Diogo Cão : Werrason le roi de la Forêt m'a sauvé la vie ( VIDÉO)

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LIKAMBU YA BA PASTEURS NA FCC, BA VÉRITES CACHÉES EBIMI NA MPWASA. (VIDÉO)

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Léopards : les premières impressions de Trésor Mputu après sa convocation

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCuY-xlUIuVto4XNbDDK3O3r3K0Dlq6ZsxhI7YvuojNY2yxAOpFewMCQKusuH_rTJejpBSdhmiy0fAMnVcB5gapAg2GW78gmjcaGNYeJ4Sa2RDzc0aW7novO3rrvyGR__GcjNnQ3ZG_ZNJ/s1600/Snapshot_1640.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="375" data-original-width="677" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCuY-xlUIuVto4XNbDDK3O3r3K0Dlq6ZsxhI7YvuojNY2yxAOpFewMCQKusuH_rTJejpBSdhmiy0fAMnVcB5gapAg2GW78gmjcaGNYeJ4Sa2RDzc0aW7novO3rrvyGR__GcjNnQ3ZG_ZNJ/s400/Snapshot_1640.jpg" width="400" /></a>- L’ancien capitaine des Léopards remercie le sélectionneur national pour cette confiance et pense qu’il faudrait redonner du plaisir aux supporters congolais.<br /> 4 ans et demi après sa dernière sélection en équipe nationale, et pour la toute première fois depuis que Florent Ibenge a pris les commandes de la sélection nationale (septembre 2014), Trésor Mputu Mabi est de retour au sein des Léopards.<br /> <br /> Le milieu de terrain du Tout Puissant Mazembe Anglebert, auteur d’un but et de 2 passes décisives dimanche lors de la victoire (3-2) à Lubumbashi face à l’AS Vclub en match du championnat national, a réagi en primeur sur TOP CONGO FM à son retour en sélection.<br /> <br /> « Je remercie le sélectionneur d’avoir à nouveau fait appel à moi. Je suis passé par des moments très difficiles. Je suis allé jouer en Angola pendant un an et demi puis j’ai été suspendu 2 ans... Ce retour en sélection revêt un caractère vraiment spécial pour moi. Je remercie mes coéquipiers en club, le coach Florent Ibenge et l’ensemble de son staff, les dirigeants de la Fédération Congolaise de Football ainsi que tous ceux qui ont souhaité mon retour en équipe nationale ».<br /> <br /> Redonner du plaisir au public<br /> <br /> 2ème de leur groupe avec 5 points derrière les Warriors du Zimbabwe, les Léopards jouent un match important à Brazzaville le dimanche 18 novembre contre les Diables Rouges.<br /> <br /> Les léopards, restés sur une défaite et un nul contre le Zimbabwe, se doivent de bien négocier ce « derby du fleuve Congo » comptant pour l’avant-dernière journée des éliminatoires de la CAN 2019 s’ils veulent rester dans la course sur la route du Cameroun.<br /> <br /> L’objectif pour l’ancien capitaine des Léopards de la RDC est désormais de redonner du sourire aux Congolais.<br /> <br /> « Nous devons désormais gagner les matches qui nous restent et redonner du plaisir à nos supporters. La balle est dans notre camp ».<br /> <br /> topcongo.fm

Sport Léopards : les premières impressions de Trésor Mputu après sa convocation

- L’ancien capitaine des Léopards remercie le sélectionneur national pour cette confiance et pense qu’il faudrait redonner du plaisir aux su...

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Kabaso Chongo Dévoile Les Ambitions Du TP Mazembe ».

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Sport Kabaso Chongo Dévoile Les Ambitions Du TP Mazembe ».

L’international zambien du TP Mazembe s’est confié à Kyondo Télévision au lendemain du clasico de la RDC, remporté par le TP Mazembe 3-2, de...

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TP Mazembe : Les Vérités De Landry NTANKEU Après La Résiliation De Son Contrat.

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Ce mercredi, Landry NTANKEU nous a accordé une interview exclusive, dans laquelle, il est revenu sur sa courte aventure au TP mais surtout les raisons de son départ.<br /> <br /> Voici les lignes importantes.<br /> <br /> Landry NTANKEU sur son arrivée « C’est le directeur Régis Laguess qui m’a appelé. C’est quelqu’un que je connaissais depuis tout jeune. À l’époque, il m’a dit que Mazembe avait besoin d’un attaquant et qu’il avait pensé à mon profil. Et j’ai accepté, c’est ainsi que j’ai quitté l’Algérie pour venir au Congo« .<br /> <br /> Ses premiers jours au sein du club « En me recrutant, le club ne m’avait jamais dit que je passerais un test, ce n’est qu’à mon arrivée, qu’on me l’a dit. Bon, j’ai passé mon test pendant un peu plus de deux semaines. J’ai convaincu le staff technique et j’ai signé un contrat d’une année avec une autre en option ».<br /> <br /> Son intégration ; « J’ai su rapidement m’adapter au climat de l’équipe. Dix jours après ma signature, j’ai été affilié pour disputé la Ligue des Champions. J’ai fait le stage d’Algérie avec l’équipe, j’ai joué quelques minutes à Setif, puis un bon match à domicile contre les Marocains où j’ai d’ailleurs provoqué un penalty ».<br /> <br /> Son aventure dans l’équipe « Après les deux matchs de Coupe d’Afrique que j’ai joués, je n’ai plus été convoqué jusqu’à l’élimination du club. On a tout fait pour tuer mon moral. Le premier match du championnat contre Lubumbashi Sport, j’étais convoqué parmi les 18. Quand j’ai pris le véhicule pour aller à Futuka (Lieu d’internement du TP Mazembe), on m’a appelé pour me dire que j’ai été retiré au dernier moment. J’ai demandé pourquoi ?, on a raconté des ambiguïtés et j’ai laissé tomber. Quand le club devait se rendre à Kinshasa jouer ses trois matchs (Renaissance, Rangers, DCMP), le coach m’a rassuré que je voyagerais avec l’équipe, mais au finish sur les 23 retenus, mon nom ne figurait pas. Ça commençait à m’énerver. Pire encore, contre Lupopo, c’est encore le coach qui me dit que je serais dans l’équipe de départ, à ma grande surprise je n’étais même pas sur le banc de touche. J’ai parlé avec quelqu’un de l’administration, il m’a clairement dit que le club voulait se débarrasser de moi ».<br /> <br /> La séparation « Quand toutes ces choses se sont produites, je suis allé voir le manager, j’ai lui ai soumis mon vœu de quitter le club. Il ne l’a pas tout suite accepté, j’ai insisté, puisque je ne pouvais pas continuer dans ces conditions. C’est ainsi qu’ils ont finalement compris et m’ont transmis cette lettre de résiliation de contrat, les frais de transport et un mois de salaire ».<br /> <br /> Ce que représente Mazembe « C’est un grand club, mais ce n’est pas le Real Madrid, où l’on peut être content même lorsqu’on ne joue pas. Moi je suis un joueur professionnel, je veux jouer des matchs, c’est mon travail. J’ai même reçu une pré-convocation de l’équipe A du Cameroun. Le sélectionneur a insisté sur mon temps de jeu, et moi je pouvais pas me contenter du statut du club et rester tout le temps sur banc de touche ou dans les tribunes. J’ai décidé d’aller voir ailleurs ».<br /> <br /> Le traitement « À Mazembe, il y a beaucoup de choses qui se passent, les gens l’ignorent. Aujourd’hui c’est plus facile pour la presse, les sportifs de dire que je n’étais pas au niveau de l’équipe. Mais personne ne sait dans quelles conditions je vivais. J’étais au local de l’équipe, sans véhicule pour mes déplacements. J’allais aux entraînements dans le transport en commun. Parfois je ne recevais pas de primes comme les autres joueurs. Tout ça m’a affecté psychologiquement au point que je ne pouvais bien m’exprimer sur terrain. Si Mazembe est venu me chercher, c’est parce qu’il m’avait trouvé important. J’ai fait quelques matchs de la Champions League, aujourd’hui je ne peux jouer la Linafoot. C’est quoi le message que le staff technique veut faire passer ? C’est dire que la Linafoot est très élevée que la C1 CAF. Je ne le crois pas ».<br /> <br /> Son sentiment « Je suis quand même très déçu ! Moi je tenais beaucoup à s’imposer dans cette équipe. Dommage, on a tout fait pour me mettre à l’écart. Même les deux camps aux entraînements, je restais toujours sur le banc. L’équipe à Kinshasa, je reste m’entraîner avec Don Bosco, là encore je suis toujours réserviste. J’ai fini par comprendre qu’ils se foutaient de moi ».<br /> <br /> Le futur de Mazembe « L’équipe gagne des matchs, tout le monde a l’impression que tout va bien, pourtant, à l’Interne c’est vraiment lamentable (gestion de l’équipe). Ce que je vous dit aujourd’hui, beaucoup de joueurs vous le diront après moi. Car je suis convaincu qu’avec cette manière de faire les choses, Mazembe va perdre des joueurs. C’est un grand club mais qui ne sait pas traiter convenablement ses athlètes. Voilà ce que je pense« .<br /> <br /> La suite de sa carrière « Je viens de partir du club, c’est vrai qu’il y a des contacts, je les garde d’abord pour moi-même. Je ne saurais rien vous dire pour le moment d’autant qu’il n’y a rien de très concret jusque là.« a-t-il conclu Landry NTANKEU au micro de Isaac B’ampendee.<br /> <br /> Footrdc.com

Sport TP Mazembe : Les Vérités De Landry NTANKEU Après La Résiliation De Son Contrat.

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RDC: Le journaliste Peter Tiani a passé nuit en détention

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Justice Société RDC: Le journaliste Peter Tiani a passé nuit en détention

Peter Tiani, journaliste et responsable du magazine d'information "Le vrai journal", a passé nuit dans un cachot du Tribunal d...

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Kyungu: « Le FCC ne prépare pas les élections ,mais tient à installer une dictature au pays »

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1xh_nqqpXyJwer2m-vQakxy7yeHY3eTLR9rVDMwCXT89R0yHkDCPMI0Bg5RVFW5R4LcRSUPXPumRjcOrTYmEXeteYJSrkob-Kit8jXeGXTZ4IiEfX2g-QqjsBf9QyXwUXnWlKVXArnDzZ/s1600/Snapshot_1637.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="384" data-original-width="585" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1xh_nqqpXyJwer2m-vQakxy7yeHY3eTLR9rVDMwCXT89R0yHkDCPMI0Bg5RVFW5R4LcRSUPXPumRjcOrTYmEXeteYJSrkob-Kit8jXeGXTZ4IiEfX2g-QqjsBf9QyXwUXnWlKVXArnDzZ/s400/Snapshot_1637.jpg" width="400" /></a>Antoine-Gabriel Kyungu wa Kumwanza, Coordonnateur de la plateforme Ensemble pour le changement dans la région du Grand Katanga, lance un cri d'alarme à propos de ce qu'il qualifie d'intention d'instaurer la dictature après le 23 décembre.<br /> <br /> «C'est une grande hypocrisie et des manœuvres dilatoires qu'on peut remarquer du coté FCC. La majorité au pouvoir ne veut pas préparer les élections, mais plutôt une dictature qui ne dit pas son nom et la guerre par son comportement », a t-il dit au cours d’une conférence de presse organisée ce mercredi à Lubumbashi.<br /> <br /> Kyungu wa Kumwanza a fait référence a son dernier séjour à Kamina, dans la province du Haut-Lomami. Toutes les activités politiques lui avaient été interdites, dit-il.<br /> <br /> «Je suis allé à Kamina samedi 3 Novembre 2018 pour prendre langue avec l'opposition de cette contrée. Au lieu d’être accueilli par les militants de l'opposition, ces derniers se sont vus arrosés du gaz lacrymogène par la police dans l'unique objectif d’empêcher nos activités à Kamina. Je tiens non seulement à dénoncer mais à dire qu'avec ce comportement nous risquons de connaitre une campagne électorale unilatérale, uniquement à l'avantage du FCC. Nous de l'opposition, nous n'aurons pas droit au chapitre. En réalité ,il n' y aura pas de liberté d'expression ici dans le Grand Katanga. Nous sommes dans un régime de parti-Etat », a dit à ACTUALITE.CD Antoine-Gabriel Kyung wa Kumwanza.<br /> <br /> Depuis plusieurs mois ,toutes les activités publiques de l'opposition sont interdites dans la région du Grand Katanga pour des raisons diverses. L'opposition continue à décrier ce qu'elle qualifie d’état d'exception en terme d'exercice de libertés publiques.<br /> <br /> José Mukendi, depuis Lubumbashi

Politique Kyungu: « Le FCC ne prépare pas les élections ,mais tient à installer une dictature au pays »

Antoine-Gabriel Kyungu wa Kumwanza, Coordonnateur de la plateforme Ensemble pour le changement dans la région du Grand Katanga, lance un cri...

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LINAFOOT : MAZEMBE CARACOLE EN TÊTE, V. CLUB S’IMPOSE 1-0 DEVANT MONT BLEU

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Sport LINAFOOT : MAZEMBE CARACOLE EN TÊTE, V. CLUB S’IMPOSE 1-0 DEVANT MONT BLEU

Le Tout-Puissant Mazembe de Lubumbashi caracole en tête du classement de la 24ème édition de la Ligue nationale de football (Linafoot). Le c...

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BASKET-BALL FEBACO : BARTHÉLÉMY OKITO INVALIDE LA RÉÉLECTION DE BONIFACE MWAWATADI

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Sport BASKET-BALL FEBACO : BARTHÉLÉMY OKITO INVALIDE LA RÉÉLECTION DE BONIFACE MWAWATADI

Les postes de président et de 4ème vice-président de la Fédération congolaise de basketball (FEBAKO) sont encore vacants, affirme le Secréta...

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PARSEMEE DE NIDS-DE-POULE DEPUIS UNE ANNEE LA CHAUSSÉE DE KIMWENZA À LA MERCI DES INONDATIONS

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZV3d2MrxzRywjyezyf1tavkqUVgC6x-t1jxDdKdhctCIc16cembM7v3iaJDwWaZQ8LQtJUcUQpAO-k1vi1uatq6OM_EOVWZ9icFLLWoQiCiJ4UGhdz-BMK6xmJ0uAFOtzsEUwRFPKGZjG/s1600/Snapshot_1634.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="413" data-original-width="739" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZV3d2MrxzRywjyezyf1tavkqUVgC6x-t1jxDdKdhctCIc16cembM7v3iaJDwWaZQ8LQtJUcUQpAO-k1vi1uatq6OM_EOVWZ9icFLLWoQiCiJ4UGhdz-BMK6xmJ0uAFOtzsEUwRFPKGZjG/s400/Snapshot_1634.jpg" width="400" /></a></div> <br /> L’une des principales artères de la commune de Kalamu, l’avenue Kimwenza est dans un état de délabrement avancé. Du moins, sur l’axe qui relie la bifurcation Maître Taureau à Yolo Ezo. Parsemée de nids-de-poule, cette route ploie sous les eaux à la moindre averse. Lorsqu’il pleut, conducteurs et piétons ont du mal à se mouvoir, tant la rue se transforme en rivière artificielle. Reportage.<br /> <br /> Depuis plus d’une année, l’avenue Kimwenza donne du tournis à ses usagers. Particulièrement, les transporteurs en commun. Jonchée d’ornières et de crevasses, la chaussée contraint les conducteurs à la prudence. Si à la saison sèche, elle donne l’occasion aux véhicules de rouler à vive allure, à la saison de pluie, la vigilance est de mise. Lors des récentes averses, le macadam s’est vite retrouvé sous les eaux, ne permettant plus la fluidité de la circulation.<br /> Empruntant l’avenue Kimwenza, les taximen roulant sur le trajet Victoire - Ezo préfèrent, en temps de pluies, se limiter au niveau du marché Kapela. Ils évitent de longer cette artère qui mène vers Ezo, pour protéger leurs véhicules d’éventuelles pannes. Les récalcitrants n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes. Car généralement, ils finissent par échouer dans des eaux stagnantes, coincées sans doute dans des ornières qui détruisent les amortisseurs.<br /> "J’ai l’habitude de faire le parcours Victoire - Yolo-Ezo et vice-versa. Mais une fois que la pluie tombe, je préfère m’arrêter au croisement Kapela - Kimwenza plutôt que de continuer jusqu’à Ezo. Car, la chaussée est généralement inondée et ne me permet plus de rouler convenablement jusqu’à destination. Ceux qui s’entêtent exposent leurs passagers, car les eaux s’infiltrent dans les véhicules, au point de gagner les sièges", nous confie un taximan.<br /> <br /> LA TRAVERSEE SUR LE DOS DES VOLONTAIRES<br /> Ne pouvant traverser la marre d’eau sans se tremper, les piétons, pour leur part, déboursent des frais pour se faire transporter sur le dos. Se muant en "kamikazes" lors des pluies diluviennes, des jeunes gens proposent leur service pour faciliter la traversée, moyennant 500 Fc ou 700 Fc. Ils font des navettes d’un bout de l’avenue à l’autre, acceptant de franchir les eaux des pluies qui leur arrivent au niveau des genoux. Parfois aussi jusqu’aux hanches.<br /> Aussi rentable qu’une course Victoire - Ezo en taxi, qui se négocie à 500 FC, la petite traversée à dos d’homme ne s’effectue que sur un trajet de 3 à 4 mètres. Et parfois même, elle tourne au désastre lorsque le porteur imprudent trébuche et s’écroule dans la flaque d’eau, trempant jusqu’aux os son client ou sa cliente de circonstance.Initié par des garçons, pour la plupart désoeuvrés, ce ’’business’’ne se pratique que lorsque le ciel lâche sa douche.<br /> <br /> BOUSCULADE AUX PARKINGS<br /> Dans les parkings, la rareté de véhicules contraste avec l’affluence des piétons en quête de moyen de transport. La plupart des taximen optent pour la fameuse segmentation du trajet, communément appelée ’’demi-terrain’’. Une fois sur Victoire, au lieu d’embarquer les passagers à destination de Yolo Ezo comme d’habitude, ils limitent la course à l’asphalte de Kimwenza, juste devant le lac artificiel créé par les eaux de pluies. Ils évitent ainsi les nids-de-poule et l’embouteillage subséquent. <br /> Cette situation rend difficile le transport en commun. Les passagers se bousculent devant les rares taxis qui se présentent. "Quand un taxi de Kimwenza - Ezo se pointe, je ne laisse aucune chance à d’autres personnes en attente. Car, les taxis roulant sur ce tronçon deviennent rares et difficiles à trouver. Je pèse alors de tout mon poids pour ne pas le rater", nous souffle Jenna Kapinga, la vingtaine révolue.<br /> <br /> LA MOTO, UN SECOURS EN CAS DE PLUIE<br /> Une fois que le taxi s’arrête à Kimwenza, les passagers qui doivent arriver au terminus du rond-point Ezo font le pied ou prennent la moto. Ne pouvant pas traverser le lac artificiel de Kimwenza, les motos se frayent un chemin à travers le marché Kapela, à défaut de contourner l’avenue Kimwenza, en passant par Mabanga. <br /> "Le taxi m’a déposé ici, alors que ma résidence se trouve à Ezo. Je n’aurai donc pas d’autre alternative que de négocier une moto pour me ramener jusque chez moi", nous explique Junior Malumba, habitant le quartier Yolo Ezo.<br /> Malgré ces perturbations de circulation, les usagers de la chaussée Kimwenza restent confiants quant à l’amélioration de la situation. Ils fondent leurs espoirs sur les travaux de réfection, amorcés par le Gouvernement sur la chaussée Bongolo, délabrée depuis plus de deux ans. Tania MUBUADI et Yves KALIKAT

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L’une des principales artères de la commune de Kalamu, l’avenue Kimwenza est dans un état de délabrement avancé. Du moins, sur l’axe qui ...

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RIPOSTE CONTRE EBOLA JEAN-PIERRE LACROIX HIER À BENI : LA POPULATION EXIGE L’ÉRADICATION DES ADF !

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzHZdbSsm_PM9cpvS_0dR7oTuJBb8AXZ31NANBsbaYRH10MbzVyKEqqrkPfPyKmkmzX2oOKHNzaNT-0c-M9pwe_tEaAALAMd201lsRjdEsB0z5Lfg08rfA6iPrn1fnUYXCYGV4ifO1BAPy/s1600/Snapshot_1632.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="558" data-original-width="742" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzHZdbSsm_PM9cpvS_0dR7oTuJBb8AXZ31NANBsbaYRH10MbzVyKEqqrkPfPyKmkmzX2oOKHNzaNT-0c-M9pwe_tEaAALAMd201lsRjdEsB0z5Lfg08rfA6iPrn1fnUYXCYGV4ifO1BAPy/s400/Snapshot_1632.jpg" width="400" /></a>C’est hier que le secrétaire général adjoint de l’ONU chargé du Maintien de la paix, le Français Jean-Pierre Lacroix accompagné du directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghbreyesus, est arrivé à Beni-ville, dans le septentrion du Nord-Kivu. La région qui est en proie aux actes terroristes des islamistes ougandais des ADF est en plus affectée par l’épidémie à virus Ebola.<br /> <br /> Les deux hauts dignitaires de l’ONU viennent dans le cadre des opérations de riposte menées sur le terrain par les acteurs de santé qui y sont déployés. Au centre de riposte contre Ebola installé par le ministère congolais de la Santé, Jean-Pierre Lacroix a loué les efforts entrepris jusqu’à ce jour pour venir à bout de cette épidémie qui a déjà fait plusieurs fois des ravages à l’Equateur et aussi dans l’ancienne province du Bandundu. <br /> C’est donc le virus Ebola qui justifie la mission à Beni du secrétaire général adjoint de l’ONU chargé des Opérations de maintien de la paix. Cependant, on noté un hiatus avec les desiderata de la population de Beni-ville et Beni-Territoire qui l’ont fait savoir par le biais de la Société civile et de tous les notables de la région. <br /> La population exige que ce soit à l’ONU ou au gouvernement congolais, l’éradication des islamistes ougandais des ADF. Tous disent préférer mourir d’Ebola plutôt que des attaques des ADF. Ebola n’a fait que quelques dizaines de morts tandis que les ADF font des centaines, on est à quelque chose comme 1400 morts depuis 2014, selon les statistiques publiées par la Société civile de Beni-ville, 800 kidnappés. <br /> Les ADF sont la bête noire de toutes les populations. Ils tuent les paisibles citoyens de la manière la plus cruelle en les découpant à la hache ou à la machette et incendient au lance-flamme tous les moyens de production économique. Ils terrorisent la population civile, les militaires et la MONUSCO par des attaques récurrentes des mêmes cibles. <br /> Par exemple, rien qu’au cours de ces deux dernières semaines les islamistes ADF ont pénétré cinq fois la ville de Beni et plus d’une fois ils ont frappé Oïcha, chef-lieu de Beni-Territoire et Mbau, dans la même contrée où ils laissent chaque fois sur leur passage mort et désolation. Les ADF ont attaqué trois fois l’Etat-major du commandement de l’ « Opération SUKOLA-1 » à Beni-ville. <br /> Plusieurs fois la base opérationnelle renforcée de la MONUSCO située entre Kamango et Mbau et aussi la base aérienne des Casques bleus de Mavivi, toujours à Beni-ville. C’est tout cela que la population veut voir arrêter soit par le gouvernement central soit par la MOUSCO et rien d‘autre. <br /> Comme on le voit, il y a bien un hiatus entre la mission de Jean-Pierre Lacroix et les aspirations des populations de la région de Beni. Celles-ci recherchent la paix quel qu’en soit le prix. Cette paix passe exclusivement par l’éradication totale des ADF. On n’a pas entendu un seul mot du secrétaire général adjoint de l’ONU en charge du Maintien de la paix sur cette question précise. <br /> Bien avant, c’était le secrétaire général de l’ONU, le Portugais Antonio Guterrès qui avait lancé un message pathétique aux combattants des ADF en leur demandant de déposer les armes pour faciliter la riposte médicale contre le virus Ebola à Beni. Il n’y a aucun doute que cet appel du patron de l’ONU restera lettre morte. Pire encore, il n’aura aucun effet dissuasif ni contraignant sur les islamistes ougandais des ADF. Ces derniers, en effet, n’entendent que le langage de la force seul susceptible de les faire capituler. KANDOLO M.

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C’est hier que le secrétaire général adjoint de l’ONU chargé du Maintien de la paix, le Français Jean-Pierre Lacroix accompagné du directeur...

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UPN : LE COMITÉ DE GESTION DÉTERMINÉ À MIGRER VERS LE SYSTÈME LMD

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUv4_u30XHc0KDtWbwZUoDTIpRwFHzXfqixUBWO-fx75V90X_e2WguyWmq-VTVVKeOPxfpl5FRMc7_pOuHqJgCkhADAB1ghpY6S5kzGijvz3PD40v_4uqnuRAK4Veo96r4ApupWiYyH6a_/s1600/Snapshot_1631.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="385" data-original-width="678" height="226" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUv4_u30XHc0KDtWbwZUoDTIpRwFHzXfqixUBWO-fx75V90X_e2WguyWmq-VTVVKeOPxfpl5FRMc7_pOuHqJgCkhADAB1ghpY6S5kzGijvz3PD40v_4uqnuRAK4Veo96r4ApupWiYyH6a_/s400/Snapshot_1631.jpg" width="400" /></a>Le comité de gestion de l’Université pédagogique nationale(UPN) se dit déterminé à renforcer la qualité de la formation et à professionnaliser ses programmes de cours. Ce qui, explique le recteur, le professeur Pèlerin Kimwanga Nkeny, permettra à cette institution d’enseignement supérieur et universitaire de migrer vers le système Licence, Master, Doctorat (LMD).<br /> <br /> L’actuel comité de gestion de l’UPN tient à redorer l’image de cette université tant au niveau national qu’international. Le curseur est ainsi placé sur l’amélioration de la qualité de l’enseignement. A en croire le recteur, cette vision est codifiée dans la phrase : " penser, transformer et réinventer l’UPN ".<br /> La nouvelle politique qu’imprime ce comité de gestion vise à faire en sorte que l’UPN soit en mesure de verser chaque année académique sur le marché de l’emploi des diplômés bien formés et à même de contribuer considérablement au développement de la RDC, en intégrant les entreprises existantes et en créant de l’emploi, à travers la création des Start up.<br /> En se fixant de tels objectifs, le comité de gestion de l’UPN ne vise pas qu’à lancer sur le marché du travail une main d’œuvre hautement qualifiée, inventive, créative et capable d’apporter des solutions originales aux problèmes et défis auxquels est confrontée la société congolaise. Il vise en même temps à former une relève de haut niveau sur tous les plans.<br /> <br /> L’UNIVERSITE, MOTEUR DU DEVELOPPEMENT<br /> L’université doit redevenir la lumière de la société, le laboratoire où tous les problèmes de la société trouvent réponses. C’est ainsi qu’il faudra mettre en place des programmes de cours, produire des connaissances qui répondent aux besoins de la société, ainsi qu’à ceux des entreprises et autres structures évoluant sur le sol congolais ", a indiqué un administratif.<br /> " Ces relations université-société-entreprise, longtemps brisées, passent par des contrats de recherche, des projets de partenariat, des recherches et études à impact social, la vulgarisation scientifique, le renforcement des capacités des cadres des entreprises, l’intégration professionnelle aisée des diplômés nouvellement issus de l’Université, la formation professionnelle des stagiaires etc. ", ajoute-t-il.<br /> Pour le recteur Pèlerin Kimwanga Nkeny, l’UPN ne doit pas être cet endroit où les étudiants acquièrent des savoirs en inadéquation fragrante avec le monde professionnel. " Elle doit plutôt être un agent transformateur de la cité, de la vie sociale et de ses habitants. Mieux, un véritable moteur de changement positif et un vecteur du progrès ", a-t-il-martelé.<br /> <br /> VULGARISATION DE L’INSTRUCTION ACADEMIQUE 020 DE L’ESU<br /> Le recteur de l’UPN réitère par ailleurs son engagement à vulgariser et à travailler dans le strict respect de l’instruction académique 020, portant directives pour l’année académique 2018-2019, publiée en octobre dernier par le ministre de l’ESU, Steve Mbikayi.<br /> Cette instruction met l’accent sur l’Assurance-qualité et s’appuie sur la loi-cadre du 11 février 2014 qui fixe les fondamentaux relatifs à l’enseignement national en général et à l’ESU en particulier. Elle s’articule également sur d’autres documents dont la stratégie sectorielle de l’éducation et de la formation 2016-2025.<br /> Faisant siennes les recommandations du Ministère de l’ESU, l’UPN dispose déjà d’une cellule d’Assurance-qualité et contrôle qualité. Ce qui, indique le recteur, est une façon pour cette institution de renforcer l’éducation environnementale, la formation au développement durable et aux changements climatiques, le partenariat interuniversitaire, l’adéquation entre la formation et l’emploi et l’enseignement à distance.<br /> En plus de ses filières de formation d’antan, l’Université pédagogique nationale vient de bénéficier cette année académique de deux nouvelles facultés. Il s’agit de celle de Droit et de Sciences de la santé. Créée en 1961 comme l’Institut supérieur pédagogique(IPN), cette institution d’enseignement s’est muée en 2005, par un décret présidentiel, en une Université. Orly-Darel NGIAMBUKULU

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Le comité de gestion de l’Université pédagogique nationale(UPN) se dit déterminé à renforcer la qualité de la formation et à professionnalis...

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ENCORE DES CAS D’EBOLA IDENTIFIÉS AU VILLAGE MAÏ-MAÏ

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiB6QatcfG0jp_hXqIEc4PyEC_Ol2HnFV5inSKlXNi2yp9zyvX_20nE2AjkvkNs4P2jguOx9_iI9c-cESaZAROeMxBtH0bLKVAaqWLMrd4Pjdaw3XlfL_6-jAo6bl46ov3bi52xaOpvbnVE/s1600/Snapshot_1630.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="385" data-original-width="678" height="226" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiB6QatcfG0jp_hXqIEc4PyEC_Ol2HnFV5inSKlXNi2yp9zyvX_20nE2AjkvkNs4P2jguOx9_iI9c-cESaZAROeMxBtH0bLKVAaqWLMrd4Pjdaw3XlfL_6-jAo6bl46ov3bi52xaOpvbnVE/s400/Snapshot_1630.jpg" width="400" /></a>Plusieurs cas d’Ebola ont été identifiés dans un village Maï- Maï dans la zone de santé de Kalunguta située dans une zone rouge. Cette propagation est due à la fuite d’un cas confirmé de Beni vers ce village afin d’échapper aux équipes de la riposte, rapporte le service de la surveillance épidémiologique dans son briefing hebdomadaire.<br /> <br /> <br /> Après des négociations avec les leaders du village, une mission d’investigation a été diligentée pour examiner les personnes actuellement malades et investiguer les décès survenus les semaines précédentes dans le village, renseigne la source. <br /> Cette investigation, ajoute la source, permettra d’identifier les décès causés par Ebola et les classer, le cas échéant, comme cas probables. Jusqu’à présent, note la source, les habitants du village se sont montrés coopératifs et la vaccination a pu commencer. <br /> Ainsi, parmi les nouveaux cas confirmés à Kalunguta, figure un nouveau né de 6 jours, une femme, cas confirmé décédée le 04 novembre 2018 au CTE de Butembo. La mère de l’enfant a commencé à présenter des symptômes de la maladie cinq jours avant de donner naissance à son fils.<br /> En effet, la situation épidémiologique fait un total de 305 cas de fièvre hémorragiques qui ont été signalés dans la région, dont 270 confirmés et 35 probables. Tandis que sur les 270 confirmés, 154 sont décédés et 88 sont guéris. Les autres sont hospitalisés dans les différents CTE installés.<br /> Concernant la vaccination, depuis le début de cette opération le 8 aout 2018, 26.724 personnes ont été vaccinées, notamment 14.160 à Beni, 4.436 à Mabalako, 2.152 à Katwa, 1.663 à Mandima, 1435 à Butembo et 434 à Bunia. Mathy Musau

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Plusieurs cas d’Ebola ont été identifiés dans un village Maï- Maï dans la zone de santé de Kalunguta située dans une zone rouge. Cette propa...

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Exclusion de M. Katumbi : « Il y a eu une sorte de crispation au lieu de decrispation », Fridolin Ambongo

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY1ifWakbcqWo6ibYnq78ZK-ObycxsJkFRraQPnJkZmMMMiggMthvW_AbxcKXB3aW5RQKDBbpKks3M4g9fROw8rcEAvsu0r-z3wRGVXkCZQsYGcouG4wvdjQ4PG428BFGXszdl1xN5Xudl/s1600/Snapshot_1629.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="522" data-original-width="773" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY1ifWakbcqWo6ibYnq78ZK-ObycxsJkFRraQPnJkZmMMMiggMthvW_AbxcKXB3aW5RQKDBbpKks3M4g9fROw8rcEAvsu0r-z3wRGVXkCZQsYGcouG4wvdjQ4PG428BFGXszdl1xN5Xudl/s400/Snapshot_1629.jpg" width="400" /></a>Dans son interview accordée ce mercredi 7 novembre 2018 à Rfi, l’archevêque de Kinshasa, Monseigneur Fridolin Ambongo considère qu’il y a eu beaucoup de ratés dans la mise en application de l’accord de la Saint Sylvestre, notamment sur le retour des exilés.<br /> <br /> « Nous constatons que sur ce plan là, il y a eu plutôt une sorte de crispation au lieu de decrispation qui était attendue. Nous pensons à Moïse Katumbi, à la manière dont le dossier Jean-Pierre Bemba a été traité, et d’autres qui ont été exclus de la course comme Muzito et tant d’autres », à déclaré Fridolin Ambongo.<br /> <br /> Rappelons par ailleurs que le président de Ensemble pour le Changement, Moïse Katumbi Chapwe, n’a pas pu rentrer au pays afin de déposer sa candidature à la présidentielle, à cause de ses démêlés avec la justice et les autorités congolaises.<br /> <br /> Pour les collaborateurs de l’ex province du Katanga, il s’agit bel et bien des dossiers politiques montés de toute pièce par le pouvoir en place, pour l’empêcher de concourir à la magistrature suprême.<br /> <br /> Jean-Pierre Bemba pour sa part, a vu sa candidature être invalidée par la CENI et la Cour Constitutionnelle pour avoir été condamné par la Cour Pénale Internationale, « CPI », pour subornation des témoins.<br /> <br /> Même chose pour l’ancien premier ministre Adolphe Muzito qui a été invalidé pour conflit d’intérêt avec son ancien parti politique le PALU.<br /> <br /> Jephté Kitsita

Politique Exclusion de M. Katumbi : « Il y a eu une sorte de crispation au lieu de decrispation », Fridolin Ambongo

Dans son interview accordée ce mercredi 7 novembre 2018 à Rfi, l’archevêque de Kinshasa, Monseigneur Fridolin Ambongo considère qu’il y a eu...

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RDC : 13 opposants demandent au patron de l’ANR Kalev de mettre fin aux tracasseries envers les pasteurs qui ont refusé d’être dans l’équipe R. Shadary

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpgJJt84pSXSXg6fPhfQ8Pt8c6BVgiio5hUNNZqdUE3DDKAk5yE6w4vqOzRtqZsQAW0zxbGJhd8cM6hF6tpGYecN5LZzzYy8loIzp4K34hxxwYHaA3FTDnfkIZQG_LfGONJkNRVXjMBIaW/s1600/Snapshot_1628.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="439" data-original-width="794" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpgJJt84pSXSXg6fPhfQ8Pt8c6BVgiio5hUNNZqdUE3DDKAk5yE6w4vqOzRtqZsQAW0zxbGJhd8cM6hF6tpGYecN5LZzzYy8loIzp4K34hxxwYHaA3FTDnfkIZQG_LfGONJkNRVXjMBIaW/s400/Snapshot_1628.jpg" width="400" /></a>Lors d’une rencontre mercredi à Kinshasa, 13 opposants parmi lesquels des candidats président de la République, ont après avoir assisté à une séance de restitution faite par la candidat Daniel Shekomba sur la réunion qu’il a eu avec le président de la CENI (commission électorale nationale indépendante) au sujet de la machine à vote ; dénoncé des tracasseries dont seraient victimes les hommes d’églises ayant contesté leur nomination dans l’équipe de propagande du candidat Emmanuel Shadary.<br /> <br /> « Nous appelons le président de la République sortant de cesser d’instrumentaliser les églises et les hommes d’églises, de cesser de créer des conditions d’insécurité contre le peuple congolais et contre les candidats président de la République, en particulier et l’administrateur de l’agence nationale des renseignements, ANR, à mettre fin aux tracasseries dirigées contre les hommes d’églises ayant contesté leur nomination dans l’équipe de propagande du candidat du pouvoir sortant », a déclaré Théodore Ngoy.<br /> <br /> Pour rappel, après la publication de l’équipe de propagande du candidat Emmanuel Shadary, certains hommes d’églises et autres congolais ont dénoncé leur nomination dans cette équipe disant n’avoir jamais été contactés au préalable.<br /> <br /> Il s’agit notamment du pasteur Kiziamina et de Albert Kankienza.<br /> <br /> Jean-Pierre Bemba, Moïse Katumbi, Marie-Josée Ifoku, Noël Tshiani, Vital Kamerhe, Martin Fayulu, Jean Mabaya, Adolphe Muzito, Freddy Matungulu, Seth Kikuni, Radjabho Tebabho, Sylvain Maurice Masheke et Théodore Ngoy ont signé cette déclaration.<br /> <br /> Jeff Kaleb Hobiang

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Lors d’une rencontre mercredi à Kinshasa, 13 opposants parmi lesquels des candidats président de la République, ont après avoir assisté à un...

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RDC-Présidentielle : Plusieurs candidats demandent la démission de Bruno Tshibala et de Néhémie Mwilanya

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Politique RDC-Présidentielle : Plusieurs candidats demandent la démission de Bruno Tshibala et de Néhémie Mwilanya

Plusieurs candidats à la présidentielles et leaders de l’opposition ont demandé, ce mercredi 7 novembre, à Bruno Tshibala de démissionner de...

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RDC : Tshibala suspend les contrôles fiscaux pour quatre mois !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-cs4vuAdDbJ25vqZ67pGYSs8Dkr1kdEgxLIy9r__F8BXOH2GzuyRWAs1FJfug3j0Y6U2l5uxKxft1-cJsiwX3_2Im6t0IQLjCKGZpEcR0GLuFr-r-HicQpbSRZLjMjw1axvC7k8ikuB_R/s1600/Snapshot_1626.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="367" data-original-width="509" height="287" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-cs4vuAdDbJ25vqZ67pGYSs8Dkr1kdEgxLIy9r__F8BXOH2GzuyRWAs1FJfug3j0Y6U2l5uxKxft1-cJsiwX3_2Im6t0IQLjCKGZpEcR0GLuFr-r-HicQpbSRZLjMjw1axvC7k8ikuB_R/s400/Snapshot_1626.jpg" width="400" /></a></div> <br />Le premier ministre, Bruno Tshibala vient de suspendre toutes les missions de contrôles fiscaux, parafiscaux et économiques dans les entreprises pour une durée de quatre mois, à dater de ce mercredi 7 novembre 2018.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div> <br /><br />Dans une lettre parvenue à Zoom Eco, il évoque comme mobile la nécessité de prévenir contre la surchauffe sur les marchés des biens et services habituellement observée en fin d’années.<br /><br />« Cela, a l’exception des missions de vérifications fiscales au premier degré ainsi que tous les cas de fraudes avérées qui seront portées à la connaissance du gouvernement de la République», a précisé le chef du gouvernement congolais.<br /><br />Cette mesure est prise également pour répondre à la demande de la Fédération des entreprises du Congo (FEC).<br /><br />Emilie MBOYO | Zoom Eco<div> <br /></div> <div> <img src="https://cdn.shortpixel.ai/client/q_glossy,ret_img,w_1012,h_1343/https://zoom-eco.net/wp-content/uploads/2018/11/IMG_20181107_185253.png" /></div> <div> <br /></div> <div> <img src="https://i0.wp.com/zoom-eco.net/wp-content/uploads/2018/11/IMG_20181107_185312.png?resize=740%2C894&ssl=1" /></div>

Economie RDC : Tshibala suspend les contrôles fiscaux pour quatre mois !

Le premier ministre, Bruno Tshibala vient de suspendre toutes les missions de contrôles fiscaux, parafiscaux et économiques dans les entre...

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HAUT-LOMAMI NABII SAMWELI HOUSE SAUVE LA SCOLARITÉ DES ENFANTS DE MALEMBA NKULU

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrLBE7nwBv_fVUcGyh4DJaxF_4pTnZNyP3gvnRMuniXzcoZQ4hT3W4X4gFBZenN_DCf5NO_h-eDamhzbzae-FrCwSRI2CBdVD-W4Y13PYxRjz3cA-VibQ-ynj6IAS-MkrrsnqFReTa13Pl/s1600/Snapshot_1624.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="493" data-original-width="741" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrLBE7nwBv_fVUcGyh4DJaxF_4pTnZNyP3gvnRMuniXzcoZQ4hT3W4X4gFBZenN_DCf5NO_h-eDamhzbzae-FrCwSRI2CBdVD-W4Y13PYxRjz3cA-VibQ-ynj6IAS-MkrrsnqFReTa13Pl/s400/Snapshot_1624.jpg" width="400" /></a>L’esprit, disait Victor Hugo, s’enrichit de ce qu’il reçoit, le cœur de ce qu’il donne. C’est donc cette sagesse de haute portée à la fois morale et philanthropique, qui guide désormais, l’action de Flory Kabange Numbi, initiateur de « Nabii Samweli House » ou « Maison du prophète Samuel ». Appellation d’origine contrôlée qui renseigne sans équivoque sur la raison sociale de cette ASBL. A savoir : investir dans l’homme. Tout l’homme. C’est donc dans ce cadre que « Nabii Samweli House » a volé au secours des élèves sans ressources à Malemba Nkulu et dà Luamba, dans la province du Haut-Lomami, au Sud-Est de la RD Congo.<br /> <br /> Homme au full service de l’Evangile, Flory Kabange Numbi, à travers « Nabii Samweli House » n’a pas seulement nourri l’âme de ses hôtes. Bien plus, il a apporté une solution concrète à un problème réel. A savoir le payement entier des frais scolaires des enfants de Malemba Nkulu. Pas seulement. Car, en plus des frais payés, d’importants kits scolaires composés d’objets classiques ont été également remis à chaque enfant. De quoi mettre ces futurs responsables du pays, à l’abri d’une scolarité interrompue.<br /> Selon des sources locales, témoins de cette rencontre de communion fraternelle, plus qu’une mission humanitaire de proximité, « Nabii Samweli House », n’a pas seulement pensé aux élèves. Mais également à plusieurs étudiants en difficulté, régulièrement inscrits à l’Université de Malemba Nkulu. Comme leurs cadets des humanités, ces universitaires en devenir, ont vu leur année académique en cours très assurée et financièrement sécurisée. <br /> Dans les rues de Malemba Nkulu et de Luamba, l’initiative de « Nabii Samweli House » a fait grand bruit. Rien à voir avec la polémique politicienne sans aucun impact direct sur la vie des populations. Au contraire. Elèves, étudiants, parents, directeurs d’écoles, gestionnaires de l’Univ de Malemba Nkulu…tous ont été dans l’allégresse. Une joie légitime de voir une structure privée, sans ressources substantielles, donner des réponses idoines aux vrais problèmes.<br /> <br /> UN APPUI AU SECTEUR DE L’EDUCATION<br /> Dans la situation actuelle de la RD Congo, le partenariat public-privé s’avère indispensable dans certains secteurs de la vie nationale. En l’occurrence, celui de l’Education. Et, l’assistance de « Nabii Samweli House » doit être comprise dans le sens de cet appui au secteur de l’Education que bien des observateurs qualifient d’agonisant. Autant le souligner tout de suite, les défis à relever sont tellement énormes, que les structures étatiques seules, ne sauraient faire face. D’où, l’apport des partenaires privés, sérieux dans ce qu’ils entreprennent. <br /> La « Maison du prophète Samuel » construite par le pasteur Flory Kabange Numbi, répond donc à cet idéal. Celui d’apporter des réponses appropriées aux questions réelles de la vie des populations vulnérables. Cependant, on craint que ces initiatives, ces actes de charité ne puissent s’arrêter en si bon chemin, faute de financement. Car nous apprenions hier que cette ASBL met désormais le cap sur la réhabilitation des écoles primaires délabrées du territoire de Malemba Nkulu. Un projet ambitieux d’intérêt commun qui nécessite d’importants moyens. Aussi bien matériels que financiers. <br /> A en croire des sources proches de l’Asbl, outre le paiement des frais scolaires, académiques et la remise des kits scolaires, « Nabii Samweli House » est allé également au chevet des femmes parturientes, bloquées à la maternité du Centre de santé de Luamba, pour non-payement de frais. Ici, la délégation de Flory Kabange Numbi a apuré toutes les factures de ces femmes qui ont donné la vie. Une véritable bouffée d’oxygène appréciée à sa juste valeur, par le responsable du Centre de santé de Luamba, à quelques encablures de Malemba Nkulu. Il considère cette action comme salvatrice aussi bien pour ces mères de familles que pour leurs nourrissons.<br /> Grevisse KABREL

Education Province HAUT-LOMAMI NABII SAMWELI HOUSE SAUVE LA SCOLARITÉ DES ENFANTS DE MALEMBA NKULU

L’esprit, disait Victor Hugo, s’enrichit de ce qu’il reçoit, le cœur de ce qu’il donne. C’est donc cette sagesse de haute portée à la fois m...

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PROPOSITION DE MGR FRIDOLIN AMBONGO "MACHINE À VOTER POUR LES LÉGISLATIVES, BULLETIN PAPIER POUR LA PRÉSIDENTIELLE"

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJvo6FeuoIDLnMoNDXaQoA0IrJnvwyV8GZhqnutIyAdg_R3dlkOaJdlC5OfZFV8DY9DMNt-9XRnO2BDNqhx-DBTHsTMNjUKQXdGKsJY2lbfHJzbZyq217LZATo2tOD2mZNiKLbNtEFOYlQ/s1600/Snapshot_1623.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="418" data-original-width="744" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJvo6FeuoIDLnMoNDXaQoA0IrJnvwyV8GZhqnutIyAdg_R3dlkOaJdlC5OfZFV8DY9DMNt-9XRnO2BDNqhx-DBTHsTMNjUKQXdGKsJY2lbfHJzbZyq217LZATo2tOD2mZNiKLbNtEFOYlQ/s400/Snapshot_1623.jpg" width="400" /></a>Au cours d’une interview accordée à Radio France internationale, le nouvel archevêque de Kinshasa, Mgr Fridolin Ambongo, a proposé ce qu’il qualifie de « solution intermédiaire » permettant de taire la querelle actuelle sur la machine à voter et amener la population congolaise aux élections le 23 décembre prochain. Répondant à une question de Christophe Boisbouvier, le successeur de Laurent Monsengwo se dit favorable à l’usage de la machine à voter en ce qui concerne les élections législatives nationales et provinciales. Ce qui, argue-t-il, permettrait de gagner en temps, au regard du nombre vertigineux des candidats. Il conseille, par contre, à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) d’utiliser le bulletin papier en ce qui concerne la présidentielle. A une question sur ses priorités à la tête de l’archevêché de Kinshasa, ce quinquagénaire ne fait pas dans la langue du bois. « Il ne faudrait pas que le processus électoral et les divisions politiques puissent diviser le peuple de Dieu au sein de l’archidiocèse de Kinshasa », a-t-il fait remarquer.<br /> <br /> Ci-dessous l’intégralité de l’interview. Le titre et le chapeau sont de Forum des As<br /> Orly-Darel NGIAMBUKULU<br /> <br /> RFI : Votre élévation au rang d’archevêque tombe juste avant les élections du 23 décembre. Quelle est votre priorité dans les semaines à venir ?<br /> <br /> Fridolin Ambongo : Il ne faudrait pas que le processus électoral et les divisions politiques puissent diviser le peuple de Dieu qui est dans l’archidiocèse de Kinshasa.<br /> Le 8 août 2018, le président Joseph Kabila a renoncé à briguer un troisième mandat. Y êtes-vous pour quelque chose ?<br /> Dans la mesure où cette décision du président Joseph Kabila obéit aux dispositions de la Constitution et à l’Accord de la Saint-Sylvestre, nous pouvons dire que, pour le travail que nous avions abattu comme médiation, je crois qu’on peut dire oui.<br /> Vous avez joué un rôle…<br /> Oui.<br /> Les marches catholiques du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 ont été brutalement réprimées. Il y a eu des morts. Sont-ils morts pour rien ?<br /> Je crois qu’ils ne sont pas morts pour rien. Et à cause de leur sacrifice, la situation a évolué dans la bonne direction.<br /> <br /> Dans l’Accord de la Saint-Silvestre 2016, dont vous êtes l’un des maîtres d’œuvre, étaient prévues de nombreuses mesures de décrispation de l’espace politique. Où en est-on aujourd’hui ? <br /> Effectivement, il y a eu beaucoup de ratés dans la mise en application de l’Accord de la Saint-Sylvestre, notamment sur le retour des exilés. Mais nous constatons que, sur ce plan-là, il y a eu plutôt une sorte de crispation au lieu de la décrispation qui était attendue.<br /> <br /> Vous pensez à Moïse Katumbi ? <br /> Nous pensons à Moïse Katumbi, la manière dont le dossier de Jean-Pierre Bemba a été traité et d’autres qui ont été exclus de la course comme Adolphe Muzito et tant d’autres.<br /> Jean-Pierre Bemba a tout de même été condamné pour subornation de témoins. Du coup, sa candidature n’a pas été validée par les autorités congolaises…<br /> A ma connaissance, jusqu’à maintenant, Jean-Pierre Bemba a été condamné en première instance pour subornation. Il a fait appel et jusque-là, ce dossier n’est pas encore clôturé. Les juges en appel ne se sont pas encore prononcés et ce qui me surprend, c’est qu’au niveau du pays, ce dossier est considéré comme une condamnation définitive. Donc là, je n’arrive pas à comprendre la motivation réelle de la Cour suprême.<br /> Vous pensez que c’est une décision injuste ? <br /> Je crois que c’est une décision politique. Oui.<br /> Le 10 septembre dernier, la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) a écrit une lettre à la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) pour manifester ses inquiétudes. De quoi s’agit-il ?<br /> C’est parce que la question de la machine à voter est une question qui risque ou bien de bloquer la tenue de ces élections, ou bien on tient les élections, mais le résultat ne sera pas accepté par les autres. Et notre intervention auprès de la SADC, tout comme nous le faisons auprès de la classe politique du Congo, c’est que cette question de la machine à voter soit traitée par la tripartite -la majorité, l’opposition, la Céni [Commission électorale nationale indépendante]-, pour qu’on puisse trouver un consensus, mais que ça ne devienne pas un obstacle pour la tenue des élections.<br /> <br /> La Céni a prévu un temps de passage d’une minute par électeur devant cette machine à voter. Est-ce que c’est crédible ou pas ? <br /> Pour nous, c’est très difficile à croire. Tous ceux qui ont eu affaire avec cette machine estiment qu’une minute, c’est trop peu. D’autant plus qu’il s’agit de trois élections couplées. Mais nous constatons que les uns et les autres s’obstinent dans leur position. Cela n’évolue pas, malheureusement.<br /> Et quand vous dites que "les uns et les autres s’obstinent", c’est-à-dire que le pouvoir veut maintenir la machine à voter alors que l’opposition menace de boycotter ?<br /> C’est tout à fait ça. Oui.<br /> <br /> Et alors votre position à vous. Faut-il envisager un système hybride : moitié machine à voter, moitié bulletin papier ? <br /> Mais s’il y avait vraiment de la bonne volonté de la part de la classe politique au Congo, je crois qu’on aurait déjà trouvé une solution intermédiaire. Par exemple, pour l’élection présidentielle où il n’y a pas trop de candidats, on pourrait utiliser le papier. Et pour les autres élections, on pourrait utiliser la machine parce que là, il y a trop de candidats. Cela pourrait être une solution intermédiaire. Mais il faut encore qu’il y ait la volonté politique, avec l’intention de trouver un compromis.<br /> Dans le fichier électoral, 6 millions d’électeurs sont enregistrés sans empreinte digitale.<br /> <br /> Est-ce que cela vous inquiète ? <br /> Cela nous inquiète. 6 millions, si vous prenez rien que ça, ça peut changer les résultats des élections. Tout ça doit être clarifié avant la tenue des élections pour créer un climat de confiance.<br /> Y a-t-il dans les prisons congolaises des cas emblématiques ?<br /> <br /> Par rapport au dialogue et à l’Accord de la Saint-Sylvestre, il y a toujours le cas de Diomi Ndongala.<br /> Le patron de la Démocratie chrétienne…<br /> Oui, le patron. Il y a Diomi Ndongala, il y a maître Jean-Claude Muyambo qui sont encore en prison jusqu’à maintenant. Ce sont des cas qui ont été pris en compte. On en avait parlé pendant le dialogue de la Cenco.<br /> De 2016…<br /> De 2016. Il n’y a rien qui est fait de ce côté-là, tout comme vis-à-vis de ceux qui sont en exil.<br /> Il y a quelques mois, votre prédécesseur Laurent Monsengwo a eu cette phrase : " Il faut que les médiocres dégagent ". Etes-vous d’accord ?<br /> Je comprends ce que le cardinal Laurent avait voulu dire. Sans peut-être revenir sur cette expression, la réalité fait que le peuple congolais a besoin d’une nouvelle classe politique qui lui ouvre de nouveaux horizons.<br /> Et vous-même allez vous garder votre fameux franc-parler ?<br /> <br /> Je ne sais même pas si j’ai un franc-parler, mais je ne crois que mon arrivée à Kinshasa va changer ma nature.

Politique PROPOSITION DE MGR FRIDOLIN AMBONGO "MACHINE À VOTER POUR LES LÉGISLATIVES, BULLETIN PAPIER POUR LA PRÉSIDENTIELLE"

Au cours d’une interview accordée à Radio France internationale, le nouvel archevêque de Kinshasa, Mgr Fridolin Ambongo, a proposé ce qu’il ...

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SETH KIKUNI : L’ÉQUIPE ET LE BUDGET DE LA CAMPAGNE ÉLECTORALE ANNONCÉS POUR CE VENDREDI

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEPRiB2Nbo0oNl4m140WTq6ohg2Pa5GrCEepyw9JfpUSTV9iqe0oGopi7_KKDPYN7QaVv7bXULhyphenhyphenslW4O5hY7E0jQKI8VH561Z8K0E4kPpmRV6gChEbRHMkC5Pxd7iJwQ7UTGsvNyGCMuC/s1600/Snapshot_1622.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="407" data-original-width="742" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEPRiB2Nbo0oNl4m140WTq6ohg2Pa5GrCEepyw9JfpUSTV9iqe0oGopi7_KKDPYN7QaVv7bXULhyphenhyphenslW4O5hY7E0jQKI8VH561Z8K0E4kPpmRV6gChEbRHMkC5Pxd7iJwQ7UTGsvNyGCMuC/s400/Snapshot_1622.jpg" width="400" /></a>C’est, en principe, ce vendredi 9 novembre que Seth Kikuni dévoilera l’équipe devant assurer sa campagne. D’après ses services de communication, le candidat indépendant à la Présidentielle du 23 décembre donnera une conférence de presse pour présenter l’itinéraire et le budget prévu pour cette période électorale". Ce, dit-il, dans un esprit de transparence qui nous lie depuis le début et qui fait que nous soyons différents des autres ".<br /> <br /> Premier candidat à la prochaine Présidentielle à avoir déposé son dossier de candidature à la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Seth Kikuni est un homme d’affaires, propriétaire du groupe KMS Investments. Il compte, s’il est élu, mobiliser 12 milliards USD pour la première année de son mandat. "Ce montant devrait résoudre les problèmes sociaux et économiques auxquels font face les Congolais ", a-t-il dit lors de la présentation de son projet de société. Le candidat a indiqué qu’une partie de ce fond serait investie dans l’industrie et dans l’entrepreneuriat.<br /> Son plan d’action démarrera avec la politique "qui doit être un espace qui résout le problème avec un leadership qui va normaliser le système. " Le deuxième point est d’ordre juridique. Nous allons travailler sur des questions relatives aux libertés des droits fondamentaux. Nous allons reformer l’administration publique ", envisage Seth Kikuni. <br /> Dans le troisième volet de ses actions consacré à l’économie, il compte optimiser les recettes fiscales. " En ce qui concerne le social, nous allons offrir une éducation de qualité, la santé pour tous et lutter contre le chômage ", ambitionne le candidat indépendant. Rachidi MABANDU

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C’est, en principe, ce vendredi 9 novembre que Seth Kikuni dévoilera l’équipe devant assurer sa campagne. D’après ses services de communicat...

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APRES ECHANGE AVEC SHADARY LA SADC RASSURÉE SUR LES ÉLECTIONS DU 23 DÉCEMBRE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-1x1Th2GFeKM6t-3MfMIYZjRgmp0fBlOwCPWD_UwC-WT0MNM8mFFpTzn-APXXXgyzAuSAZ6QJ5vNgFwku2RCrgX-jlXsZSgNgsaJd-k5TaMBNVIw-0VA7oHCXbGF8YbXAkXcCN2DuexX7/s1600/Snapshot_1621.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="494" data-original-width="742" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-1x1Th2GFeKM6t-3MfMIYZjRgmp0fBlOwCPWD_UwC-WT0MNM8mFFpTzn-APXXXgyzAuSAZ6QJ5vNgFwku2RCrgX-jlXsZSgNgsaJd-k5TaMBNVIw-0VA7oHCXbGF8YbXAkXcCN2DuexX7/s400/Snapshot_1621.jpg" width="400" /></a>Le candidat du Fcc Emmanuel Ramazani Shadary a eu une longue séance de travail le mercredi 7 novembre avec la délégation du conseil consultatif électoral de la SADC, en mission en RDC.<br /> <br /> Conduite par Billy Jhon Tendwa, cette délégation a suivi l’exposé du candidat du FCC, Emmanuel Ramazani Shadary sur l’évolution de la situation politique et le processus électoral en RDC. <br /> Le présidentiable de la Majorité était entouré de Lambert Mende, Adolphe Lumanu, Jean Claude Mukeni et Clément Kwete, tous cadres du FCC.<br /> Les membres de la délégation du conseil consultatif électoral de la SADC, parmi lesquels se trouvaient les ambassadeurs de Tanzanie, de Zambie et du Zimbabwe ainsi que le chargé d’affaires de l’ambassade d’Afrique du Sud, ont déclaré à travers le chef de leur délégation, Jhon Billy Tendwa, qu’ils ont reçu des assurances quant à la tenue des élections le 23 décembre 2018.<br /> Il sied de noter qu’arrivée le vendredi dernier, cette délégation a rencontré d’autres candidats président de la République, des chefs des corps et d’autres personnalités sur le processus électoral en RDC.

Politique APRES ECHANGE AVEC SHADARY LA SADC RASSURÉE SUR LES ÉLECTIONS DU 23 DÉCEMBRE

Le candidat du Fcc Emmanuel Ramazani Shadary a eu une longue séance de travail le mercredi 7 novembre avec la délégation du conseil consulta...

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EVALUATION DU PROCESSUS ÉLECTORAL : L’ÉPISCOPAT CATHOLIQUE EN ASSEMBLÉE DU 20 AU 22 NOVEMBRE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVrqb34mff4uPGJuvnuCaG8G-JN3HA0K46ytSfr8wtOUrltZPEB1rXK9NB5-69WNaly3Si3c_MgBG313pRBlcjbIVVMmldsrwMF8wBmhQp_BnAbtcCDeOZMZKfk0vwJl7iK18Mj4nOOP3g/s1600/Snapshot_1620.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="424" data-original-width="745" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVrqb34mff4uPGJuvnuCaG8G-JN3HA0K46ytSfr8wtOUrltZPEB1rXK9NB5-69WNaly3Si3c_MgBG313pRBlcjbIVVMmldsrwMF8wBmhQp_BnAbtcCDeOZMZKfk0vwJl7iK18Mj4nOOP3g/s400/Snapshot_1620.jpg" width="400" /></a>*Pour sa part, l’Eglise protestante fait savoir dans un communiqué le mercredi 6 novembre, qu’elle n’a envoyé aucun de ses membres pour battre campagne au profit d’un quelconque candidat, parti politique, encore moins un regroupement politique.<br /> <br /> De l’électricité en l’air au fur et à mesure que l’on s’approche des échéances électorales en République démocratique du Congo. La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) a choisi de se réunir en Assemblée plénière extraordinaire du 20 au 22 novembre en cours. Ce, dans l’objectif d’évaluer le processus électoral actuel.<br /> <br /> Tout un symbole, étant donné que cette rencontre des prélats catholiques est programmé trois jours avant le démarrage de la campagne électorale prévu le 23 novembre.<br /> Selon le secrétaire général de la CENCO, l’abbé Donatien Nshole relayé par le site de la CENCO : " Du 20 au 22 novembre 2018, les Evêques de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) vont se réunir à Kinshasa en Assemblée Plénière extraordinaire pour évaluer le processus électoral ". Il a annoncé cette rencontre le lundi 5 novembre à l’issue d’une célébration eucharistique présidée par l’abbé Georges Kalenga, 2ème secrétaire général adjoint de la CENCO au Centre interdiocésain, à Kinshasa.<br /> Le Secrétaire Général de la CENCO a exhorté l’assistance à prier pour les Evêques pour que Dieu les accompagne dans ces assises. <br /> Il s’agit pour l’épiscopat catholique d’évaluer entre juin et novembre 2018 le processus électoral en cours. Mais déjà, l’Eglise catholique stigmatise le manque de consensus en ce qui concerne la machine à voter et aussi sur le fichier électoral.<br /> <br /> CE QUI A DEJA ETE DIT<br /> A l’issue de la 55ème Assemblée plénière de la CENCO tenue du 25 au 29 juin 2018, l’Episcopat congolais avait publié un message intitulé "Sauvons le processus électoral : Le Fils de l’homme est venu sauver ce qui était perdu (Mt 18,11)". Tout en reconnaissant les avancées accomplies dans le processus électoral, notamment l’existence d’un fichier électoral, la mise en œuvre partielle des mesures de décrispation du climat politique, un timide respect de la liberté des manifestations publiques, les Evêques n’étaient pas rassurés face à certaines inquiétudes. Celles-ci avaient trait au climat politique, au fichier électoral, à la machine à voter et à la sécurité sur le territoire national. <br /> Evoquant la question de la sécurité, les princes de l’Eglise avaient déploré l’insécurité persistante et croissante dans plusieurs provinces, aggravée par la multiplicité de groupes armés. Ce, avant de souligner le fait que le non parachèvement des mesures de décrispation prévues dans l’Accord de la Saint-Sylvestre est inexplicable et inacceptable. Et d’enchainer : "Le maintien en prison ou en exil des cas emblématiques pour leurs opinions politiques, n’est pas de nature à favoriser les élections inclusives et apaisées que nous voulons tous.<br /> Le 27 août 2018, la CENCO revenait à la charge en faisant une évaluation de l’état du processus électoral, en réitérant quelques recommandations à la CENI et au Gouvernement et en annonçant qu’elle envisageait de déployer 1026 observateurs à long terme et 40.000 observateurs à court terme.<br /> Le 7 septembre 2018, la CENCO a mené un plaidoyer auprès du président zambien, Edgar Lungu, en sa qualité de chairman de la Troïka de la SADC sur la politique, la sécurité et la défense, pour lui faire part de ses préoccupations sur le processus électoral.<br /> Enfin, le 6 octobre 2018, à la délégation du Conseil de sécurité de l’ONU venue à Kinshasa, la CENCO avait transmis ses inquiétudes sur la tenue des élections apaisées, transparentes et crédibles en RDC et lui a demandé d’engager toute sa diplomatie afin d’obtenir des élections dignes de ce nom.<br /> Face à une certaine incertitude à l’approche du 23 décembre prochain, la position des Evêques qui découlera de ces travaux, devra donner une nouvelle dimension à ce processus électoral.<br /> <br /> L’EGLISE DU CHRIST AU CONGO (ECC) INDIGNEE<br /> De son côté l’Eglise du Christ au Congo (ECC), a fait état dans un communiqué parvenu à la rédaction de Forum des As, qu’elle n’a envoyé aucun de ses membres pour battre campagne au profit d’un quelconque candidat, parti politique, encore moins un regroupement politique. Et de poursuivre que l’Eglise protestante reste "résolue à jouer son rôle prophétique en RDC ".<br /> A ce propos, dans la liste de l’équipe de campagne d’Emmanuel Ramazani Shadary présentée le weekend dernier, le nom de Mgr Milenge Mwenelwata, deuxième vice-président de l’ECC y figurait. Emma MUNTU

Politique EVALUATION DU PROCESSUS ÉLECTORAL : L’ÉPISCOPAT CATHOLIQUE EN ASSEMBLÉE DU 20 AU 22 NOVEMBRE

*Pour sa part, l’Eglise protestante fait savoir dans un communiqué le mercredi 6 novembre, qu’elle n’a envoyé aucun de ses membres pour batt...

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A 45 JOURS DES ELECTIONS RDC : LES CONFESSIONS RELIGIEUSES SE MOBILISENT

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXmsIzX1wFYvze4GhkT7TSOXg4d-9qRepG1e05UORn7gLYxBbnkb3JYI0Z4X85DajNPk-DAhhe2QiVc9u8PghoI_HMRUenZB8Qu7P6YU6bdKZsbXwUTguwdG7twr9Yqqt5mJJe6_AY6trH/s1600/Snapshot_1617.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="742" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXmsIzX1wFYvze4GhkT7TSOXg4d-9qRepG1e05UORn7gLYxBbnkb3JYI0Z4X85DajNPk-DAhhe2QiVc9u8PghoI_HMRUenZB8Qu7P6YU6bdKZsbXwUTguwdG7twr9Yqqt5mJJe6_AY6trH/s400/Snapshot_1617.jpg" width="400" /></a>"Nous entendons prévenir plutôt que guérir, en vue d’obtenir des élections sans gap conflictuel majeur", a déclaré le président de la CIME, le Révérend Delphin Elebe, lors de l’ouverture, hier à Kinshasa, du Forum pour la paix et la réconciliation.<br /> A une quarantaine de jours de la tenue des élections présidentielle et législatives en République démocratique du Congo, les Confessions religieuses, réunies au sein de la Commission d’intégrité et de médiation électorale (CIME), sont déterminées à se placer au milieu du village en vue d’amener tous les fils et filles du pays, à un consensus autour des élections qui se veulent apaisées.<br /> <br /> C’est ce qui justifie la tenue du "Forum pour la paix et la réconciliation", ouvert hier mercredi 7 novembre à Kinshasa et dont les travaux se poursuivent jusqu’au samedi 10 novembre prochain. L’ouverture de ces assises a été précédée par une "messe pour la paix et la réconciliation", célébrée par Mgr Fridolin Ambongo, à la cathédrale Notre Dame du Congo.<br /> Dans son mot de bienvenue, le président de la CIME, le Révérend Elebe Kapalay Delphin, a déclaré que ces assises visent à promouvoir les pratiques de l’excellence qui garantissent les meilleures conditions de paix et de cohésion nationale avant, pendant et après la tenue effective des élections du 23 décembre prochain.<br /> A travers ces travaux, précise-t-il, la CIME n’entend nullement offrir un cadre d’opportunités des négociations politiques pour un partage des pouvoirs sur le dos du peuple congolais, " mais plutôt et ultimement de servir d’une table ronde de rencontre et d’harmonisation dans la mesure du possible de divers flux pour un atterrissage en douceur du processus électoral en cours ".<br /> <br /> DETERRER LES RACINES DU MAL<br /> Pour le Révérend Delphin Elebe, il est temps pour les fils et filles de la RDC de déterrer pour toujours les racines du mal et l’absence d’amour ayant longtemps endurci leur cœur dans les divisions, les frustrations, ainsi que les antivaleurs qui ont ruiné leurs espoirs et retarder la vocation des puissances de la nation congolaise.<br /> "Nous comprenons sans aucune équivoque. En tant que CIME, souligne-t-il, nous nous obligeons de faire de ce Forum un haut lieu de préventions de tout conflit électoral éventuel. C’est une prévention au maximum de tous les conflits entourant le processus électoral et les élections à venir que nous recherchons en amont, lorsque nous invitons toutes les parties et tous les acteurs à s’engager pour la paix ".<br /> "Nous entendons prévenir plutôt que guérir en vue d’obtenir des élections sans gap conflictuel majeur", renchérit le président de la CIME. C’est ainsi qu’il sollicite le concours de tous les Congolais, à travers les candidats à l’élection présidentielle, les chefs des partis et regroupements politiques, les leaders de la société civile, les chefs traditionnels et coutumiers, les responsables des institutions d’appui à la démocratie, les observateurs et experts en matière électorale, sans lesquels ce Forum ne pourra atteindre ces objectifs.<br /> <br /> LES EXPOSES DES ACTEURS POLITIQUES ET SOCIAUX <br /> AU MENU<br /> Plusieurs thèmes en rapport avec le processus électoral seront abordés ce jeudi par d’éminentes personnalités pour enrichir la culture de quelques 200 participants. L’Abbé Donatien Nshole parlera de l’Ethique électorale, avant que le président de la Ceni puisse faire l’état des lieux du processus électoral. Les points de vue de l’Opposition, du FCC et des Indépendants sur le processus électoral, ses écueils et comment les écarter seront également enregistrés. <br /> Coté gouvernement, le ministre des Finances, Yav Mulang, est attendu pour parler du financement du processus électoral et celui de l’Intérieur et sécurité va se pencher, à son tour, sur la problématique de la sécurisation du processus électoral.<br /> La journée de vendredi sera consacrée aux travaux en ateliers par les différents panels constitués. Le Forum sera sanctionné par des recommandations, ainsi que la signature d’un Acte d’engagement des leaders politiques et sociaux. MOLINA

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"Nous entendons prévenir plutôt que guérir, en vue d’obtenir des élections sans gap conflictuel majeur", a déclaré le président de...

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Suzuki Luzubu en colère contre les ex musiciens du Quartier Latin de KoffiOlomide pona ba mensonges racontés (VIDÉO)

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MIKE MUKEBAYI ASENGI FELIX ALAKISA DIPLOME D ' ETAT NA YE ET ALOBELI AMBONGO ATIKA MAKAMBU YA MACHINE A VOTER (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWXLNXmfR5BQoaxcC7uMq4gsB5f-O2kSUWUxp8rLcFT6dYOhti2MTpu9q5XmHZFBxBP7vL52ubhyphenhyphennuRaHPT4nN22C9nKekbbkgAaHvdW53EZIeuZRlPdS36TEU6O8G4QtIoX_3CKOZ0fQw/s1600/Snapshot_1615.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="382" data-original-width="640" height="238" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWXLNXmfR5BQoaxcC7uMq4gsB5f-O2kSUWUxp8rLcFT6dYOhti2MTpu9q5XmHZFBxBP7vL52ubhyphenhyphennuRaHPT4nN22C9nKekbbkgAaHvdW53EZIeuZRlPdS36TEU6O8G4QtIoX_3CKOZ0fQw/s400/Snapshot_1615.jpg" width="400" /></a></div> <br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="480" src="https://www.youtube.com/embed/wpktWS_B6DE" width="640"></iframe>

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