait été<br /> empêché de décoller de l’aéroport international de Ndjili. Ceux de nos<br /> confrères qui avaient pu atteindre Gemena à bord d’un autre avion de<br /> la MONUSCO avaient été entendus sur procès-verbaux par les «services»<br /> dès leur retour à Kinshasa.<br /> <br /> Jurisprudence Mathieu Ngudjolo<br /> Le chef d’une milice de l’Ituni, en la personne de Mathieu Ngudjolo,<br /> et expédié à La Haye pour des accusations à charge de ses éléments<br /> d’avoir commis des crimes de guerre et contre l’humanité dans le<br /> territoire de l’Ituri. Il passa à cinq ans à la prison de<br /> Scheveningen, jusqu’au jour où les différents témoignages confirmèrent<br /> que lors des massacres commis sur des populations civiles dans la<br /> localité de Bogoro, en sa qualité d’infirmier, il était en train de<br /> travailler dans un hôpital au niveau de la salle d’accouchements. La<br /> Cour Pénale Internationale l’acquitta et il retourna au Congo. C’est<br /> grâce à cette jurisprudence de la CPI et aux autres éléments que<br /> vendredi dernier la chambre d’appel a fini par acquitter purement et<br /> simplement le leader du MLC.<br /> Une autre jurisprudence internationale qui a été prise en compte par<br /> les juges de la chambre d’Appel concerne le cas d’un grand général de<br /> l’armée de la République de Croatie. Ce dernier avait été accusé<br /> d’avoir été mêlé à des crimes de guerre et crimes contre l’humanité<br /> pendant la grande guerre civile dans l’ex-Yougoslavie. Dès lors que<br /> des témoignages concordants avaient démontré qu’il n’avait jamais été<br /> sur les champs des batailles, la Cour Pénale Internationale sur la<br /> Yougoslavie l’avait purement et simplement acquitté.<br /> F.M.

Justice La CPI hypothèque sa crédibilité

Quelle que soit la longueur de la nuit, le jour finit par apparaitre ! L’acquittement de Jean-Pierre Bemba constitue l’évènement de cette an...

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Dr. Mukwege: L’acquittement de Jean-Pierre Bemba signifie que les auteurs des crimes pour lesquels il a été détenu courent toujours

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Politique Société Dr. Mukwege: L’acquittement de Jean-Pierre Bemba signifie que les auteurs des crimes pour lesquels il a été détenu courent toujours

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Après le meeting de Kinshasa, D. Sesanga annonce une tournée de Ensemble dans les provinces

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNZ5jfbDpRH6lbSjISWXzY_9sBoWPzZ2o0Fxxo4dup-58AYpZnZ2L_A7GzGy6xAHWBGqUOlFaqO77iulDM-TYwP3aQu76JqUC2L-7z8THynVwlrB8J4f_n6-jbBuSwdMcphllNnhipT18/s1600/Snapshot_1532.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="325" data-original-width="645" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNZ5jfbDpRH6lbSjISWXzY_9sBoWPzZ2o0Fxxo4dup-58AYpZnZ2L_A7GzGy6xAHWBGqUOlFaqO77iulDM-TYwP3aQu76JqUC2L-7z8THynVwlrB8J4f_n6-jbBuSwdMcphllNnhipT18/s400/Snapshot_1532.jpg" width="400" /></a>Pas un sans deux, dit-on !<br /> Après Kinshasa où Ensemble a organisé son premier grand meeting le samedi 9 juin, Delly Sesanga annonce une tournée dans toutes les provinces de la plateforme de soutien à la candidature à la présidentielle de Moïse Katumbi Chapwe.<br /> <br /> Le secrétaire général de Ensemble invite à cet effet les autorités provinciales et municipales à observer et à garantir les libertés de réunion et de manifestation publique pour tous les camps politiques conformément à la constitution.<br /> <br /> S’agissant du meeting du 9 juin dernier, le Sg de Ensemble félicite et remercie l’AMK, l’AR et le G7 ainsi que leurs partis politiques, les mouvements katumbistes et associations membres, pour leur implication dans la réussite de leur meeting de la place Sainte Thérèse, peut-on lire dans un communiqué de presse parvenu à 7SUR7.CD.<br /> <br /> Sesanga a en outre salué l’attitude républicaine, dit-il, des forces de l’ordre.<br /> <br /> Il a également jeté des fleurs au comité d’organisation de leur meeting pour la bonne gestion des préparatifs et la conduite de leur manifestation, qui s’est déroulée dans le calme, l’ordre et la discipline de la population, a-t-il martelé.<br /> <br /> Jephté Kitsita<br /> <br />

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Pas un sans deux, dit-on ! Après Kinshasa où Ensemble a organisé son premier grand meeting le samedi 9 juin, Delly Sesanga annonce une tour...

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Boma-Meeting de l’UDPS Kibassa : « Tshibala n’a aucun agrément de l’UDPS, donc l’UDPS n’est pas à la Majorité Présidentielle» ( A. Kibassa )

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcoBOWi3AQs9qxCpSPTJrJJuq9Od6lwHQMsH5DvuMYw-x3uDcP7FqDTtW9DVFXcazc1ZL3lbmd6TgKF-a_1F16C3A1fhCEzTM548z9csMztPpp-IFm1zAmFon-5xU-E4qHVodVoMV7eVA/s1600/Snapshot_1534.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="467" data-original-width="661" height="281" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcoBOWi3AQs9qxCpSPTJrJJuq9Od6lwHQMsH5DvuMYw-x3uDcP7FqDTtW9DVFXcazc1ZL3lbmd6TgKF-a_1F16C3A1fhCEzTM548z9csMztPpp-IFm1zAmFon-5xU-E4qHVodVoMV7eVA/s400/Snapshot_1534.jpg" width="400" /></a>En meeting populaire ce samedi à Boma dans le Kongo Central, le président de l’UDPS Kibassa a salué l’unité entre les deux légales UDPS. Cependant, il a expliqué que l’UDPS reste le parti au sein de l’opposition. Il a en outre annoncé la tenue du 23 au 24 Juillet 2018 du Conclave du Parti pour choisir le Candidat à la prochaine présidentielle.<br /> <br /> « Tshibala n’a aucun agrément de l’UDPS, donc l’UDPS n’est pas à la Majorité Présidentielle », a-t-il déclaré.<br /> <br /> Augustin Kibassa Maliba a aussi salué l’acquittement de Jean-Pierre Bemba arguant « qu’étant libre, Bemba Gombo va renforcer l’opposition ».<br /> <br /> Jeff Kaleb<br /> <br />

Politique Province Boma-Meeting de l’UDPS Kibassa : « Tshibala n’a aucun agrément de l’UDPS, donc l’UDPS n’est pas à la Majorité Présidentielle» ( A. Kibassa )

En meeting populaire ce samedi à Boma dans le Kongo Central, le président de l’UDPS Kibassa a salué l’unité entre les deux légales UDPS. Cep...

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Meeting Ensemble : JC Vuemba salue le ”triomphe” de Katumbi à Kinshasa

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiybRabDVUs2CWgACOo0NsoLuO6iIl1BI8sOQkwI8-wboB-CDzAqvr9_6B_CfZIGBNaA82fWtRC4uz0vQjAOmm7eUifcsBWvizQTTDQm70jYa3MQIW0HD7bEQzEbMDHACjx3jISkofLXBA/s1600/Snapshot_1533.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="385" data-original-width="660" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiybRabDVUs2CWgACOo0NsoLuO6iIl1BI8sOQkwI8-wboB-CDzAqvr9_6B_CfZIGBNaA82fWtRC4uz0vQjAOmm7eUifcsBWvizQTTDQm70jYa3MQIW0HD7bEQzEbMDHACjx3jISkofLXBA/s400/Snapshot_1533.jpg" width="400" /></a>Aussitôt le meeting terminé, le radical Jean Claude Vuemba a improvisé une marche à pieds s’offrant au passage un bain de foule de la place saint Thérèse au Boulevard Lumumba. Le président du Mpcr a salué le triomphe de Katumbi à Kinshasa. Avec un lingala parfait, Vuemba affirme que Katumbi a mieux expliqué à la population de la capitale, son schéma de rendre le pays plus prospère qu’avant.<br /> <br /> Pour lui, le mariage est réellement scellé entre le leader d’Ensemble et les Kinois. L’élu de Kasangulu se félicite que Moïse Katumbi ait expliqué points par points le projet de société ambitieux d’Ensemble pour développer le pays. Katumbi a parlé de 100 milliards de dollars en 5 ans et Vuemba croit dur comme fer que c’est possible.<br /> <br /> « 20 milliards de dollars par an, 100 milliards de dollars en 5 ans, c’est possible », souligne-t-il. Le président du MPCR assure que la lutte contre la corruption sera généralisée. Un des secteurs qui va renflouer les caisses de l’État.<br /> <br /> Même si le budget propre est de 5 milliards de dollars, Vuemba estime qu’il faudra ajouter les 15 milliards autres qui sont détournés chaque année comme l’avait dénoncé Luzolo Bambi, le conseiller spécial du président Kabila en matière de lutte contre la corruption. « Ces fonds seront canalisés vers le trésor public ».<br /> <br /> L’élu de Kasangulu rappelle qu’avec Katumbi, c’est un nouveau départ. Il va redonner l’espoir au peuple congolais. « Les agents et fonctionnares de l’État, policièrs et militaires, agents de renseignement seront payés à leur juste valeur », se vante Vuemba.<br /> <br /> Katumbi lui-même pense mieux faire que le président sortant. Et Vuemba de prévenir au regard de la forte mobilisation de ce samedi que le ton est donné pour le déracinement de la Kabilie.<br /> <br /> L’opposant tranche surtout au sujet de la justice à double vitesse. « Finis la politique de deux poids, deux mesures ». Avec la donne actuelle, Katumbi doit rentrer en homme libre. A cette même occasion, il a exprimé sa joie de voir Jean Bemba libre parce que, dit-il, poursuivi injustement comme Katumbi. Ainsi, il appelle le peuple congolais à redoubler de vigilance et participer activement à la réussite de l’alternance qui n’est que, selon lui, question de quelques mois.<br /> <br /> Alphonse Muderhwa<br /> <br />

Politique Meeting Ensemble : JC Vuemba salue le ”triomphe” de Katumbi à Kinshasa

Aussitôt le meeting terminé, le radical Jean Claude Vuemba a improvisé une marche à pieds s’offrant au passage un bain de foule de la place ...

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À l’opposition, débat de contenu

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOmwzxg32_jsjoPmFnfUqWzUU6-T8Kh1kTmRkJOQHbEo4BSfezFmGegwFbDxvxax3nY36_8wDr5OOSbdSHvIAASu0DKjTqqDp-BMwewYNxpQNlrdP_vEPobJqDBJqBF0Xhxmw0hKsVx90/s1600/Snapshot_1531.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="491" data-original-width="647" height="302" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOmwzxg32_jsjoPmFnfUqWzUU6-T8Kh1kTmRkJOQHbEo4BSfezFmGegwFbDxvxax3nY36_8wDr5OOSbdSHvIAASu0DKjTqqDp-BMwewYNxpQNlrdP_vEPobJqDBJqBF0Xhxmw0hKsVx90/s400/Snapshot_1531.jpg" width="400" /></a></div> C’est un tournant en contenu de débat au sein de l’opposition. La veille de l’annonce de la libération de Jean-Pierre Bemba Gombo, Martin Fayulu jette un pavé dans la marre. Invité de l’émission Mag de TV5 Afrique, il s’est lâché comme jamais sur ses collègues de l’opposition déclarés candidats Président de la République. Dans son objectif, deux noms: Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et le richissime ex-gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe. Alors que la journaliste l’interrogeait sur qui de Félix Tshisekedi et du richissime ex-gouverneur du Katanga, aurait les faveurs d’une primaire, Fayulu sursaute expliquant pourquoi elle n’a pas cité son nom. Réaction automatique de la journaliste: «Parce que vous n’êtes pas populaire». Fayulu invoque ses vingt ans de travail, rejette des choix opérés de l’étranger, les millionnaires du fait des vols perpétrés, fait valoir les critères de compétence technique, s’estime disposer de plus de compétence.<br /> T. MATOTU.

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C’est un tournant en contenu de débat au sein de l’opposition. La veille de l’annonce de la libération de Jean-Pierre Bemba Gombo, Martin ...

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Le témoin clé était l’ami de trente ans

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L’incroyable annonce faite jeudi 15 juillet de l’ordre donné par les juges de la CPI de libérer le seigneur de guerre de l’Ituri Thomas Lubanga a-t-elle un lien avec les récents développements sur les fronts diplomatiques et économiques de notre pays?<br /> En dépit de déclarations souvent convenues entendues dans les missions diplomatiques à Kinshasa, les Occidentaux ont encore á leur gosier l’épisode de contrats chinois outre les récentes affaires minières ou celles dans le secteur pétrolier. Cette annonce établit-elle un cas de jurisprudence?<br /> À Kinshasa, tout comme dans les milieux r-dcongolais à l’étranger, des partisans du MLC veulent toucher du bois et croire à la libération prochaine de leur leader...<br /> Il est vrai que jamais l’étoile du procureur argentin de la CPI, la Cour Pénale Internationale, n’avait aussi peu brillé. Dans les médias, les critiques font rage contre ses méthodes.<br /> Il n’y a pas que l’opinion publique qui s’émeut d’une juridiction qui avait soulevé tant d’espoirs, faire justice aux victimes. Les juges de la Chambre de Première Instance III (juge président Adrian Fulford, les juges Elizabeth Odio Benito et Joyce Aluoch) en sont á mener une guérilla ouverte contre Luis Moreno Ocampo.<br /> Que des crimes «les plus graves» se commettent en Afghanistan, en Irak, en Iran, etc., il n’y a que le Continent noir qui l’intéresse. Ici, il n’y a que le cœur du Continent, la R-dC, qui le captive.<br /> À ce jour, s’il y a du monde dans les geôles de La Haye, ils ont pour noms Thomas Lubanga, Germain Katanga, Mathieu Ngujolo, trois de l’Ituri. Et Jean-Pierre Bemba Gombo poursuivi pour des crimes commis en Centrafrique fin 2002 á début 2003 par ses troupes.<br /> Le procureur avait voulu améliorer son tableau de chasse en y ajoutant Jean-Bosco Ntaganda, le général qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, incorporé dans les forces régulières FARDC et que Kinshasa refuse de livrer, invoquant le besoin de paix dans le pays qui passe avant la nécessité de justice. L’ex-MONUC et une partie de l’opinion menée par des ONG de défense des droits de l’homme, n’ont pas compris.<br /> Jeudi 15 juillet, las du fait que le procureur ait refusé d’exécuter une ordonnance lui enjoignant de communiquer des éléments de l’accusation á la défense - ce qui prive l’accusé d’un procès équitable, la Chambre de Première Instance III a ordonné la mise en liberté de Lubanga. Le procureur a fait appel et Lubanga, détenu depuis quatre ans, reste en prison en attendant la fin de la procédure.<br /> En février 2010, la CPI avait refusé de confirmer les charges contre le Soudanais Bahar Idriss Abu Garda - qui était venu à La Haye plaider en homme libre en se présentant de son plein gré. Le juge n’avait relevé aucun indice, parmi ceux présentés par le procureur, susceptible de l’inculper.<br /> <br /> ABSENCE D’INDICES.<br /> Ocampo le citait comme responsable de l’attaque, en septembre 2007, d’un camp de soldats de maintien de la paix envoyés par l’UA, Union africaine, au Darfour.<br /> À Bruxelles, la Libre Belgique, proche de la pensée conservatrice, aligne les faits d’absence de sérieux dans les dossiers d’accusation du procureur.<br /> 1. Août 2009, la CPI décide la mise en liberté provisoire de Jean-Pierre Bemba réclamée par sa défense. Le bureau du procureur fait appel et obtient, en décembre 2009, le maintien en détention, arguant d’un «risque de fuite».<br /> 2. La CPI décide de ne pas entériner l’inculpation du président soudanais Omar El Bechir pour génocide en raison de l’absence d’indices sérieux de culpabilité. Février dernier, le procureur demande l’autorisation de présenter une nouvelle accusation. Il vient de lancer un nouveau mandat d’arrêt contre Béchir. Reste que l’Afrique tout entière - hormis le Botswana - a tourné le dos à ce mandat qui va poser problème à l’UE, Union européenne, qui se réunit fin novembre avec l’Union africaine, en Libye où Mouammar Kadhafi a fait venir son homologue soudanais.<br /> 3. En Ouganda, en 2005, la CPI a délivré des mandats d’arrêt contre cinq dirigeants de la LRA, la Lord’sResistanceArmy, qui commet des atrocités au nord du pays depuis les années 80, sur plainte de Kampala. Quand Kampala entre en n»gociation avec la LRA, le président YuweriKagutaMuseveni demande l’annulation des mandats réclamée par la LRA en promettant qu’elle serait jugée selon la «justice traditionnelle», soit la négociation de compensations matérielles. Refus du procureur. Aucun de ces mandats d’arrêt n’a été exécuté à ce jour et si la pression terroriste de la LRA a fortement diminué au nord de l’Ouganda, elle déstabilise l’Ituri, la Centrafrique et le Sud-Soudan. Entre-temps, deux des cinq accusés sont morts.<br /> 4. En Centrafrique, Jean-Pierre Bemba est poursuivi pour des crimes commis en Centrafrique par les troupes du MLC prêtées au président centrafricain Ange-Félix Patassé, alors menacé par le général Bozizé. Ce dernier s’est emparé du pouvoir, Patassé est allé en exil sans être poursuivi par la CPI, bien qu’il ait été le commandant suprême des troupes du MLC prêtées par Bemba. En octobre 2008, il a bénéficié d’une amnistie en Centrafrique, laquelle est refusée à Bemba... Tout cela est certes fort trouble et la thèse d’une justice à double vitesse est invoquée. La CPI n’est-elle pas aux ordres des Chancelleries?<br /> <br /> LE TOURNANT<br /> DE BANGUI.<br /> Mais voilà que début 2010 tout tourne quand la défense de Bemba trouve l’imparable parade: la politisation de l’affaire.<br /> Dans un document transmis au Soft International en exclusivité mondiale et publié par notre journal, ses avocats - l’avocat kinois de choc d’origine bandundu-kwiloiseNkwebeLiriss, l’associé, l’avocat du barreau bruxellois Aimé KiloloMusamba, d’origine katangaise - estiment que dans l’affaire Bemba, le procureur avait tout faux.<br /> Dans un exploit déposé le 25 février, ces avocats contestent le fond même de l’affaire, à savoir, la recevabilité de la cause de l’accusation, invoquent les principes de complémentarité et de «ne bis in idem».<br /> Oui, JPBG avait été acquitté par un juge centrafricain qui avait prononcé un non-lieu. Il n’aurait jamais dû être poursuivi par aucun autre juge, encore moins par la justice internationale qui n’est qu’une justice «complémentaire».<br /> Non, «l’absence du niveau de gravité requis» n’aurait jamais dû conduire l’ancien Vice-président de R-dC devant une cour internationale.<br /> Oui, il y a bien eu «abus de procédure» dans le chef du procureur.<br /> Oui - et pire -, il y a bien eu collusion - politique - entre le procureur, les «régimes éphémères» de Bangui et, écrivent-ils, de Kinshasa.<br /> Donc, des pressions «politiques» ont été exercées pour conduire le chef de l’opposition r-dcongolaise devant la justice internationale et il y a eu collaboration entre la RCA et la R-dC afin de mettre JPBG á l’écart et d’«éviter la perspective d’un futur défi électoral» en R-dC.<br /> Aux dires de la défense, la base légale de la CPI se trouve dans le Préambule du Statut de Rome: «Soulignant que la Cour Pénale Internationale dont le présent Statut porte «création est complémentaire aux juridictions pénales nationales».<br /> Article 1er a1.1 du Statut de Rome: «[La Cour] est complémentaire des juridictions pénales nationales». Dès lors, la défense Bemba suggère que la notion de «complémentarité», dans le contexte de la CPI, s’entend comme complétant, mais ne remplaçant pas l’exercice de la compétence pénale nationale.<br /> En clair, c’est lorsque les procédures pénales nationales font carence que la CPI peut être saisie et investie de la responsabilité de s’assurer que des crimes d’atrocité grave ne demeurent impunis.<br /> <br /> MORENO<br /> SOMBRES JOURS.<br /> Le Soft International l’écrivait déjá dès mars 2010: Le but pour de cet exploit est simple: politiser l’affaire, mobiliser l’opinion publique nationale et internationale, fragiliser la position du procureur, faire douter de sa capacité à maîtriser le processus. Et, déjá, notre journal prédisait des jours sombres pour le procureur.<br /> Voilá qu’aujourd’hui, Luis-Moreno Ocampo est terriblement coincé. Accusé d’avoir instrumentalisé la justice internationale en soudoyant, dans le cas de Lubanga, des témoins dont il refuse de révéler les noms des intermédiaires eux-mêmes soudoyés, sommé pourtant par les juges de les révéler afin de faire avancer la justice. Du coup, le procureur bloque lui-même la machine de la CPI.<br /> Accusé d’avoir fait droit à la politique, non au droit, dans le cas de Jean-Pierre Bemba. Du moins, soutient avec force l’équipe de défense du chef de l’opposition r-dcongolaise.<br /> Le procureur argue qu’il a le devoir de protéger les témoins et ne peut les présenter en public ou en révéler les noms. Comment lui faire confiance?<br /> Autre question est celle de savoir de qui relève la protection des témoins: du greffe ou du bureau du procureur?<br /> Dans les milieux du MLC, le parti de Jean-Pierre Bemba, on croise les doigts.<br /> Certes, le 28 juin, un juge de la CPI n’a pas tenu compte de l’exploit du 25 février. Il a indiqué que Jean-Pierre Bemba avait désormais à former ses moyens pour se défendre devant le tribunal.<br /> La date du procès fut fixée au 4 juillet, puis remise au 14 juillet. Puis au 30 août. Si cette fois, le procès a lieu, il ne se tiendra pas tant que le juge d’appel n’aura pas dit le droit. L’affaire sera appelée le 20 août, à la demande de la défense.<br /> La défense ayant estimé que la Cour, en prononçant le rejet de l’exploit, n’avait pas disposé du dossier complet de la justice centrafricaine arrivé à La Haye deux jours avant le jugement, a ainsi fait un appel. Cette justice centrafricaine qui avait lavé Jean-Pierre Bemba de tout soupçon...<br /> Jean-Pierre Bemba qui, de ce fait, selon le Statut de Rome, ne peut plus être poursuivi par aucun autre juge pour les mêmes crimes. Le fameux «ne bis in idem». On a tout tout écrit...<br /> Du coup, «la probabilité de sortie de prison pour Jean-Pierre Bemba est plus forte aujourd’hui que jamais. Il s’agira d’annulation pure et simple des poursuites», explique-t-on chez les MLC. Où on estime que la décision de jeudi dernier fait figure de jurisprudence.<br /> Si Thomas Lubanga est rendu à la liberté - ce qui paraît désormais inéluctacle -, il faudra certainement revoir tous les calculs politiques spécialement en province Orientale.<br /> Quant à l’affaire - mère - Bemba que connaît la CPI, avocats et proches du leader de l’opposition r-dcongolaise affûtent les armes, tirant profit du courant d’opinion.<br /> Ainsi, les avocats n’entendaient pas bouder leur plaisir face aux témoins cités par le procureur - tous des ex-amis de Jean-Pierre Bemba - ou d’anciens compagnons de lutte du temps des années rébellion.<br /> Selon toute évidence, appelés à la barre pour confirmer leurs témoignages, les avocats de la défense entendent les détricoter comme ceux de Lubanga ont fait des enfants témoins appelés à la barre par le procureur argentin.<br /> L’un des témoins du procureur serait Olivier EtsuKamitatu. Or, une photo exhumée par des MLC montre JPB alors élève à l’ICHEC à Bruxelles en compagnie de ses camarades intimes dont l’un, précisément Olivier KamitatuEtsu, l’assomme aujourd’hui à la CPI.<br /> Le MLC se saisit de cette photo pour invoquer la jurisprudence. Le témoin clé du procureur serait le vieil ami de trente ans. À en croire les juristes du Mouvement de Libération du Congo, «selon la jurisprudence internationale (…), il suffit de prouver que tel témoin était intimement lié à son ami d’enfance» pendant la période ayant donné lieu au conflit judiciaire pour mettre à mal tout son témoignage.<br /> Les juristes du MLC qui ont plongé dans tous les textes veulent démontrer qu’Olivier EtsuKamitatu a témoigné contre son ex-ami dans le but d’atténuer sa propre responsabilité dans cette affaire.<br /> Il va sans dire que le MLC se sent boosté. Il veut tirer profit de toutes situations s’agissant des témoins du procureur argentin.<br /> Nul doute, la conjoncture est terrible. Y voyons-nous la main des Occidentaux avec ses dommages collatéraux?<br /> La récente affaire du don fait à la reine belge, les durs commentaires échangés entre Kinshasa et la Belgique témoignent d’un moment de forte tempête qui rappellent un passé enfoui. Outre les affaires chinoises et celles, plus récentes, dans les mines ou les pétroles, des Anglo-saxons. Qui généralement pardonnent peu…<br /> Notre pays peut être tenté du Zimbabwe. Sa trop grande étendue, son nombreux voisinage, l’absence de consensus interne imputable à sa grande diversité culturelle sont en l’espèce loin d’être des atouts.<br /> ALUNGA MBUWA.<br /> inLe Soft International,<br /> 22 juillet 2010.

Justice Politique Le témoin clé était l’ami de trente ans

Si trahison n’existe pas en politique, le traître, dit un proverbe allemand, ne dort pas tranquille, écrit TryphonKin-kiey Mulumba sur son ...

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Soudain l’histoire bascule

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB1jxsVuB2qOuPpa1W1NC1N7AYnh5R2UHC1AOd_JjBC7kOazs-nsrHIPzKxz5o6jm30ipmB_fGOC44kbk8DtvWaSFTKWnxihNpiD2olJdB_RpXu-zCfMecTcqRGcli_KFcDw4m2q57NpU/s1600/Snapshot_1529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="328" data-original-width="647" height="202" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB1jxsVuB2qOuPpa1W1NC1N7AYnh5R2UHC1AOd_JjBC7kOazs-nsrHIPzKxz5o6jm30ipmB_fGOC44kbk8DtvWaSFTKWnxihNpiD2olJdB_RpXu-zCfMecTcqRGcli_KFcDw4m2q57NpU/s400/Snapshot_1529.jpg" width="400" /></a>Rien de ce qui nous arrive de très important au pays ne paraît jamais malheureusement n’avoir jamais été écrit ici. Sans fausse modestie, il faut nous en féliciter.<br /> <br /> Rien de ce qui nous arrive de très impor-tant au pays ne paraît jamais malheureusement n’avoir jamais été écrit ici. Sans fausse modestie, il faut nous en féliciter. Pourquoi ce qui est permis à d’autres ne nous est pas permis à nous? Pourquoi s’acharnent-ils sur nous? Pourquoi tant de milices, de groupes armés, de rébellions chez nous? Pourquoi Lumumba fut liquidé au premier jour de l’indépendance? Pourquoi Mobutu ne cessa jamais de dire: «il n’est pas facile d’être le Zaïre»? Pourquoi avant l’heure notre pays fut proclamé «Etat indépendant du Congo» et confié au monarque belge des plus faibles pour une gestion commune? Pourquoi les pays voisins coalisent-ils et notamment dans la «première guerre mondiale africaine»? Que de questions lancinantes dans ces colonnes! Quand François Hollande donne le go head pour Brazzaville disant le 21 octobre 2015 que le président Denis SassouNguesso «peut consulter son peuple, ça fait partie de son droit et le peuple doit répondre», le président français boude littéralement Kinshasa dans le même dossier. A Kigali, le président du pays peut se faire élire pour un troisième mandat et récolter 99% des voix, Kagame se fait dérouler le tapis rouge à l’entrée des palais à Paris et à Bruxelles.<br /> A Paris et Bruxelles, des Chefs d’Etat parlent Congo et font devant les médias de la planète des déclarations électriques, ils n’estiment pas devoir inviter un officiel congolais ne serait-ce que pour prendre avis! Samedi 12 mai 2018, Parc de Kingakati, banlieue-est de la Capitale, devant des centaines de présidents des partis politiques membres de sa majorité, Kabila annonce une «menace réelle» qui pèse sur son pays et se lâche: «Menace sur la paix, la sécurité, la stabilité, l’unité. Le Congo Bashing a refait surface bien plus fort que jamais. Il suffit de lire un journal à Kin, d’écouter le matin telle radio (périphérique qu’il nomme), de regarder telle télé (périphérique qu’il nomme)! «Ils font tout pour noircir le pays. Ils trouvent que rien ne marche afin de donner des arguments à nos voisins voire aux enfants du pays».<br /> «Vous pouvez chanter matin et soir «Élections! Élections!», que nul n’oublie cette menace sur le pays». Trop fort! «Il arrive qu’on entende: «ils vous menacent mais donnez leur ce qu’ils veulent»! Le problème est de savoir ce qu’ils veulent! «Il faut partager, partager» mais partager quoi? Nos richesses, semble-t-il! On l’a entendu de la bouche de l’ancien président français, Nicolas Sarkozy à son passage à Kin, en mars 2009. Le problème est qu’ils ne veulent pas partager nos richesses. Ils veulent prendre le Congo et nous laisser des miettes!»<br /> Kabila en veut pour preuve sa guerre face aux miniers déclenchée par le nouveau code minier. Un code promulgué le 9 mars qui a fait déplacer dans la Capitale trois jours durant sept patrons miniers du globe multi-milliardaires: RandgoldResources, Glencore, Ivanhoe Mines, Gold Mountain International, etc. Reçus ensemble par le Chef de l’État toute une après-midi, ils usent chacun de la menace, aucun n’est prêt à faire redécoller son jet sans avoir réglé le problème! Lequel? L’un d’eux pousse le bouchon plus loin afin qu’aucune équivoque n’existe plus: dès le lendemain de la mise en œuvre du nouveau code minier, dit-il au Président de la République devant des collaborateurs, le milliardaire laissera se déverser à l’Est du pays des groupes armés formés de ses employés jetés au chômage.<br /> Il fallait le prendre au sérieux... Kabila l’a pris au sérieux.<br /> <br /> ACQUITTE DONC!<br /> Voici une épée de Damoclès suspendue au-dessus du pays, la justice internationale qui fait irruption quand on ne l’attendait pas, se déclenche comme un tonnerre basculant le cours de l’Histoire!<br /> Par quelle magie la CPI condamne la CPI? Et pourquoi? Qui est à la manœuvre à la Chambre d’appel présidée - est-ce un hasard? - par la juge présidente belge anversoise, Christine Van den Wyngaert?<br /> Le 21 mars 2016, Jean-Pierre Bemba avait été reconnu coupable par la Cour Pénale Internationale de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en Centrafrique et condamné à dix-huit ans de prison. La procureure de la CPI FatouBensouda avait fait appel de cette sentence la jugeant trop clémente mais Bemba avait également interjeté appel réclamant son acquittement pur et simple.<br /> Invraisemblable! Vendredi 8 juin, àla majorité des juges, la CPI donne raison à Bemba, la Chambre d’appel, déclare.... la juge présidente belge anversoise «annule la déclaration de culpabilité de Jean-Pierre Bemba (...), met fin à la procédure pour ce qui est des actes criminels dont la Chambre de première instance a déclaré l’accusé coupable alors<br /> même qu’ils débordaient du cadre des faits et circonstances de l’affaire. Pour le reste des actes criminels, la Chambre d’appel prononce l’acquittement de l’accusé car les erreurs relevées au chapitre des mesures nécessaires et raisonnables font entièrement disparaître sa responsabilité pénale».<br /> Si la Chambre d’appel relève qu’en cas d’acquittement, la personne concernée est censée être immédiatement remise en liberté, Bemba déclaré coupable par cette Cour dans une autre affaire portant sur la subornation des témoins, n’est pas «immédiatement» libéré mais la juge belge demande à la Chambre de première instance concernée «de déterminer d’urgence si le maintien de Jean-Pierre Bemba en détention demeure justifié dans le cadre de l’affaire dont elle est actuellement saisie». Acquitté donc!<br /> L’ancien-vice président du régime peut désormais quitter repartir dans son pays, prendre la course de la Présidentielle... En clair, narguer Kabila... trop inflexible aux yeux des Occidentaux?<br /> Tremblement de terre au Congo! Que l’on appartienne à la majorité ou à l’opposition, on essuie les larmes de peine ou de joie...Rien ne sera plus jamais comme avant. Sur la scène politique, nouvelle redistribution des cartes. Si le Kasaï a toujours son Tshisekedi désormais démonétisé, le Grand Equateur voit son Mobutu de rêve - mais avec plus de férocité - de retour, Katumbi n’est plus désormais que l’ombre de lui-même. Sans aucun doute, l’étranger a joué... dans le chaos congolais qu’il a aidé à installer. Reste que la politique a de ces retournements. Elle est loin d’avoir dit son fin mot!<br /> Comment expliquer une aussi longue procédure et une aussi longue détention - dix ans - qui aboutit à un non-lieu? Les premiers juges étaient-ils vraiment si... cons?<br /> Le 8 juin 2018, à la lecture de l’arrêt de la Chambre d’appel par la juge présidente belge anversoise Christine Van den Wyngaert, comment ne pas croire?<br /> Quelle douche froide pour la Chambre de première instance III avec son jugement du 21 mars 2016? Dans l’arrêt de la Chambre d’appel lu par la juge belge flamande, il n’y a que «la Chambre de première instance a commis une erreur de droit», «la Chambre d’appel relève que le jugement ne contient même aucune indication du nombre des actes criminels particuliers constitutifs de meurtre, de viol et de pillage que la<br /> Chambre de première instance a jugés établis», «la Chambre de première instance a eu tort de déclarer Jean-Pierre Bemba coupable de ces actes», «la Chambre de première instance a eu tort de conclure qu’il (Bemba)n’avait pas pris toutes les mesures nécessaires et raisonnables pour empêcher ou réprimer les crimes commis par les troupes du MLC, ou pour en référer aux autorités compétente», «la majorité des membres de la Chambre d’appel (...) a relevé d’importantes erreurs dans l’examen qu’a fait la Chambre de première instance», «la Chambre d’appel conclut que la Chambre de première instance a versé dans l’erreur...», «la Chambre de première instance a eu tort...», «la Chambre de première instance a commis une erreur en concluant...», «la Chambre de première instance a eu tort de fonder son appréciation...», «la Chambre de première instance a eu tort de considérer...», «la Chambre d’appel conclut que ces erreurs ont sérieusement entaché la conclusion de la Chambre de première instance...». Etc. Etc.<br /> L’affaire JP Bemba était-elle à ce point politique et son dénouement est-il par conséquent politique?<br /> La «mesure appropriée» donnée par la juge belge flamande est sans appel: «La Chambre d’appel, à la majorité de ses juges, annule la déclaration de culpabilité de Jean-Pierre Bemba, met fin à la procédure pour ce qui est des actes criminels dont la Chambre de première instance a déclaré l’accusé coupable alors<br /> même qu’ils débordaient du cadre des faits et circonstances de l’affaire. Pour le reste des actes criminels, la Chambre d’appel prononce l’acquittement de l’accusé car les erreurs relevées au chapitre des mesures nécessaires et raisonnables font entièrement disparaître sa responsabilité pénale».<br /> Au fond, quel crime avait-il commis et contre quels intérêts pour que ce Congolais ait pu être gardé aussi longtemps dans une cellule loin des siens et pourquoi le libère-t-on aujourd’hui et pour servir quels intérêts? La justice et, en l’espèce, la justice internationale en sort-elle indemne? Depuis la divulgation des affaires libyennes par le site français d’investigation Médiapart, on savait que l’ancien procureur argentin de la Cour Pénale Internationale Luis Moreno Ocampo était loin d’être au-dessus de tout soupçon... Qui a-t-il servi?<br /> D. DADEI.le softonline

Politique Soudain l’histoire bascule

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LÉOPARDS-BASKET : BISMACK BIYOMBO JOUERA POUR LA RDC

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiD14OJYxjE_Jbn2md06oRjIC8STLM4gvGv10cbMqIQ3CA2gvQeDpdXJsgrlhW85p8XCAgtJhWjsgUvi93pC9vR8wgiQ8YXQMx4eQdqi1IBGsyf0DhHL17K71_0McuNeualITssQ5DYLIk/s1600/Snapshot_1528.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="613" data-original-width="643" height="381" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiD14OJYxjE_Jbn2md06oRjIC8STLM4gvGv10cbMqIQ3CA2gvQeDpdXJsgrlhW85p8XCAgtJhWjsgUvi93pC9vR8wgiQ8YXQMx4eQdqi1IBGsyf0DhHL17K71_0McuNeualITssQ5DYLIk/s400/Snapshot_1528.jpg" width="400" /></a></div> Il n’y a plus de doute. La star congolaise de la NBA Bismack Biyombo Sumba sera de la partie avec les Léopards basket de la RDC en Égypte pour tenter de décrocher ensemble le ticket du Mondial Fiba Chine 2019. Il l’a annoncé personnellement le week-end dernier au cours d’une conférence de presse à l’hôtel Rotana de Kinshasa.<br /> <br /> <br /> En vue de dissiper tout doute, le basketteur de Magics d’Orlando s’est présente devant la presse sportive en compagnie des dirigeants de la Fédération congolaise de basket-ball (FEBACO). A savoir le manager des équipes nationales de basket-ball dames et messieurs Joe Lolongo, du président de la FEBACO Boniface Mwawatadi Banjila, de son manager privé ainsi que d’un représentant de son sponsor. <br /> Occasion pour Bismack Biyombo de passer un seul message. Selon lequel il est plus que prêt à enfiler le maillot tricolore des Léopards à l’issue de cette deuxième et dernière fenêtre de la Fiba Chine 2018. Bismack Biyombo longtemps attendu en sélection n’a pas mâché ses mots pour éclairer l’opinion sur les raisons qui ont longtemps retardé sa présence en sélection. Il a notamment évoqué les les conditions de préparation, les assurances qu’exigent les clubs de la NBA et un staff technique expérimenté. <br /> " J’ai toujours voulu jouer pour notre équipe nationale", a-t-il précisé avant de poursuivre : " Je n’ai jamais changé de nationalité, bien que j’ai été plusieurs fois tenté de le faire. Je refusais parce que je me disais qu’un jour je jouerai peut être pour les Léopards . C’est vrai que beaucoup de gens ont attendu ce moment. Moi même y compris. L’année passée, j’étais venu pour jouer, mais après, cela s’était avéré impossible. Cette année, je suis presque prêt. J’aime bien mon pays. C’est un honneur de représenter la RDC. Je fais ma carrière à la NBA, j’ai du succès, mais ce n’est pas le plus important, c’est plutôt représenter son pays qui importe ", a fait savoir Bismack Biyombo. Et d’ajouter : " Je tiens à signaler que je ne viens pas comme un héros ou comme un sauveur. Je viens juste pour apporter ma pierre de contribution. C’est à dire ajouter là où je vois qu’il y a quelque chose qui manque, et voir comment est-ce qu’ensemble on peut accomplir quelque chose de spécial ", a-t-il fait savoir <br /> Bismack Biyombo rejoindra ensuite les 18 autres joueurs présentement à Tunis pour un stage bloqué de 20 jours. Ce n’est qu’après qu’ils joueront le tout pour le tout en Égypte (lieu où se tiendra la deuxième fenêtre) pour tenter d’obtenir une première qualification à coupe du monde pour la Rdc. Bahati KASINDI<br /> <br />

Sport LÉOPARDS-BASKET : BISMACK BIYOMBO JOUERA POUR LA RDC

Il n’y a plus de doute. La star congolaise de la NBA Bismack Biyombo Sumba sera de la partie avec les Léopards basket de la RDC en Égypte ...

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VODACOM LIGUE 1/PLAY OFF DCMP, V.CLUB, LUPOPO ET MAZEMBE, LES QUATRE VAINQUEURS DU WEEK-END

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDwYCTzKoa6wvYhOatT8I_W8Oue9o8U8ivRl3Ju4HGz_UOFrbI6-yCojC6zD8CC9aXBJa21xrUzQnZjbbpdl04sar2vYWvFezXBDobukfvskcS8ktSCwU-p5y_cybIGc1CMOPhwn9RH2A/s1600/Snapshot_1527.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="438" data-original-width="646" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDwYCTzKoa6wvYhOatT8I_W8Oue9o8U8ivRl3Ju4HGz_UOFrbI6-yCojC6zD8CC9aXBJa21xrUzQnZjbbpdl04sar2vYWvFezXBDobukfvskcS8ktSCwU-p5y_cybIGc1CMOPhwn9RH2A/s400/Snapshot_1527.jpg" width="400" /></a></div>Fin de semaine très riche en spectacle en championnat d’élite congolaise. Tous les géants ont assuré le déplacement. La première victoire était celle de Dcmp face au CS Don Bosco (2-1) le samedi 9 juin au stade TP Mazembe. Un jour plus tard, soit hier dimanche, l’As V. Club a réagi en mettant la Jeunesse Sportive Groupe Bazano chaos (3-1) dans son antre de Kibasa Maliba. Juste avant que Lupopo batte l’As Dauphin Noir (1-0) dans les mêmes installations. 1-0 était aussi le score grâce auquel le Tout puissant Mazembe arrachait trois points des mains de l’As Maniema Union de Kindu. Malgré la forte mobilisation de son public. <br /> Le seul rendez-vous manqué du week-end dernier a été celui qu’espéraient vivre les Bunianais. L’As Dragons, pourtant attendu par le FC Mont bleu, n’a pas effectué le déplacement. Les Monstres écopent ainsi d’un forfait car, ils n’ont pas pris soin de notifier l’organisateur de la 23è édition du championnat national de la Division I sur leur indisponibilité.<br /> <br /> V. CLUB ET DCMP : LE DUEL SE POURSUIT AU CLASSEMENT <br /> En plus de son succès sur le FC Mont bleu la semaine dernière, les Dauphins Noirs de la capitale ont fait carton plein lors de leur déplacement. Car, il faut également ajouter la victoire haut la main à Kindu contre Maniema Union (3-0). <br /> Ainsi pour cette joute d’hier qui s’inscrivait dans le cadre de la 18ème journée, le duo Ngoma-Makusu a fait tout le boulot. Un doublé pour le premier (7ème et 37ème) et un petit but pour le second (57ème) ont suffi pour sceller le sort des Lumpas de Bazano. Ce, malgré la bourde de Ruddy Makwekwe qui a marqué contre son camp. <br /> Ce succès permet à l’équipe chère à Florent Ibenge de rattraper son éternel rival, Dcmp, au classement. Les deux formations totalisent chacune 29 points. Et à Makusu Mundele d’inscrire son 13eme but sous la tunique vert et noir.<br /> <br /> MAZEMBE A UN POINT DU LEADER SM SANGA BALENDE <br /> Mazembe ne laisse pas Sanga Balende respirer. Son succès d’un but a zéro sur les « kinduciens » lui permet de réduire l’écart des 4 points qui le séparaient de l’équipe de Mbuji-Mayi à 1 point. Ben Malango Ngita qui a marqué l’unique but de la partie, se consolide à la tête de classement des buteurs avec désormais 21 réalisations. Un record !<br /> <br /> LUPOPO : LE NOUVEAU STAFF A ASSURE <br /> Trésor Kanku Madiata a permis au nouveau staff technique de Saint Éloi Lupopo de sauver sa peau après la récente défaite devant Sanga Balende (1-0). Si on se souvenait de la manière dont le premier chapeauté par Bruno Bla a été limogé. Un vrai rattrapage donc, en cette rencontre avancée de la 20 journée de Play-off de la Vodacom Ligue 1.<br /> Grâce à ce succès, les cheminots comptent automatiquement 26 points et se confortent au pied du podium. Les Viets, comme on les surnomme, ne sont plus qu’à trois points des 3e et 4e à savoir Dcmp et V. Club (tous 29 pts). <br /> Lupopo se déplace ce mercredi 13 juin à Bunia pour y croiser Mont Bleu. Et Mazembe sera accueilli par Dauphin Noir à Goma dans le tout nouveau stade de l’Unité. <br /> Bahati KASINDI<br />

Sport VODACOM LIGUE 1/PLAY OFF DCMP, V.CLUB, LUPOPO ET MAZEMBE, LES QUATRE VAINQUEURS DU WEEK-END

Fin de semaine très riche en spectacle en championnat d’élite congolaise. Tous les géants ont assuré le déplacement. La première victoire ét...

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Les Députés tranchent. Elections 2018 : les congolais de l’étranger hors course !

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPEFIcFGBIM4dNaUi4RROW4qYiDRcNjhWrvp55KzIwIcoxjcO5QoM-tn3MNLLfD2ymP_16CyoYxeSdn63g7U1SnevyCfph_Bz7P94hFAAcOxf7WLchuUMzT5ys2d5OeSOooJWxnqnrGrM/s1600/Snapshot_1526.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="490" data-original-width="644" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPEFIcFGBIM4dNaUi4RROW4qYiDRcNjhWrvp55KzIwIcoxjcO5QoM-tn3MNLLfD2ymP_16CyoYxeSdn63g7U1SnevyCfph_Bz7P94hFAAcOxf7WLchuUMzT5ys2d5OeSOooJWxnqnrGrM/s400/Snapshot_1526.jpg" width="400" /></a>Comme en 2006 et 2011, les congolais résident à l’étranger ne vont pas participer aux échéances électorales prévues pour le dimanche 23 décembre 2018, a tranché la Chambre Basse du Parlement à l’issue de la séance plénière de vendredi 8 juin 2018. En définitive, les propositions des lois initiées par Henri Thomas Lokondo, concernant, entre autres, la modification de vote et l’identification des congolais de la diaspora ont été votées et aussitôt transmises pour seconde lecture à la Chambre sœur du Sénat.<br /> <br /> Les procédures parlementaires concernant les deux propositions de l’Honorable Henri Thomas Lokondo sont arrivées à terme. Elles ont été jugées recevables d’autant plus que sur 367 Députés nationaux présents à la plénière de vendredi dernier, 363 ont voté pour son adoption. Face aux contraintes diplomatiques, sécuritaires, logistiques et matérielles soulevées par Corneille Nangaa dans son argumentaire devant la représentation nationale, les congolais de la diaspora ne pourront pas être enrôlés. L’Auguste Assemblée a, en effet, montré sa position quant à cette problématique qui a suscité plusieurs réactions.<br /> <br /> Pour rappel, le 1er des Députés nationaux, Aubin Minaku avait suspendu la séance plénière de mercredi dernier en convoquant le Président de la centrale électorale RD Congolaise pour éclairer la lanterne de la Représentation nationale pour ce qui concerne l’enrôlement ou pas des congolais vivant à l’étranger, après des arguments et contre-arguments d’une dizaine de Députés nationaux lors du débat général. D’où, Corneille Nangaa Yobeluo, dans sa casquette de consultant, a, expressis verbis, profité de l’occasion qui lui a été offerte afin de présenter l’état des lieux du processus électoral avant d’énumérer quelques contraintes quant à cette problématique.<br /> <br /> D’entrée de jeu, Corneille Nangaa a rappelé à l’Auguste Assemblée que dans 14 jours, la centrale électorale va ouvrir ses bureaux pour la réception des candidatures à travers tout le territoire national. Il a profité de l’occasion pour rappeler bien évidemment que la CENI tient au respect du calendrier électoral.<br /> <br /> «Toutes les activités que prévoit l’almanach vont être respectées», a lâché le Président Nangaa devant la Représentation nationale. Au sujet de l’enrôlement des congolais de l’étranger, quoique l’opération soit aussi inscrite dans le calendrier électoral, il a soulevé quelques contraintes notamment, techniques, exclusivités, sécuritaires, diplomatiques, crise d’identité.<br /> <br /> «Comment allons-nous atteindre les congolais disséminés à travers les 5 continents, ça risque de prendre du temps, il y a une question de délai à respecter. Nous tenons aux élections et toutes les questions qui pourraient être de nature à entraver ce délai sont à écarter», a-t-il soutenu.<br /> <br /> Merdi Bosengele & Germain Lobo

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Comme en 2006 et 2011, les congolais résident à l’étranger ne vont pas participer aux échéances électorales prévues pour le dimanche 23 déce...

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‘‘Ensemble’’ triomphe à N’djili Sainte Thérèse. Elections 2018 : Katumbi rejette la machine à voter !

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcFrRB1LMIgobujUT9iHbUdldlW3NovwWDvV991nHChtNsOFc0XSnW6sU2wO4n536hzbLWoVruuSsFrUweNhFbLfRUhsM0ToiRM0f-pZwhBSrl5fOMNnaJcuqAylTJbVQU-C6Ku0Drgvo/s1600/Snapshot_1525.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="408" data-original-width="809" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcFrRB1LMIgobujUT9iHbUdldlW3NovwWDvV991nHChtNsOFc0XSnW6sU2wO4n536hzbLWoVruuSsFrUweNhFbLfRUhsM0ToiRM0f-pZwhBSrl5fOMNnaJcuqAylTJbVQU-C6Ku0Drgvo/s400/Snapshot_1525.jpg" width="400" /></a>Dans un speech assaisonné de plusieurs promesses à travers une vidéoconférence projetée samedi 9 juin 2018 à Kinshasa, à la place Sainte Thérèse, plus précisément dans la municipalité de N’djili, <br /> Moïse Katumbi, en direct face à ses multiples partisans et militants, estimés à plus de 30 mille personnes, une véritable démonstration de force de ‘‘Ensemble’’, a promis un retour en pop star à Kinshasa pour déposer sa candidature à la présidentielle 2018. Polyglotte, le leader de ‘’Ensemble’’ a opté pour le Lingala, l’une des quatre langues nationales, pour s’adresser, dans une communion parfaite, à ses supporters qui, manifestement, avaient pris toutes les dispositions pour démasquer infiltrés et autres fauteurs des troubles. Le tout, sous l’œil vigilant d’une police nationale qui a affiché un comportement républicain, irréprochable, sans provocation aucune. Mais, aussi, sous un accompagnement discret et très appréciable de la Monusco. Hautement fignolé, le message du leader de ‘’Ensemble’’ était illuminé d’espérance dans tous les secteurs de la vie nationale, entre autres, la santé, l’éducation, l’eau et l’électricité, l’emploi, le salaire de misère des fonctionnaires, médecins, professeurs d’universités, policiers et militaires. S’agissant des questions brûlantes d’actualité, Moïse Katumbi est resté catégorique sur certaines d’entre elles, à savoir : pas de troisième mandat pour le Président Kabila, pas de machine à voter qu’il qualifie de ‘‘machine à tricher’’, non au report des élections. Il promet, par ailleurs, de poursuivre la lutte contre l’instrumentalisation de la justice ainsi que le combat pour la libération des prisonniers politiques. <br /> <br /> Visiblement, déterminé et engagé à changer les conditions sociales de vie des Congolais, l’homme promet, entre autres, de doter la RD. Congo d’un budget de cent milliards de dollars américains et faire du Congo-Kinshasa un bijou de référence sur le continent africain, à la lumière des œuvres qu’il a réalisées à son temps à la tête du Katanga. Ainsi, Katumbi Chapwe se présente dans une casquette de sauveur pour la RDC. Sur place, en effet, le message apporté par Katumbi aurait été aperçu par ceux qui le soutiennent comme l’histoire de celui-là même dans la Bible du sauveur qui libera le peuple israélien de l’esclavagisme égyptien dont d’ailleurs, curieuse coïncidence il porte le nom de ce personnage biblique : Moïse.<br /> <br /> En réalité, c’était un Katumbi qui a recouvré sa santé après avoir fait l’Europe où il séjourne encore.<br /> <br /> Dans un message comme pour détailler sa vision d’un Congo fort, prospère et émergent, l’homme a insisté sur la création d’emploi, disposer un salaire décent aux congolais dont les militaires et fonctionnaires de l’Etat, la création des grandes et compétitives universités à travers la RD. Congo, relancer l’électrification sur l’ensemble du pays, disposer de l’eau potable à toutes les familles de la République et mettre fin à la famine sur le territoire national.<br /> <br /> Décrispation politique<br /> <br /> Jusqu’à preuve du contraire, ce candidat de la plateforme Ensemble pour le changement à la présidentielle du 23 décembre 2018, a, sans ambages, indiqué que son cheval de bataille est aussi la libération des prisonniers politiques. Il a, par ailleurs, salué l’acquittement du Chairman du MLC, Jean-Pierre Bemba Gombo par la Cour Pénale Internationale, dans l’affaire concernant les crimes de guerre et crimes contre l’humanité dont ses troupes ont été accusées dans une intervention à Bangui, en Centrafrique, en 2002. Parmi les prisonniers qui doivent recouvrer leurs libertés tant politiques que civiles, Katumbi a nommément cité les noms de Franck Diongo, Carbone, etc.<br /> <br /> Contre un 3ème mandat et non à la machine à voter<br /> <br /> A l’entendre, le rendez-vous du 23 décembre 2018 ne doit subir aucun report. Dans cette perspective, il a laissé entendre qu’il était dans des démarches diplomatiques pour veiller au respect effectif de cette date, telle que attendue par l’ensemble du peuple congolais. Du reste, Moïse Katumbi, sans froid, est revenu sur cette histoire du troisième mandat de l’actuel Président de la République, Joseph Kabila Kabange, auquel il s’est opposé. Sur cette même lignée, il a également dans son adresse, rejeté l’utilisation de la machine à voter qu’il a qualifié d’instrument de ‘’tricherie’’.<br /> <br /> Candidature commune<br /> <br /> Plus loin dans ses propos, Moïse Katumbi, lui, a personnellement, affirmé qu’il suit d’une oreille attentive tout ce qui se passe en République Démocratique du Congo. Et, tout au long de son speech, il a appelé l’ensemble de la population Rd. Congolaise à garder son calme. Car, a-t-il poursuivi, il revient bientôt au pays. Contrairement à tout vent malsain, l’homme a tenu à fixer l’opinion sur une parfaite communion avec Vital Kamerhe, Félix Tshisekedi, respectivement, Président de l’UNC et Président de l’UDPS. D’ailleurs, il sera question de travailler sur une candidature commune d’ici là, a-t-il conclu.<br /> <br /> La Pros.<br /> <br />

Politique ‘‘Ensemble’’ triomphe à N’djili Sainte Thérèse. Elections 2018 : Katumbi rejette la machine à voter !

Dans un speech assaisonné de plusieurs promesses à travers une vidéoconférence projetée samedi 9 juin 2018 à Kinshasa, à la place Sainte Thé...

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ELECTIONS 2018 VOICI LA LISTE DES PARTIS MEMBRES DE LA PLATEFORME ÉLECTORALE LE "RASSEMBLEMENT"

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisgCmbsHLzLomEKdGads9SU6rgsG5bpQ6aNtAqjIOuhO1P5hK-kc_xzz-9N0CDGXf0zD9NsoHMpMZ1OLpnEWukNj3_6xmWf8C1Zacv7Hyw7BSoRkZqpo5gR2ct2tNPeN5aJs0S9lG7GeM/s1600/Snapshot_1524.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="442" data-original-width="645" height="273" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisgCmbsHLzLomEKdGads9SU6rgsG5bpQ6aNtAqjIOuhO1P5hK-kc_xzz-9N0CDGXf0zD9NsoHMpMZ1OLpnEWukNj3_6xmWf8C1Zacv7Hyw7BSoRkZqpo5gR2ct2tNPeN5aJs0S9lG7GeM/s400/Snapshot_1524.jpg" width="400" /></a></div> En perspective des élections du 23 décembre 2018, le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement "RASSOP"/Kasa-Vubu, a rendu publique le 8 juin, par la voie de son président du Conseil des Sages, Joseph Olenghankoy Mukudji, la liste des formations politiques membres de la plateforme électorale "Le Rassemblement". Au total 27 partis forment ce regroupement politique. Forum des As publie intégralement ci-dessous, ladite liste.<br /> <br /> <br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtJffHOE8uPODGmEP_-yk0BLEcWxNaAlV7E8dJQYiWv-sRCV2e-DwOjqeO1oRsaRtNgt_iflKkVYW6p6IIv9PNFsa-7FbJQzpShTrwrGiGxegKMt5x4Cj0kL0WTgYuoSoYaAQDBUbPjhc/s1600/Snapshot_1523.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="636" data-original-width="507" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtJffHOE8uPODGmEP_-yk0BLEcWxNaAlV7E8dJQYiWv-sRCV2e-DwOjqeO1oRsaRtNgt_iflKkVYW6p6IIv9PNFsa-7FbJQzpShTrwrGiGxegKMt5x4Cj0kL0WTgYuoSoYaAQDBUbPjhc/s640/Snapshot_1523.jpg" width="507" /></a></div> <br />

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En perspective des élections du 23 décembre 2018, le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement "RASSOP...

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PROCESSUS ELECTORAL CENI : OUVERTURE AUJOURD’HUI DES BUREAUX DE RÉCEPTION ET DE TRAITEMENT DES CANDIDATURES

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLO1ZLxbbQ50WcEzilTGfr43KwoFrXmghNYRHdz6KaXTjJdYEDrcTqLEslPuzQ1ZDP43glFkUHpVV8Iyadg9CcNrNc_vwK_EZGL3kiZkV1-qz0CeemOgh_ByNgPLJpzLF2gbFZjiYe8EA/s1600/Snapshot_1521.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="580" data-original-width="658" height="352" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLO1ZLxbbQ50WcEzilTGfr43KwoFrXmghNYRHdz6KaXTjJdYEDrcTqLEslPuzQ1ZDP43glFkUHpVV8Iyadg9CcNrNc_vwK_EZGL3kiZkV1-qz0CeemOgh_ByNgPLJpzLF2gbFZjiYe8EA/s400/Snapshot_1521.jpg" width="400" /></a></div> Le processus électoral poursuit son bonhomme de chemin. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) annonce aujourd’hui 11 juin à son siège, l’ouverture des bureaux de réception et de traitement des candidatures (BRTC), la publication de la liste des partis politiques et regroupements politiques légalement reconnus en RDC, l’échange sur les différents formulaires de dépôt des candidatures… Cette réunion d’échange d’information se passera en présence des mandataires des partis politiques et regroupements régulièrement accrédités.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtxvB1ipG5I-tbwHO-mSCC33pFr0HNjavnmx0_fkAuqUAFiiAaxEEBld3P4U9kxXq5Ota2OMB3uuc3K-3pDl1GK41e1iKBkOyI8c-X1i4RGYOft6hepJTKaloUyQkZ509pyvAYDYHlDeQ/s1600/Snapshot_1522.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="636" data-original-width="476" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtxvB1ipG5I-tbwHO-mSCC33pFr0HNjavnmx0_fkAuqUAFiiAaxEEBld3P4U9kxXq5Ota2OMB3uuc3K-3pDl1GK41e1iKBkOyI8c-X1i4RGYOft6hepJTKaloUyQkZ509pyvAYDYHlDeQ/s640/Snapshot_1522.jpg" width="478" /></a></div> <br />

Politique PROCESSUS ELECTORAL CENI : OUVERTURE AUJOURD’HUI DES BUREAUX DE RÉCEPTION ET DE TRAITEMENT DES CANDIDATURES

Le processus électoral poursuit son bonhomme de chemin. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) annonce aujourd’hui 11 juin...

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1 MOIS APRES LE DEBUT DE LA 9EME EPIDEMIE D’EBOLA OLY ILUNGA SOULIGNE LA NÉCESSITÉ D’AMÉLIORER LE SYSTÈME DE SURVEILLANCE ÉPIDÉMIOLOGIQUE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG0ftU4BnxV-Jh4lrWZ3VB0bOolgnH_jwDkcKKkDlGJL8XsjY06e86Oh147v4Cm7uW11jvFWkWulcryO2RWlIgozRy_SJHS-ut4QOff5UTM2v6bZ9OR8SYbdp-09zguD2iyfRulQyQ3ek/s1600/Snapshot_1519.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="437" data-original-width="642" height="271" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG0ftU4BnxV-Jh4lrWZ3VB0bOolgnH_jwDkcKKkDlGJL8XsjY06e86Oh147v4Cm7uW11jvFWkWulcryO2RWlIgozRy_SJHS-ut4QOff5UTM2v6bZ9OR8SYbdp-09zguD2iyfRulQyQ3ek/s400/Snapshot_1519.jpg" width="400" /></a>Un mois après la résurgence de la maladie à virus Ebola dans la province de l’Equateur, le ministre de la Santé publique était face à la presse le samedi 09 juin pour présenter le bilan de la riposte gouvernementale. Oly Ilunga a souligné la nécessité d’améliorer le système de surveillance épidémiologique du pays.<br /> <br /> Plusieurs réalisations ont été menées par le Gouvernement et ses différents partenaires depuis la déclaration de la maladie le 08 mai dernier. Il s’agit, entre autres, de 65 tonnes de médicaments distribués, 50 motos et vélos envoyés sur le terrain, 150 experts déployés et 72 points d’entrée couverts. Le Gouvernement a offert la gratuité des soins dans 7 zones de santé couvrant 7 hôpitaux généraux de référence et 103 centres de santé. <br /> Parlant des perspectives, le patron de la santé publique a fait savoir que la chaîne de transmission identifiée et maitrisée à Mbandaka et Bikoro où ils n’ont plus recensé des cas confirmés depuis plus de 21 jours. Il a, toutefois, reconnu que le risque de propagation reste important en raison de la mobilité de la population. Avant d’ajouter, que les efforts se focalisent essentiellement sur Itipo, dans la zone de santé d’Iboko, où un nouveau cas confirmé d’Ebola a été reporté le 7 juin. Pendant ce temps, les activités de surveillance et de suivi des contacts ont été intensifiées à Itipo et les aires de santé voisines, a déclaré Oly Ilunga.<br /> <br /> DEFIS MAJEURS<br /> Abordant les défis majeurs auxquels le Gouvernement et ses partenaires devront faire face, il a évoqué la logistique et la relation avec les communautés affectées. Pour ce dernier point, le numéro 1 de la Santé a estimé qu’il est important d’être à l’écoute de ces communautés et prendre en compte leurs besoins ainsi que la création d’emplois pour les jeunes aux fins de la réfection des routes et autres travaux d’intérêts communautaires. <br /> Par ailleurs, Oly Ilunga a déclaré que chaque épidémie offre une opportunité d’améliorer le système de surveillance épidémiologique du pays et la résilience de son système de santé. <br /> Concernant la résilience du système de santé, la province de l’Equateur était déjà incluse dans le projet de développement du système de santé (PDSS), un projet du ministère de la Santé, avec un financement de la Banque mondiale, dixit le ministre. 15 millions d’USD du PDSS alloués au renforcement du système de santé de la province de l’Equateur dans le cadre de la maladie à virus Ebola ont permis de financer gratuitement les soins dans les 7 zones de santé touchées qui a un cout évalué à 7,3 millions d’USD, a-t-il mentionné. A l’en croire, tous les fonds non-utilisés dans cette épidémie seront consacrés à la réhabilitation des formations sanitaires de la province. <br /> La 9ème épidémie d’Ebola en RDC est une épidémie à haut risque, a rappelé ce médecin avant d’expliquer que le personnel de santé était affecté, il y a eu deux foyers ruraux en même temps et la proximité avec la ville de Mbandaka et la mobilité de la population. Mathy MUSAU

Santé 1 MOIS APRES LE DEBUT DE LA 9EME EPIDEMIE D’EBOLA OLY ILUNGA SOULIGNE LA NÉCESSITÉ D’AMÉLIORER LE SYSTÈME DE SURVEILLANCE ÉPIDÉMIOLOGIQUE

Un mois après la résurgence de la maladie à virus Ebola dans la province de l’Equateur, le ministre de la Santé publique était face à la pre...

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DIRECTION GENERALE DES IMPOTS SELE YALAGHULI OFFRE AU PERSONNEL L’OPPORTUNITÉ DE DEVENIR PROPRIÉTAIRE IMMOBILIER

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVqoAQ7TQVEjfy5Qt-mxqjUj-oc_V34pFaJknRwSaj2pUSCBLLPodo5YC4I8GTVWlkyGSZdmwXUqC228GZ5JNvJ3D8s6eAECdofrMS1g7fOrI0z69sTkeFDeWDUrPPoSSrTpPWHMjNwQ0/s1600/Snapshot_1518.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="318" data-original-width="554" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVqoAQ7TQVEjfy5Qt-mxqjUj-oc_V34pFaJknRwSaj2pUSCBLLPodo5YC4I8GTVWlkyGSZdmwXUqC228GZ5JNvJ3D8s6eAECdofrMS1g7fOrI0z69sTkeFDeWDUrPPoSSrTpPWHMjNwQ0/s400/Snapshot_1518.jpg" width="400" /></a>Une nouvelle cité moderne pour les agents et cadres de la Direction générale des Impôts à " Pool Malebo ville ", concession située à quelques 9km à partir de l’aéroport international de N’Djili dans la commune de la N’sele. C’est le vice-ministre des Finances qui a lancé le démarrage des travaux de construction de cette cité le samedi 09 juin.<br /> <br /> La construction de cette cité moderne pour le personnel de la DGI est le fruit d’un partenariat entre la société chinoise " CIIG " et cette régie financière qui va s’étendre sur une période de dix ans pour la construction des villas de trois à six chambres selon la souscription, d’une école primaire et secondaire, d’un hôpital et des magasins. Le contrat signé permet à l’administration fiscale d’effectuer des retenues à la source chaque mois sur les salaires des agents et cadres qui ont souscrit à cette offre. Les premiers bénéficiaires seront servis dans 18 mois. <br /> Le Vice-ministre des Finances Jean-Francois Mukuna a saisi cette occasion pour encouragé le Dg de la DGI et son équipe, pour les efforts de mobilisation des recettes fiscales devant permettre au personnel de cette régie financière de faire face aux frais de remboursement des crédits maisons. Le vice-ministre des Finances n’a pas manqué d’exhorter les agents et cadres de l’administration fiscale à redoubler les efforts pour atteindre des réalisations des recettes attendues par le Gouvernement. Il a exprimé sa satisfaction pour le site choisi par les souscripteurs.<br /> <br /> L’HOMME AU CENTRE DES PREOCCUPATIONS DE SELE YALAGHULI <br /> Déterminé à placer l’homme au centre de son action durant son mandat, le DG de la DGI a renouvelé son engagement. Celui de mettre les agents et cadres de cette régie dans les meilleures conditions afin qu’ils puissent donner le meilleur d’eux-mêmes. A entendre Sele Yalaghuli, la mobilisation des recettes publiques constitue le principal mandat de la DGI afin de doter le Gouvernement des moyens nécessaires pour la mise en œuvre de la vision du chef de l’Etat. « Pour y arriver, il faut des hommes et des femmes disponibles et dévoués en vue d’atteindre ses assignations », a-t-il fait savoir. C’est ainsi qu’il a loué l’engagement du personnel de la DGI qui travaille dans un esprit de patriotisme et d’apostolat pour être à la hauteur des attentes de l’autorité budgétaire. Pour ce faire, le personnel doit être placé au cœur de l’action du comité de gestion. <br /> Le patron de l’administration fiscale tient au respect des engagements pris. Ainsi, Sela Yalaghuli appelle-t-il la partie chinoise au sens élevé de professionnalisme de ce partenariat. Parce que selon lui, les souscriptions ont commencé à donner lieu à des retenus de salaire dûment gagnés par le personnel de cette régie financière. Il est donc nécessaire, a-t-il souligné que le chronogramme des travaux et des activités soit respecté.<br /> S’adressant au personnel présent lors du lancement des travaux de construction de leur cité, le numéro 1 de la DGI a indiqué que ces agents et cadres répondent au double appel du Chef de l’Etat de façon quotidienne, résolument engagés pour mobiliser les ressources financières. " Je peux vous assurer qu’ils remplissent cette tache avec beaucoup d’abnégation en vue de répondre à la vision du président de la République, celle de la Révolution de la modernité, en contribuant par leurs ressources propres à la construction d’une cité moderne appelée Pool Malebo que la DGI va occuper dans 18 mois vu le planning présenté par le partenaire ", a-t-il confié.<br /> Pour sa part, M. CHEN YUTING a félicité le patron de la DGI qui a compris l’importance de doter chacun de son personnel d’une propriété immobilière. Le directeur général adjoint de la société CIIG a rassuré la DGI, de la qualité des matériaux qui seront utilisés pour la construction de ces logements avant d’ajouter que tout le monde bénéficiera des mêmes conditions de vie. Mathy MUSAU

Société DIRECTION GENERALE DES IMPOTS SELE YALAGHULI OFFRE AU PERSONNEL L’OPPORTUNITÉ DE DEVENIR PROPRIÉTAIRE IMMOBILIER

Une nouvelle cité moderne pour les agents et cadres de la Direction générale des Impôts à " Pool Malebo ville ", concession située...

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ELECTIONS DU 23 DECEMBRE PROCHAIN LES CONGOLAIS DE L’ÉTRANGER NON PARTANTS

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_a_kLb-Lkqimrpz4xCeSJKH8pE47Vr1BIFewAkdw7SOXjx2LlxVSmaisurs_gbgq_QOCyIRasAXhjjQnxMvluInEz_Bx89L89IYywvs5EB3ckIJgFrwd1-iFFKFDZaWgvoH7ydPz3j6k/s1600/Snapshot_1517.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="304" data-original-width="558" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_a_kLb-Lkqimrpz4xCeSJKH8pE47Vr1BIFewAkdw7SOXjx2LlxVSmaisurs_gbgq_QOCyIRasAXhjjQnxMvluInEz_Bx89L89IYywvs5EB3ckIJgFrwd1-iFFKFDZaWgvoH7ydPz3j6k/s400/Snapshot_1517.jpg" width="400" /></a>* Les deux propositions de loi envoyées au Sénat pour une seconde lecture.<br /> <br /> La balle est dans le camp de législateurs, a déclaré le président de la CENI invité par le speaker de la chambre basse du Parlement à éclairer la représentation nationale sur l’opportunité de réviser la loi électorale et celle sur l’identification et l’enrôlement des congolais vivant à l’étranger. Corneille Naanga a fait savoir que la problématique sur l’identification et l’enrôlement des Congolais vivant à l’étranger fait partie des contraintes légales et la solution doit être aussi légale donc relevant des compétences du Parlement.<br /> <br /> Ensuite, il a poursuivi, si par l’impossible cette solution légale n’est pas trouvée, la tenue des élections à la date prévue restera exposée au risque de l’élasticité du temps. En bref, les élus du peuple ont la charge de prendre la meilleure décision s’ils tiennent à l’organisation des élections à la date du 23 décembre prochain. <br /> Après cet éclairage du président de la CENI, les députés ont poursuivi avec le débat entamé le mercredi sur les deux propositions de loi présentées par l’élu de Mbandaka. Henri-Thomas Lokondo a clos le débat par les réponses aux préoccupations soulevées par ces collègues sur la nécessité de modifier ces deux instruments juridiques de la centrale électorale. Les deux textes ont été déclarés recevables puis envoyé à la PAJ pour harmonisation. Une heure après, la commission est revenue à la plénière pour présenter son rapport. <br /> Sur 367 députés nationaux présents dans la salle, 363 ont voté pour. Ainsi, les deux propositions de lois sont envoyées au Sénat pour une seconde lecture.<br /> <br /> NECESSITE DE MODIFIER LES DEUX LOIS<br /> Les propositions de loi modifiant et complétant la loi n° 06/006 du 09 mars 2006 portant organisation des élections, telle que modifiée par la loi n°15/001 du 12 février 2015 par la loi n°17/013 du 24 décembre et celle modifiant et complétant la loi n°04/028 du 24 décembre 2004 portant identification et enrôlement des électeurs en RDC, telle que modifiée par la loi n°16/007 du 29 juin 2016 sont une initiative du député Henri-Thomas Lokondo. Dans sa présentation, l’élu de Mbandaka a indiqué qu’à l’heure actuelle, bien de facteurs et contraintes, endogène et exogènes, démontrent que, raisonnablement, à moins de sacrifier l’essentiel, il serait présomptueux pour le pouvoir organisateur des élections de soutenir l’élan de relever le défi de rendre effectif le vote des congolais de l’étranger à l’issue du processus électoral en cours. <br /> Evoquant les facteurs et les contraintes, l’initiateur de ces deux textes de loi a souligné les paramètres d’ordre logistique, matériel et les ressources humaines ; ainsi que la nécessité d’éviter le traitement discriminatoire entre les différentes communautés congolaises établies à l’étranger ; la problématique du respect des délais de contentieux des listes ; la pression du temps ; le caractère contraignant du calendrier publié en novembre dernier par la CENI.<br /> <br /> UN CONSENSUS POUR LE DOSSIER KALAMBA<br /> Au cours de la même plénière, les élus du peuple ont abordé la question relative au remplacement du rapporteur de la CENI par un autre délégué de sa formation politique à savoir l’UDPS. La commission PAJ qui a présenté son rapport à ce sujet, a été incomprise par certains. Il a fallu la sagesse du Président Aubin Minaku pour que la tension baisse dans la salle de Congrès du Palais du Peuple. <br /> Ainsi, le speaker de la chambre a avant de trancher cette question sensible, fait comprendre à ses collègues qu’il faut que leur chambre adopte une résolution d’approbation. C’est sur cette question que le président de la république sera saisi de cette question. <br /> Enfin, Aubin Minaku a estimé qu’il faut tout faire pour trouver un consensus au sein du groupe parlementaire concerné. Puis, il a invité les membres de ce groupe parlementaire UDPS et alliés à continuer à rechercher le consensus car cette question est politique. <br /> La plénière du 08 juin dernier était riche en matière, les élus nationaux ont adopté et envoyé à la chambre haute du Parlement trois autres lois. Il s’agit des projets de lois relatifs aux finances publiques, portant dispositions applicables aux systèmes de paiement-titres ainsi que celle autorisant la ratification par la RDC de la convention sur la coopération militaire et technique entre le gouvernement de la fédération de Russie et celui de la RDC. Mathy MUSAU

Politique ELECTIONS DU 23 DECEMBRE PROCHAIN LES CONGOLAIS DE L’ÉTRANGER NON PARTANTS

* Les deux propositions de loi envoyées au Sénat pour une seconde lecture. La balle est dans le camp de législateurs, a déclaré le préside...

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APRES UNE AUDIENCE D’ADIEU AVEC L’AMBASSADEUR DE LA RDC EN ANGOLA LUANDA ASSURÉ PAR KINSHASA

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