BA SANGO YA CONGO KINSHASA

QUELQUES PHOTOS CHOCS DU SOULÈVEMENT POPULAIRE AVORTÉ !

May 06, 2019

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Des centaines de partisans de MadMar ont convergé ce matin dans les rues de Kinshasa, pour protester contre l'acharnement du pouvoir envers leur leader, et pour dégager le régime.<br />
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La police a eu fort à faire pour venir à bout d'un tel raz de marré déferlant dans les rues de la ville, avant que l'Honorable Koko Ingila, porte-parole de Lamuka ne confirme sur Radio Okapi que l'invité avait renoncé à se rendre à la Police, obéissant au report annoncé par ladite police.<br />
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Les manifestants dégagent à peine les rues, par milliers...

Politique QUELQUES PHOTOS CHOCS DU SOULÈVEMENT POPULAIRE AVORTÉ !

Des centaines de partisans de MadMar ont convergé ce matin dans les rues de Kinshasa, pour protester contre l'acharnement du pouvoir...

RDC-Présidence de la République : le personnel impayé !

May 06, 2019

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Sollicitant l’anonymat, un agent de la Présidence pense que la conseillère du chef de l’État en charge des relations publiques devra intervenir, cela pour préserver un bon climat du travail. « Cette situation semble être entretenue, car ces arriérés étaient plus de deux, après la paie qui est intervenue entre temps, il nous en reste deux. Mais pour les hauts gradés ça peut faire plus de deux mois. Quant à moi, la conseillère du chef de l’État en charge des relations publiques devra en parler au chef. C’est aussi dans ces attributions de préserver un climat de travail entre le chef et ses collaborateurs, et le salaire est quelque chose de sacré ».<br />
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Le reporter de votre média en ligne n’a pas pu mettre la main sur la conseillère de Fatshi pour des éclaircissements sur ce dossier. Toutefois, cet article pourra susciter sa réaction pour édifier l’opinion publique congolaise et calmer ces agents de la Présidence qui murmurent déja.<br />
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Nzakomba.(scooprdc.net)

Politique RDC-Présidence de la République : le personnel impayé !

Des couloirs du palais de la nation, Scooprdc.net apprend que les membres du cabinet de Fatshi ne sont pas payés depuis déjà deux mois et la...

100 jours de Tshisekedi en RDC: «Les contraintes autour du président sont très réelles»

May 06, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQECot1PpXMlNgY8-pRgcVtGBRtlFoj0rdM41peyKYk0IQavEmirRO155sHJEh0in7V-Bq4kTuEnkruSy_7omz7pMBAZaPQmGfojuhz4AK_Inc73_ZuznmB_zCXxIwRiS3qAegx_4aM_mQ/s1600/Snapshot_241.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="339" data-original-width="676" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQECot1PpXMlNgY8-pRgcVtGBRtlFoj0rdM41peyKYk0IQavEmirRO155sHJEh0in7V-Bq4kTuEnkruSy_7omz7pMBAZaPQmGfojuhz4AK_Inc73_ZuznmB_zCXxIwRiS3qAegx_4aM_mQ/s400/Snapshot_241.jpg" width="400" /></a>100 jours après son arrivée au pouvoir, quel bilan pour Felix Tshisedki ? Quelle marge de manœuvre a le nouveau président congolais alors qu’il est venu au pouvoir suite à un accord politique avec le pouvoir sortant ? Stephanie Wolters, chercheuse pour l’Institut pour les stratégies sur la sécurité (ISS) et spécialiste de la République démocratique du Congo est l’invitée de Léa-Lisa Westerhoff.<br />
Quel bilan faites-vous des cent premiers jours au pouvoir de Félix Tshisekedi ?<br />
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Stephanie Wolters: Ce que nous pouvons dire, tout d’abord, c’est que les contraintes politiques, autour de lui, dues à la victoire du FCC dans les Assemblées provinciales, à l’Assemblée nationale et au Sénat, sont réelles.<br />
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Ensuite, je crois que Tshisekedi essaie de poser des grands axes comme par exemple la libération de quelques prisonniers politiques ou encore le fait que Moïse Katumbi puisse rentrer bientôt au pays. Ce sont là des gestes symboliques. On ne sait pas s’il va continuer sur cette voie mais je crois qu’il a compris qu’il fallait quand même montrer à la population qu’il est un peu différent.<br />
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Cependant, il est très difficile de parler d’un vrai bilan parce qu’il n’y a toujours pas de gouvernement ni de Premier ministre. Or, ce sera surtout à partir de là que l’on saura vraiment juger la direction que prendra ce gouvernement.<br />
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Comment cela ? A quel point ce gouvernement est-il crucial pour pouvoir juger l’action de Félix Tshisekedi ?<br />
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D’abord, cela nous dira qui, au sein de la famille politique de Kabila, est encore dans le circuit intérieur proche de Kabila. On saura un peu et ainsi comment les choses se dessinent au sein même de cette élite kabiliste du FCC. On saura aussi si Tshisekedi a pu quand même imposer sa volonté par rapport aux différents ministères. Évidemment, il y a les ministères-clé comme la Justice, la Défense, l’Intérieur ou celui de l’Economie. On sait que les différents partis se battent un peu pour avoir ces postes importants. On saura, par conséquent, à quel point Tshisekedi a pu ou non s’imposer.<br />
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En même temps, cela nous dira également beaucoup sur la direction que prendra le gouvernement. Si Kabila réussit et s’il met des gens que l’on connaît depuis longtemps – les caciques de son administration – à des postes-clés, on saura non seulement qu’il n’y a pas vraiment de changement mais aussi que Kabila lui-même n’est pas prêt à montrer qu’il prend la direction du changement.<br />
<br />
Vous dites que Félix Tshisekedi est contraint ?<br />
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Oui, absolument. La question que l’on se pose, c’est celle de savoir si Tshisekedi, en acceptant le deal politique qui a mis à l’écart le vrai vainqueur, a su à ce moment-là que l’Assemblée nationale allait avoir une majorité accablante FCC et que finalement cela n’allait pas lui donner beaucoup de marge de manœuvre.<br />
<br />
En tout cas, ce qui est sûr aujourd’hui, c’est que l’on voit les difficultés de ce compromis politique. Il y a, en effet, les ambitions de l’élite politique de Kabila et celles de Kabila lui-même qui vont à l’encontre des ambitions de Tshisekedi qui lui veut se montrer indépendant et montrer que c’est vraiment une nouvelle ère.<br />
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Pourquoi, selon vous, Félix Tshisekedi a-t-il lancé un programme très détaillé pour ses cent jours ?<br />
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Je crois que Tshisekedi est très conscient du fait que les gens n’ont pas voté pour lui. En même temps, les Congolais semblent avoir accepté cette nouvelle réalité mais pour combien de temps ? Ils l’ont d’abord acceptée parce qu’ils croyaient qu’il y avait une opportunité ou encore une possibilité de changement de par le départ de Kabila et c’est pourquoi Tshisekedi et les gens autour de lui savent très bien qu’il faut au moins essayer de donner l’image d’une vraie présidence Tshisekedi et de poser des actes pour se démarquer.<br />
<br />
Est-ce que ce n’est pas un peu risqué puisqu’on le voit, cent jours après, il y a un certain nombre de grands travaux, en effet, de routes qui ont été construites mais aussi tout un tas de promesses qui n’ont pas été tenues ? On a le sentiment qu’il y a un décalage entre les annonces notamment au sein de ce programme et la réalité aujourd’hui.<br />
<br />
Il n’a pas les moyens de sa politique. Il n’a pas du tout la mainmise sur l’appareil sécuritaire et il n’a même pas encore la mainmise sur les finances de l’État. Il a une équipe qui est jeune et qui est en train de s’habituer à ce travail. Il y a donc énormément de défis pour qu’il puisse commencer réellement à traiter les grands problèmes de la RDC, c’est-à-dire l’insécurité à l’Est, la corruption, la mauvaise gouvernance, l’état socioéconomique et tout cela. Je crois que là, il a peut-être trop promis. La question, c’est de voir si la population met le blâme sur Tshisekedi ou bien sur Kabila.<br />
<br />
Sur cette question de la rupture ou de la continuité, est-ce qu’on peut avoir un scénario du type angolais ? Est-ce que Félix Tshisekedi pourrait être le Lourenço de Kabila par exemple ?<br />
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En Angola, les contraintes autour de Lourenço étaient beaucoup moins importantes que celles autour de Tshisekedi. La dynamique est très différente. João Lourenço a dû se battre évidemment avec la famille Dos Santos et ceux qui y étaient liés. Tshisekedi doit, lui, se battre avec tout un système qui n’est pas parti, qui a sa force, ses institutions et qui a ses leviers politiques et constitutionnels. C’est très différent.<br />
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Un vrai changement est-il possible, en réalité, avec cette configuration ?<br />
<br />
Si Tshisekedi réussit à faire quelques avancées importantes et s’il a la volonté de prendre de vrais risques, je crois que oui, parce que le FCC ne restera pas toujours intact. C’est impossible que cette alliance de beaucoup de partis qui existe justement parce que Kabila était au pouvoir, reste intacte. Si des gens du FCC commencent à venir vers lui, cela changera peut-être tout doucement l’espace politique en RDC.<br />
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Source: RFI

Politique 100 jours de Tshisekedi en RDC: «Les contraintes autour du président sont très réelles»

100 jours après son arrivée au pouvoir, quel bilan pour Felix Tshisedki ? Quelle marge de manœuvre a le nouveau président congolais alors qu...

RDC : Rumeur de retour de Katumbi et retour du dossier Stoupis

May 06, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimWVDdtZwRJA4pjr-4UxVlnLGJPiuRNsxsxNmkWE3ZC7tNumQ6B1BwVTHF8wvfpBq7sqaEOZQvbfeXPx7jBMRlYnQMgbGmL_XvFyre0codM0DLbVc7WIx2_d9fRWRWi-yZJWaXe3vcZlGW/s1600/Snapshot_240.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="388" data-original-width="645" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimWVDdtZwRJA4pjr-4UxVlnLGJPiuRNsxsxNmkWE3ZC7tNumQ6B1BwVTHF8wvfpBq7sqaEOZQvbfeXPx7jBMRlYnQMgbGmL_XvFyre0codM0DLbVc7WIx2_d9fRWRWi-yZJWaXe3vcZlGW/s400/Snapshot_240.jpg" width="400" /></a>Depuis la libération et le classement sans suite du dossier contre les gardes du corps de Moïse Katumbi dans le dossier des mercenaires et l’annulation du jugement dans le dossier Stoupis, du nom de ce ressortissant grec qui accusait Moïse Katumbi de spoliation d’un immeuble à Lubumbashi, plus aucun dossier judiciaire ne se dresse sur la route du retour de l’ancien gouverneur du Katanga. D’autant plus que celui qui est devenu le coordonateur de Lamuka est désormais en possession de son nouveau passeport congolais.<br />
<br />
Il n’en fallait pas plus pour relancer les spéculations sur un retour prochain de Moïse Katumbi en République démocratique du Congo. Si l’homme se tait depuis plusieurs semaines, dans les rangs du FCC certains parient sur un retour imminent. « Et certains parmi ceux qui ont profité de son absence pour accaparer ses business ou qui ont manipulé la justice pour le tenir éloigné du pays sont très nerveux ces derniers jours ». Une « inquiétude » qui pourrait expliquer le point presse organisé un week-end par les avocats de Stoupis pour annoncer que leur client entendait relancer l’affaire de l’immeuble « spolié » devant les juges.<br />
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Le dossier qui avait été présenté comme une « mascarade » par les évêques congolais qui ont rencontré tous les intervenants de ce dossier peut-il revenir devant les juges et pourrait-il empêcher un retour de Moïse Katumbi en RDC?<br />
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Pour maître Mukendi, le bâtonnier de Kinshasa, avocat de Moïse Katumbi, « Le jugement du tribunal de paix de Kamalondo qui condamnait Moïse Katulbi a été annulé par l’arrêt de la Cour de Cassation. Il n’y a dès lors pas de recours possible et cet arrêt est coulé en force de chose jugée. S’il est juridiquement possible de relancer l’affaire, le dossier se heurtera à l’obstacle de la prescription qui avait déjà été invoquée dans la défense de Monsieur Katumbi lors du premier jugement ».<br />
<br />
L’avocat de Moïse Katumbi se veut particulièrement serein et poursuit en expliquant que « l’introduction éventuelle d’une nouvelle affaire ne sera pas un obstacle au retour de Moïse Katumbi qui bénéficie de la  présomption d’innocence » et d’ajouter : « Par contre M. Katumbi fera usage de son droit à introduire une action reconventionnelle pour action téméraire et vexatoire et réclamer ainsi des dommages et intérêts consistants. »<br />
<br />
Harcèlement ?<br />
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A Kinshasa, la thèse d’une reprise en main d’une « certaine forme de justice » contre les opposants par certains lieutenants de la Kabilie circule avec insistance. Jeudi 2 mai, on apprenait que Martin Fayulu était convoqué par la justice pour les propos qu’il aurait tenus contre le Félix Tshisekedi à son retour au pays le 28 avril. Le candidat à la présidentielle de Lamuka était convoqué ce lundi au bureau du casier judiciaire, à la Gombe. Une « invitation » qui a finalement été « postposée » après que Martin Fayulu ait appelé ses supporters à l’accompagner à ce rendez-vous. Quelques heures plus tard, c’est le dossier Stoupis qui refait surface. Le mot « harcèlement » est lâché par les proches des deux opposants qui n’entendent pas se laisser faire.<br />
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Source: Libre afrique

Politique RDC : Rumeur de retour de Katumbi et retour du dossier Stoupis

Depuis la libération et le classement sans suite du dossier contre les gardes du corps de Moïse Katumbi dans le dossier des mercenaires et l...

100 jours de Tshisekedi : « les cent premiers jours confirment que Félix Tshisekedi n’a aucun pouvoir » (Martin Fayulu)

May 06, 2019

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVGXEsIvCcGknbCJ1FCD1kYZ6V_nPeKeEj1X-pSXVrqAxWnPaWpXiob1lJ0es8hhjgeyYchsxltO-3yjlTLwNFr1oE_59wTbifqHfgMpC-CGTRi3uYXFddEqrI7hUWfqV6IVgZNHRP2M9H/s1600/Snapshot_236.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="446" data-original-width="688" height="258" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVGXEsIvCcGknbCJ1FCD1kYZ6V_nPeKeEj1X-pSXVrqAxWnPaWpXiob1lJ0es8hhjgeyYchsxltO-3yjlTLwNFr1oE_59wTbifqHfgMpC-CGTRi3uYXFddEqrI7hUWfqV6IVgZNHRP2M9H/s400/Snapshot_236.jpg" width="400" /></a></div>
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Les réactions fusent de partout après les cents jours à la tête du pays de Félix Tshisekedi. Martin Fayulu a fait savoir ce dimanche 05 mai 2019 a vertement critiqué l’actuel chef de l’Etat. Pour lui, Félix Tshisekedi n’a pas de pouvoir et demeure encore sous l’autorité de Joseph Kabila.<br />
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« Les cent premiers jours confirment que Félix Tshisekedi a été nommé par Kabila. Cents premier jours sans premier ministre, sans gouvernement. Pendant ce temps il recherchait la reconnaissance à l’extérieur du pays. C’est 100 jours pour confirmer que monsieur Félix Tshisekedi n’a aucun pouvoir », a indiqué Martin Fayulu sur les ondes de Radio France Internationale.<br />
<br />
Et de poursuivre : « S’il avait un pouvoir, il allait nommer un premier ministre pour le gouvernement. S’il avait le pouvoir, les gouverneurs allaient faire allégeance à lui et non à Kabila. S’il avait le pouvoir, il allait contrôler tous ce qui se passe dans le pays. Il contrôle absolument rien ».<br />
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Pour Martin Fayulu, les congolais souffrent et croupissent dans la misère. « Les congolais souffrent. Il y a l’insécurité partout et cette épidémie d’Ebola qu’on n’arrive pas à contrôler. On devait s’occuper de ça. Le pays croupit dans la misère totale ».<br />
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Les congolais attendent avec impatience le bilan de ces 100 jours du président Félix Tshisekedi comme promis par le chef de l’Etat.<br />
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Politique 100 jours de Tshisekedi : « les cent premiers jours confirment que Félix Tshisekedi n’a aucun pouvoir » (Martin Fayulu)

Les réactions fusent de partout après les cents jours à la tête du pays de Félix Tshisekedi. Martin Fayulu a fait savoir ce dimanche 05 m...

100 jours : la société civile « note » la libération des prisonniers politiques et des « initiatives concrètes » pour éradiquer l’insécurité à l’Est

May 06, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7uzEdZ90KIkOHFIk3S_aj83gRGQ0aCdnBpQKfVUmh4NWynQ-xX4s9pxkMTjBbDJ1nneRFUYSrVU7W_eM9OmLLFxuAxLpkJGSRHlLAMN0oAV8Cq8LRFZ6n9-Ekmx7GG-oNF8UjCvb8w23Z/s1600/received_361817704661086-1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="960" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7uzEdZ90KIkOHFIk3S_aj83gRGQ0aCdnBpQKfVUmh4NWynQ-xX4s9pxkMTjBbDJ1nneRFUYSrVU7W_eM9OmLLFxuAxLpkJGSRHlLAMN0oAV8Cq8LRFZ6n9-Ekmx7GG-oNF8UjCvb8w23Z/s400/received_361817704661086-1.jpeg" width="400" /></a>Durant les cent premiers jours du pouvoir de Félix Tshisekedi, la société civile a noté la liberation des prisonniers politiques, la fermeture des lieux de détention des services de sécurité et des initiatives concrètes pour éradiquer l’insécurité à l’Est du pays. C’est ce qu’a indiqué Maître Georges Kapiamba, président de l’ACAJ à CAS-INFO ce dimanche.<br />
<br />
En outre, il dit noter également l’ouverture de l’espace politiumque, l’exercice des libertés publiques dont celle de manifestation et réunion publiques, des actions concrètes marquant l’engagement de lutte contre l’impunité dont les poursuites judiciaires des policiers impliqués dans la répression de la manifestation publique des étudiants à Lubumbashi, l’augmentation des salaires.<br />
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Cependant, Maitre Georges Kapiamba souligne quelques points négatifs pendant ces cent jours. « L’absence de Gouvernement, peu de résultats en ce qui concerne la lutte contre la corruption », a-t-il souligné.<br />
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Prince Ndongo

100 jours : la société civile « note » la libération des prisonniers politiques et des « initiatives concrètes » pour éradiquer l’insécurité à l’Est

Politique 100 jours : la société civile « note » la libération des prisonniers politiques et des « initiatives concrètes » pour éradiquer l’insécurité à l’Est

Durant les cent premiers jours du pouvoir de Félix Tshisekedi, la société civile a noté la liberation des prisonniers politiques, la fermetu...

Les 100 jours de Tshisekedi, de la volonté et des questions

May 06, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmT0RGo_hmhLsq8d1lkFJfzRtchxDN8liwnyCcwQwbB2dnwqakQqs2HBp4LMC3L6Uiv64-UPQgipmSzTs8QwF3ZEiXd8zcYoajcpSSpH1_Zvdk88Hr0gQUlhtqctzYssgPF7EjehRC26eo/s1600/Snapshot_234.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="558" data-original-width="892" height="250" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmT0RGo_hmhLsq8d1lkFJfzRtchxDN8liwnyCcwQwbB2dnwqakQqs2HBp4LMC3L6Uiv64-UPQgipmSzTs8QwF3ZEiXd8zcYoajcpSSpH1_Zvdk88Hr0gQUlhtqctzYssgPF7EjehRC26eo/s400/Snapshot_234.jpg" width="400" /></a>Le nouveau président congolais Félix Tshisekedi fêtait ses 100 premiers jours à la tête du pays ce dimanche 5 mai 2019. Une période incontournable pour tout dirigeant nouvellement entré en fonction. Pour la RDC, qui célèbre également sa première alternance au sommet de l’État, c’est un président volontaire et dynamique, que les Congolais ont découvert au cours de 100 derniers jours. Mais dans un mandat quasiment de cohabitation, avec le clan Kabila, « Fatshi », aura-t-il les coudées franches pour réaliser ses promesses ?<br />
<br />
Cela faisait longtemps depuis Mobutu que les Congolais avaient vu un président aussi proche du peuple. Ce commentaire qui revient assez régulièrement depuis le 24 janvier 2019, date à laquelle Félix Tshisekedi a été assermenté, témoigne du changement de style depuis trois mois et dix jours au plus haut sommet du pouvoir à Kinshasa . À l’écoute du congolais moyen, parfois un peu trop émotif quand il va ce jour-là jusqu’à réhabiliter une femme victime d’un conflit foncier, Félix Tshisekedi a cherché surtout à imprimer l’image d’un président des gens ordinaires.<br />
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Programme de secours<br />
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Mais devant d’immenses défis sociaux, économiques et des demandes en termes d’infrastructures, auxquels le pays fait face, le président comprend tout de suite que jouer le Père Noël n’était pas le meilleur moyen de préserver sa bonne image. Privé de la majorité au Parlement, empêtré dans d’interminables discussions sur la formation d’un nouveau gouvernement avec le FCC, la gourmande coalition de l’ancien président Joseph Kabila, le volontaire Tshisekedi se résout à lancer un programme de 100 jours. Qualifié de plan d’urgence, la feuille de route a pour objectif de montrer un président au travail. Résultat, routes, ponts, bâtiments, en quelques semaines seulement, quelques infrastructures sont construites ou réhabilitées. Mais avec un budget d’environs 80 millions de dollars alloué aux sites retenus, difficile de réaliser des miracles et de servir tout le monde. Idem pour les infrastructures sanitaires, les écoles et les logements sociaux, qui devront attendre le prochain gouvernement et les moyens beaucoup plus conséquents pour leur réalisation.<br />
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En attendant, Félix Tshisekedi fait carton plein dans le domaine de l’apaisement du climat politique et de droits de l’homme. En libérant notamment les prisonniers politiques. Restés derrière les barreaux malgré les accords de la Saint Sylvestre, les opposants Frank Diongo, condamné à 5 ans de prison pour outrage au Chef de l’État sous Joseph Kabila, l’avocat Firmin Yangambi, écroué en 2009 après une condamnation pour tentative d’organisation d’un mouvement insurrectionnel ou encore récemment les opposants Jean-Claude Muyambo et Eugène Diomi Ndongala qui n’ont cessé de dénoncer des procédures politiques. Tous ont retrouvé la liberté. Tandis que dans l’entourage du Chef de l’État on assure avoir fait fermer tous les cachots secrets de l’Agence nationale des renseignements (ANR). Comme le président l’avait promis dès les toutes premières minutes dans les habits de Président.<br />
<br />
Le peuple, d’abord ?<br />
<br />
Il faut dire qu’après les années Kabila marquées par des tensions et la défiance mutuelle entre l’opposition et l’ancien régime, en 100 jours, Félix Tshisekedi a inauguré une nouvelle ère dans les rapports entre le pouvoir et le premier cité. « Sous ma présidence aucun Congolais ne sera iniquité pour avoir émis ses opinions », répète le Chef de l’État. Alors que, de la parole aux actes, son principal opposant Martin Fayulu, n’en finit pas d’occuper la rue dans une quasi indifférence de la présidence de la république. De quoi honorer le credo de l’Udps, son parti, et de son père, à savoir, la restauration d’un État en RDC ? Félix Tshisekedi s’en tirera incontestablement avec la mention très grande distinction.<br />
<br />
Mais le fils d’Étienne Tshisekedi le sait, ce n’est pas sur le terrain de l’amnistie en faveur des politiciens que la grande majorité de Congolais l’attendent. Pour réaliser le slogan « Le peuple d’abord » laissé par l’ancien opposant historique, le successeur de Joseph Kabila aura besoin de bien plus que la volonté de vider les prisons. Saura-t-il convaincre ses partenaires du FCC, ultra dominateurs dans toutes les autres institutions, à prioriser le bien-être social de la population ? Tel est le défi du nouvel homme fort du pays  durant non pas les 100 jours mais tout le quinquennat.<br />
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Par Yvon Muya

Politique Les 100 jours de Tshisekedi, de la volonté et des questions

Le nouveau président congolais Félix Tshisekedi fêtait ses 100 premiers jours à la tête du pays ce dimanche 5 mai 2019. Une période incontou...

RDC : Une Mission D’audit Parlementaire Aux Trousses D’André Kimbuta

May 06, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjltC65SxTnvvnyhFN3QIs3moIr1PUNkVpDhZo1U7Kf_rlV1Z03MtIVAQgdOCf2QztQ1LLqpG7DaFk_V98TeuFGkiWrM0_cL_qmed_IdOe5FgreikzSSLI8mEai-Y4XpsOQkwP8s5yll4q3/s1600/Snapshot_233.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="437" data-original-width="584" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjltC65SxTnvvnyhFN3QIs3moIr1PUNkVpDhZo1U7Kf_rlV1Z03MtIVAQgdOCf2QztQ1LLqpG7DaFk_V98TeuFGkiWrM0_cL_qmed_IdOe5FgreikzSSLI8mEai-Y4XpsOQkwP8s5yll4q3/s400/Snapshot_233.jpg" width="400" /></a>L’assemblée locale a décidé, au cours de sa plénière du 2 mai, d’auditer la gestion des finances de l’Hôtel de ville sur les onze dernières années.<br />
Après douze années passées à la tête de Kinshasa, l’ancien gouverneur, André Kimbuta, se trouve dans le viseur de l’Assemblée provinciale de cette ville qui lui demande des comptes. Sous la férule de leur président, Godefroid Mpoyi, les députés provinciaux de Kinshasa veulent en découdre avec le « Haut Sommet » dont la gestion de la ville-capitale n’aura pas été à la hauteur des attentes.<br />
<br />
Une commission parlementaire chargée d’enquêter sur les finances de la ville a été mise sur pied au cours de la plénière du 2 mai. On y retrouve, outre les députés provinciaux, des experts des cabinets et de l’administration de cette institution législative provinciale. Après Roger Nsingi, l’ancien président de l’Assemblée provinciale, débusqué dans une affaire de détournement des véhicules affectés au service de l’institution, c’est au tour d’André Kimbuta de se justifier sur certains faits de gestion.<br />
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En attendant de remonter à l’ancienne autorité urbaine, son ex-ministre provincial des Finances est déjà dans le collimateur des députés provinciaux. Du surendettement de la ville aux comptes parallèles ou fictifs en passant par les arriérés des salaires des ministres provinciaux, des membres de leurs cabinets, des fonctionnaires de l’Assemblée provinciale ainsi que ceux rattachés à l’administration de la ville, ce ne sont pas des sujets qui manquent.<br />
<br />
<br />
<br />
Le nœud du problème reste cristallisé, à en croire des indiscrétions recueillies dans les couloirs de cette assemblée locale, autour de l’ouverture de plusieurs comptes parallèles ainsi que de l’affectation des crédits à hauteur de six et quatorze millions de dollars américains contractés auprès des banques entre les mois de juin et octobre derniers. Quand bien même les proches de l’ancien gouverneur allèguent que la loi sur la décentralisation autorise chaque entité à trouver des ressources propres pour financer son programme d’action (allusion faite à l’ouverture d’une ligne de crédit bancaire), le doute persiste néanmoins sur l’affectation des ressources financières ainsi disponibilisées.<br />
<br />
Usant de ses prérogatives en tant que censeur de l’action de l’exécutif provincial, le président Godefroid Mpoyi est en train d’imprimer sa marque en ne laissant rien passer.<br />
<br />
Source: lecongolai

Politique RDC : Une Mission D’audit Parlementaire Aux Trousses D’André Kimbuta

L’assemblée locale a décidé, au cours de sa plénière du 2 mai, d’auditer la gestion des finances de l’Hôtel de ville sur les onze dernières ...

LES 100 JOURS DE FATSHI… HORS COALITION

May 06, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbpxKlI2hRnI8UjszobAn4NBGz2wlNRK61bxa0cZxA8miQy_QhBkbHACMKMQZladQ_dG4b8klYnyhLPebevIjj5eWMZR6gLbYXBXbXPFDolW-ncJLJtOY6sgKAQl7i1guy0XSnIDvMvmXl/s1600/Snapshot_230.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="345" data-original-width="519" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbpxKlI2hRnI8UjszobAn4NBGz2wlNRK61bxa0cZxA8miQy_QhBkbHACMKMQZladQ_dG4b8klYnyhLPebevIjj5eWMZR6gLbYXBXbXPFDolW-ncJLJtOY6sgKAQl7i1guy0XSnIDvMvmXl/s400/Snapshot_230.jpg" width="400" /></a>Depuis l'Américain Roosevelt avec ses 100 premiers jours à la Maison -Blanche sous le signe du New Deal-nouvelle donne-, la formule a fait florès. Même sous les Tropiques. Cinquième Président de la RDC, Félix-Antoine Tshisekedi y est allé de ses 100 jours. On y est.<br />
L'heure du bilan ? Trop tôt. Ici comme ailleurs, ce n'est pas en un peu plus d'un trimestre que l'on peut redresser la situation d'un pays. Surtout quand les défis sont himalayens et les urgences exponentielles comme c'est le cas pour la RDC.<br />
N'empêche. Les 100 jours permettent d'imprimer sa marque, de montrer l'épaisseur de la volonté politique et d'amorcer les actions. Bref, une espèce de hors -d'œuvre avant le plat de résistance. Or, l'entrée est souvent une indication pour la suite du menu.<br />
Alors, quid des 100 jours du successeur de Joseph Kabila ? Pas facile de trancher dans un pays où chacun voit midi devant sa porte. Comme Jean Cocteau pour qui l'amour n'existe pas, mais seules les preuves de l'amour, on peut revisiter les 100 jours de FATSHI à l'aune des faits.<br />
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Même si la dynamique est antérieure au 24 janvier, les mesures dites de décrispation politique ont atteint la vitesse de croisière avec l'avènement de Félix-Antoine Tshisekedi. Plus un seul cas estampillé "emblématique" lors de la grand-messe du Centre interdiocésain en prison.<br />
La tendance est aussi à fermer tous les amigos et à interdire d'interdire sur toute la ligne. Une démarche certes très démocratique, mais qui dans un espace où les acteurs ont des agendas multiples pourrait vite montrer ses limites.<br />
Sur le front économico-social, la réhabilitation des infrastructures -routes, ponts, voirie urbaine- est de saison. La promesse de requalification du salaire des fonctionnaires et de la solde des militaires ainsi que des policiers a été articulée. Reste la concrétisation. Et bien sûr la proportion.<br />
Plus fondamentalement, il est politiquement malaisé de parler stricto sensu de 100 premiers jours de FATSHI sans gouvernement. Car, régime semi-présidentiel oblige, la vision du Président est mise en œuvre par le Gouvernement. Le contexte de coalition renforce ce binôme.<br />
Cela n'a pas empêché le Président et ses stratèges d'appliquer subtilement, avant la mise sur pied du Gouvernement, le "fameux chacun pour soi et Dieu pour tous". D'où les cent jours non de la coalition CACH-FCC, mais du Président Tshisekedi. José NAWEJ

Politique LES 100 JOURS DE FATSHI… HORS COALITION

Depuis l'Américain Roosevelt avec ses 100 premiers jours à la Maison -Blanche sous le signe du New Deal-nouvelle donne-, la formule a fa...

A L’APPROCHE DE L’ « ACCOUCHEMENT » D’UN NOUVEAU GOUVERNEMENT PAS DE MALAISE À LA PRIMATURE

May 06, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMqWEucsmYzNlKegG1aqxbENHaaHnoVKy2j4YU2GAuIjiEP1u8L0sUo2kNP6BLe6NrYTQM8CIM2hmDw0k7HhD02oTRSe6F3OBVIc1vCUNKi6ikqUckaVQeNss8wNm2kQQ9dBaiGmCdN6we/s1600/Snapshot_228.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="434" data-original-width="581" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMqWEucsmYzNlKegG1aqxbENHaaHnoVKy2j4YU2GAuIjiEP1u8L0sUo2kNP6BLe6NrYTQM8CIM2hmDw0k7HhD02oTRSe6F3OBVIc1vCUNKi6ikqUckaVQeNss8wNm2kQQ9dBaiGmCdN6we/s400/Snapshot_228.jpg" width="400" /></a>Constat après une « petite saison » à la Primature : RAS comme « rien à signaler ». Le cabinet du Premier ministre Tshibala carbure comme à l’accoutumée tout en attendant la passation –là aussi pacifique- de pouvoir avec le prochain chef du Gouvernement. Pas l’ombre d’un malaise sur l’avenue Roi Baudoin. Confirmation du Directeur de cabinet en personne.<br />
Costume cravate de rigueur, Bruno Tshibala était à sa tâche samedi 4 mai 2019. Avec lui, l’ensemble de son cabinet. Personnel politique comme celui d’appoint. L’intendance suit. A la tête du cabinet Tshibala depuis le 2 avril 2018, Jean-Félix Kamanda Dibwe dément dans toutes les langues l’existence d’une moindre grogne à la Primature qui serait consécutive à 21 mois d’arriérés.<br />
« C’est archifaux sur toute la ligne. Pas de grogne. Même pas de plainte», jure la main sur le cœur le directeur de cabinet du Premier ministre. «On nous paie au même moment que toutes les autres institutions de la République. Nous n’accusons aucun mois d’arriéré. S’il y a un retard, c’est pour tout le monde. D’ailleurs, nous toucherons même le dernier mois presté. Avec les autres institutions, nous nous sommes entendus pour toucher nos indemnités de sortie avant de partir».<br />
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<br />
Quid alors de l’existence d’un mémo ou d’une lettre par lequel ou par laquelle des conseillers à la Primature auraient fait état de leurs arriérés de salaires ? « Rien de tout cela ici », réplique le patron du cabinet Tshibala. « De quelle lettre s’agit-il ? Qui en sont les signataires ? » se demande le Dircab. «Je n’ai jamais vu cette lettre » affirme Jean-Félix Kamanda.<br />
Puis, comme pour revenir au haut fait d’armes incontestable du Gouvernement Tshibala, Jean-Félix Kamanda rappelle aux uns et aux autres : « Nous avons travaillé âprement pour les élections. Nous sommes heureux d’avoir réalisé un travail correct-le financement et la sécurisation des élections - qui a débouché sur la passation pacifique de pouvoir. Nous avons payé cash ».<br />
Comme à titre d’information ou de rappel –c’est selon-, le Directeur de cabinet du Premier ministre souligne que la masse salariale de la Primature est restée la même depuis plusieurs années. Mais, en fonction des contingences politiques et de spécificités de la mission de tel ou tel Premier ministre, les émoluments des membres du Cabinet peuvent varier.<br />
De fait, on peut aimer ou ne pas aimer Bruno Tshibala, l’histoire retiendra que c’est sous son mandat à la tête du gouvernement que les élections porteuses d’alternance pacifique ont été organisées. Et, pour renforcer le caractère historique du cru électoral 2018, c’est un fils UDPS- au propre comme au figuré – qui accède enfin à la magistrature suprême.<br />
Occupé à la fois à tenir le gouvernail du bateau portant pavillon « Gouvernement d’union nationale » et à préparer la passation de pouvoir avec son successeur, Bruno Tshibala a toutes les raisons de boire du petit lait. Ceci explique sa sérénité et celle de son cabinet. FDA

Politique A L’APPROCHE DE L’ « ACCOUCHEMENT » D’UN NOUVEAU GOUVERNEMENT PAS DE MALAISE À LA PRIMATURE

Constat après une « petite saison » à la Primature : RAS comme « rien à signaler ». Le cabinet du Premier ministre Tshibala carbure comme à ...

RDC: L’artiste musicien José Nzita s’est remarié à Rachel Muzozona le samedi 04 mai

May 05, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwFa8fekwnZPQ8tPGGyKjuAs7T2XMito2xhV8KlQ24o7nMawgCX9l_eSjvkAy3qjEe5Lqin3WyXyW-OXrEiUg0RRxBjy7pDi_Q0Hn3AdogxkOB9aZUbW5YMEoWgpayokjYbBojA3hBRh6Y/s1600/59778425_2274512132595468_7813113520848896000_n.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="474" data-original-width="712" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwFa8fekwnZPQ8tPGGyKjuAs7T2XMito2xhV8KlQ24o7nMawgCX9l_eSjvkAy3qjEe5Lqin3WyXyW-OXrEiUg0RRxBjy7pDi_Q0Hn3AdogxkOB9aZUbW5YMEoWgpayokjYbBojA3hBRh6Y/s320/59778425_2274512132595468_7813113520848896000_n.jpg" width="320" /></a></div>Il aura fallu plus d’une année au chantre de l’Éternel José Nzita pour trouver encore l’oiseau rare de son coeur après le divorce avec son ancienne épouse.<br />
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<iframe src="https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fsangoyacongo1%2Fposts%2F2274513415928673&width=500" width="500" height="669" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true" allow="encrypted-media"></iframe><br />
Le patron de l’orchestre Mélodie du ciel a célébré son mariage coutumier ou traditionnel, hier samedi 04 mai, avec son charmante épouse Rachel Muzozona qui s’appellera désormais Rachel Nzita.<br />
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Comme son ex-épouse, Rachel est aussi l’une des chanteuses du groupe musical de José Nzita.<br />
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Lydia Mavangu

Art Au tour de Kinshasa Musique Religion RDC: L’artiste musicien José Nzita s’est remarié à Rachel Muzozona le samedi 04 mai

Il aura fallu plus d’une année au chantre de l’Éternel José Nzita pour trouver encore l’oiseau rare de son coeur après le divorce avec son a...

RDC: l’auteur de la plainte contre Martin FAYULU est un cadre de l’UNC de Vital KAMERHE

May 05, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgX_QnHcdYFLqWKmbVfjpIxneMxAoiWNlczLjiSkqBxrX58lAlgDbjxG3TUQ1OvO2YySTKJheGQsK956dBVIDk-fhAqBZZYUIlhwvltnBO9s2f0THfHAtRLqAmX7kgUq9neoOTUyEXuNFkP/s1600/Snapshot_219.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="384" data-original-width="441" height="347" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgX_QnHcdYFLqWKmbVfjpIxneMxAoiWNlczLjiSkqBxrX58lAlgDbjxG3TUQ1OvO2YySTKJheGQsK956dBVIDk-fhAqBZZYUIlhwvltnBO9s2f0THfHAtRLqAmX7kgUq9neoOTUyEXuNFkP/s400/Snapshot_219.jpg" width="400" /></a>De source digne de foi, nous avons appris que Mr Jean Claude NGOYI LUFULUABO auteur de la plainte déposée à la Cour de cassation contre Martin FAYULU, serait un cadre de l’Union pour la Nation Congolaise parti cher à Vital Kamerhe qui se trouve être le directeur de cabinet du Président de la République Félix Tshisekedi.<br />
D’après la même source, l’auteur de la plainte contre Martin FAYULU a été reçu le lundi 29 avril à la cité de l’Union Africaine par Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe, soit un jour seulement après le meeting de celui qu’on surnomme le commandant du peuple à la place Sainte Thérèse. Cette rencontre a eu comme objectif indique notre source de mettre tout en œuvre pour faire taire à jamais Martin FAYULU qui continue à contester l’élection de Félix Tshisekedi.<br />
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<br />
Il faut signaler que la police judiciaire a adressé une invitation au candidat malheureux de la présidentielle du 30 décembre 2018, ce lundi 06 mai pour quelques renseignements utiles.<br />
<br />
Cleverly Dylan Gaye

Justice RDC: l’auteur de la plainte contre Martin FAYULU est un cadre de l’UNC de Vital KAMERHE

De source digne de foi, nous avons appris que Mr Jean Claude NGOYI LUFULUABO auteur de la plainte déposée à la Cour de cassation contre Mart...

RDC: Tshisekedi, les 100 jours d’un président qui ne gouverne pas totalement

May 05, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgBmkRKti8l-O3nZVrSKCFEDBdS28imf75EeRVS0Pm99G_lDOMw0Y0nhSHX4o5LOoYWL0UpGp91H9zI1qnT9YpMgFfbE1sGQZADXSpeT_f48znyTlIQ7GEkU7ot7Yqd9SrCtR2uNZAFn5R/s1600/Snapshot_169.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="302" data-original-width="517" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgBmkRKti8l-O3nZVrSKCFEDBdS28imf75EeRVS0Pm99G_lDOMw0Y0nhSHX4o5LOoYWL0UpGp91H9zI1qnT9YpMgFfbE1sGQZADXSpeT_f48znyTlIQ7GEkU7ot7Yqd9SrCtR2uNZAFn5R/s400/Snapshot_169.jpg" width="400" /></a>Une détente politique évidente, des initiatives fortes mais pas de vraie décision régalienne, à commencer par le choix d’un Premier ministre: tel apparaît le bilan des 100 premiers jours du nouveau président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, entravé par un accord de coalition avec son prédécesseur Joseph Kabila.<br />
<br />
Le climat politique s’est apaisé depuis l’investiture le 24 janvier de M. Tshisekedi, proclamé vainqueur de l’élection présidentielle du 30 décembre. Factuellement, il s’agit de la première transmission pacifique du pouvoir dans l’histoire agitée de la RDC.<br />
<br />
Cette première alternance sans effusion de sang a rassuré la communauté internationale, mais son résultat est contesté par l’autre opposant Martin Fayulu qui revendique la victoire avec 60% des voix. L’Eglise catholique lui donne raison, sur la foi des procès-verbaux de ses 40.000 observateurs déployés dans les bureaux de vote le jour du scrutin.<br />
<br />
Impensable sous la présidence Kabila, les manifestations de l'opposition autour de M. Fayulu pour la "vérité des urnes" sont aujourd'hui autorisées et encadrées, et même diffusées à la télévision publique (RTNC).<br />
<br />
M. Fayulu a néanmoins été convoqué par la justice pour ses déclarations dimanche appelant à la démission de M. Tshisekedi, qui s’est engagé encore vendredi à défendre la liberté de la presse.<br />
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Le patron de la redoutable Agence nationale de renseignements (ANR) Kalev Mutond a été remplacé au point de se plaindre auprès de l’AFP des pressions présumées de son successeur sur une chaîne de télévision pro-Kabila.<br />
<br />
Des prisonniers du mouvement citoyen Filimbi ont été libérés. La justice congolaise a annulé la condamnation à trois ans de prison de l'opposant en exil Moïse Katumbi puis a abandonné des poursuites à l'encontre de ses gardes du corps dans une affaire de recrutement présumé de mercenaires.<br />
<br />
Des poursuites judiciaires ont été lancées contre des policiers impliqués dans des répressions d'une manifestion d'étudiants. Soupçonnés de corruption, des mandataires d’entreprises publiques et le ministre des Affaires foncières ont été suspendus.<br />
<br />
Depuis sa prise de fonction, le président Tshisekedi a multiplié les déplacements, d’abord à l’étranger et puis dans les provinces.<br />
<br />
- 'Déboulonner le système dictatorial' -<br />
<br />
Il a été reçu aux Etats-Unis, dont l’ambassadeur à Kinshasa ne lui ménage pas les signes de soutien.<br />
<br />
"Je suis là pour déboulonner le système dictatorial qui était en place", a lancé M. Tshisekedi à Washington. Des propos publiquement dénoncés par la coalition pro-Kabila du Front commun pour le Congo (FCC), qui dispose d’une vaste majorité au Parlement.<br />
<br />
A l’intérieur, M. Tshisekedi travaille son image de président-bâtisseur dans le plus vaste pays d’Afrique sub-saharienne qui manque d’infrastructures. Des travaux ont été lancés à Kinshasa et dans des provinces dans le cadre de ces cent premiers jours.<br />
<br />
Lors d’un déplacement dans le Nord-Kivu, M. Tshisekedi a dénoncé et menacé les responsables politiques qui manipulent les groupes armés. Il n’a cependant pas mis en œuvre sa promesse de campagne : déménager l’Etat major dans l’Est congolais où des dizaines de milices menacent les civils.<br />
<br />
Le président congolais n’a pas non plus exercé le pouvoir régalien par excellence d’un chef de l’Etat à qui la Constitution donne beaucoup de pouvoir: nommer le Premier ministre.<br />
<br />
La raison est simple. Il ne peut pas décider seul. Le chef de l’Etat a d’ailleurs rencontré deux fois son prédécesseur depuis son investiture. Son Premier ministre doit être en toute logique issu des rangs de la coalition pro-Kabila, ultra-majoritaire au Parlement, dans les assemblées provinciales et dans les gouvernorats des 26 provinces.<br />
<br />
Pour les 100 premiers jours, "les points négatifs sont l'absence de gouvernement, peu de résultats en ce qui concerne la lutte contre la corruption", résume Georges Kapiamba, président de l'Association congolaise pour l'accès à la justice (Acaj).<br />
<br />
"Nous restons inquiets sur la question de la lutte contre la corruption (...) compte tenu de l’emprise des anciens gestionnaires de la République sur les institutions nationales et provinciales", a réagi auprès de l'AFP Jonas Tshiombela, porte-parole du CLC, le collectif catholique qui avait appelé aux marches anti-Kabila de 2017 et 2018.<br />
<br />
Signe des marges de manœuvre limitées du nouveau préside, la dépouille de son père, l’opposant historique Etienne Tshisekedi mort à Bruxelles le 1er février 2017, repose toujours en Belgique. Son fils avait pourtant promis une inhumation dès que possible au pays des ancêtres s’il était élu.<br />
<br />
Par Marthe BOSUANDOLE, Samir TOUNSI<br />
AFP

Politique RDC: Tshisekedi, les 100 jours d’un président qui ne gouverne pas totalement

Une détente politique évidente, des initiatives fortes mais pas de vraie décision régalienne, à commencer par le choix d’un Premier ministre...

Bilan 100 jours Tshisekedi : « Les gens doivent être patients, il est trop tôt pour le juger. Nous devons soutenir le chef de l’État », (Olive Lembe)

May 05, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0t1YPYUsRvN4MXlVWrfWTnPdziaem1voyYdsqPJ8lmgSZjozOPjUeSpnImSPjNyGkYqUHVfFDwh5FKsUnkOJekiSjdg7VkNsWgeXoizVjvAb29M_vJQ8SBal3iiwmv05f5r296h7pJxgy/s1600/Snapshot_188.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="420" data-original-width="828" height="202" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0t1YPYUsRvN4MXlVWrfWTnPdziaem1voyYdsqPJ8lmgSZjozOPjUeSpnImSPjNyGkYqUHVfFDwh5FKsUnkOJekiSjdg7VkNsWgeXoizVjvAb29M_vJQ8SBal3iiwmv05f5r296h7pJxgy/s400/Snapshot_188.jpg" width="400" /></a>Dans une déclaration samedi 04 mai 2019 depuis Masisi au Nord-Kivu, l’ex première Dame Olive Lembe Kabila, a invité tous les congolais à ne pas être pressés pour juger le bilan de 100 jours de Félix Tshisekedi au pouvoir.<br />
<br />
« Les gens doivent être patients, c’est trop tôt pour le juger. Nous devons donner du temps au président de la République, nous devons tous le soutenir, chacun dans son domaine nous devons soutenir le programme du chef de l’État. Ce n’est pas de la magie, ce n’est que le travail qui peut donner les résultats que nous attendons », a-t-elle déclaré.<br />
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Pour rappel, Félix Tshisekedi a totalisé ce 04 mai 2019, ses 100 premiers jours au pouvoir. Dans les réseaux sociaux et certains médias, les commentaires vont dans tous les sens au sujet du bilan des travaux de 100 jours d’urgence de Félix Tshisekedi.<br />
<br />
Jeff Kaleb Hobiang

Bilan 100 jours Tshisekedi : « Les gens doivent être patients, il est trop tôt pour le juger. Nous devons soutenir le chef de l’État », (Olive Lembe)

Politique Bilan 100 jours Tshisekedi : « Les gens doivent être patients, il est trop tôt pour le juger. Nous devons soutenir le chef de l’État », (Olive Lembe)

Dans une déclaration samedi 04 mai 2019 depuis Masisi au Nord-Kivu, l’ex première Dame Olive Lembe Kabila, a invité tous les congolais à ne ...

Noël Tshiani : « Olive Lembe ferait mieux de demander à J. Kabila de laisser F. Tshisekedi choisir librement son premier ministre »

May 05, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1LjZpVMo_yPJvf4qzdMJjOIg5j-uzqN58GSOC653x6ks3UGZ-2OhWvIhwximHiUcwEu00toYU-7lGu9q3g9XCKl_FVUMhcCXpghueCsBUHdb7rXzM_2kXkQMW3PQSl5ZqOEg5kW56Y5ka/s1600/Snapshot_184.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="461" data-original-width="829" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1LjZpVMo_yPJvf4qzdMJjOIg5j-uzqN58GSOC653x6ks3UGZ-2OhWvIhwximHiUcwEu00toYU-7lGu9q3g9XCKl_FVUMhcCXpghueCsBUHdb7rXzM_2kXkQMW3PQSl5ZqOEg5kW56Y5ka/s400/Snapshot_184.jpg" width="400" /></a>Noël Tshiani Muadiamvita, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 30 décembre dernier, a réagi après les propos de l’ex première de la République, Olive Lembe Kabila appelant les congolais à la patience avant de juger les 100 premiers jours de l’actuel chef de l’État, Félix Tshisekedi.<br />
<br />
Pour l’auteur du « Plan Marshall » pour le développement de la RDC, Olive Lembe devrait plutôt demander à son mari Joseph Kabila de laisser à Félix Tshisekedi le champ libre pour choisir le premier ministre selon son gré.<br />
<br />
« Olive Lembe dit que les congolais doivent être patients car il est trop tôt de juger Félix Tshisekedi au bout de ses 100 premiers jours. Elle ferait mieux de demander à Joseph Kabila de laisser Félix Tshisekedi libre de choisir librement son premier ministre afin qu’il se mette au travail », a indiqué Noël Tshiani ce dimanche 5 mai via Twitter.<br />
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Lors de son déplacement dans la province de la Tshopo à Kisangani le 23 avril dernier où il a inauguré le pont Lubuya, le chef de l’État avait annoncé la nomination du premier ministre dans les prochains jours.<br />
<br />
Plus de 100 jours après sa prise de fonction, le 5ème président de l’histoire de la République Démocratique du Congo n’a toujours pas nommé un premier ministre en vue de la formation du gouvernement.<br />
<br />
En sa qualité d’autorité morale du Front Commun pour le Congo, « FCC », plateforme de gouvernement majoritaire à l’assemblée nationale, c’est à Joseph Kabila de désigner le prochain chef du gouvernement qui sera nommé par Félix Tshisekedi.<br />
<br />
Merveil Molo/Stagiaire

Politique Noël Tshiani : « Olive Lembe ferait mieux de demander à J. Kabila de laisser F. Tshisekedi choisir librement son premier ministre »

Noël Tshiani Muadiamvita, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 30 décembre dernier, a réagi après les propos de l’ex première ...

Fayulu : « Les 100 jours ont confirmé que Tshisekedi n’a aucun pouvoir. S’il avait le pouvoir, les gouverneurs devaient aller faire allégeance à lui et non à Kabila »

May 05, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbFbLod3_434tL1QL0hIWhuWsqUN0_m5E-Ogu4zBpG71VZvYYpxN9K6MSee5aMiiZdUAsHRte8WVdWumeA2rE9ppWfFjb2r90iXhGQae1DrKnGCzgM66RC4bGCgNI7kOasJeBOaHLenEcP/s1600/Snapshot_183.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="398" data-original-width="717" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbFbLod3_434tL1QL0hIWhuWsqUN0_m5E-Ogu4zBpG71VZvYYpxN9K6MSee5aMiiZdUAsHRte8WVdWumeA2rE9ppWfFjb2r90iXhGQae1DrKnGCzgM66RC4bGCgNI7kOasJeBOaHLenEcP/s400/Snapshot_183.jpg" width="400" /></a>Le président du parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement, « ECIDE », a, dans une interview accordée ce dimanche 5 mai à Radio France Internationale « RFI », fustigé le bilan des 100 premiers jours du chef de l’État depuis son accession au pouvoir<br />
<br />
Selon Martin Fayulu Madidi, le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a passé son temps à rechercher la reconnaissance sur le plan international.<br />
<br />
« Les 100 premiers jours confirment que monsieur Félix Tshisekedi a été nommé par Kabila. 100 premiers jours sans premier ministre, sans gouvernement. Pendant ce temps là, il recherchait la reconnaissance a l’extérieur du pays », a déclaré Martin Fayulu.<br />
<br />
Dans la foulée, celui qui se considère comme le commandant du peuple souligne que ces 100 jours ont également confirmé que le président de la République n’a aucun pouvoir.<br />
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« S’il avait un pouvoir, il allait nommer un premier ministre et le gouvernement. S’il avait le pouvoir, les gouverneurs devaient aller faire allégeance à lui et non à monsieur Kabila. S’il avait le pouvoir, il allait contrôler tout ce qui se passe dans le pays. Il ne contrôle absolument rien », conclut Martin Fayulu.<br />
<br />
Investi le 25 janvier dernier par la Cour Constitutionnelle, Félix Tshisekedi avait officiellement pris ses fonctions 24h après au terme de la cérémonie de la remise et reprise avec son prédécesseur Joseph Kabila Kabange.<br />
<br />
Jephté Kitsita

Fayulu : « Les 100 jours ont confirmé que Tshisekedi n’a aucun pouvoir. S’il avait le pouvoir, les gouverneurs devaient aller faire allégeance à lui et non à Kabila »

Politique Fayulu : « Les 100 jours ont confirmé que Tshisekedi n’a aucun pouvoir. S’il avait le pouvoir, les gouverneurs devaient aller faire allégeance à lui et non à Kabila »

Le président du parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement, « ECIDE », a, dans une interview accordée ce dimanche 5 ...

Affaire spoliation : « Le juge de la Cassation n’a ni acquitté ni innocenté Katumbi. Il a anéanti l’oeuvre du premier juge au motif qu’il y a eu dol », (Avocats Stoupis)

May 05, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIstpgESwMxuSRpY3jihavP3GP9jmx2R3PhdRTaA4KRNUXWXTjndP8MDSyEfrZ0jP64xPqu7AkhCnKAalM2ImW5VuhQbTnQKi7ZZDoSbOp0reJdX2JYpfbGlErC9M8P5pLjayLobRBoupQ/s1600/Snapshot_180.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="462" data-original-width="616" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIstpgESwMxuSRpY3jihavP3GP9jmx2R3PhdRTaA4KRNUXWXTjndP8MDSyEfrZ0jP64xPqu7AkhCnKAalM2ImW5VuhQbTnQKi7ZZDoSbOp0reJdX2JYpfbGlErC9M8P5pLjayLobRBoupQ/s400/Snapshot_180.jpg" width="400" /></a>Devant la presse ce dimanche 5 mai 2019 à Kinshasa, le collectif des avocats de Stoupis a tenu à faire une mise au point sur l’arrêt de la Cour de Cassation dans l’affaire de spoliation de l’immeuble.<br />
<br />
Selon ces avocats, le juge de la Cour de Cassation n’a pas du tout innocenté l’ancien gouverneur de l’ex province du Katanga.<br />
<br />
« Il y a eu plusieurs recours tant au Katanga qu’ici à Kinshasa. Au total, 13 recours tant par lui-même ou par son frère Katebe Katoto. Le dernier recours en date c’est la prise à partie. Contrairement à ce que les gens peuvent dire à gauche ou à droite, le juge de la Cassation n’a pas acquitté Moïse Katumbi Chapwe. Le Juge de la Cassation n’a pas innocenté Moïse Katumbi. Le juge de la Cassation a anéanti l’oeuvre du premier juge au motif qu’il y a eu dol », a déclaré le bâtonnier Cyprien Mbere Moba.<br />
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Dol dans le chef de qui poursuit-il, pas de Stoupis mais dans le chef du magistrat. Les faits qui opposent Katumbi à Stoupis n’ont pas été anéantis.<br />
<br />
« La Cour de Cassation n’a pas tranché. Les faits restent intacts. Les litiges restent entiers », ont martelé les avocats du grec Stoupis.<br />
<br />
Dans la foulée, ledit collectif appelle le chef de l’État a pesé de tout son poids pour que cette affaire ne soit pas politisée.<br />
<br />
« Il s’agit ici d’une affaire privée entre un expatrié propriétaire avéré et un autre compatriote qui n’a rien avoir avec les faits politiques. C’est ici le lieu d’en appeler au président de la République, son Excellence Félix Tshisekedi chef de l’État et garant de la Constitution et des droits de tous, de faire en sorte que cette affaire ne soit pas politisée », a indiqué ledit collectif.<br />
<br />
En outre, les avocats de Stoupis annoncent qu’ils vont se rendre dans les prochains jours à Lubumbashi pour poursuivre ce dossier.<br />
<br />
Jephté Kitsita

Affaire spoliation : « Le juge de la Cassation n’a ni acquitté ni innocenté Katumbi. Il a anéanti l’oeuvre du premier juge au motif qu’il y a eu dol », (Avocats Stoupis)

Justice Affaire spoliation : « Le juge de la Cassation n’a ni acquitté ni innocenté Katumbi. Il a anéanti l’oeuvre du premier juge au motif qu’il y a eu dol », (Avocats Stoupis)

Devant la presse ce dimanche 5 mai 2019 à Kinshasa, le collectif des avocats de Stoupis a tenu à faire une mise au point sur l’arrêt de la C...

Nord-Kivu : Les militants de la Lucha en sit-in devant le bureau de AIRTEL/Goma

May 05, 2019

<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXF6kRsQDCD9IDvzxWU1DFINYrArQb5S6PYoB6bnvMbGyKBzHoSYnsGn254xGN7M-LdVD1aS4j7EFv2BDQkfm2EihXgisJMVvcHVrT0_UmOUs9REYjtS7qM-ier5W74KDqWUpCYzux4j_M/s1600/nkulula_manifestation_lucha_rdc_0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="578" data-original-width="1023" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXF6kRsQDCD9IDvzxWU1DFINYrArQb5S6PYoB6bnvMbGyKBzHoSYnsGn254xGN7M-LdVD1aS4j7EFv2BDQkfm2EihXgisJMVvcHVrT0_UmOUs9REYjtS7qM-ier5W74KDqWUpCYzux4j_M/s400/nkulula_manifestation_lucha_rdc_0.jpg" width="400" /></a></div>
Les militants de la Lucha ont organisé, vendredi 3 mai, un sit-in devant le bureau de la compagnie cellulaire AIRTEL.<br />
<br />
Les activistes de la Lucha  reprochent à cette dernière une panoplie de griefs, entre autres la  surexploitation des clients qui utilisent Airtel money et la collaboration illicite de Airtel avec les associations des malfaiteurs qui pratiquent le Kidnapping dans la province, a constaté l’ACP.<br />
<br />
<br />
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<br />
<br />
Munis de banderoles sur lesquelles étaient écrites des revendications adressées à cette compagnie cellulaire, à savoir  » améliorer ses services« , les  kidnappeurs utilisent le réseau Airtel , ce qui prouve, selon les militants de la Lucha, une collaboration tacite avec eux.<br />
<br />
<br />
<br />
Le directeur d’AIRTEL s’est refusé toute déclaration à la presse vis-à-vis de ce sit-in, signale-t-on.

Politique Province Nord-Kivu : Les militants de la Lucha en sit-in devant le bureau de AIRTEL/Goma

Les militants de la Lucha ont organisé, vendredi 3 mai, un sit-in devant le bureau de la compagnie cellulaire AIRTEL. Les activistes de...

FELIX TSHISEKEDI CHEZ LE POÈTE LUTUMBA

May 05, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLmj_te8tFUPLMMVXc_j7gtsnF0ba4ecBg-a_fOFUcqXD84Qr04D2aHVYTgtsSNKy5a2XQqBGKiuijgNySrqpeoNy5wG7wne7VmwPWBKg61Ua-wa9jlyDBsWz7TWI296WoFYOQmDjcrr-t/s1600/57166033_3124207760926527_7050443817182298112_n.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="960" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLmj_te8tFUPLMMVXc_j7gtsnF0ba4ecBg-a_fOFUcqXD84Qr04D2aHVYTgtsSNKy5a2XQqBGKiuijgNySrqpeoNy5wG7wne7VmwPWBKg61Ua-wa9jlyDBsWz7TWI296WoFYOQmDjcrr-t/s400/57166033_3124207760926527_7050443817182298112_n.jpg" width="400" /></a></div>
<br />
<br />
Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a rendu dimanche au Palais du peuple, ses derniers hommages à l’artiste-musicien, auteur compositeur, guitariste et poète Lutumba Simaro Masiya décédé le 30 mars 2019 à Paris, en France, où il était parti pour des soins.<br />
<br />
A son arrivée, le  Président Félix Tshisekedi  s’est incliné devant la dépouille de l’illustre disparu, avant de saluer les membres de sa famille biologique et les   membres du gouvernement  présents à ces obsèques.<br />
<br />
Dans son oraison funèbre, le Premier ministre Bruno Tshibala Nzenzhe a  brossé à l’assistance la biographie de Lutumba Simaro, rappelant que celui-ci est né le 19 mars 1938 à Léopoldville, dans la commune de Lingwala des parents originaires du territoire de Madimba, au  Kongo central.  «La nation congolaise vient de perdre un artiste chevronné qui fut un des portes étendards de la musique congolaise, dont l’esprit de créativité, le talent artistique et le sens de modestie n’étaient plus à rechercher», a souligné Bruno Tshibala.<br />
<br />
Cet artiste qui tire sa révérence à 81 ans, après  60 ans de carrière musicale bien remplie, a  su œuvrer comme un éducateur, un auteur compositeur et un philosophe dont les œuvres transcendent les générations.<br />
<br />
Le Premier ministre Tshibala, a fait part à l’assistance du soutien de l’Etat congolais  au défunt, soulignant que, de son vivant, il fut élevé au rang des héros nationaux, un buste  dressé  en sa mémoire au croisement de l’avenue Nyangwe et Libération, dans la commune de Ligwala, sans  oublier la prise en charge médicale de ses soins à l’étranger ainsi que l’organisation de ses obsèques.<br />
<br />
Un temps d’expression artistique et de témoignages<br />
<br />
Par ailleurs,  le temps a été accordé  à la prestation de quelques artistes congolais, à l’instar de  Félix Wazekwa qui a cité  quelques derniers  proverbes du patriarche de la famille des musiciens, et du comédien Sai-Sai, qui a, dans un air  humoristique, confié  à l’assistance les dernières volontés de l’illustre disparu.<br />
<br />
On a aussi noté, la production en duo des artistes Manda Chante et… ainsi que  celle du groupe des anciens instrumentistes et chanteurs, constitué notamment de Verckys Kiamwangana et de Suzy Kaseya.<br />
<br />
Au chapitre des témoignages, l’artiste musicien Ngiama Werrason, a reconnu en son ainé, les qualités d’un homme modèle par sa technicité et son genre social, souhaitant que  la communauté d’artistes  suive son exemple et cultive  l’unité pour  le progrès de la musique congolaise.<br />
<br />
Le chanteur Bill Clinton Kalonji a également  plaidé pour l’unité et la franche collaboration dans le milieu des artistes, tel que prôné  par l’illustre disparu.<br />
<br />
La présidente  de l’Assemblée nationale, Jeanine Mabunda  et son adjoint Jean Marc Kabund, le directeur de cabinet du Chef de l’Etat, Vital Kamerhe, l’ancien Premier ministre Sami Badimbanga, les délégations des pays d’Afrique notamment du Congo-Brazzaville et du Kenya, ont  répondu présent à ces obsèques, peu avant son inhumation à la nécropole «Entre terre et ciel» dans la commune de la N’Sele.<br />
<br />
Lutumba Simaro Masiya, une référence de l’éducation par la musique<br />
<br />
Les populations congolaises, de toutes tendances, vivant à Kinshasa et celles venues d’ailleurs, pour assister aux obsèques de l’artiste musicien Lutumba Simaro Masiya, ont affirmé samedi, que l’illustre disparu reste une référence de l’éducation par la musique en RDC, dans leurs témoignages, après recueillement devant sa dépouille, exposée depuis vendredi dans l’une des salles des Spectacles du Palais du peuple dans la commune de Lingwala.<br />
<br />
La plupart des personnes venues rendre hommages, ont, dans une ambiance de tristesse et consternation, affirmé avoir passé des moments agréables aux côtés de l’illustre disparu qui fut pour eux, un  conseiller, un père, un encadreur musical, ou encore un homme social.<br />
<br />
Pour le député  national élu de la province du Kwango, Passi  Zapamba, «la nation congolaise vient de perdre un modèle de la musique congolaise, un éducateur social, dont le répertoire des chansons, bien que datant des plusieurs décennies, continue à conscientiser les générations présentes, de par leur contenu adapté au quotidien des Congolais. Ce fut également un homme de paix et éducateur», a-t-il dit.<br />
<br />
Le ministre provincial en charge de la Culture de la province du Kongo central,  Flory Amasaki Nzembele a affirmé l’avoir  fréquenté au cours de ses derniers mois sur la terre, et  le considère comme   « un baobab de la musique congolaise, au regard de ses talents artistiques et de son sens d’ouverture qui lui a permis de travailler avec des musiciens de toutes les générations ».<br />
<br />
Il s’est souvenu également de la  dernière recommandation du poète Lutumba, dans le cadre de sa responsabilité politique, à savoir « d’œuvrer pour l’unité et le dynamisme des musiciens Ne kongo ».  Ses chansons ont aussi inspiré pour composer des poèmes  sur les ressources naturelles  de la RDC et la vie sur la terre des humains, a-t-il confié.<br />
<br />
La  délégué du Centre Wallonie Bruxelles, Kathryn Brahy, également présent à ses obsèques, a loué les qualités morales, artistiques et intellectuelles de Lutumba Simaro Masiya, soulignant qu’il fut un « monsieur adorable, un immense artiste de la rumba congolaise », qui lègue aux Congolais une façon originale de jouer ce style de musique. Il a pris une part active aux démarches pour que la  rumba congolaise soit reconnue comme un patrimoine culturel de l’UNESCO, rappelle-t-on.<br />
<br />
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<br />
<br />
<br />
Dépôt des fleurs et témoignages en hommage au poète<br />
<br />
La journée de samedi au Palais du peuple a été marquée par le dépôt des gerbes de fleurs et des témoignages par les personnes venues rendre un dernier hommage au poète Lutumba Simaro décédé le 30 mars en France, a constaté l’ACP.<br />
<br />
Faisant suite au programme des obsèqques officielles, et s’agissant des hommges, toutes les couches de la population et les délégations venues de l’étranger ont été conviées ce jour car dimanche reste reservé aux officiels et aux religieux.<br />
<br />
Ainsi, plusieurs personnalités politiques, culturelles, des mouvements associatifs et autres, ainsi  que les amis et collègues du disparu ont loué les qualités de ce dernier et deposé des gerbes des fleurs notamment, Zacharie Babaswe, le Dg d’airtel M. Kahasha et celui du Fond de promotion culturelle M. Omari Sharady , Josky Kiambukuta et Diato Lukoki, les délégatiions venues d’Angola et de Pays-bas, les veuves des musiciens, les moziki 100 kilo, et la liste n’est pas éxhaustive.<br />
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La  journée s’est clôturée par une célébration eucharistique pour laisser la place à la soirée animmée par l’orchestre Sakana na’ngo qui va interpreter les chansons de Lutumba et celles-ci seront commentées par les intellectuels congolais, selon le programme de la journée. L’illustre disparu est le fondateur de l’orchestre Bana OK et possède un répertoire de  plus de 1000 chassons.<br />
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La veuve, Mama Nkelani, a eu particulièrement son moment de chaleur au cœur lorsque le chef de l'État est allé la consoler sur sa chaise...<br />
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May 05, 2019

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MISTER MADIDI, LE TRUBLION DES ENNEMIS DE LA RDC. . .

May 05, 2019

La semaine se termine par une fausse saga, avec comme acteur principal le pantin de Genève, celui qui avait été commissionné<br />
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à par les lobbies miniers et leurs épouvantails pour barrer la route au vrai candidat de l'opposition, mais surtout, pour perpetuer la prédation au pays par les entreprises et groupes d'intérêt installés dans les entrailles de notre économie.<br />
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Cette fausse saga est l'invitation du looser MadMar à la Coordination nationale de police judiciaire pour des renseignements, ce qui a vite fait lever ses partisans en criant à l'instrumentalisation, et en prométtant de faire échec à ce énième complot ( pathétique, lorsqu'on sait que cet homme quasi impoli bénéficie des largesses du nouveau pouvoir; réouverture de son hôtel malgrè de lourds arriérés fiscaux, circulation et meetings de provocations sans répression, etc...), saga qui a fini en eau de boudin lorsque la police a jugé inutile de l'entendre par un communiqué.<br />
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Et là, ses partisans ont crié à la victoire, faisant croire d'abord que le chef de l'État serait l'instigateur de cette audition (franchement, Fatshi avec toutes ses occupations, au lieu mm de craindre le manufacturier de Madidi, qu'il connait bien, mais va s'attarder au produit, heu!), ensuite, argué que le pouvoir aurait peur...d'un soulèvement populaire!<br />
Sur 17 millions de kinois, la majorité que nous sommes aurait peur de quelques 2.000 illuminés, franchement !<br />
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Tout congolais conscient et non occidentalisé, dés-infantilisé et désaliéné n' a pas oublié la machine à voter, et le refus catégorique du perdant de l'utiliser jusqu'à pousser ses électeurs à la brûler. On savait déjà que MardMar et cie ne voulaient pas d'élections pour occasionner des troubles et permettre à leurs leviers étrangers d'intervenir militairement en Rdc, pour mettre un triumvirat au pouvoir.<br />
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Après son retropédalage historique, suivi de sa défaite, MadMar cherche de nouveaux foyers de tension, qu'il n'aura pas!<br />
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<h5 class="_7tae _14f3 _14f5 _5pbw _5vra" data-ft="{"tn":"C"}" id="js_ao" style="background-color: white; color: #1c1e21; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; font-weight: normal; line-height: 1.38; margin: 0px 0px 2px; padding: 0px 22px 0px 0px;">
<span class="fwn fcg" style="color: #616770; font-family: inherit;"><span class="fwb fcg" data-ft="{"tn":";"}" style="font-family: inherit; font-weight: 600;"><a aria-describedby="u_28_1" aria-owns="js_1e4" data-hovercard="/ajax/hovercard/user.php?id=100000120002292&extragetparams=%7B%22__tn__%22%3A%22%2CdC-R-R%22%2C%22eid%22%3A%22ARCRz9SNdDVMQgJxENotjkkXO5LkvPfjD5fAbaI5kotzP4amyX0pbvpY6Emggp4ptjKX7YdzNTDPdVLx%22%2C%22hc_ref%22%3A%22ARS_0qDlTuwI2q1CuLE57Bj1kGAj4QSqEY7TJnVOlegoOzKvPViCj6O3KN3-7H5B9Q4%22%2C%22fref%22%3A%22nf%22%7D" data-hovercard-prefer-more-content-show="1" data-hovercard-referer="ARS_0qDlTuwI2q1CuLE57Bj1kGAj4QSqEY7TJnVOlegoOzKvPViCj6O3KN3-7H5B9Q4" href="https://www.facebook.com/babikundu?__tn__=%2CdC-R-R&eid=ARCRz9SNdDVMQgJxENotjkkXO5LkvPfjD5fAbaI5kotzP4amyX0pbvpY6Emggp4ptjKX7YdzNTDPdVLx&hc_ref=ARS_0qDlTuwI2q1CuLE57Bj1kGAj4QSqEY7TJnVOlegoOzKvPViCj6O3KN3-7H5B9Q4&fref=nf" id="js_1fb" style="color: #385898; cursor: pointer; font-family: inherit;">Babi Kundu</a></span></span></h5>

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BASE YA UDPS BA SENGI NA FELIX TSHISEKEDI AKANGA MARTIN FAYULU PONA ETAT DE DROIT EVANDA NA MBOKA ( VIDEO )

May 05, 2019

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UDPS - PARLEMENT DEBOUT : YOKA SON ABIMISI MAYELE MABE YA MOISE KATUMBI PONA KO YIBA FELIX TSHISEKEDI POUVOIR CHEZ BA AMÉRICAINS ( VIDEO )

May 05, 2019

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UDPS : YOKA SON AKEBISI MLC YA JP BEMBA NDENGE BAZO MARCHER POUR SOUTENIR MARTIN FAYULU BA KANGA YE TE PONA HAINE TRIBALE CONTRE BALUBA ET FELIX TSHISEKEDI ( VIDÉO )

May 05, 2019

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La dépouille de Lutumba Simaro exposée au Palais du peuple dans la commune de Lingwala ( Article + vidéo )

May 04, 2019

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhITXFLbUi4CDZy6Bw9H8OLRhPM6fPxZ_tzTnlJ71QVDn7ALGPdmdoKFxyuVGv42kwArQWLwWhFKve0nkFSZRlOjcat2jhfU0MMQHNmicqrlyEwDyFrzmoQ37UGsoLQmE7ZpWot9gST29hC/s1600/DKDJF+FKLKFJHGF.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhITXFLbUi4CDZy6Bw9H8OLRhPM6fPxZ_tzTnlJ71QVDn7ALGPdmdoKFxyuVGv42kwArQWLwWhFKve0nkFSZRlOjcat2jhfU0MMQHNmicqrlyEwDyFrzmoQ37UGsoLQmE7ZpWot9gST29hC/s400/DKDJF+FKLKFJHGF.png" width="400" /></a></div>
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La dépouille de l’artiste musicien Lutumba Simaro Masiya,  décédé le 30 mars dernier à Paris en France, est exposée depuis vendredi, dans la salle des Spectacles du Palais du peuple, dans la commune de Lingwala.<br />
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Le cortège funèbre est passé à quelques endroits stratégiques de la ville de Kinshasa notamment la Place des artistes dans la commune de Kalamu, avec une escale au croisement d’avenues Nyangwe et Libération (ex-24 novembre), où est érigé son buste et à la résidence du défunt, dans la commune de Lingwala, avant d’atteindre le Palais du peuple, lieu de son exposition.<br />
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Tout au long du parcours, la population congolaise, à travers  toutes les couches sociales confondues, s’est mobilisée pour rendre des derniers hommages en mémoire de l’illustre disparu. L’on a noté la présence des personnalités politiques, des artistes et des membres des associations culturelles qui ont  témoigné des talents de Lutumba Simaro.<br />
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Le bourgmestre de la commune de Kalamu, Jean Claude Kadima,  a salué la mémoire du poète, guitariste et auteur compositeur congolais, dont il garde les souvenirs d’un homme rassembleur et créatif, avant d’inviter l’ensemble de la communauté d’artistes à demeurer soudé et entrepreneur pour mener haut le flambeau de la musique congolaise.<br />
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La ministre de la Culture et arts, Astrid Madiya Ntumba, a, à son tour, remercié toute la population congolaise pour la présence massive, depuis l’arrivée de la dépouille le 30 avril dernier, témoignant ainsi, la marque de son attachement à la mémoire de l’illustre disparu. Il a  aussi loué les qualités du célèbre musicien qui fut, selon elle, père éducateur, un homme rassembleur et encadreur des artistes, avant de dévoiler la plaque dédiée à la mémoire de Lutumba Simaro.<br />
<iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="392" src="https://www.youtube.com/embed/b0oFoWy7KLc" width="523"></iframe><br />
Hommages de la SOCODA<br />
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Auparavant, le président de la Société congolaise des droits d’auteurs et droits voisins (SOCODA), Verckys Kiamuangana Mateta, a fait part à l’assistance, des contributions morales et intellectuelles apportées par Lutumba Simaro, durant son passage au sein de cette structure, notamment des conseils, des mots d’apaisement et d’encouragement à l’endroit des animateurs, lors d’éventuels tiraillements. Il a, de ce fait, appelé tous les membres de la SOCODA à conserver l’unité en vue d’honorer la mémoire du défunt qui voulait toujours  la culture de la paix et de l’unité.<br />
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Des concerts de musique sont prévus à l’esplanade du Palais du peuple pour agrémenter ces deux jours des obsèques officielles de Lutumba Simaro, signale-t-on.

La dépouille de Lutumba Simaro exposée au Palais du peuple dans la commune de Lingwala ( Article + vidéo )

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